B O O M E N HUIS, REVALENTA ARABICA MEUBLES ORMES, NS TEL, EEM SANTÉ A TOUS MAISON, IEPEN EN EIKEN BÖÖMEN. EEN HOFSTEDEKEN, ESSC4IEN, FYNE IEPEN, KOOPDAG BIJ RECHTSMACHT. PEUPLIERS DO CANADA, NOTARIS CA VEILE, EEN HOFSTEDEKEN, ADEM, CANADAS EFFETS DE MENAGE Variétés. BURGERSTAND VAN YpEREN, KANTOOR VAN HEN te IVatoM. 1" Op MAANDAG 20 OCTOBER, ton 3 uren namiddag, ter herberg en brouwerij van baas Van Eeckë, te Watou plaats, OVERSLAG te Watou, van 3 hectaren 90 aren 77 centia ren. Gebruikt door Francies1 Ver- bouwe tot 1875. VENTE P U B LI QUE propresa lacharpente. la menuiserie. le cbarronqage et autres usages. 2" Op DIJSSENDAG 27 OCTQBER, 3 uren namiddag op het vooren te koopen Hofstedeken, VEND1TIE der aldaar staande selioone EIKEN EN IEPEN 3° En op MAANDAG 2 NOVEMBER te Rousbrugge-Haringbe Oosthoek ter hofstede bewoond door sieur Butaye-Decreus, VERKOOPING der schoone btngslammitrc Om verdere inlichtingen zich te begeven bij voornoemden Notaris CAPELLÈ. Men make hel ruchtbaar. Etude de Me LANNOY, NOTAIRE, JEUDI 22 OCTOBRE 1874 et jour suivant, chaque Ibis a 9 heures du matin, dans la maison occupóc par Beynaert, rue Verte, a Wervicq, vente i>tihli«ine STUDIE Aotaris ÜIAHIKIN te Ipre. 1° INSTEL ZATERDAG 24 OCTOBER 1874, 2 uren namiddag in de -herberg den OUfantf Dixmudestraet te Ypre, van: te ^osiiiet«eke. op 15 minuten zuidwest der kerk, ter noordzyde van den keiweg dezer ge meente na de herberg de Wipzael en op gèlyken afstand der kalsiede van Ypre naer Zonnebeke, groot volgens titel 7 11: 7G A. 70 C., verdeeld in zes koopen breeder beschreven by plak brieven, gebruikt door de gebroeders Claekbout. 1/2 o/" instclpremie. DONDERDAG 19 NOVEMBER 1874, 's. middags te beginnen, OPENBARE VERKOOPING 56 EN 1 SGÏIOONEN EIK, staende op d'hofstede-landen gebruikt door Murrent te Boesinghe, west aen den steenweg van Ypre naer Pilkem. 8 maenden tyd van betaling.mits borg. 3' UT ER HAND TE KOOPEN, een schoon en goed TE YPltK, west de Rysselstraet, tegen de groote Markt, by den Notaris MAHiEU. VAN 'S KONINGS WEGE. Op ZONDAG, 25 OCTOBER 1874, om 8 7< 11 i'e 's morgens, zal er ter hofstede bewoond door sieur Francis Thibaut, landbouwer, wonende te Westoutrc, overgegaan worden tot de openbare veiling, met den gereeden gelde en zonder Verhoog van: Bascul met Gewigtcn, eene groote lioevcel- lieid Hoppe, Zolderwagen, Stoof met toebelioorten, Aelkarteél, 32 Buizen, 5 Haenden, 24 Hennen, Kar, Ploeg, pornmejé Merriept^erd met liarnassu- ren, 2 Wagens met toebehoorten, 400 kilogrammen Hooi, omtrent 9.000 Tarwenscboven, N'las, Melkkoei, 1,500 Iloppepersen en meer andere goede ren alsdan aan te bicden; Door ;t ambt van e.-l. STBAjIER, Deurwaarder te Yjicr. Elk zegge 't voorts. STUDIËN van de Notarissen STEVERLYNCK EN WA UIERS, DIJNSDAG 3 NOVEMBER 1874, 2 '7 ure namiddag, te Dixmude, groot Sint Joorishof, met gewin van 1/2 instel premie van: II. 43, 99, 77 C. Landen en Weiden te Gereken, waaronder eene Schaap- hofslede met li. 30, 57, 60 C. en 4 Woonhuizen met Erf. li. 1, 06, 07 C. Land en Maaigras te Wou men !i. 0. 