inerce, ces manifestations sponlanées des
intéréts ne devienuent la régie. On peul
mème être convaincu que les bcsoins du
commerce et de Tinduslrie trouveront leur
expression dans les associations permanentes
qui, sans attaches oflicielles, sans subsides,
sans proteclorat du gouvernement, poursui-
vront énergiquement leur taehe sous la
pression de l'utilité commune.
II ne faul point s'y méprendre, messieurs;
le gouvernement, en demandant la suppres
sion des chambres dc commerce et des fabri-
ques, n'a point en vue de s'affranchir de coti-
seils dans un ordre de faits oü Texpérience
des intéressés est préeicuse. 11 vent seulernent
retirer son intervention la ou elle ne iui
semble plus nécessaire, ct permeltre a Tini-
lialive privée dc réaliser dans notre pays le
résultal qu'ellea déja atleinl aitleurs,a savoir
la formation de chambres de commerce
fibres qui, tout en poursuivant la satisfaction
des intéréts privés, se subslitueraicnt a Tac
tion des chambres oflicielles en vue du bien
général. En effet, messieurs, c'est a do pa-
reilles associations qu'il apparliendrait. dé-
sormais dans cerlaines occasions d'etre
consultées par le gouvernement. Elles n'ex-
clueraienl du raste pas, dans les cas urgents
ou graves, le nomination de commissions
temporaires, composées d'hommes d'expé-
rience et de foiictionnaires éclairés qui
seraienl appelés a préter leur concours au
gouvernement.
Le projet de loi que j'ai Tbonneur de vous
soumettre compreud quatre articles les
deux premiers n'onl pas besoin d'etre autrc-
rnent justifiés.
L'arlicle 3 dispose d'abord que le mobilier
et le bibliolhéques des chambres de commer
ce resteronl le propriété des communes ou
ces colléges avaient leur siége.
Les communes, sans nul doute, sauront
donner une destination utile a ce mobilier.
Au surplus, il est bon dc rappclcr que lors
de la créalion d'une cbambre de commerce,
(Test toujours la commune qui a fourni Ie
premier mobilier nécessaire a son installa
tion.
Quant aux bibliolhéques, elles pourronl
être d'un précieux secours aux administra
tions locales, dans le «as oa elles auraient a
examiner des questions induslrielles ou com-
merciales. Si des associations parliculières se
formaient pour Tétude de ces questions, les
communes apprécieraient s'il y a lieu de
leur conficr les ouvrages spéciaux qui pour-
raienl leur être utiles.
Quant aux archives, le même article deci
de qu'elies seront réunies aux archives dó
TElal. Parmi les documents qu'elies renfer-
rnent, il en est d'intpöriants qu'il serail re
grettable de détruire; d'autres sont d'une
nature confidentielle ou trait on t dc questions
de personnes; il convicnl de les conserver
également.
La suppression deschambres de commerce
el les attributions de materiel, d'archives,
etc., qui en sont la suite nécessaire, occa-
sionneronlcertains travaux qui incomberonl
aux secrétaires dc ces colléges. J'ai pensé,
messieurs, qu'il serail juste d'allouer a ces
agents une indemnité du chef des travaux
susdits, sur les fonds qui resleront disponi-
bles sur Ie crédit dc l'arli'cle 38 du budget
de rnon département. C'est Ie hut de Tarticle
4 du projet de lot.
Le ministro des affaires étrangcrcs,
Comte d'Aspremont-Lynden.
Le projet de loi est coneu dans les lermes
suivants
Art. lc'. Les chambres de commerce et des
fabriques instituées par le gouvernement
sont supprimées.
Art. 2. La loi du 16 Mars 1841, modifiée
par cel I e du 26 Février 1869, est abrogée.
Art. 3. Le mobilier et les bibliolhéques
des chambres de commerce resleront la pro
priété des communes ou ces colléges sont
institués.
Les archives seront réunies aux archives
du royaume.
Art. 4. Le gouvernement est autorisé a
disposer des fonds qui resleront dispombles
sur le crédit de Tarticle 38 du budget du
ministère des affaires élraogéres.póur l'exer-
cice 1876, potrr être rópartis, a litre d'in-
demnitéentre MM. les secrétaires des
chambres de commerce.
