2 Nf APPEL A TOUS LES CATHOLIQUES. p.GAIV^ Samedi 20 Décemb. 1874. 9me année. Nos 938. s ca >- z z c ft >*- 53 Le Journal parait le Mercredi ct le Samedi. Les insertions coütent 15 centimes la ligne.— Les réclames, dans le corps du journal, se paient 30 centimes la ligne.— Un numéro du journal, pris au Bureau, 15 centimes. Les numeros supplémenlaires commandos pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 20 fr. les 100 exemplaires. Po- C II K M I H S II li F E II. ÉTRENNES PONTIFiCALES. Une année nouvelle va s'ouvrir, la quin- zicme de I'oppression et de la spoliation de la Papauté, qu'elle soit aussi la quinziéme d'une vénération et d'une assistance de plus en plus filiates! Les ennemis de Dieo et de I Eglise ne se lassent pas de perséculer et de déponiller Pie IX, calholiques fidéles, nous ne nous lasserons pas de le consoler et de le secourir. Dieu est avec le Pape! La persis- lance de noire dévouement hatera et verra leiriomphe de la Papauté. Ne voyons-nous pas, cliaque année, Pie IX grandir au milieu de ses humiliations? Plus la main des puissanls du siècle veut le i'éduire, plus la main toule-puissanle de bieu I éléve. Sa vie, sa parole, ses ceuvres surprennent et émeuvenises ennemis com- ine ses entants, Sa lumincuse el sereine fi gure domme Ie siècle, el. apparail plus gran de el plus noble que toule figure d'homme: en el le mieux qu'en louie autre se reconnait I image et la ressemblance de Dieu! Aussi après Dieu, jamais nul élre 11e fut plus aimé ei mieux obei que son Vicaire, Pie IX. C'est justice el c'est miracle! C'est miracle, car, humainement parlant, nul souverain n'est plus faible, plus impuis- sani, plus dépourvu et plus pauvre. Et ce- pendant Pie IX régtie et gouverne: Son auto rité, la ou elJe ne rencontre l'obéissance et le dévouement, éveille les crainles et les ter- reu rs, et celle autorité acceplce ou combat- tue fait sentir son empire sur loule nation civilisée ets'élend mémeau-dela. La royauté de Pie IX qui n'est que la Royauté du Christ est, comme celle-ci, aux yeux de la chair, méconnaissable; mais elle s'exerce, malgré tout, en dépit de lout, par la seule puissance et la volonté du Dieu qui vit et régne dans lous les siécles. Qu'importe a la puissance cl a la miséricorde divines que, pour Pie IX aussi la pourpre soil do derision, sa couronne depines et son sceptre de roseau? A Rome comme a Jeru salem, a la fiu de notre dix neuvième siècle comme au commencement de noire ére, le Christ vit, le Christ est vainqueur, il est Sauveur: Christus vincit, CiirisTus regnat, Christus ab omm jialo kos liberat!! Comme par la Croix du Christ Dieu a vaincu et sattvé le monde, Dieu par la Croix de son Vicaire vaincra et sativera la société moderne. Que voyons nous en effet a l'heure présen te? Nous voyons parlout la grande unite se faire; nous voyons, admirable concert, lous les Evèques s'unir de plus en plus intime- ntent au Souverain Pon life; tons les Prëtres a leurs Evèques; lous les Fidéles a leurs Prèlres et par leurs Prétres et par leurs Evèques et par le Papea DieuUt om.nes uxum s'>t! Ainsi se prépare oslensiblemcnt et se fund sürement la grande unilé divine, le regne de Dieu. Advemat regnum tuum! Témoinsdecelteaclion et de ce mouvement sans précédent dans I'histoire. Calholiques, secondons I'aetion divine par nos prières, Par nos ccuvrcs, par uos ollrandcs. \ao- cions-nous, chaque jour, a la priére quoti- dienne récitée au pied de I'autel; associons- nous, plus encore que par Ie passé, a la priére publique dons nos humbles et puis- sants pèlerinages; associons-nousaujourd'hui et toujours avec générosité dans I'ofl'rande. Les dons volontaires des fidéles sont main- lenant Ie seul budget du Gouvernement