85, 70 C. Weide te Lamper- nisse. Een Woonhuis en weigekaiante Potfebakkprij teïhourout met II. 0, 32, 79 C. Erf. II. 1, 10, 90 C. Zaailand ook te Thourout. II. 2, 95, 49 C. Zaailand, Weide en Hovenierhof te Adinkerke. Een Woonhuis te Dixmude, in de Beerststraat on 0, 01, 63 C. Erf. Een idem te Dixmude, in de Beerst straat en il. 0, 01, 15 C. Erf. Een idem te Dixmude, in de Beerst straat en li, 0, 01, 35 C. Erf. UiT KGGPEIJ: DF.R HAND TE met EK F, e» FO©Kf, gelegen te HONDSCHOTE. Zicli to bevragen by den drukker dezer. DÉPOT: D'HUITRES AMGLAISES. tous les jours frais d'Ostent!e. IIoinardN, T«arlï®ts, Sbishioh et tout autre Poisson frais pour diners. CHEZ LA Vve M E 3 A I N I MARCI1É AU POISSON, YPRES. MARCHANDISES. NEUVES, consistant en Draps, Étoffes, Toiles, Coton, Basin, Demet, Paramatas, Lai- nes, etc. MARDI 27 OCTOBRE 1874, a 5 heures du soir, a l'estaminet le Café Bogal, rue des Pigeons, a Wer vicq, A I» J I HICATIOA avec 7 arcs 08 centiarcs cn Fonds, Cour et Jardin, a Wervicq, rue Verte, occupóc par Beynaert. Mise-a-prix 7,100 fr. JEUDI 12 NOYEMBRE 1874, a midi jirócis, A VHM INKS. 1° l'rès de la ferme Collie-Unyghe. 2° Prés de la ferme Mahieu- Veys, aux chemins de Messines. §0 marches «le Ires-heaux A VENDRE. LUNDI 16 NOVEMBRE 1874, a midi jirécis, dans les vergers de la fermocabarèt St-Ivon, a Warnèton. In brave mousse. Teu de joiirs après sa sortie <iu port de New-York, un yrand navire fut surpris par une tempète terrible, laquelle dura prés d'tine semaine. Un nuit, au fort de I'ouragan, les agrès de l'extré- mitê du grand mat s'emmêlêrent, et il fallait les niettre en ordre. Le second appela un mousse el lui ordonna de monter. L'enfant porta la main a son bonnet, mais hésita un moment, puis jetant un regard effrayé sur le mat qui se balancait et sur la nier furieuse, il traversa |e pont a pas précipités el descendit dans le gaillard d'avant. Il en revinl environ deux minutes après, saisit l'éclielle de eordes saris dire un seul mot et se mil a grimper comme un écureuil Les hommes de l'équipage le virent avec terreur a une hauteur 'enfayante. II ne redescendra jamais vivanl, se disaient ils l'un a l'antre. Mais la périlleuse corvee fut achevée en vingt minutes, el le mousse revint sain el sauf. Droit, le visage éclairó d'un sourire, il se rendit a Carrière du navire. Qu'êtes-vous allé faire en bas, quand on vous a ordonné de monter au grand mat? lui demanda un passager. Je suis allé prior, répondit il, en rougissant et la lèvre frémissante. Accident au chemin de [er Lorrain. Con- trairement a co que nous avons dit, ce n'est pas Jeudi, mais Mercredi soir qu'est arrivé le terrible aceident dont le jeune baron Beihune a été la vieti- me. Entre 9 et to heure< du soir, le train laneé a toule vitesse vim se lieuiter centre un convoi de marchandises, quipar la negligence d'un aiguilleur, élait resté sur la méine voie, dans la petite gare d'Eningen (Lorraine) entre Luxembourg el Thion- V il Ie Le choc fut terrible. Le tender de la machine mouta sur les voilures qui suivaient, et deux de celles ci lutein compléiemeni brisées. Le inécani- cien retjul de, graves blessures auxqutlles i' suceomba le lendemain De la voiture de première classe, oü se trouvait la familie Belhune, il ne restait plus que les uéliris. Le jeune Paul Betliune fut tué sur le coup; M"" la baronne Belhune reeut une blessure au pied; quant a M. le baron Betliune, les lesions furent plus graves: blessé a la tëte et a |a poitrine, il resta prés d'une heure et dentie sous les dabris de la voitute, avant qu'on