EIGENDOM,
BOOMEN.
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STOELRECHTEN
dominent cl élcndenl sur celle cilé une
ombrc malfaisanle. Cela effraie lous les
hommes qui obscrvenl cl médilcnt, el nous
ne Ie craignons que trop, la grande loi
provideii!ielle du monde, la loi de juslice
s'accomplira cliez nous comme elle s'esl
accomplie dans on pavs voisin: le mal
appelle le malheur, el ainsi que le disail le
paganisme lui-même, la juslice suil tonjours,
d'un pas ienlquelquefois itiai.-. sur, Tiuiquilé.
(Pair ie.)
PORTEE DE i:ABSTENTION ELECTORATE
EN ITALIË.
On parail avoir remnrqué en Europe l'ali-
slention des deux liers des élecleurs ilalieas
par suite d'un mol d'ordrc; cc délaissemenl
du scrutin n'a pas élun acte d'indifférence,
mais un acle calculéel réfléclii. C'élail com
me un refus de se faire representor el de
concourir a Oeuvre gou vernemen tale. Le
pouvoir intronisé a Home par la violence se
trouve ainsi frappé d'isolemenl. C'est le plus
mes notaries a l'école du marquis de Sade ei
du Compere Mathieu. Aprèsquoi, les Calons
doclrinaires prennenl a parlie la presse ca-
iholiqueel lui demandenl «ce qu'elle pense»
de l'exploil mis a charge de Becquél.
En ce qui nous concerne, noire réponse
ne se fera pas atlendre el nous disons. en
admellanl que les fails donl il s'agil soienl
vrais:
Que Armand Recquel est le digne émule
d'un personnage qui, il y a quelques annóes,
fil beaucüup par Ier de lui: de M. Armand de
Perceval, le représentant libéral de Malines
ei Pun ties hommes les plus marquanls du
libéralisme bon leint.
Nous dirons encore que si compléte que
soil, au poinl de vue des fails, la ressemblnn- gjsirement.
de la somme de 200 fr.dans la caisse du
bureau de l'enregislrement.
Ces vcrscments sont recus a partir du 2
Janvier, etjusqu'au 22 du méme mois pour
lont délai.
La somme de 200 francs ainsi versée,
resteacquise a lajcaisse de remplacement si
le milicien a ohlenu un uuméro non suscep
tible d'appel, ou si pour uno cause quelcon-
que, il estexempté du service.
Nous insislons sur ce poinl que lout
milicien qui vcut se faire rem placer, doil
avant le lirage au sort el dans le délai
rigoureusemenl fixé du 2 au 22 Janvier,
el'feciuer le versemenl d'une somme de 200
francs dans la caisse du receveur de l'enre-
ce enlre ces deux moralistes, il y a cepen-
dant dans la genése de leurs exploits, une
difference radicale.
On sail que les miliciens qui ont fail ce
versemenl el que le Département de la
guerre ne peul remplacer avanl le D'Octo-
grand désagrémenl que puisse éprotiver on i vo,ls nriêlez-vous?... Nous disons. \ous el
gouvernement qui se itfonnc dovant le monde
comme l'expression de la volonté nationale.
L'un, l'Armnnd de la gauche parlemenlai- j bre, sont rernis en possession des sommes
versées par eux et ils ont a pourvoir eux-mè-
mes a leur remplacement dans le délai de
trois mois.
re, a eu ie droit de dire a ses amis qui lui
reprochaient ses agissements: De quoi
€lirentiq etc iocahs
THEATRE.
Quel theatre! Quel theatre!
C'est dans le Journal de Liege, fort pen
suspect de rigorisme clérical, que nous
relevons celle exclamation pleine d'indigna-
tion et de mépris.
