MEUBELS, BOOMEN D'UNE BELLE PROPRIÉTÉ EEN HUIS REVALENTA ARAB1CA OR MES, HERBERG, MAISON, PEUPLIERS DU CANADA, EEN HOFSTEDEKEN, ESSCHEN, FYNE IEPEN, HOFSTEDEKEN, NOTARIS CAPELLE lllEHERS E\ HOLLANDERS, 3 M AISONS, VILLE DE WERVICQ, A c o tl i s: s 3 MELKKOEIEN, ABEELEN, (MAMS JOUETS D'ENFANTS, •hes d'inslniclion. Mais cliaque fois qtfune lutte est eniragóe soil dans des elections poli- liques, soit dans des discussions parlemen- taires, il est sonverainement intéressant de conslater quels sont ceux qui font des vceux dans un sens on dans un autre, quels sont les personnages qui apportent leur concours pour assurer Ie triomphe des lutteurs des- cendus dans l'aréne. Dis-moi qui tu itanles, je dirai qui tu es. Ce vieux principe est toujours jeune. Les sympathies font explosion a vee la rapidité de la foudre, el les afiinilés agissenl avec la secrete puissance des lois irrésistibles de la nature. C est aux libéraux honnêlesqiie nous voti- drions faire comprendre celte vérilé. Leur notnbre diminue chaque jour, car parlout les mauvais elements prennent Ie dessus, et il devient évident que Ie libéralisme tourne a Tétat de secte animée des instincts les plus pervers. C'esl pour cela que Ie courant du mal se dirige parlout vers lui, et que toutes les eaux boueuses vont se déverser dans ce cloaque. Nous enlendions, il n'y a guére. dans une petite ville de province, dit Ie Franc de Brugesracoriler quels efforts v combine Ie libéralisme local pour s'y preparer un pro- chain triomphe; dans tout ce qui nous étail dit, nous voyions s'appliquer celte loi des alïinités, a laquelle les hommes obéissent aussi bien que les choses. Le grand moyen de propagande libérale, le moyen donl on se promet un infaillible succes, eest la démoralisation la plus déver- gondée, aflichée sans aucune bonte et prati- quée avec une persistance vraiment sa tan i- que. On y organise la débauche dans toutes les formes, el sous prélexle de fétes popu- Jaires, on y inslalle l'orgie en permanence, de grands seigneurs libéraux, (qui potest capere capiat.escomplant d'avance le béné- fice de ces scandales, ne rougissenl point d'en payer la carle et se vantent d'en ètre les patrons. Du resle, les mèmes agissements se pra- tiquenl parlout. Plus le thermoinétre reli- gieux el moral baisse dans une localilé, plus le thermomèlre libéral s'y éléve. C'est ce que les faiseurs n'ignorent point. Cel instinct est le génie qui les inspire, lis n'en oulau- cun autre, mais ce mauvais génie est puis sant coinme l'enfm- et inépuisable dans ses méchantes inventions. Voyez Ia presse. C'est un noble apostolat sans doule que de mettre une plume savante el facile au service d'une sainte cause. Mais par conlre, quelle déplorable mission s'arro- gent ces malfaiteurs de plume qui inondenl les trottoirs de leurs produits malsains! Or, ceux la aussi il's suivent la loi des alïinités et tons leurs méfaits conspirent pour le triom phe du libéralisme. Comme les animaux immondes que I'on sail, ils out le flair pour cette truffe-la. Aussi, dans les jours de gran de lutte, Ie libéralisme ne dédaigne point ces auxiliaires qui se précipitent a son se- cours. II voudrait bien, après le combat, les répudier quelquefois; mais malgré