parvint a le dégager Ses blessures ne présentent lieureusemen' aucun danger. Les autres voyageurs en furenl quit" les pour la peur. Nous ne décrirons pas la desolation des pauvres parents, lorsqu'ils virent enlever le corps inanimé de leur enfantTransporlés dans la petite gare d'Ettingen, ils passèrent la nuit sur un banc, sans qu'il (üt po-stble de faite arriver des secuurs de Thionville. Le lendemain, a 10 beures, ils revinrent en Belgique par le train de Bruxe'les, oè ils passè- tenl la nuit dans la gare du Nordenlourés das soins les plus prévenants de l'administration du chemin de fer. C'est Y'eiidrèdi matin, a neuf heures, que le triste convoi 31-riva a Gaud, M le baron Béthune fut Iransporté sur un civière en sa cl emeu re, tandis que le corps de la jeune victimeétaitdirigé vers Marcke- lez-Couitrai, oè se liouve la sepulture do familie. Le ministère sunge a saisir la legislature d'un vaste prujet de liavaux publics Des millions vont être detnandés encore pour doubter la voie ferrée de Bruxelles Anvers, puur agrandir une vinglaine de stations, et pour augmenler d'un dixième tout le materiel nécessaire au transport des voyageurs et des marchandises. On écrit de Louvain a I'Etadiant Calholique: Divers changemenls ont eu beu dans le corps prolessoral. Dans l'Ecole spéciale des arts et manufactures, M. Docq, professeur de physique» cesse pour motif de santé de donner son cours; il est remplacé, si je ne me trompe, par M. Deviver, ce qui a amené quelques autres changemenls. Un cours d'arcbitecture est ouvert, et confié a M. Geor ges llelleputle, de Gand Dans la faculté de droit, nous devons signaler la retraite de M. De Bruyn, professeur de droit romain approfordi. M. De Btuyn élait cléja professeur a l'ancienne Univer- sité de Malines: il avail done droit a l'Eméritar depuis plusieurs années M. Fr. de Monge, juge d'instruction a Namur, Fa remplacé. Nous ne pouvons que nous louer de cette dernié- re nomination. M. F rancis de Monge s'est déja fai' connaitre comme jurisconsulte et comme catholique convainou, ne connaissant pus la manoeuvre qui fait de I'homme privé un clirétie», de I'homme public un adorateur du Dieu Etat. II est I'auteur d'un excellent ottvragc qui a pour litre: De la capacite civile des lieliyieax et du droit des Associations. 181)7. En candidature en droit, M. Rutgeerts, I'excellent professeur de droit notarial, a remis a M. Staedtler |e Cours d'lnstitutes, que d'ailleurs il pirtageait depuis quelques années avec ce dernier. M. Rut geerts a laissé d'assez bons souvenirs dans I'esprit d'une foule d'hommos repandus aujourd'hui dans la Belgique entière, pour que nos paroles puissen1 ajoiiter quelque chose la reconnaissance el a Fes- time si gtande dont il est I'objet. M Torné, professeur de droit commercial et de droit naturel, s'est déchargé sur les épaules plus jeunes de M. Deseamps, de ce .letnier cours. On ne pouvait tnieux eoufier une branche aussi importante qu'a ce jeune professeur dont les talents et les prin cipes catholiqties sont également remarquables. On lélézraphie d'Esiella: Le Hoi a tenu une conférence avec les généraux El io et Mendiri. On s'atlend a des événements militaires impor- ta ms. Charles Vil vient de nommer le due de f'arme colonel du 1" régiment de Castille; le comte de Caserte colonel