Elle lui est inspirée par une piece qui fait
les dél ices des Beiges du progrès, a prés
avoir longlcmps diverti les Parisiens de la
decadencecetle piece a nom: la jolic peri-u-
Or, voici comment la feuille liégeöisc
apprécie cetle offenbacchanalc
La piece ne mérite pas méme I'honnenr
d'un examen. Elle n'a pas un mot henrcux,
un seul, qui puisse 1'innocenler de ses
malsaines audaces. Quant a la mtisique,
n'en parlons pas. Exisle-t-elle settlement?...
C'est de I'Offenbach dilué, fatigue, afl'adi, de
I'Offenbacb mourant, de I'Offenbach mort.
Le moment est venu de prier pour lui
Qu'on dise encore, après cela, que le
théatre contemporain est unc distraction
fort innocente et qu'on v va pour la belle
litlérature et pour la belle musiquo!
Ft la Jolic Parfurneiisc ne fail pas excep
tion dans Ie répertoire des inepties rnusi-
cales et autres. Voici comment le Journal
de Liege lerminc la clironique théatrale a
latpiellc nous cmpruntons les lignes qui pré
cédent:
On annonce pour nprcs-demain M"K
Celine Chaumont dans la Pelite Marquise,
autre ïnsanité, mais rénssie celle-ci. Et le
public applaudira. Si I'on nous rendaii /'In
genue, piece dans laquelie Dieudonhd
est censé seconder J/"10 Chaumont et oft d so
montre par paranthèse bien autrentent fort
qu'elle, le public applaudirait encore. Et ce
pendant celle piece it est pas settlement yru
veteuseelle est bien pire que cela, elle est
cynique.
Oui, le Journal de Liege a bien raison de
le dire: Quel théatre! Quel théatre!
Et nous ajouterons: Quel public! Quel
public!
Les gueux sont en licsse. Un pretrechassé
de France pour son immoralilé et accueilli
grace a de faux papiers et a son hypocrisie
par Ie cVergé d'Anvers, scrait tombé enlre
les mains de la juslice pour des fails immo-
raux.
II va sans dire que la presse libérale nous
jetle cette soutane souillée enlre les jambes.
C'est dans les leurs qu'elle s'esl jetée ct qu'elle
restera. Les actcs que I'on reproche a cc
rénégat desautels, sont des actes purement
libéraux, tels que les excuse Ie libre examen,
leis que les tolére la morale indépendante,
(els que les glorifienl par des candidatures,
les bons doctrinaires.
Le libéralisme a droit de se réjouir, car il
a fail une nouvelle recrue. il a gagné un
nonvel adepte. Le diable aussi.
moi, que I homme a le droit d'agir dans la
plénilude de sa raison indépendante, et que
la morale est libre. Or, j'ai agi dans la plé
nilude de cette raison indépendante: j'ai
pratique la morale a la facon des Asiatiques, j
des Grecs, des Remains de la uécadence, de i
beaucoup de nos fréres d'avanl el d'aprcs la j |era,aux gares d'Anvers el de Bruxelles, pour
la ligne enlre les deux villes, des coupons
CJIEM1NS DE FEB.
Une innovation dans le regime des clie-
mins de fer,décidée au moins a litre d'essai.
A dater du 1' Janvier prochain, on débi-
Révolution frartcaise, el vows n'avez rien a
me reproeher. Gémissez sur rnon impruden
ce, soil; mais au moins cessez de faire de la
morale, car, je Ie répéte, pour vous comme
pour moi, la morale est chose libre. nous
sommes les hommes de la morale indépen
dante, cl vous n'avez ni litre ni qualité pour
me fustiger et me renier.
L'autre Armand, au contraire, celui que
les journaux doclrino-gueux font émerger
de nos sacristies, atïolé de lubricilé, n'a pas
le droit de lenir ce langage.
S'il lui resle une lueur de raison et de
conscience, il doit avouerqu'il a odieusemenl
el misérablement trahi sou Dieu, sa foi et
ses veeux; il doit avouer que pour arriver
au dernier degré de l'abrutissemcnt, il a dü
s'affubier du masque de Tarlufe, décidé a
appliqner les principes de la morale indé
pendante.