ce lache renoucement, ces irréguliers, qui ont brave- menl donné, viennent réclamer Ie bénéfice de leur dévouement; el révélent alors une fois de plus, de quel cóté les portent leurs instincts naturels. Trisle spectacle, mais plein de salutaires enseignements! Puisse-l il ét re compris par ceux qui le voienl se passer sous leurs yeux. Témoins de l'applicalion fatale de celte loi générale du monde, ils apprendraient bien- tól, en voyant ceaffinités révéler leur action, quels sont les principes qui sauvent et quels sont ceux qui ruinenl. Les conclusions pra tiques suivraient. Le Journal de Bnixellesaprèsavoir résu mé la nouvelle a sensation relative a la suppression du remplacement militaire, don- née (tar la Meuse, dit: Nous avons done un men«onge do plus a ajouter au bilan déja si lourd des impostures du doclririarisme. Le service personnel ne deviendra done pas, par les dericaux comme se bate de l'affirmer I'exofficieux le principe du recrulement en Belgique. S0CIÉTÉ DE LA CONCORDE. Programme des morceaux qui seronl exécutés, le Jeudi b Novembre 1874, a 7 1/2 heures, par la Musique du lr Régiment de ligne, sous la direction de M. Ch. Simar. Freyscbülz, ouverture, (Weber). Fan- taisie pastorale, pour saxophone, (Singelée). Le carillon, polka, (Pruhling). Fan- laisie sur Fop. les Montenegrins, (Limman- "erF Rendez vous de chasse, (Rossini). s>turm! galop, (arr. Mornard). F AITS DIVERS. VENDITIE MAANDAG, 9" NOVEMBER 1874, om 10 uren's morgens en 2 uren na middag, ten sterfhui ze van den eerw. heer abbé Madou, in de l'latteelstraat, N' 44, binnen Ypre. Door liet ambt van den Notaris VANDERRIEERSCH, te Ypre residerende. KANTOOR VAN DEN te Watoii. 1° Op ïloiitlci'tlag 5 Slovciii- l»er IS5-1, om 1 ure na middag, te llaringbe, bij liet llaandekot, ter hofstede gebruikt door Benoit Top, VERKOOP1NG VAN 41 koopen En 8» «p ITlaaiitlag S3 lïovcm- lier f §9-1, om 1 ure na middag, te Crombeke, ter scbaaphofstedc be- xvoond door de weduwe van den lieer Deblock, VERKOOPING VAN 54 koonen ALLERHANDE DOOMEN. Om verdere inlichtingen zich te begeven bij voornoemden Notaris CAPELLÈ. Ruchtbaarheid. Vcrkoopin gen EN B0SCHTA1LLIE, MAANDAG 40" NOVEMBER 4874, om 42 uren middag, op het hofste deken gebruikt door de weduwe Per- sooue, gelegen te Woesten, wat oost van de plaats, 65 koopen schoone Iepen, Abeelen, Popelieren en Eiken Boomen. EN DI NS DAG- 47'MYO V E M B E R om 44 uren voormiddag, op de hof stedekens rcspectivelijk gebruikt door Amand Debeer en de weduwe l an- acker, gelegen te Reninglie, langs de Pershofstraat, 94 koopen schoone harde en zachte Iepen, Wilgen, Esschen, Abeelen, Kar nen, Popelieren en Eiken Boomen, waaronder een allerschoonsten EIK. van 3 meters 55 centimeters omtrek. Onmiddelijk daerna de Jaillic met dc Plantsoenenstaande op eene par- tie bosch, deelmakende van laatstge meld hofstedeken. Al door het ambt van den Notaris VANDERIHEERSCH, te Ypre. ETUDE de H YIiSTEKE, A WEB VICQ. VENTE PUBLIQUE consistant en avec leur Fonds, Terre et Verger d'une contenance de 3d a res 35 ccntiares, située en la rue des Pigeons. avec 7 arcs 08 ccntiares en Fonds, Cour et Jardin, a Wervicq, ruc Verte, occupée par Reynaert. Portee et fr. 7,700 JEUDI 42 NOVEMBRE 4874, a midi précis, 4" Prés de la ferme Collie-Iluyghc, 2° Prés de la ferme Mahieu-Veys. aux chcmins de Messines. SO marches de fi'ès - beativ A VENDUE. Une MAÏSON avec arrière-batiment située rue des Pigeons et deux au tres MAISONS construites sur la cour, éeanguerie, terre arable et verger, le fout située a Wervicq, y repris au cadastre sous les Nos 526a, 529a, r., c, D et 530a de la section C, pour une superticiedc 34 ares 37 ccntiares; te nant en bloc dn levant, au sieur Cb.