d'artillcrie; les comtes de Bardi et de Bari capitaines de cavalerie. Les dépêches de Santander affirmant que les bruits qui ont couru relativemenl aux prélendues défections de certains bataillons carlistes sont de pures fables. L'évèché de Versailles a fait publier la note suivante: n Flusieurs journaux francais et étranger on1 annoncé que Mgr l'êvêque de Versailles travaillait a int i:od ui re la catisu de la béatification tie Louis XVI Monseigneur est complélemenl étranger a ce projet, et s'étonne que Con ait mis son nom en avant dans cette affaire. écoles, un# chapelle expiatoire et un Lópital de 200 lil s. Les cpnt mille francs qu'elle s'était réservés payè- rent sa dot dans un convent. II y a eu Jeudi huil jours, elle pronomen des veeux éternels, donnant a Diou sa beauté, sa jcunesse et sa vie, apiès avoir donné aux pauvres sa fortune. TROIS FEMMES HÉROIQUES La première vqus montrera la femme en temps de guerre. Elle se nommait M",c de R Son mari, lieutenant-colonel de cavalerie, avail été tué a For- bacli. Elle avail neuf enfahts, neuf fiIs. L'ainé, agé de ving-huit ans, le plus jeune de quinze. Au moment oü une balie pruss enne lui prenait son épou xelle avail sept de ses fils au service. A Sedan, l'ainé et le troisième, l'un capitaine et Fautre lieute nant d'infanlei ie, sont lués Les cinq autres élaient a Metz. A Gravelolte, l'un de ceux la reQoit un éclat d'ubus en pleine poitrine, et a cöté de lui son frère tombe frappé d'un coup do sabre. Do sa belle et nombreuse familie, il ne lui restait plus que cinq Cis. Trois sont prisonniers en Allemagne: les deux derniers, agés de dix sept ans a peine et de quinze ans, s'engagenl dans Farmée de la Loire. Un fieau jour, les trois prisonniers d'Allemagne s'évadent. La mère les embrasse, la femme les bénit, mais la francaise leur dit: Au combat! Deux des frères sont lués, l'un a Villersexel le second a lléricourt Restaienl trois enfants, une protection divine semb'ait les épargner, puisqu'au milieu des héea- combes ils av'aient survécu. La paix arrive; puis la Commune; puis la tranquil-» lité qui renait peu a peu. Quelles carrières von1 suivre ces jeunes gens? Celle de l'ainé des survirants est toute tracée. Soldat il est, soldat il restera. Mais le Gis agé de dix-huit ans maintenant? Mais le frère qui va en avoir seize? Vous croyez sans doulo que cette femme, veuve de son époux et veuve de ses six enfants, voudra conserver prés d'elle les deux derniers?... Vous allez voir! Que seras tu? demande t elle a l'ainé des deux. Prêlre et missionnaire! Que seras- tu? demande-t-el!e au denderde tous. Marin. II y a de cela trois ans. Aujourd'hui, le soldat est en Afrique; le marin est en Cocliinchine, sur I# Jean Bart-, le troisième le missionnaire, vient de partir pour la Corée. Et la mère, pale dans ses vêtements de deuil, s'est assise silencieuse a son foyer, parlageanl sa lendresse de Romaine entre l'époux et les six Cis morts, et les trois enfants éloignés. Ainsi des dix êlres qu'elle avail partes dans son cceur, trois étaient vivants Elle en donne deux a la France et en garde un pour Dieu! Nous venons de voir la femme en temps de guerre. Voyons maintenant la femme en temps d'émeute. Un matin, la comtesse de S apprend que son Cis qu'elle aime est arrêlé par les insurgés. D'après ce que dit le journal, on va le fusilier. Sans épöuvante visible el cachant au fond de son coeur les larmes qui brident ses yeux, elle va droit au lieu oü son Cis est prisonnier, a la place Ven- döme. Savez-vous bicn ce que c'était qne la place Ven- dömc a cette époque la? Figtirez-vous cinq mille hommes ivres, vautrés a terre pêle-niêle. Dans la petite cour de la maison oü élait le poste c'est maintenant la grande chancellerie de la I.