LES DEUX ARMANDS.
Un prêlre, le sieur Armand Recquel, ori-
ginairedu Calvados (France), chassé de son
pays pour immoralilé et réfugié a Anvers.se
serail, d'après les feuilles doctrino gueuses,
ces jours derniers, rendu coupable d'actes
dénotanl un cynisme et une corruption
inouïs. La juslice, tonjours d'aprés la version
doctrino gueuse, serail saisie de l'affaire el
Recquet aurail lout avoué avcc un aplomb
stupéfiant.
Tel est le fail que raeontent ce matin nos
adversaires avcc moult details dignes de plu-
sans date el indéfiniment valables. Cescou-
pons, qui devronl êlre pris» par série de
vingt, seront de trois classes et ou simples
ou aller el retour. Pour éviter la fraude, le
voyageur, lörsqu'il vond ra se servir du cou
pon, aura a le présenter au garde de la salie
j d'atlentequi y appliquera le timbre du jour.
Les billets d'aller et retour ne seront eslatn-
pillésqu'a la gare de départ.
1 II serail superflu d'insister sur les facilités
de lout genre qu'une telle innovation doil
procurer aux voyageurs. C'est en quehpie
sorte le limbre-poste appliqné au service du
chcmin de fer. Nul ne sera plus condamué a
faire queue aux gnicbets el ceux qui y pren-
dront leurs billets seront en petit nombre;
le voyageur étranger pourra se pourvoir de
sou coupon a l'hólel; les personnes qui font
des voyages fréquents, mais non pas assez
rapprochés cependant pour prendre un
En d aulres termes nous disons a ceux qui abonnement, pourront se pourvoir d'une
nous interpellent. j sêrje entiére; d'autres pourront s'associer
Gardez vos Armands: ils sont vótres el pour en prendre une, surtoul aux jours de
vousavez lort de les excommunicr lorsqu'ils mouvement exceptionnel, et cela avec d'au-
deviennent gênants ou compromettants. j tant moins de risque de pertes que les cou-
Prenez égalemenl les Armands que de pons, comme les limbres-poste, équivau-
loin en loin, le diable fait surgir dans les
rangs catholiques, car ils sont vótres égale
menl et la morale indépendante a le droit de
les revendiquer, comme la morale catholique
a le droit et le devoir de les jeler par-dessus
bord el de leur dire: Je ne vous connais pas.
Aescio vos!
Mnlndroile comme d'habilude, la presse
doclrinó'-gueu'se s'cmparc du fail de morale
indépendante donl il est question plus haul
pour d'énigrer la récente réforme de la loi
sur la detention preventive. Grace a cette
réforme, le coupable pourra, dit-elle, filer
a son aise et aller officier aillenrs.
Nos adversaires oublient sens doute que
lorsque M. de Perceval se rendit célébre, la
loi sur la detention pfévenlive dom ils dé-
plorenl I'abolition existait, ce qui njempécha
pas M. de Perceval de filer a son aise et
d'aller officier aillêurs a Paris enlre aulres
cites.
Détail édifiant, et qui prouve qu'crilre
fréres el amis on n'est pas tonjours auslére:
il est par douzames de Be ges qui out vu
l'ex depute de Malines'arpenlcr l'asphalle du
boulevard des Capucines. et allant déjeuner
joyéuscmenl a la Maison Dorde ou au Café
Anglais avec d anciens corébgionnaires po-
liliques. Rion plus, Ie méme M. dt: Perceval
fut pendant longtemps le correspondant pa-
risien de journaux libéraux beiges. II vengca
méme plus d'une fois la mora li té publique
oulragée. (Journal d A avers.)
dronl a de petiles coupures de billets de ban-
que el seront toujours négociables.
L'innovation est done excellente au point
de vue du public. L'essai s'en fera sur la
ligrie d'Anvers a Bruxelles a daler du 1'
Janvier prochain el si, après un certain
temps, la pratique n'y vient pas déceler des
inconvénienls graves, le systéme sera étendu
a lout le réseau deschemios de fer de l'Etal.