DÉMENTI.
Nous lisons dans Ie Monileur
Certains journaux annoncent que le gou-
vernement comple soumettre aux delibera
tions de la législatnre uno projet de loi
lcndanl a augmenter les tarifs de transport
sur les cheijjiiVs'de fer de TElal.
Cede nouvelle est absolument dénuée de
fondement.
LE SACRILEGE DE IIUY.
On snit, d'après le Journal de Liégeque
le parquet de Hay a ordonné une informa
tion sur Ie sacrilege qui a cté récemmenl
commis dans cette ville ct sur les causes
de Tinccndie qui a delimit les locaux de
Técole normale el de t'ccoio moyenne.
Nous pouvons ajouter que M. le ministre
de Tinlérieurdés que des informations
cerlaines lui élaiant parvcnucs, a ordonné
{'expulsion de i'élève sacrilege et une
enquête tendanl a savoir s'il a eu des com
plices.
Quand les feuilles calholiques, avec TEgli-
se, condamnent le carnaval lel que Tont fait
les mocurs liberates, il n'y a qu'une voix
dans le camp de la libre-pensée ct de la
morale indépendanle pour crier au bigotis-
me, a l'obscurantisme, a Ia lartuferie, elc.
El) bien, messieurs les masques, ne vous
en déplaise, voici comment vous juge el
vous cingle quelqu'un qui n'est pas un clé-
rical, un des vólres, au fond, M. Aurélien
Schol I:
LES MASQUES.
Le voiia revenu, ce carnaval odieux,
cette débauche de filles et d'idiots. L'espéce
humaine, ne se Irouvant pas assez laide, s'af-
fuble Ions les ans de ncz extravagants et de
répugnantes verrees. Les hommes s'habillent
en femmes et les femmes en hommes, les
enfants se collcnt des moustaches; on crie,
on sonne de la Irompe; el voila les plaisirs
d'un people civilisé.
Ce qu'il y a de curieux, c'est qu'il puis-
se encore se trouver quelqu'un qui öse par-
ler des mceurs el coutuines des sauvages!
Pour moi, je demande quelle différence
il peul y avoir ent re la cour de la Salpétrière,
a i'licure de la recreation, et les rues de
Paris, le JVlardi Gras ou le Jeudi de la Mi-
Caréme?
II est certain que ce que l'on prend pour
de la gaieté n'est que de Taliénation mentale.
Que devient, les nuils de bals masqués,
la loi sur Toutrage aux mceurs?
- Si quelqu'un imprimait un seul mot de
ceux qui se crientdans les corridors des ca
sinos ou dans les salons des restaurants de
nuit, on lui appliquerait aussitót Tarnende et
la prison.
Quel dommage qu'on ne puisse imposer
Tinsertion de ce morceau a la Chroniquea
la Gazelle et aux aulres feuilles de tolerance,
seules lues par les coureurs de casinos et les
soupeuses de restaurants de nuit
LA PERSECUTION EN ALLEMAGNE.
II y a des juges a Berlin, disait la
vieille et peu aulhentique légende du meu
nier de Sans Souci. II parait qu'il y en a
aussi a Clèves. Mgr Tévêque de Munster, cité
devanl le tribunal pour avoir pendant une
tournee de confirmation, attaqué les lois
civiles dansun discours public, vienl d'élre
acquitlé, bien que le ministère public eüt
requis conlre lui un mois de prison.
Mais a deux pas de ce tribunal dc Clèves
dont on vante Timpartialité, Mgr Tévêque
de Paderborn est enfermé dans la citadelle
dc Wesel. Uno revue catbolique allemande
comptait, au mois de Novembre dernier,
prés de 2,600 arreslations, saisiesde traite-
ment ou expulsions faites, dans les dix
premiers mois de 1874, par la justice prus-
sienne contre les prêlres calholiques ou des
laïques qui s'étaient compromis pour la dé-
fense de TEglise. A la memo époque, Mgr
Tarclievêque de Posen avail fait 291 jours
de prison; son grand-vicaire, 117; Tévêque
de Paderborn, 109 jours; Tévêque de Treves,
260; l'archevéque de Cologne. 192. Depuis
Ic mois de Novembre, ces totaux se sont
singuliêrement accrus; de telle sorte qu'il
fa ut bien que Mgr Tévêque de Munster ail
été dix lois innocent pour avoir ainsi mira-
culeusement rctrouvé a Cléves les juges
providenliels du meunier de Sans Souci.