-L. Berglieman Tai 1 lieu et les soeurs Catteau, du midi aïix diles soeurs Catteau, a la rue des Pigeons et au sieur Vroman, du couebant au dit Vroman et a M. Courouble et du nord au ruisseau St. Jean. La Maison sise rue des Pigeons et la terre sont louées a Jean Vandamme au loyer hebdomadaire de 3 francs, les deux autres m ai sons sont occn- pées par Ch. Verhitte et Ch. Rreyne au lover hebdomadaire ehacune de fr. 4-50, le verger est en régie. Cette propriété est trés avantageuse- ment située pour 1'erection d'un éta blissement iüdustriel. SKA A C K N s MISE-A-PRIX: MERCREDI 44 NO VEMBRE 4874, a l'estaminet la Bourse d'Or, rue Obscure, a Wervicq. ADJUDICATION: MERCREDI 25 NO VEMBRE 4874, a l'estaminet St. Geor ges, rue de la Cigogne a Wervicq. Chaque fois a cinq beures de re- lcvée. Pour tousrenseignementss'adresser au Notaire VUYLSTEKE, a Wervicq, chargé de cette ven te. LÜNDI 46 NOVEMBRE 4874, a midi précis, dans les vergers de la ferme-cabarêt St-Ivon, a Warnéton. VENTE PU BEI QUE propres a lacbarpente, la menuiserie, ie citarronnage et autres usages. Studie van den NOTARIS SIMPELAERE, te ASvcrin^iicm. 4»DONDERDAG 5 NOVEMBER 4874, ten 3 ure na middag, in dc te verkoo lden herberg den Zwarten Leeuw, twrwijainss VAN DEZE WEL BEKALANTE met 9 aren 45 centiaren Erve, ter dorpplaats van Houthem, gebruikt door Vandamme-Bartholomeus tot 4 Mei 4875. 2" VRIJDAG 6 NOVEEMBER 4874, ten 42 ure 's middags, te Lampernisse, ten huize van den heer Detollenaere, INGEOOGSTE VRUCHTEN, Erve te Alveringiiem, lussehen de plaats en Forthem. Terstond aanslag. B. PAK TIE ZAAILAND, bij de Hoogestraat, te Alveringhem, groot 94 aren 60 centiaren. Aan stonds aanslag. C. WOONHUIS, van 2 stagien met 2 aren 27 centia ren Erve, ter dorpplaats-Nicuwstraat, te Alveringhem. Terstond aanslag. D- Wel bebouwd en beplant HOFSTEDEKEN, met 3 hectaren 54 aren 6.6 centiaren Erve, te Stëènkerke, gebruikt door Leopold Ghyselen, mits 400 fr. 's jaars tot 4 October 4876. En E Eene goede VET WEIDE, groot 2 hectaren 57aren 90centiaren, gelegen te Wulveringhem in den Oerenbrouk. Aanstonds aanslag. En 4' DIJNSDAG 4 DECEMBER 4874, om 4 ure na middag, venditie ter hofstede van Charles Luyssen, en op eene partie land daarbij, te Alverin ghem, niet verre van den klarenwal, van 72 koopenschoone Abeelen, Olmen, Wilgenen Eiken HOOJfffEA. U i T DER HAND TE KOOPEN: met ERF, SÏOK en PAOEtT, gelegen te HONDSCHOTE. Zich te bevragen by den drukker dezer. .1 A A 15 A 8 A U V0ITURE Cll eenige 1YIEMAGIEG0EDEREN. STUDIE Notaris MAllIEt1, te A pre. 1° OVERSLAG ZATERDAG 7 NOVEMBER 4874, 2 uren nanoen ter herberg den Ohfanl, te Ypre, van te /(Oiniplickc, groot volgens titel 7 11. 