La comité Carlisle de Ia Flandre occiden
tale vient d'effectucr un nouvel envoi de ma
teriel cl d'urgent, au profil des blessés espa-
gnols, suns acccplion <le parii. De rechef
nous recommandons eelte oeuvre de charilé
a la hienveillance de nos lecteurs. Les besoins
des blessés sont incalculables; et mérilent, a
tons égards, les sympathies de lout ami de
lTiumanité.
Par arrétés royanx du 215 Novcmbre, sont
nommés dans les communes ci-après:
Isoghem. Boufgmeslre, M. IJ. DeMuc-
lenaeie, en remplacement de M. F. Ameye
de Gheus, décédé.
Comities. Echevin, M. D. Soele, en
remplacemenl de M. P. Piamont.
Ml I.ICE.
C'est du 1ir au hl iVcembrc prochain que
les jcuties gens nés pendant Pannée 185b
et qui sont appelés a faire parlie de la levée
de 1875 doiveiit se faire inscriie cbez les
commissaires de police de leurs quartiers
respeclifs pour concourir au lirage au sort
de la milice.
Nous rappelons que les parents ou luleurs
de ceux; de ces jeunes gens qui veulcnt se
faire remplacer, doivenl faire parvcnir avant
le 1CI' Février prochain, au département de
la guerre, leur reqnête, a laqnclle ils sont
tonus de joindre unc quittance de versemenj
Par arrèté royal du 23 Novcmbre, la dé-
eoration civique, inslituée par l'arrèté royal
du 21 Juillet 1867, est décernée, savoir:
1° La croix de l,c classe a M. Cafmeyer,
insliluteur communal a Sle-Croix, et a M. P.
Van de Wide, idem a lloogblede;
2° La croix civique de 21'classe a M. II.
Malfait, ancien insliluteur communal a Rou
ters.
médecin vétérinaire, répond par la relation
d'un cas d'empoisonnement de vingl-deux
chevaux qui avaient rnangé du vieux foin
moisi; trois d'enlre eux ont succombé a
l'inloxication; les aulres, grace a des soins
intelligents, ont pu êtresauvés, aprés des
soulfrances alroces, des coliques intenses.
Le fait rapporlé par M. Bonnet est une
nouvelle et sévére lecon qui doit meltre en
garde et les cullivateurs et les administra
tions; c'est un enseignement dont ils doivenl
tirer profit, car l'empoisonnement des
grands animaux domestiques par les nourri-
tures de foins, de pain, est loin d'etre un
fail rare, mais il est malheureusernent peu
con nu de ceux-Ia qui sont le plus interesses
a le connaitre.
II arrive cependant fréquemmenl, surtoul
quand la récoltea étéconlrariée par les pluies
que I'on a du foin moisi ou du moins pous-
siércux. Dans ce cas, il n'est pas bien
difficile de secouer ou battre fortement les
fourrages trop vieux ou moisis, precaution
qui souvent suffit pour corriger les qualités
nocives des foins avariés.
Scheurc en verdere Gebouwen, dien
stig voor allen koophandel, wel gele
gen in liet kanton
Rousbrugge-IIaringhe,
met onder bebouwden grond, liovc-
nierhof, weide en Zaailanden 5 hec
taren 73 aren 51 centiaren.
De liefhebbers kunnen gezegden
Notaris ten zijnen kantore vinden bij
zonderlijk den Donderdag voormid
dag.
Par arrélé royal du 2b Novembre, la dé-
mission de M. J. Bullc, <lc ses functions de
juge suppléant a la justice dc paix du canton
d'Oostroosebeke, est acceplée.
AVIS AUX DÉTENTEURS DE BÉTAIL.
Pcul-on faire impunémenl consommer le
foin moisi?
A cette question d'une importance capilale
pour les délenleurs de besliaux, M. Bonnet,
BURGERSTAND VAN YpEREN,
Kantoor \;tn den
C1FKLLK,
TE WAT OU.