LES POSITIONS CARLISTES.
La position des carlisles est a peu prés
imprenable. La vallée d'Araguil, qu'ils oc-
cupenl, forme un immense camp retranché
de cent mil les carrés défendu par une
ceinlurc de montagncs infrancliissables et
assez fer11les pour subvenir a l'entretien de
toute unearmée. Cinq cnlrées seulernent y
conduisent: deux venant de Tolosa au nord,
Tune a Alsasua et Tautre a Irursun, une
venant de Touest, de Villoria a Pampelune,
une quatrième a Test, du cóté d'Irursun,
et la ciriquiéme au midi d'Estella a Alsasua.
Uue pen le escarpée, couronnèe de hauteurs
facile a défendre, et terminée par un mur
naturel de rochers perpendiculaires de cin-
quante a cent pieds de liauleur, au travers
desquels court, dans une gorge étroite, la
rivière d'Araguil, ferme cette fronliére du
midi que l'armée de Don Alphonse voudrait
bien franchir. Au fond de cette vallée est
Eslclla. Une poignée d'hommes peul y arré-
tcr indéfiniment une armée.
Tel est le quarlier général des earlisles,
el de la ils out,par une série de positions ha-
bilcment choisies el reliées entre elles,étendu
leurs ramifications au sud et a l'ouest dans
presque toute la Navarre, el a Touest sur la
Biscaye. II parait bien que Pampelune est
débloqué, mais il ne parait pas que les ear
lisles l'aient sóricuseiwent assiégé.Ayant cette
ville prés d'eux, ils l'avaient enlourée, ils ne
Tont pas sérieusement défendue; leur lacti-
que vérilable est de laisser la patience et les
forces de leurs adversaires s'user contre les
murailles de granit que le ciel mème a
élevées pour leur defense.
Voici une nouvelle dépêche relative aux
événements de Calhalogne
D'Ax. 9 Février, 9 h. 30 m. matin.
Grande vicioire de Raqhael Tristany, a
Prades, sur le batailjon Tyo de Ceuta.
Les alplionsrstés orit perdu 800 hommes.
L'enthousiamé ést indescriptible.
Défeclions nombreuses de l'ennemi.
Cli roii i ne locale,
GARDÉ CIVIQUE.
On nous communique les observations
suivanles, trop: fdndées pour ne pas èlre ac-
cueillies:
Un vif mécoqtenlemérHi'ègne parmi no
tre rnilice bonrgebfse. C'eSl Dimanche der
nier, 7 c' que, par un froid piquant el a
huil heures du matin, a eu lieu Ia première
inspection d'armes. Beaucoup de gardes,
obliges pour endosser la (unique de réduire
leurs vètemenls de dessous, sont allés pren
dre un eatarrlie dans ces grandes salles de
la HaIle, aussi froides que vasles, et oü, pour
cominencer, ils ont eu a se tenir immobiles
pendant 20 minutes au moins. On est una-
nime a dire qu'il y a la manque de prévoyan-
ce ou d'égards, si pas les deux a la fois.
Metttous manque de prévoyance.
Dimanche, 14, doit avoir lieu ['inspec
tion pour les 3e et 4C compagnies.
On a fait, passé quelques années, une trop
triste experience en paradant par un temps
trop chaud.
Anrons-nous le pendant par un temps
trop froid?
Mercredi, des enfa'nls revenant de Técole
communale, vers 11 1/2.It. du matin, se
risquaient sur la glace du fossé de la ville,
dit Majoor-Graeliiderrière la caserne de
Cavalerie. Un gamin dc 9 ans, nommé Lesa-
ge, bravanl je danger évident, vil la glace
se rompre sous Iui, a quelques metres du
bord. Ses camarades appelèrent au secours.