76 A. 70 C., ter noordzyde van den keiweg dezer gemeente na de herberg de Wipzael, verdeeld in zes koopen, gebruikt door de gebroeders Claebbout, tot 1" Oc tober 4876. Maer in mus ingesteld 22,000 fr\ 2° DONDERDAG 49 NOVEMBER 4874, s middags te beginnen, OPENBARE VERKOOPING (»3 koopevi EN I SCIIOONEN EIK, staende op d'hofstede-landen gebruikt door Morrent te Boesinghe, west aen den steenweg van Ypre naer Pilkem. 8 maenden tyd van betaling.mits borg. Etude de M LANNOY, NOTAiRE, 3" VRIJDAG 20 NOVEMBER 4874, om 3 ure na middag, ter herberg-brou- werij de Rhetorica, te Alveringhem, openbare verkooping A. GOED EN WEL GELEGEN met. 2 hectaren 98 aren 40 centiaren DEPOT: D'HUiTRES ANGLAISES, lous les jo urs frais d'Ostende. Iloitiards, Tnrbots, $n.tamon et tout autre Poisson frais pour diners. B H E Z LA V c M E R A IN I MARCIIÉ AU POISSON, YPRES. Fèles de St-Martin et de St-Nicolas. EXPOSITION H. DESRAWAULT-FRANgOIS, RUE DE CASSEL, 9, (prés du Marché au Bcurre), A pres. MARDI 10 NOVEMBRE 4874, a 5 heures du soit', a l'estaminet le Café Royal, a Wervicq, Adjmlieatlon definitive i» Le mouvement de la population de Paris, en 1873 a présenté, les résultais qui suivent: II est né 28,121 garqons et 20,816 fit les. Total 34.937 naissonces. II est mort: 43,872 personnes. Difference en faveur des naissances: 9,003 individus. Les 34,937 naissances décomposcnt ainsi: 39,371 enfants legitimes et 13,360 enfants naturels. Plus prés de la moitié que du tiers! Il a élé contracté 18,948 mariages. On lit dans la Hainaut: La nouvelle d'un accident affreux, épouvantable, nous arrive de Braine-le Comte. Avant-hier, il avail a Braine tin joli bat de société. Ces deux soeurs de M. le notaire Saliez, s'y étaienl rendues, accompagnées de leur mere et de leurs frères. Pauvres enfants! A leur retour, la servan te était cliouchée. Cette fitte avail placé une lampe dans la corridor ou sur la première marcjie de I'escalier. La plus jeune des deux soeurs s'en approclia imprudemment. Le feu prit a sa robe légère: a I'instanl même elle fut enveloppéede flainmes! Son ainé se précipi te a son secours: elle étreint sa soeur, elle veut I'entourner d'un cliale: elle flam be bientót elle niérne, el s'enfuit vers la pompe. La pauvre mère épeidue, couit do I'une a I'antre et se fail de graves brulures en arracliant leurs vêlenients plcins de feu. Toutes trois ponssenl d'indófinissables cris d'angoisse el de désespoir. Un de leurs frères. qui él ail déja en haul, se jette dans I'escalier, tombe jusqu'au bas et se blesse. M. le notaire Saliez, qui habile une unison contigue, croil qu'il y n des malfaiteurs cliez sa mère el arrive avue son fusil. Belas! les deux pauvres jeunes filles se tordaien1 sur le sol dans les convulsions de I'agonie! Que ceux qui out des soeurs ou des filles se représentunt l'horreur de cetie scène. L'une des demoiselles Saliez a succombé hier, I'aulre est a toute extrémiié. Jamais soiree de plaisir n'aura eo pour une familie des suites plus lugubres. Cet accident a causé dans la ville de Braine-le-Comie.oii la familie Saliez est si justemenl considérée, une vérilabie consternation. Une lettie de Braine nons annonce la mort de la seconde demoiselle Saliez el ajoule que la mere est en grand danger. T E van zeer schoone en zware WOESTEN EN 11 E N 1 N G H E GNATION DE TKÈS HEAUX iioopdilg VS9J1 v.