Ici'isachting
ST-MAARTEPJS KERK,
binnen Ypre.
MAENDAG, 30 NOVEMBER 1874,
otn 2 uren namiddag, in ecne der
zalen van de gu'oole Sacristie der
gemelde kerk; ingevolge de voor
waarden berustende ten kantoore
van den Notaris landcrinceiscl»,
binnen Ypre.
O pen bat -e vei koop in y
v;in
POPULIEREN EN IEPEN
Op WOENSDAG 9 DECEMBER 187-4,
om 12 uren 's middags le beginnen
zal den Notaris VAN EECKE, le Yperen,
ten verzoeke der Ikeren leden van de
Bestenditje Deputatie van Westvlaen-
deren onder de voorwaarden alsdan
te meiden, openbaerlvk verkoopen:
1° 19 POPULIEREN BOOMEN, staen-
de langs den steenweg van
Yperen op Dixmude tusseben
de stal ie en de plaets van
Bocsinghe.
2" 123 POPULIEREN BOOMEN, langs
den Ypervacrt bv de Brug
genaemd de Wesibuis.
3° 220 IEPEN eu PUPUL1EREN, sfaen-
de langs genaemden steenweg
en dc landen der hofstede het
Noord hof, tusschen de eersle
en tweede pael, op het grond
gebied van Yper.
Deze hoornen zvn meestal dienstig
voor kloefkappers en timmerlieden
en eenigc voor brandhout.
De vergadering by de statie te Boe-
inghe. Ruchtbaerheid.
COMMUNE DE PLOEOSTEÈRT,
section dite: H Am EAU.
1° Sur la ferme occupéc par le Sr
Pierre Dedier, le long du chemin dc
Neuve-Eglise a Warnóton, a peu de
distance des pavés dc Neuve-Eglise a
Mcssincs ct dc Plocgsteêrt a Messines.
2" Sur une pelite ferme a proximité
de la précédente, occupéc par la veu-
ve Charles Van EeclchoUtle,
Di j zon derc Bekendmak i ng
Den Notaris CAPELLE, te Watou, is
belast met dc verkooping van eenen
SCIIOONEN
bestaande in voorIreffclijk Woonhuis,
A FINES FEUILLES ET AUTRES,
réputés les plus longs et; lesplusbeanx
dés environs, avant, de 2 m. a 2 m. 50
c. de circonférence.
16 I RENES, dont, plusicurs gros,
3 BEAUX CANADAS,
2 SAULES.
et 1 B01S-BLANC.
eti SO jifti'Oons.
Ces Arbres conviennent. a la grosse
charpente, aux nacejiers, menuisiers,
chairons, etc.
A VENDRE,
le JEU Dl 10 DÉCEMBBE 1874,
a onze hem es du matin, avec long
terme dc paiement, jiourvu d'établir
caution.
La a ente comnicneera sur une pa
ture occupéc par Ie sieur Dedier, a
proximité de la ferme.
Le Notairc splitsssv Neuve-
Eglise est cliargé de la recette dc
cetle vento.
v i<: Nt r>- a rs' a ii
SINT-JAM,
gehucht, Pilckem.
Op aanzoek der hceren Leden van
het Armbestuur der gemeente Sint-
Jan, zal den Notaris Van fieefec,
te IJperen, op MAANDAG 14 DECEM
BER 1874, om 1 ure namiddag, open-
baarlijk verkoopen, 30 koopen lang-
stemmige en zware Populierendien
stig voor kloefkappers, timmerlieden,
enz., staande te Sint Jan aa ijk imi.ckiol
MEUSE.