Uu cavalier des guides, an peril de sa vie,
retira le malheureux enfant; mais il ne ra-
mena qu'un cadavre. I.c froid, si pas la sub
mersion, avail determine la mort.
ÉGLISE DES RR. PP. CARMES.
Mercredi, 17 Fevrier, a 6 henres du soir,
Sermon flamand, suivi des exereices ordi-
naircs des neut' Mercredis qui précédent la
fète de St-Joseph; a 6 1/2 h, Salul solennel
et inauguration de la peinlure murale exècu-
tée au Mailre-Aütel.
Lc sujet de cello peinlure ent une vision
oü sont représentés les prmcipaiix bien fa its
que Nolre-Dame du Monl Carmel a accoFdés
a son Ordre. On y voit la Reine du Carmel,
entourée du fondateur, des réformateurs,
des prolecleurs el d'autres saints personna-
ges du mème Ordre.
La Sainle Vierge, environnée de lumiére,
apparait an milieu du groupe, donnant d'u
ne main TEnfanl Jésus a Saint Albert, et do,
Tautrc, I'habit du Scapulaire a Saint Simon
Stock. A droitede la Sainle Vierge, on voit
Ie prophéte El ie, fondateur de TOrdre, avec
le glaive flamboyant. Saint Joseph, époux
de Marie, prolecteur spécial de TOrdre.
Saint Jean de la Croix, compagnon de Sainle
Thérése dans la réforme du Carmel. Un
Saint Evèque, un Docteur et un Tiercaire do
TOrdre, groupés ensemble. Le Venerable
Cardinal Guadagni:. Lo Pape Jean XXII,
auteur de la Rulle.Sabbaline.
Du cóté oppose, on voit a la première
place Sainle Thérése-de-Jósus, réformatrice
du Carmel, prés de Saint Simon Stock.
Suivent: Saint André Corsin. en habits pon-
tificaux; le Vépprable Dominique, inscri-
vant les promesse^'de la Sainle Vierge tou-
chant TOrdre du Carmel; Tarchiduc Léo-
pold, de la Maison d'Aulriche, fondateur du
Convent actuel ct de Téglise des RR. PP.
Cannes Déchaussés de Gand; un Tier
caire. Sainle Marie-Magdeleine de Pazzi,
Saint Elienne, roi de Hongrie, et 1'Evêque
Saint Gérard qui oiï're a la demande de ce
saint roi, un sceptre et une courönne a la
Mère de Dien pour mettre sou royaume sous
la puissante protection de Marie.
Mardi dernier, un violent incendiea ccla-
léa Langemarck, a la ferme deM. Bossaerl-
Vercruysse de Courlrai, occupée par le
cultivaleur Samyn. Les remises, les élables
des génisses et des pores sont devenues la
proie des flammes. Tout le resle de Ia ferme
a été préservé grace a la direction contraire
du veniet grace aussi a Tintelligence el a
Tacliyité des Pompiers de Langemarck. Déja
les portes de la grange brülaient, l'ean de
la pompe communale a arrèté la propaga
tion du feu.
Une menlion honorable a l'Adminislration
communale de Langemarck: puisse cel ex-
emple decider d'autres communes a se pour-
voir du malériel nécessaire el a le tenir en
bon élat!
ACTES OFFIC1ELS.
Par nrrêlé royal dn 10 Février, M. C. de
Prellc de la Nicppe, juge suppléanl au tribu
nal de 11C instance séant a Bruxelles, est
nommé substilul du procureur du roi prés
le mème tribunal, en remplacement dc M.
De Brouwer, démissionnaire.
Dispense de la prohibition élablie par
Tarticle ISO de la loi du 18 Juin 1869 est
accordée a M. dc Prei Ie do la Nicppe.