de I'Eglise universelle. Ce n'est que par nos dons que les services indispetisahles de I'-Egli- se sont assurés. Les dons des Fidéles formenl seuls le Trésor de Pie IX. Qui ne le sail d'ailleurs, Ie Trésor de Pie IX est le trésor de l'Apostolal et de la charilé universelle. Coin- bien d'églises et de chrélienlés dépouiilées, en Italië, en Suisse et ailleurs, de leurs ri- chesses séculaires, ne vivent que du Trésor de Pie IX? Combien de milliers de religieux et de religieuses, jetés sur les pavés d'lialie, mourraient, sans le Trésor de Pie IX, de faim et de misère? Que de fois en tous pays, aa milieu des malheurs publics, le Trésor de Pie IX a fourni le Denier fécond de la conso lation et du bon exemple? Qu'il puisse tou jours suflirea tout! Le Trésor de Pie IX, c'est le Trésor do la Cbrélienté, a nous, Chretiens, de l'alimenter et de l'enrichir. Donnons done a Pie IX! Donner a Pic IX, c'est donner a notre Pére, au Pérede la grande Familie de nos ames; donner a Pie IX, c'est donner a I'Eglise, notre Mere, a la Mere de l'Humanité régénérée; donner a Pie IX, c'est donner aux pauvres; donner a Pie IX, c'est, en un mot, donner a Dieu!! AVIS. LES LEC-ONS DU PASSÉ. Ce que Ie libéralisme sail faire des pays qu'il étreint, nous le connaissons par expe rience. Ce qu'il ferait de nous désoVmais. on en saurail parler avec a pen prés la niéme certitude. Leciel nous préserve des rechuies! Les phrases, par exemple, n'ont point manqué an grand parti, c'est uno justice a iui rendre. Jamais on n'entendit plus fré- quemment les périodes d'usage sur nos quu- rantc années de puixde prosperité et de progrèsjamais on ne se rengorgea plus fièrement au souvenir de celle parole: La liberie comme en Belgajuc! Le liberal s'in- clinaii jusqu'a lerre devant cette Constitution qu'il souflletail chaque jour, et il professait Ie félichisme pour la loi.... de sa fabrication, pour la magistralure... de son choix... Mais sur le terrain des faits, quelle incroy- able audace! L'égalité des Beiges devant la loi et leur adinissibilité aux fonctions publiques, pures théories. Tout regorgeait de Iibéraux; les autres pouvaient admirer la beatitude des satisfails. Un brevet de hbéral valait mieux alors que trois articles de la Constitution. Vous aviez foi dans la liberie conslitution- nellede renseignemenl? II fallait commcncer par payer de vos deniers de eontribuable l'enseigneinent olïieiel organisé largement a tous les degrés; avec Ie reste il vousélait permis de luller conire ce mème enseigne- ment, qui vous e.xpulsait de son mieux de parlout, grace a sa concurrence a idee de quelques savanles niesures adininislratives. Vos diplöines n'avaienl qua s'en prendre a eux-mèmes, s'ils élaierit mis au ban pour avoir puisé la science a des sources cléri- cales. Le droit d'association vous paraissail une belle garantie? lei encore il y avail des illu sions a perdre. Si vous apparteniez a la lépre des couoenlsIe régime des suspects coinmencail pour vous, el Ie fanlóme de la nnnn-morle se dressait sur le chemin des enlrepriscs les plus legitimes et les plus bien- faisantes. II y avail en ce temps-la tout un ukase, daté de 184'.), a l'usage des bureau- crates qui avaienl charge de rajeunir les tes taments et de traquer la charilé catbolique. La liberie des cubes êlait garantie, mais la religion et ses ininistres se voyaienl frappés d une mème suspicion. Le libéralisme au pun voir ne subissail que trop Tascendant de la libre-pensée, donl les sanvages exigences ne lendaient a rien inoins qu a la destruction complete de celle influence religieusesans laquelle la société mème lomberail en dé- coiiiposition. En attendant les beaux jours de la sécularisalion absolueoü l'on ne verrait plus