HUIS REVALENTA ARABÏCA INSTEL, ORMES, ESI HUIS EEN HUIS SANTÉ A TOUS NOTARIS CAP ELLE, EEN WOONHUIS, HOFSTEDEKEN, IEPEN EN EIKEN BQQMEN. EEN HOFSTEDEKEN, ESSC-HEN, FYNE IEPEN, PEUPLIERS DU CANADA, BÖOMEN,J CAISSE GÉNÉRALE D'ÉPARGNE ET DE RETRAITE. Sous la garantie de l'Etat. KANTOOR VAN DEN te Watou. f" Op 19omler«lag 39" Octo ber om 3 ure na middag, te Watou-Abeele, ter herberg van Descure-Porreye, Overslag van TE WATOU-ABEELE. Gebruikt door de weduwe Lebbe. 3° Of» VrljilagSOOctober18?4 om 3 ure na middag, ter herberg het Ramtje, YERKOOPING IN PROVEN, inhoudende 1 hectare 4 aren 38 centiaren, lest gebruikt' door Caro- lus Garmyn. Aanslag met de gcldtelling, 3° Op 3 lfe>vei»il»cr te Rousbrugge-lfaringhe, Oosthoek, ter hofstede bewoond door sicur Butaye-Decreus, VERKOOPING der schoone langstammige 4° Op DomlcriEag Vovcin- lier 18354, om 1 ure na middag, te Ilaringhe, bij het Ilaandekot, ter hofstede gebruikt door Benoil Top, VERKOOPING VAN 41 koopen Eu 5" op Maandag 33 \avciii- bcr 18?4, om 1 ure na middag, te Crombeke, ter .scbaapliofstcde be woond door de weduwe van den heer Deblock, VERKOOPING VAN 54 koopen ALLERHANDE ROOM EN. Om verdere inlichtingen zich lc begeven bij voornoemden Notaris CAPELLÈ. Ruchtbaarheid. STUDIËN van de Notarissen STEVERLYNCK EN WAUTERS, te I^hmutk. DÏJNSDAG 3 NOVEMBER 1874; 2 ]l-> ure namiddag, te Dixmude, groot Sint Joorishof, met gewin van 1/2 instel premie van: II. 43, 99, 77 0. Landen en Weiden te Gereken, waaronder eene Schaap- hofstede met II. 30, 57, CO C. en 4 Woonhuizen met Erf. II. 1, OC, 07 C. Land en Maaigras te Wou men II. 0. 85, 70 C. Weide te Lampcr- nisse. Een Woonhuis en welgekaiante Pottebakkerij te Thourout met II. 0, 32, 79 G. Erf. 11. 1, 10, 90 C. Zaailand ook te Thourout. II. 2, 95, 49 C. Zaailand, Weide en Ilovenierhof te Adinkerke. Een Woonhuis te Dixmude, in de Beerststraat en II. 0, 01, 63 C. Erf. Een idem te Dixmude, in de Beerst straat en II. 0, 01, 15 C. Erf. Een idem te Dixmude, in de Beerst straat en II, 0, 01, 35 C. Erf. Notaris STUDIE M AMI EK. 1° te Apre. OVERSLAG ZATERDAG 7 NOVEMBER 1874, 2 uren nanoen Ier herberg den Ohfant, te Ypre, van te Koiuieliel&e, groot volgens titel 7 li. 76 A. 70 C., ter noordzyde van den keiweg dézer gemeente na de herberg de Wipzacl, verdeeld in /.es koopen, gebruikt door de gebroeders Claerbout, tot 1" Oc tober 1876. iMaer in mas ingesteld 22,000 fr'. 2° DONDERDAG 19 NOVEMBER 1874, 's middags te beginnen, OPENBARE VERKOOPING 56 knopen EN 1 SCHOONEN EIK, staende op d'hofstede-landen gebruikt, door Morrent |e Boesinglie, west aen den steenweg van Ypre naer Pilkem. 8 maenden tyd van betaling.mits borg. LIT ER HAND TE KOOPEN, een schoon en goed west de Rysselstraet, tegen de grootc Markt, by 'den Notaris itiakieu. STUD IE NOTARIS DE BOO, te tiostvlctereii. Etude de Me LANNOY, NOTAIRE, J EU Dl 12 NOVEMBRE 1874, a midi précis, A K O NI I A E 8 1° Prés de Ia ferme Collie-Huyghe, 2° Prés de la ferme Malden- Veys. aux chemins de Messincs. 80 marches de trés - hcaux A VENDRE. LUNDI 16 NOVEMBRE 1874, a midi précis, dans les vergers de la ferme-cabarêt St-Ivon, a Warnêton. VEN TE PUB LI QUE propresa lacharpéntc, la menuiserie, le charronnage et autres usages. 