-in don van A COMIXES. van: de O A IV "T" r~ A "T" I Q rendue s.ins médccine, sans purges et sans frais I t. fi\ L/LJ vD Pai' 'a délicicuse farine de Santé de Du Barry de Londres, dite: Vingt-six ans d'invariable sttecès. Elle combat avec succès les dyspepsies, mauvaises digestions, gnstritcs, gastralgies, glaires, vents, aigretirs, acidités, pi111 iles, nausées, renvois, vomisscments, même en grossesse, consti pation, diarrhée dyssenterie, coliqttes, pbthisie, toux, astlime, étouiïemenls, étourdissements, oppression, congestion, névrose, insoninies, mélancolie, diabete, faiblesse, épuisement, anemie, chlorose, tons désordres de la poitrine, gorge, haleine, voies des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse. cerveau et sang. 715,000 cures, v compris celles de Madame la Ducliesse de Castleslimrtle ilnc de l'luskow, Madame la marquise de Bréhan, Lord Stuart de üecies, pair d'Anglelerre, etc., etc. M. Johnen Gnisse, de Couiet (HainatU) nous écrit: Si je n'avais pas fait usage dein lievalenta, qui m'avail élé prescrite par les médécins, je n'existerais plus maintenant. d'une bette et spacieuse Cure N° 415,31 La femme de M. le maire de Volded'une irritation pulmonaire avec crachement de sang et toux opinidtre. M. le capitaine Allend'épilepsie. Cure A'° 36,212. Cure A'° 40.842. Af""' Marie Jolj/, de 150 ans de ronstipulionindigestion, nervositéinsoninies, astlime, toux /lutus, s/iasnies el nausées. Cure 7V° 63,476. AI. le curé Comparetde dix-huit ans de Gastralgie, dc souffrances de l estomac, faiblesse des nerfs, et sueurs nocturnes. Cure 7V° 47,422. Épuisement. AI. Puldwin de dèlabrement le plus complet, de paralysie des membres par suite d'excès de jeunesse. Cure i\° 76,448. Verdun, 16 Janvier 1872. Depiris 15 ans je sou/frais de maux dans le cóté droit et dans le crcux de l estomac, de luvaises digestions, etc. Je n'liêsite pas d vous certifier que voire Revalenla ma sauvé la Erkest Catté. ma vie. Musicien au 63" de ligne. 5 Plus nourrissanle que la viandc, elle economise encore SO fois son prix en médecine. En bolles: 1/4 kil., 2 fr. 23; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 60 fr. Les Biscuits de Kcvalenta, en boites de 4, 7 el 16 francs. La lievalenta chocolatéeen boiles de 2 fr. 23 c.; de S76 tasses, 60 fr.Envoi contre bon de poste, les boiles de 82 et 60 fr. franco. Dépêt chez C. Becmve, pharm. 8" Nertre.r. II. lrvsou. rtte dc uepot cnez u. neciuve, puarm. rue du Verger. II. l rvsou, rue de Dixmude, 4 pres. Bruges, Vve De Grave, droguiste, rue Eeckhout, 2. V. X eys-l risou, Prés St Jacques, 2, pharmacien. L. Algoet-Dispersyn, négociant, rue Notre-Dame, 33. De Hondt-Gazet. denrées coloniales, rue des Pierres, 10. A. Willaert-De Smet, denrées coloniales, GrandI Place. 8. Coitrtrai, H. Bossaert, pharmacien. E. Diers, pharmacien. Inrnes, E. Duclos, pharmacien Moorslede, Ch. Bostyn, boulanger. Ostende, F. Kockenpoo, pharmaeien, rue Louise. Roulers II. Houtens-Dcgeest. pharmacien. Tieghem, G. et V. Moreels, rhielt, J. Buyssens-Bvi. pharm et chez les pharmaciens et épiciers, Du Barry et Cei, Boulevard du Nord, N" 19, Bruxclles.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 3