de prètre a la naissance, au manage ui au décés, on se contentait du possible en appliquanl cauteleusernent la double maxi me: Le prètre hors de l'école! le prètre hors du cinietière! Et si la violation odieuse et syslématique de ses champs de sépulture poussait enfin Ie people cailiolique a deinander justice a ses législateurs, les réclainalions allaient, dans le 'silence des canons doctrinaires, rendre témoignage du droit constitutionnil de peti tion. Les avenues du pouvoir étaient du resle admirablcmenl gardees. L'action descendail des régions supérieüres pour remonter |iar le bas. Ce que 11e pouvait faire dans les co rnices une legislation electorale pourtant soigneusement modelée sur les besoins du libéralisme, on Poblenait par la pression officielleet au besoin par celle de la rue. La majorilé descendail-clle a zéro, on complait sur un Parlement docile pour modifier a l'im- promptti sa propre organisation. II y cut d'ineroyables exemples de ssumission el de versatitité. Constaterons-nous le favoritisme agissant avec une ténacité rare sur la com position des corps administratifs et judiciai- res, dans I'espoir de tout soumettre un jour au desptoisme de la volonté dominalrice? Rappellerons-nous qu'une loi fameuse fit dire a la Constitution, en dépit de la grammaire, quedesjuges nommés a vie l'élaienl jusqu'a un age délerminé? La Constitution toujours, toute la Consti- lu I ion et rien que la Constitution! C'élail le palladium des adeptes de la triple sincérité. II est vrai qu'ils en sont bien revenusquel- que pen depuis que le double jeu a cessé de donnér son benefice. Comment l'édifice modèle de la centralisa tion libérale, s'est-il écroulé un beau malin? C'est le secret du peuple électoral. D'aucuns pensent qu'il étail excédé d'entendre les muezzins de la doctrine Iui crier chaque jour du bant de leur minaret constitutioneel: L'Union [ait la forcel et de voir la force et I'union s'en aller de plus en plus en compa gnie de la justice. A présent que leur régne est fini, nos mai- tres d'aulrefois maudissenl la faiblesse quia daigné nous laisser quelque chose. lis ne révenl plus que réaction violente et asser- vissement des cléricaux. L'Allemagne aulo- ritaire cl perséculrice est devenue leur idéal, et tandis <j 11e le doctrinaire, plus peureux, opine, pour de bonnes pelites lois bien tra- cassiéres et pour la sécularisalion de haute politique, le progressiste a tous crins récla me a grands oris le suffrage de la multitude, la suppression brutale du budget descultes, rintolérance proelamée ct la liberlé écornée de par la Constitution, l'impót progressïfet toules les insaniiés du répertoire. leur palrie. Le moment serail mal choisi en vérité pour nous proposer des experiences. Nous nous trompons fort ou Ie faux libéralis me peut encore indéfiniment ajourncr les projets qu'il earesse pour l'époque si ardein- inent désiréc de son retour au pouvoir. Les poings sont fermés par la menace, mais il y a cela de russurant que ces belles colères s'adressenl au pays, seul auteur de la situation acluelle, au public qui ne veut pas, pour nous servir d'une expression de Guizol, qu on l entraine oti it ritt nulla enoie duller, i/u on Cabuse el qu on abuse de lui, Le libéralisme de toute nuance, par ses prin cipes ou plutól parses negations, méne tout droit au radicalisme révolutionnaire, et le doctrinaire n'est en réalité, qu'un radical inconséquent, miligé dans la mesure de ses besoins de domination; les récenles evolu tions du parti liberal en Belgique cl spéciale- nienl a Gand en out donné la preuveaux plus incrédules. Or, croit-on que notre peu ple, a qui Ton ne refuse pas une certaine dose de bon sens, ail de forles lentalions de se jeler