égion d'Honneur, il v avail une funlaine en pierre. Les bandits y avaient versé du vin et buvaient. La jeune femme arrive. Elle avail traversé toute l'étenduede la place Vendöme, au milieu du silence de ces bèles fauves, qui. stupéfaites d'une pareille audace, regardaient avec élonnemenl cette mince créature passer calme el hautaine comme une ombre du mépris. Sans hésiter, elle entre dans la cour dont je viens de parler. Lè élaient les plus léroces de ces brutes. Un officier fédéré vient a elle et lui demande bru- talement: Que veux-tu citoyenrie? Je veux mon Cis qui est la! et elle montrail la maison. Ah! c'est ton Cis, eet assassin? Eh bien! on va le fusilier, car il a liré sur le peuple. C'est passi ble; mais s'il a tiré sur le peuple, comme vous le dites, c'est que c'était son devoir. A ces mots, un frélnissemenl de rage secoue ce peuple de bandits. L'un d'eux vient a elle, et, lui metlanl la main sur le bras, dit en la menacant de l'autre main: Ah! tu es une réuctionnaire? Eli bien! attends! La jeune femme avait une de ces ombrelles noi- res, comme les éléganles en portent, moitié om- b rel lemoitié canne. Elle se recula de deux pas, et, frappant I'homme au visage: Vous êies un lache, lui dil-elle, je suis une femme et on n'a pas le droit d'insulter une femme! L'officier, éinu sans dotite de ce courage surhu- main, repoussa I'homme, et lui dit: Faitesmoi l'houneur de prendre mon bras, madame, ils ne vous menaceroni plus. Une heure après, elle repnrail, certaine qne son C s pouvait tilre sauvé par une démarche auprès d'un ambassadeur étranger. Ah! te voila, dit en la reconnaissant un des gardes nationaux. Si tu veux l'en aller, il faul crier. Vive la Commune! La jeune femme se retourna vers les fedéres el leur dit: Vive la France! Et elle disparui sans qu'un seul osal la toucher. Nous arrivons maintenant a la femme en temps de paix M"e de M... est la Clled'un general tué a l'onne- mi. Orplieline de sa mère a vingt ans, elle n'avai' Jamais voulu se marier pour se garder tout entière a son père Celui ci mort, eile se trouva seule au monde a la 'ète d'une fortune considerable, quelque chose comme trois cent mille francs de revenu. Elle mit de cöté 100 mille francs pour elle; puis des millions qui lui restaienl elle Dalit quatre van den 9 tot den 16 October 1874. GEBOORTEN. Mannelyk geslacht ,1. Vrouwelyk geslacht 1. HUWELYKEN Petrus Vanpeteghem, werkman en Adel ia Deco- ninck, kantenwerkster. STERFGEVALLEN. Amelia, Lesage, 26 jaren, kantenwerkster, onge huwd, Meenenstréet. Petrus Lnsschentier, 71 jaren, zonder beroep, ongehuwd, (londstrael. Joannes Dejonghe, 77 jaren, zonder beroep wedu waer van Regina Vandenbusscbe, Meeuenstraet. Henricus Louf, 02 jaren, brouwer, weduwutiaer van Virgina Plalevoet, kuëiniarkt. Kinderen beneden lie 7 jaren. Mannelvk geslacht 0. Vroüwefvk geslacht 0. de et DE TRÉS-BEAUX A COMIXES. xan