Quand Tadminislration des ponls cl
chaussées songera-t-elle a faire construire
une ou deux jetées a Knocke pour empêcher
que la mer n'enlève a chaque forte nrarée
unepartie de dunes, au milieu desquelles se
trouve const re i t Ie nouveau pliare? Le
mauvais temps du mois de Décembre a enco
re enlevé au moins cinq metres de la
largeur des dunes et si la forte marée
avait été favorisée par un vent du Nord,
Dieu sail ce qui serail arrivé.
Nous appelons de nouveau sur cette im
portante question toute l'altention de M. le
ministre des travaux publics.
BIBLIOGRAPHIE.
PËLERINAGE BELGE A N. D. DE EOURDL'S
LE DIMANCHE 18 AVRIL 1876.
Aller déparl de Mons le dimanche 18
A v rilall heures du matin, pour arriver a
Paris vers 6 h. du soir. A 6 heures et detnie
salut solennel a N.-D. des Vicloires. Vers 11
heures, depart pour Issoudun et arrivée a
Lourdes le mardi 20, a 7 li. du matin.
Retour départ de Lourdes le jeudi, arri
vée a Paray-le-Monial vend red t matin, pour
y passer la journée; puis retour vers la Bcl-
gique. Arrivée a Mons samedi 24, après«
midi, en temps voulu pour que tous les
pélerins de Belgique soienl rentrés chez eux
le mème jour au soic.
La seconde circulaire qui sera adressée
d tous les souscripteursdix jours avant le
déparl, indiquera les excercices spiriluels,
les heures d'arrivée et Ie départ de chacune
des stations d'arrêl.
Les cou|)ons, et loules |iiéces et renseigne-
ments nécessaires aux pélerins, seront en-
voyés en mème temps.
Les prix du voyage, aller et retour, sont
fixés comme suil: Premières fr. 180; secon
des fr. 110; troisièmes, fr. 80.
Aucune modification ne peul être apportée
a ces prix, pour quelque motif que ce soit.
II n'y a pas de demi place.
Dans le domaine du possible, il y aura
des compartiments réservés puur les dames
qui en exprimeronl le désir au moment de
leur inscription.
Toutes les demandos d'inscription doivent
être accornpagnées du prix integral du cou
pon, cn indiquant en mème temps, d'une
manière trés lisible el en toutes lettresle
nom el le prénom du souscripteur, ainsi que
les noms du domicile, du bureau de posle et
de la province.
L'inscriplion, une fois prise, ne sera plus
changée.
S'adresser pour les inscriptions chez M.
de Laagc, a St-André, lez-Bruges.
Les inscriptions se l'erout jusqu'au 20
Mars.
Le comité organisaleur se chargera, pour
Lourdes seulernentde relenir a l'avance
des logements.
L'on aura pendant la durée du séjour,
pour la somme de 20 francs, Ia chambre et
la nourriture (deux repas a la fourebette.)
ASSOC IA TI ON A GR/COLE
DE VARRONDISSEMENT D'YPRES.
GRANDE FÊTE DU MERCREDI DES CENDRES.
RÉSULTAT
nu coivcouns poup. la race chevaline.
1' CONCOURS. ETALONS DE GROS TRAIT
PROPRES AU LABOUR.
1" E talons de 20 a 30 mois.
2 concurrents.
1' Prix: Une médaille en argent cl une prime
dc 200 fr. Lemahieu Henri, Langemarck.
2U Prix: Une médaille en bronze et une pri
me de 100 fr. Van Eecke, Charles, Lange
marck.
2° Etuions de 3 ans.
1 concurrent.
lr Prix: Une médaille en argent et une pri
me de 260 IV. Decorte-Duylschaver,Pope-
ringhe.
2C Prix: Une médaille en bronze el une pri
me de 160 fr. non décerné.
3° Etalons de 4 ans au moins el de
9 au plus.
2 concurrents.
P' Pri*c: Une médaille en argent et une primo
de 400 Ir. Verstracte, Charles, Gheluwe.
2" Prix: Une médaille en bronzeel une prime
de 300 fr. Lemahieu, Hetiri, Langemarck.
Lemahieu, Henri, Langemarck.
Vanneste, Charles, Wervicq.
2<; CONCOURS. JUMENTS DEGROS TRAIT.
13 concurrents.