dans les bras du radicalisme, quand il emend les dange'reuses extravagances qui se deliitenl auiour de Iui sous prélexle de progrès, et quand surtout il a sous les yeux I'exemple d'un pays voisin? Si pen de temps aprés la Commune, le Hot envahissant mottle de nouveau d'heureen beure et son arjivée inspire les apprehensions les plus sombres a lous les homines qui aiincut sincérement LA YRAIE THESE LIBÉRALE. Nous n'avons pfus besoin de signaler les artifices el les déguisements des faux buns hommes du doctrinarisme: ces trisies personnnges se font démasquer, en pleine place publique, par des frères et amis. Ecoutons la Flandre libérale Tant que I'Eglise catholique sera ce qu'elle est, tant que ses doctrines el ses tendances seront ce que nous voyons, et qu'elle aura sur les masses l'influence qu'elle possède, nous lutterons en vain conire ses empiélemenls poliliques et nous serons écrasés par elle. Ne vonloir la corn- batlre qu'au point de vue politique, SANS TENTER DE LA TRANSFORMER OU DE LUI ARRAGHERDES AMES, n'est-ce point folie pure? Est-ce assez clair? Et que faut-il penser, aprés de lelsaveux, des subtiles distinctions élablies par les casuisles du doctrinarisme, entre Ia religion et la politique? Pour lout homme de bon sens, la question n'est pas douteuse: il n'est que trop évident que la thèse de la Flandre est véritablement la tbèse libérale, dégagée des alténualions et des tnensonges de l'hypocrisie. Cc journal a soin du resle de préciserson idéé en la développant. Comment, se demande-t-il, ari ivcra Irans- former I'Eglise catbolique? Est-ee possible?... Et voici sa réponse. Nous citons encore, car tout cela mérite d'etre noté, pesé, inscrit au dossier du libéralisme: Si une réforme religieuse avail que/que chance de succes dans notre pays, si un mouvement dans le sens du protestantisme, ou du vieux catholicisme élait chose possi ble, avail la moindre chance de succês en Belgique, ah! la vote a suture serail bien simple el tout indiquée iLnuance... Mais nous sommes hélas! les premiers a le conslater: le fanatisme dans une par lie du pays, C in difference religieuse duns Cuutre, sont leis que lout excès de ce genre est condamné d'avance. Aussi toute tutte directe au point de vue religieux nous parait-elle radicalement im possible conire I'Eglise. Le sentiment reli gieux est mdéracinnble dans le cceur de l'homme, et I'influence morale de I'Eglise restera sans rivale lunt que nous n'uur ons aucune autre influence, morale et religieuse a metlre d sa place! Encore uue fois, il est utile de faire ressor- lir la portée de ces aveux. lis impliquent: 1° Un témoignage mngnifiqueet peu suspect donné a la fidélité religieusede nos popu lations. De I'aveu de I llumine ennemi, I'ivraie du schisme et de l'hérésie nesau- rait croitre sur notre loyale lerre dc Bel gique! 2u Une conslalalion non moins significative du dénueinent moral el religieux du libé- OJ CO CO 3 CO 0 1*3 cc O Um Sm 3 ■D ZD CO ZD 0 o> uT ce K 00 3 UJ 3 .-O P Z cs 3 O Q D -t 03 U3 V) CC 3 O •CO "O m <t> C/3 P- ^1 ^0 H pn CA 53 m o G O G •73 53 O w C- o O P5 pi t/3 US Poperinghe-Ypres, 3-1!),7-23,9-30,10-58,2-15,5-05,9-20 Ypres-Boperinqhe, 6-80,9-07,12-05,3-57,0 80,8-43,9-00. pertnghe-IIazebrouck, 7 13, 12-23, 4-17, 7-13. Hazebrouck-Pnperinghe- Ypres, 8-33, 10 00, 4-10 8-28. Ypres-Routers, 7-30, 12-25, 6-43. Roulers-Yjores, 9-25, 1-50, 7-30. KouIers-Bruges 8-45,11-34 1-13 (L. 5 36), 7-36, (9-58. Lichteiv.) Lieluerv.-Thoarout, 4-25 m. Bruges~7?ou/ers, 8-28, 12-.,0, 5-13, 6-42. Lichtervelde-CoMrtroi, 5-25 m. 9 01, 1,30, 5,43 7.21 Zeiteljzliein Tliouroul8-40. 