1° DINSDAG 3 NOVEMBER 1874, om 3 uren na noenter herberg van Francis Lobfi.le, te OostvIeteren, OPENBARE VEILING, en verdere ruime gebouwen, ccrtyds gediend hebbende voor woon- ste van den onderwyzer en gemcen- tescliool, met 7 aren 20 centiaren grond en hoving staende en gelegen TE O OS TVL EIE11 EN, aen de zuidzydevan de marktplacts. Aenslag met de geldteliing. En 2° MAENDAG 23 NOVEMBER 1874, om 1 ure na noen juist, 100 koopen zeer schoone en zware EikenIepen Esschen, Abeelen en Populieren TE WEST VLET EREN, op de hofstede gebruikt door Emerig Ver Eyck, tégen den steenweg naer Poperinghe, regt over de herbergde Bustplaets. UIT DER HAND TE KOOPEN: met- ERF, HOF en POOitT, gelegen te HONDSCHOTE. Zicli te bevragen by den drukker dezer. DEPOT: D'HUITRES ANGLAISES, tous les jo urs frais d'Ostende. Ilomards, Turhods, Nasamou et tout autre Poisson frais pour diners. CHEZ LA V 8 Hl E R A I N I MARCIJÉ AU POISSON, YPRES. Act if. Passif. Mouvement du niois. preuve flagrante des relations criminelles He son père I a tuée; elle s'est affaissée sur elle-méme et a rendu le dernier soupir. Un poète hollandais' a dil que les enfants marelient sur la robe de la mere el plus lard lui marchent sur le cceur; mais comment jugera-t-on la passion sénille d'un débauclié qui a tuó une enfant dont la mort prouve suflisammenl les qualilés du coeur, la vériiable piélé filiale? 1 Le prince de Galles, pendant son séjour en I'ra nee, a recu une splendide hospital i té dans les grandes maisons, dont la républiquen'a pas diminué le faste. Après le chateau de L)ompierre, cliez M. le due de Luynes, le prince anglais a été accueilli a 1 Llysée avec les honneurs dus a son rang. Lc maréchal a donné des chasses a Rambouillet. Le due d Aumale a invité lc prince do Galles, a son chateau de Chanlilly. On a count le cerf, com me on leut pu faire au temps du prince de Condé. Aujourd hui Fiiéritier de la couronne d'Angleterre est I hóle du due de Mouchy. qui donne un grand diner, auquel assisteront plusieurs personnages de la haute aristocratie. Ainsi le prince de Galles aura successivcmen' honoré desa presence la demeure d'un légitimiste, du chef du septenant, du chef de l'orléanisme, et d'un bonapartisle. On serait bien injusie si on i'acousait d'etre venu en France pour faire de la politique exclusive. Au moment de la revolution de 1848, Alexon- des Dumas avail pour domostique un nègre. Le lendemain du jour oü le gouvernement provi soire abolit i'esclavage darts les possessions fytnqni- ses, Dumas recoit la visite de sou domestique. Monsieur, je ne puis plus resler au service de monsieur, dit le moricaud. Et pourquoi cela? l'arcc que le gouvernement vient de m'affran- cltir. Alt! trés bien. Alors vn-t'en. Mais, Monsieur me doit six annécs do gages; s'il voulait me payer? Te payer! imbecile, n'est-tu pas affranchi? Oui. Eli bien! quand je recois une lettre alïranchie, est-cc que je la paye? Tom abasourdi par ee raisonnement, ne demanda pas son conipte et resta au service de Dumas. Deux gendarmes Chevauchaient a la tombée de la nuit Passé une charette non munie de la lanterne réglementaire. contravention aux régle- ments de police rurale. D'une main sure, les gendar mes arrêlent le véhicule ainsi que son conlenu, qui apparaitsous la forme d'uu paysan a figure madrée, et s'apprêtant a dtcsser procés-verbal: mais lc con- trevenant s'ócrie de sa voix la plus rogue. Gendarme, quelle heurc est-il? Huil heures et demie. Pardon, n'exagérons pas, huil heures moins dix C'est possible, mais la mienne dit huil heures moins dix. Constatez vous même... C'est vrai C'est bien, gendarme. Vous indiquerez sur le procés-verbal qu'il élait hult heures moins dix a ma monlre, et huil heures et demie a la vótre. Vous enlendez! Huil jours après, gendarme et paysan se retrou- Viiient devant M. le jttge de paix, qui, en fonction- naire severe, mais juste, s'apprêlait it appliquer l'amende de