Le riatltj Telegraph dor.ne le rérit d'une
visite f.iile lu semifine dernièie par les membres de
la commission de la deiie de l'empire au (résor de
guerrp de la Prusse:
Le (résor se tronve enfermé dans one (our de la
ciladelle de Spandau. Deux étages do ce donjon
siillisenl a peine a conlenir cede réserve, forniée
avec une parlie des dépouilles de la France Dans
l'élage supérieur, il y a li millions de ma(cs, el
dans l'élage inférieur 4S millions. Cliaque million
de (balers est divisé en dix parties de 300 marcs
rlih'cnne. Tont le trésor se compose, pour qunlre
cinquièmcs de pieces de 20 mares. Naturelle.ment,
la révision a constaté que tout éiait en ordre. Elle a
duré plusienrs heitres, les comnussaires ayanl fail
ouvrir quelques eaisses pour compter l'argenl qui
s'y (rouve. Ils avaienl amené ii cel effet un détache-
«ernt de soldats.
Pour pénétrer dans les caveaux, il faut avoir deux
clefs, dont l'une est entre les mains du chancellor
de l'empire, et l'autre est conservée par le président
de la commission de la deit de l'empire; ia serrure
est construite de lelie sorle qu'il faul avoir les deux
clefs pour l'ouvrir.
Cetle visite n'a-t-elle pas une sorte d'alltire féo
dale et dramatique? Ces comniissnires, escortes
d'une cseouade do soldats qui viennent dans ce
donjon contróler et ouvrir les eaisses du trésor, tout
eet appareil détonne avec notre siècle et a un carac-
tère sombre qui n'est pas de notre temps.
Cette tour de Spandau, on peut le ilire recèlé
dans ses tlancs le destin des nations; elle renferme,
commé le manleau de l'envoyé romain, la paix ou
la guerre.
L'HUITRE POSITIVISTE.
Collée a son rocber, une buitte discutait
Avec un ernbe, animal amphybie
L'liuitre est presqne toujours forte en pbilosopbie:
Comme absurde elle rejetait
Ce que l'autre lui raeontait
Du monde action, elendu sur leurs têtes.
Bali! vous nous contez des sorneltes,
Avec eet autre monde invisible aux poissons,
L'bomme, pure chimère, el les oiseaux, chansons.
Parlez moi maqueraux, sardines ou creveites»...
Tout cela, c'est le monde observable, et j'y cruis,
Mais li sunicJlurel n'est point scientifique,
Tel est le dernier mol do la haute critique.
Je.suis positiviste et crois ce que je vois.
Elle en otii dit bien plus encore.
Quand un grappin du fer, plongeant sous les caux,
Vint detacher du roc la savante pécore.
Certain gourmet, friand de tels morceaux,
N ous lui prouva, d'une facon sommaire,
Que l'bomme, hélas! n'est pas une cliimèro!
N avant sous leur scalpel,ni sous leursyeux de chair
Trou.vó l'atne, ni Dieu, le diable, ni l'enfer,
Littrc, laine, Renan biffenl lous ces cliapitrcs,
Littré, Tainc, Renan sont des autorités,
Oui,.. dans leurs spécialités,
La... je les cboisirais moi-méme. pour arbitres,
Mais s'agit-il dessuintes véritésï
lis ruisonnent comme des hnilres!
van den 20 tul den 27 November 1874.
UEUOORTtiiN.
Mannelyk geslacht 1.Yrouwelyk geslacht 2.
HUWELYKEN
Carolus Laurie, lang'zagér en Judith Defever
kauteiiweiksler. Julianus Middel, werkman en
Sidonia Keriinckx, kanlenworkster. llenricus
Annhrahant, peerdensmid en Leonia Dondeyne,
modewei ksler. Augustus Faes, dienstkneclil, en
Emma Biyon, stryker. Fredericus Dedecker,
agent van politie en Maria Debaillie, zonder beroep.
«terfgkvai.i.bn.
Dama'cenus Delfolfander, 53 jaren, timmerman,
echtgenoot van Amelia Buslraen Boomgaerdstraei
Kinderen iieiiedi li de 7 jaren
Vbiniièivk u'eslacfil I - X'rnuweivk geslarlil 0.
der
in
van