dun van Londres, dite: rendue suns médecine, sans purgps rt saris frais par la dclieieuse fat ine de Santé de Du Carry de et d'une bet e et spacieuse Vin«l-six ans d'iuvariahle surcès. Elle comk.il avec snceès les dvspepsies, mauvaises digestions, gastrites. gastra.gtes, glatres, vejits. aipreurs, acidilés, pitnitcs, n.uisées. renvois, vomissements. même en grosscsse, consti pation, diarrhéè dyssenlerie. aoliqiies. pFthisie, toux, aslhme, étouffemenls, étonrdissements, oppression, congestion, névrose, inshmnies, mélancolie, diabete, faiblesse, épmsement. anemie, chlorose. tons désordres de la poitrine, gorge, haleine, voies des brotlches, vessie, foie, reins, inteslins, mtiquense cervean et sang. 75,000 cures, y compris celles de Madame la Dnchesse de C«>stittsUiart, le due de PluskowMadame la marquise de Lrehan, Loid Stuart de Decies, pair d'Angleterre, etc., etc. Dyspepsie: Dl. J.-J. Noël, de ThuilUes Ilamautde vingt années de dyspepsie. Dartres: M. Gr. Boos, de J.iége, abandonné par les médecins qui dklarmenl qua son Age (55 ans) toule guèrison élait impossible, a été tolalement gum des dartres par l-usuge de la Ilevaleuta. JX" .'i9 S2it/'"0 Marie Jolg. de cinqnantc ans de constipation, indigestionnervosite in som nies, ast h me, toux, /talus, spasmes et naiisées. N" 46.270: M. Boberts, d une consumption mdmonaire, avec toux, vomissements, constipation el surdité de 25 annees. 46.217: Al. ie docleur-méilecin Martin, dune gastredgie et irritation clestomac qui le faisait vomir 15 18 fois -par jour pendant huil ans. N" 46,218: le colonel Watson, de la (muite, névralqie et constipation opinidtre. TV" 18,744: le docteur-medecin Sliorlanil, d'une hydropisie et constipation. - N' 49.522: M. Baldwin, de l épmsement le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d exces de jeu nesse. Cure N° 62,913. Balgorge (Jrdèche), 19 Oclobre 1863. Revalenta est un remède que j'appellerai presque diiin. Elle a /uit un bien immense d votre bonne scenr Julie, attoinle depuis quatre ans d une neuralgie a la tele, qui la faisait soul]rir cruellnneiit et ne lui laissait presque aucun repos. Grace a voire speci/ique elle est aujourd'hui cjuéne. Moxassier, cure. 1 Plus nourrissanie que la vinnde, elle economise encore 50 fo.s son prix en medeetne. F.n boi.es: 1/4 kil., 2 fr! 25; 1/2 kil.. 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 h,l„ 60 fr. - LesBiscuits de Bevalenta. en boi.es de 4, 7 et 16 francs. - La Revalenta clmcolotee, cn bo#.e de 2 0. 25 e.; de 576 lasses, 60 fr. Envoi contre bon de poste, les bolles de 3- el 00 f.franco. Dépot chez C. Recuwe, pharm. rue du Vergcr. 11. Frysou, rue Dixmude, Ypres. Bruges, Vve De Grave, droguiste, rue Eeckhout, 2. \eys-brisou. 1 res Sl .licque. -I, pharmacien. L. Algoel-Dispcrsyn, négorianl, rue Notre-Dame, 33. De Hon t.azr t eniies 'oloniales, cue des Pierres, 10. A. XVillaert-De Smet, denrees colontales, G.and 1 'ace 4. Courlrai, Tl. Bossaert, pharmacien. E. Uiers, pharmacien. Tinnes,. E. Dnclos, pha.m Moorslede, Ch. llos.yn, I,onlanger. Os.ende, F. Kockenpoo r e oor-e Rouhr,, II. Houtens-Degeest. pharmacien. Tieghem, el V. Moreels, llue.t, s 'ririixelles' et chez les pharmaciens el épiciers, Du Barrt ef C*., Boulevard du l\ord, A 19, Biuxelies.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 3