rigueur. Pardon, dit le contrevenant, quelle heure M. ie gendarme a t-il vu a sa monlre? Iluit heures et demie. El a la mienne? Huil heures moins dix. Et vous avez bien vu? Parfailcment. C'est done qu'il faisait encore assez clair? Ce raisonnement lumineux fit pencher la balance en faveur du paysan, qui se tira de l'affaire sans bourse délior loué! L'autre jour, un gentleman, vêtu avec In plus irréprocltable élégance, se présente cltez un des premiers dentistes do Paris. On l'introduit dans le cabinet oü nolre praticien rend ses oracles et fait ses opérations. Monsieur, je suis le comte de X... Echange de saluts. J'ai l'inlention de me faire poser un ratelier complet. Uien de plus simple. Non, pardon... Pas si simple. J'ai encore quel- ques dents fort compromises qu'il faudra m'arracher au préalablc. Mais jusqu'ici j'ai toujours reculé de vant Popéralion... Je suis horriblement douillet, et l'idée de senlir voire fer... Mais, monsieur, vous ne sentirez rien du tout, En effel, j'ai enlendu parler de votre systènte d'insensibilisationC'est même pour cela que je m'adrosse a vous. II est infallible, monsieur. Oh? infailiiblel... infuilliblc! Cerlainement. On dit toujours cela, mais la prouve? La preuve.. Tenez! je vais respirer moi-mê me quelqucs boullées du liquide cuntenu dans cc fla con et vous verrez Que vous serez insensible. A tout... Vous pourrez me pincer, me... AI Ions done! Quand je vous Ie dis El le deultsle, pique au vif, sassied, hume et s'endort. Quand il se réveilla, le gentleman, qui n'était qu'un adioit filou, avail disparu, kii emporlant sa monlre et tous les louis qu'tl avail dans son liroir. II y a trois mois, Mmc D... achète un paia- pluic; ct comme il a plu a peine depuiscette époque, elle n'a presque pas eu l'occasion de s'en servir. Ouvvant ledit parupluie, il y a quelques jours, ct en trouvant la soie complétement usée, elle le renvoie au marchand, en I'invitant a remplacer l'étoiïe qu'il lui a fournic par une meilleurc. Le marchand s'y refuse. Et comme on lui objecte que, puisqu'on ne s'est presque pas servi du para- pluie, e'est que la soie en élait mauvaise: Madame, réplique-t-il, un parupluie s'use Eulant a rester pi iédans un coin, qu'a recevoir la pluie; et quand on veut qu'il ne s'use pas... il faut avoir soin de le suspendre au plafond, lout ouvert1!! (Tcxtuel.) Voyez vous d'ici une familie composée d'une douzaine de personnes executant les prescriptions de ce marchand de parapluies? UNE BONNE LECON, 1IECOMMANDÉE AU PUOGRÊS. Deux voyageurs, l'un de soixante ans et l'autre detrenle, suivaient la même route, se rendant a la ville de X. lis se croisèrenl avec deux frères des Écoles chrétiennes. AI<ors le vieux, liseur de mau- vais journaux et liominc de clubs, dil au jeune Voila des hommes bien dangereux lis sont la peste de la société; et cepcndanl ils élèvent les trois quarts des garcons voila le malheur. On fait bien de les remplacer par des instituteurs laïques et libres-penscurs.Four moi, dit le jeune voyageur, je ne pense pas comme vous Je suis institutcur laique, mais non libre penseur. Mon avis est qu'on doit laisser Iranquilles les fières ils no font aucun mal et font beaucoup de bien. Vous êtes bien ignorant il faut que je vous inslruise. A votre age, j'ai pensé comme vous; mais depüisj'ai étudié et réfléchi cl croyez tooi, les frères, les soeurs et les curés no font que se jouer de nous en nous parlant du ciel et de l'enfer. Vous ne croyez done ni a a Dieu, ni a l'ame, ni au ciel, ni a l'enfer? Jadfs j'y ai cru mais aujourd'hui je sais que ce n'csl