1,05, 3,20, 6 58. Ypres-Courtrai, 5-34,9-49,11-18,2-35,5-23. Courtrai- Y-pres, 8-08,11-02,2-50,3-4u,8-49. A pres-/ houroul, 7-13, 12 00, 6 20, (le Samedi a 5-50 du malin jusqu'a Langhemaick). Tliouroul- Ypres, 9-00, 1-18, 7 48 (le Samedi a 0-20 du maun de Langhemarck a Ypres). Comines-Warnêton Le Touquel-Houplines-4nwen/ières, 0-00, 10,15, t2-00, 0-40,— Annentières-Houplines Le Touquel-War- neton-Gommes 7-25, 10,30, 4-10, 8 -40. Comines- Wamêlon 8 40, tit 0-3os. Wnrnêton-Co/nines 5-30, 9 50 Courtrai Bruges, 8-05, 11-00, 12-35, (L. 5-15), 6-35. (9-00 s. (Lichlerv.)— Bruges-CWovt.t. 8-28, 12-50, 5-13, 0-42. Bruges, Blankenherglie, Ileysl, (Elal) 7-30,9 45,11 04,1,20,2 25,2-50,5 20(exp.) (S 5-50)7-35 (exp.)8 45. (bassin)7 00,7 30, 9-51,11-10.2-31,2-56,5-26(exp.)(S.5 56)7-41(exp.)8-5l.— Ileysl, Blankenberghe, Binges. 5-48,(L. 7-20) 8,30,1 I -25,1 28,2 48, (exp.)4-10.3-30,(D. 0 15)7-28. Blankenberg, Bruges, 6-10,(L. 7-42)8-85,11 55,1-48,3 05(exp. 4-30,0 00(1) 0 38) 7,007 48. Jngeltnunsler-Ueynze-Land, 5-15, 9-41, 2-15. Ingelmunsler-Deynze, 4 .30 2' cl7-18. Gan.t- Do vnze-I ntpd munster, 0-58, 11-20, 4-40. Deynze Inyelmunster, 7,31 9-10 2ccl, 11.54 5,19. 8-20 s. Ingelmunster-.dz1.9fl9/1em, 6-05, 12-10, 6-15. Ansegliem-Ingelmunster7-42, 2-20. 7-45. Lieluervelde-Dixtriude-Furnes et Dankerke6-30, 9-08, 1-35, 7-53. DnwterAe-Furnes-Dixmude el Lichtervelde6-45, 1113, 3 45, 5-03. I)ixmtide-iV/ettpor/,9-5810,35,2-20,510 8-40. -Nieup-D«.rw»,(ville)7-40.12-00,4-24,3,56,9,30,(bains)7,30,11,50,4,15,5,50. J imnonl-Ostende, 4-30, 9-15, 12,05, 1-50, 8-05. 10,15- Ostende-Thoarout, 7-55, 10-10, 12 28, 4,48. 0-15. 9,13. Selzaele Eectoo, 9-05, 1-28, 8-25. Eecloo-6e/irae<e, «-35, 10-15, 4-22. Gaud- Terneazen, (station) 8-17, 12 18, 7,28 (pone d'Anvers) 8-30, 12-40. 7 43. Tcrncuzen-Gaud, 0-00, 10-30, 4-40. Selzaeie-LiAcmt, 9 04, 1-30, 8 30. (le Merer. 5-10 in.) LokerenSelzaele, 0 00, 10-23, 4 48. (le Mardi, 9,30.) c o 11 b. it a r o if r> a 1* c b a COURTRAI, BRUXELI.ES. Courtrai drip. Bruxelles arr. 0,37 9,20 10,53 1,38 12.33 2.25 COURTRAI, TOURNA!LII.LE. Courtrai dép. Toiirnai arr. Lille 0.37 7,28 7,37 10,80 1 1,47 12,03 2,84 3,48 4,00 COURTRAI, GAND. Courtrai dép. Gand arr. 0,42 8,01 12,31 1,31 3,47 014 3,34 0,29 0,32 3,44 8,04 0,33. 8,88. 8,47. 9.41 9,83. 6,4n. 7,30. Bruxelles dép. Courtrai arr. BRUXELLES, COURTRAI. 8,22 8,28 12,21 5,38 0,47. 8,00 10,40 2,44 7,30 8,44. LILLE, TOURNAI. COURTRAI. BRUGES, GAND, BRUXELLES. Bulges dép. Gand arr. Bruxelles 6.49 exp. 12,34 3,52 exp. 6,43 8,19 exp. 7.34 1,49 4,42 7,58 8.50 4,00 5,30 0,31 to,20. Lille dép. Tournai arr. Courtrai Gand dép. Courtrai arr. Bruxelles dép. Gand arr. Bruges 8,23 8,80 9.47 5,20 5,42 0,34 GAND, COURTRAI. 9,38 10,51 11,03 2,18 5,20. 11,34 2,40 5,39. 12,20 3,38 0,33. 5,15 0,34 1,28 2,49 4,24 5,31 7,21. 8,42. BRUXELLES, GAND, BRUGES. 8,14 6,00 9,41 7,20 10,34 11,53 3,12 1,23 4,26 exp. 2,38 5,11 0,37 7,22 5.85. 7,22. 8,38. MM. las Eeclésiastiqaes de I'arrondisemenl voudrunl bien recevoir les souscriplwns Toules aulres personnes de bonne volonté sont également considérées comme parfaitemenl uptes a, recueillir, a recevoir el a Iransmeltre les o/frandes. On fes pcrcoil également au BUREAU DU JOURNAL If I'RES el da NIEUWSBLAD. Boar perinetlre un exacte complabililé 1° Le donateur el son intermédiaire sont instam- menl priés de remellre simallanémenl la note de la souscript ion el I'argent qu'elle comporte. Les pe.sounes qui seruient embarrassées pour [aire parvenir aa centre de I'wavrele montanl de leur so ascription, pe uveal I'envoy er en inuiicluts sur la posic d M. te doyen d' Ypres 2" Nous ne poarruns publier chaque semaine que les souscriplions donl la note el I'argent seront parvenus aa centre de l'w.vre, chez Mle Doyen d' Ypres, uvanl Ie Jeuili midi. m

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