I1' Prix: Une médaille en argent et une prime
de 150 fr. Syssau, Charles, Langemarck.
2C Prix: Une médaille en argent el une prime
de 100 fr. Soelaerl, Jean, Vlamertinghe.
3e Prix: Une médaile en argent et une prime
de 75 fr. Noliet, Pierre, Langemarck.
4° Prix: Une médaille en argent et une prime
de 60 fr. Coene, Eusèbe, Vlamertinghe.
5C Prix: Une médaille en bronze et une prime
de 40 fr. Tierssoone, Theodore, Elver-
dinghe.
6C Prix: Une médaille en bronze et une prime
de 25 fr. Dehem, Charles-Louis, Holle-
beke.
3° CONCOURS. CHEVAUX HONGRES DE
RACE FORTE PROPRES AU LABOUR.
10 Concurrents,
P Prix: Une médaille en argent et une prime
de 100 fr. Veuve Delbeke, Locre.
2e Prix: Une médaille en argent et une pri
me de 60 fr. Depoorter, Pierre, Lange
marck.
3C Prix: Une médaille en bronze el une pri
me de 40 fr. Syoen,Léonard,Langemarck.
4*- Prix: Une médaille en bronze et une prime
de 26 fr. Herbaul, Séraphin, Warnèton.
5= Prix: Une médaille en bronze el une pri
me de 20 fr. Veuve Delbeke, Locre.
l' Accessit: Van Elslande, Joseph, Wervicq.
4C CONCOURS. POULAINS DE RACE
FORTE AYANT PLUS D UN AN.
Juments.
6 Concurrents.
1' Prix: Une médaille en argent ct une prime
de 40 fr. Deturck, Ange, Langemarck.
2c Prix: Uno médaille en argent et une prime
de 30 fr. Syssau, Charles, Langem-arck.
3u Prix: Une medaille en bronze et une prime
de 20 fr. veuve Therry, Bixscbole.
4i' Prix: Une médaille en bronze et une prime
de 15 fr. Dcmcy, Constant, Boesinghe.
HOAGRES.
1' Prix: Une médaille en argent et uneprime
de 40 fr. Noliet, Pierre, Langemarck.
2e Prix: Une médaille cn argent et unê prime
de 25 fr. Dauchy, Eugène, Langemarck.
3° Prix: Une médaille en bronze et une prime
de 20 fr. Swyngedauw, Pierre, Ypres.
1'- Accessit: Gauquie, Joseph, Boesinghe.
5= CONCOURS. POULAINS DE RACE
FORTE AYANT UN AN ET AU-DESSOUS.
11 concurrents.
lr Prix: Une médaille en argent et une prime
de 40 fr. Verraes, Charles, Wytschaete.
2° Prix: Une médaille en argent et une prime
de 30 fr. veuve Demoor, Langemarck.
31- Prix: line médaille en bronze et une prime
de 20 fr. Vanneste, Auguste, Langemarck.
Nous avons dója enlrelenu nos Icclnurs du Pi'opn-
gateur du Rosa ire, publication munsuelte/ sous la
direction du R. 1'. Iweins, do Tordre des Frè'res
Prêclieurs.
Nous apprenons avec bonhetir que cette enlrepri-
se réussit on ne peul mieux En quelques semainvs
le chiffio des ahonnés, s'est élevé au dela de 1 iOO.
Cette brochure se répand non-seulement en Bel-
gique, muis en France et en liollande; eile parait cn
francais el en flamand.
Le numéro de Février que nous vonons de rece-
voir est on ne peut plus intéressant. Nous ne pou
vons assez felicitur le trop modeste et infatignble
religieuxqui par ceite,publication cherche a faire
connaitro davantage le Sainl-Rosaire et a dévelop-
per parmi nous, celle belle devotion.
Nos lecteurs ou les personnes qui désireraient
s abonnee a cette revue, sout priés de s'adresser a
Monsieur Polydobe Vakdendiuesche, rue de Tbou-
rout, a Ypres.
Conditions de Tabonnement:
UN FRANC PAR AN.
PRIME DE CONSERVATION.