que de la bêtise. Alors, après la mort, l'assassin et la victime, l'homme méchant et l'homme de bien, se- ront traités de la mème manière? Cerlainement oui; et la verlu que les cures nous prêchentétant si dif ficile, nous serions bien botes de nous gêner, puis apt és la mort, il en est de nous comme du cbien qui n'a pas d'ame. Sur ce, nos deux voyageurs se trouvant engages dans un cbemin de traverse et au milieu d'un bois, le jeune s'imagina de donner une lecon it ce mise rable et feignant de vouloir se laisser convaincre, il lui dit: Je serais bien tenté de faire comme vous, si je croyais qu'a la mort tout fut fini; mais J'ai tollement l'habitude de croire, que je ne puis m'en cmpêcher. Le vieux lui répondit: Pour perdre la loi, il n'v a qu'a faire le contraire de sa conscience: ce moyen m'a très-bien réussi- Tenez, vous m'avez converti; je veux faire comme vous... Quelle heure est-il? Le vieux tire de sou gilet une belle monlre en or el dit: il est midi. Oil! la belle montre! s'écrie le jeune; combien vous a-t-elle couté? Deux mille francs avec la cbaine. J'aimerais bien l'avoir sur mon gilet. Vous en trouverez a Paris lant que vous voudrez. Mais je voudrais celle-ciMais je ne vent pas la vendre. II ne s'agit pas de l'aclieter. Je vais vous la prendre. Vous plaisantez, sans doute. Point du tout En disant cela, le jeune se trouvant de beaucoup le plus fort, saisit son compagnon el le somme de s'exéculer. C'est done sérieux? Trés- sérieux. Je vous croyais honnête homme. Vous venez de m'apprendre que Fhonnête liomme ne vaut pas plus qu'un vóleur. Ah! mon Dieu! Et maintennnt vous croyez en un Dieu? Allons done, vite la montre, si non... Et voire conseien- ce? Vous m'avez dit que nous en avons pas ou qu'il ne faut pas la croire. Encore une fois, dépê- chez-vous, si non... Enfin le pauvre vieux s'exécute; mais le jeune ajoute en montrant son couteau: Ce n'esl pas tout. Vous iriez me dénoncer; je vais vous mettre dans l'impossibililé de le faire. A cette vue, le vieux 'ombe a genoux, lui deinande grace au nom du ciel. El (out a l'heure vous disiez qu'il n'y a pas de ciel5Vous tremblez! Vous êtes done un lacbe! Oui, j'ai peur de la mort. Et de quoi avez- vous peur? J'ai peur do l'enfer et de l'éterniló. Alors Ie jeune homme se posa devant lui, et lui dil: C'est la que je vous attendais; Oui, vous et vos semblables, vous êtes des laches. Tanl qne vous allez bien, que vous n'avez rien a craindre, vous insultez bien, ot les prêlres, vous meprisez la mor' et l'enfer, vous blasphémez tout ce qu'il y a de plus sacró; mais au moment du danger votre langage est loin d'être le même. Oui, vous êtes des laches, des indignes; c'est vous, el non les frères qui êtes les grands ennemis de la société. Tenez, voila voire montre et votre cbaine. Si j'avais eu les sentiments que vous m'avez prêchés, j'aurai gardé le tout et de plus vous aurais assassiné. Allez, et souvenez-vous que c'est aux enseignements des fiè res mes maitres, qu'cn ce moment vous devez la vie. i Le pauvre vieux lui répondit: c. C'est vrai.jevous ai lenu de bien tristes discours; j'avais lu tout cela dans de mauvais livres ou je l'avais entendu dans les clubs; el je le répélais, je vous l'avoue, centre ma conscience. Pendant qne je vous pariais si mal, je l'entendais me dire: «11 y a un Dieu el unjugemenl, un paradis el un enfer; après la mort cliacun est recompense ou puni selon ses oeuvres. van liet van den - van ui) TE Al*ME, van den A COMIXES. DF. TRÈS-BEAUX IN EEN F ZITTING van IY1ERKWEERDIGE VEFbDITIE van f 31 JUILLET 1873. 1.299.016 22.020.907 17.383.704 -40.706.1-27 38.1 27.229 314.29 7 1.314 079 730.322 40.706.127 2.993.993 1.488.394 1 557.899 8.475 26 4 Encaisse a la Banque Nationale. Placements provisoires. i> définiiifs. Déposants. KonxJs communal. Mandats en circulation. Prodiiits (les placements. Fonds de réserve. Verse.ments. Remhoiirsemenls. Solde. id. deptiis lc lnr Janvier. 30 JUIN 1874. 5 979.274 26.379.831 19 881.350 52 240.455 44.876.432, 1» 4.840.078 1.240.407 1.283.538 52.240.435 31JUILLET 1874. 2 762 475 26.881.505 19.245 820 48.839.800 4.256.538 4 510.824 - 254.286 3.714.972 44.584.604 1.563.337 1.408.321 1.283.538 48.839.800 2.691.773 2.983.601 - 291.828 3.423.144 Loudres, dile: rendue sans médèeine, sans purges et sans frais par la délieieuse fariue de Santé de Du Barry de Vingt-six ans d'invariable suceès. Elle combat avec suceès les dyspepsies, manvaises digestions, gastrites. gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, pituites, nausêes, renvois, vomissements, même en grossesse, consti pation, diarrbée dyssenterie, cojiqnes, pblbisie, toux, asthme, étoulTements, étourdissements, oppression, congestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabete, faiblesse, épuisement, anemie, chlorose, tons desordres de la poitrine, gorge, haleine, voies des brunches, vessie, foie, reins, intestins, nmqueiise. cerveau et sang. 75,000 cures, y compris celles de Madame la Dnehcsse de Castlestuarl, le due de Pluskow, Madame la marquise de Bréhan, Lord Sluart de Decies, pair d'Angleterre, etc., etc. M"" la marr/uEe de Bréhan, do 7 ans de Maladie du foie, d'estomac, amaigrissement baltement nerven x sur le, corps, agitation nerven se et trislcsse morlelle. Monsieur. Dieti soit héni! La Revalenta du Barry a mis fin d mes dix-huit annécs de soujjrunce de l'estomac et des nerfs, de faiblcsscs el de sneurs nocturnes. J. Comparet, curé. Cure N° 62,986. j/i'e Martin, de Suppression des régies et Danse de Sainl-Guy, déclarée incurable, parfai lcment guérie par la Revalenta. Cure N° 65,112. E. Pcu/ard, de Gastralgie et Vomissements. II ne pouvait plus se tehir sur ses jambes ni dortnir, agcuit toujours le creux de l'estomae gonflé. Cure N' 62,845. fll. Bollet, curé, de 36 ans d'Asthme avec étouffements dans la inrit. Cure ?V° 70,421. M. A. Spadaro, d'une Constipation opiniatre de 9 ans, C'était terrible, et des médecins hors ligne avaivnl declare qu'il n'y avail pus moyen dc le quérir. 3 Plus nourrissanle que la viande, elle économise encore 50 fois son prix en médecine. En bolles: 1/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 1 fr.; 12 kil., 60 fr. I-es Biscuits de Revalenta, en boïtes de 4, 7 et 16 francs. La llevalenta chocolatée, en boites de 2 fr. 25 c.; de 576 lèsses, 60 fr. Envoi contre bon de posle, les boites de 32 el 60 fr. franco. Uépöt chez C. Becuvve, pharm. rue dn Verger. II. Frysou, rue de Dixmude, pres. Bruges, Vve De Grave, droguiste, rue Eeckhout, 2. V. Veys-Frisou, Prés SdJacques, 2, pbarmacien. L. Algoet-Dispersyn, négociant, rue Nolre-Darae, 33. De Hondt-Gazet, denrées coloniales, rue des Pierres, 10. A. Willaert-De Smet, denrées coloniales, Grand'Place. 3. Courlrai, II. Bossaert, pbarmacien. E. Uiers, pharmacien. Furnes, E. Duclos, pharmacien. Moorslede, Ch. Bostyn, boulanger. Ostende, F. Kockenpoo, pharmneien, rue Louise. Roulers. II. Boutens-Degeest, pharmacien. Tieghem, G. et V. Moreels. Illicit, J. Burssens-Byl, pharm. et chez les pharmaciens et épiciers, Dn Barry et Ce., Boulevard du Nordj\" 19, Bruxetles.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 3