REVALENTA ARABICA DEGHAlFi, FERME, AMTiOUiTÉS SANTÉ A TOUS 2° Ammmmm CIEl H. EIIËEY-DECÖRT, I NSTEL Pour cause de dissolution de Société. YEN TE PUBLIQUE CONCIERGERIEMA GA SI NS, CURIE CITÉ OUVRIÈRE, SEANCES: flïïsE-TpnTx~ D'MS PETITE FFRSE d Insfrurnenis A ratoires BOIS D'OURDAGE, MUX mm YAC'HËS lAITIÈBES. ONBOEBENDE GOEDEBEN GKOOTE VENIUTIE AU Sl MEDARD, du barreau au profit d'une nombreuse clien tèle et a l'honneur de la profession, toules les qualités du coeur et de l'esprit, avec les piincipes calholiques pour régie ct pour base, dos connaissances adminislralives el poliliques développées ehaque jour dans l'exercice du dévouement a la bonne cause, enfin des habitudes de serviabiliié a loute épreuve, tels sont les principaux litres qui recbm manden t Ie candidal. M. Iwcins rappclle ensuile succintlemonl les services que la majorité catboHque du Conseil provin cial a rend us a la Province de la Flandre Occidentale et a rarrondissoment d'Yprcs en particulier. II insistc énfin sur les caraclères et sur l'importance de la hitte qui s'engagc de plus en plus viveinent ent re- les deux partis qui divisent Ie pays, signale les ten dances de plus en plus anli-chrélienne.s du parti liberal et les fa la les consequences qn'en- (raine pariout Ie libéralisme dans l'ordre religieux, politique et social. Souvent la pa role de M. Iwcins a élé couverio fles applau- dissements de PAssemblée. M. Louis Biebuyck demanda alors a son tour la parole. Dans un langage éloquent et ému,il remercia J'AssembléeJ'assuranl de son complet dévouement a la grande cause catholique et a tous les intéréts matériels et moraux des cantons d'Yprcs et de notre Flandre. II caractérisa dans les meilleurs termes la situation faite aux calholiques, dé- finit leurs devoirs, les conditions dé la hitte et du triomphe. Sa candidature, si sympa- thiquement accueillia dés l'ubord, recut par ce discours comme sa consecration publique, si bien chacun sentail qu'ainsi les intéréts ct les droits des commeüants ,doiverit èlre comprise! défendus. La sincérité et la génó- rosité du dévouement percaienl a travers toutes les paroles: du jeune oraleur. Pour terniinér ja séance, la parole fut donnée a M. Eug. Struye, qui résumn som- mairement et énergiqueinént les différents discours; recommanda Paction, la vigilance, le travail continu jusqu'a la derniére heure, Penlrainement au scrutin, et élablit que, dans Parrondissernent d'Ypres, les catholi- ques ne sonl baltus que quand ils veulen t I'étre. Calholiques, nous devorvs songer que ('en gagement de 1875 est le prélude de la ba- taille de 1876; faisons de notre succes d'au- jourd'hui le gage des triomphes futurs. Courage, de l'énergie et encore de l'énergie! L'Association consultée décide qu'elle se réunira de nouveau, Samedi prochain, 22 Mai, a 2 1/2 h. de relevée. NOS VOIES DE TRANSPORT. Discours de M. Bekten. Nous appe'ons l'attentiön de nos lecteurs sur le discours, si plein de raison el d'oppor- tunité, prononcé parM, Berten, dans la sé ance du 13 Mai. L'arrondissement d'Ypres se convaincra une fois de plus que la défense de ses intéréts vilaux ne pouvait étre confióe en de meiileures mains. Nous remercions notre représentant d'avoir exposé si claire nte n t. et si énergiquemenl les griefs tie la Flandre et de l'arrondissement d'Ypres en particulier. Nous avons toule confiance qu'il sera pleinement satisfait, dans nn prochain avenir, aux vceux du commerce, de Pindus- trie et de notre population tout entiére. 1 C'est nn mois de Juin qn'anra lien l'ineor- poration dee miliciens de la classe de 1875. Notts avons fait comtailre les mnsnres prises pour cette incorporation. Nous croyons devoir compléter les renseignernents que nous avons donnés a ce sujet en reprodui- sanl les dispositions de la loi qui fixe la durée du service des miliciens, selon qu'ils apparliennenl a I'iii fan Ier ie, a la cavalerie' ou aux armes spéciales. L'art. 85 de la loi du 3 Juin 1870-18 Septembre 1873 dispose Les miliciens sont envoyés en conc;é illi.mité lorsqu'ils ont passé au service act if a partir du jour de Rappel sous les armes de leur contingent, le temps ci-après délermi- né Vingt-huit mois dans le cours des trois premières années s'ils apparliennenl a fin - fanterie de ligne, aux chasseurs a pied ou au train. Trertle-six mois pendant les qnatre pre mières, années s'ils apparliennenl au regi ment des grenadiers ou au régiment des carabiniers. Trois ans s'ils appartinnnent a i'artillerie de siége, au régiment du génie, a la com pagnie des pontonniers., a cclie desartifi- ciers ou au balaillön d'administration. Quatre ans s'ils appartiennent aux batte ries a cheval, aux batteries montécs ou aux escadrons de cavalerie. Les miliciens et remplacants dont le servi ce aelif est de vingl-buit mois, peuvent étre lenus a un rappel d'un mois pendant la quatriéme année de leur terme. Op ZATURDAG 22"" MEY 4875. om 2 uren namiddagzal den Notaris WA A KKCMSS. te Yper, overgaen tot den A7an 4° Een groot en schoon WOON HUIS met Hoving, bewoond door Madame ww? Collet. 2e Een idem bewoond door Mr De- pierre. Deze Woonhuizen zynde schoone renteniershuizen en dienende voor alle slach van nyverheid, zyn gestaen en gelegen te Yper in de Rysselstraet. in GMIVD (ayanl servi de fabrique de toiles ct composce dc 24 Maisons, Jardins et Terrains a batir, propres a toute industrie, le tout d'un bloc de 2 hectares, 76 ares, 6 centiares dc Terre a Ypres, prés de l'ancienne porte de Men in, divisé en 48 lots. II y aura f «Se gain «ie inise-a-prix. Les amateurs auront la faculté de proposer une ou plusieurs masses. Uacquèreur ne devra payer pour tout frais de vente publique et de transcription que 10 La Mise-a-Prix est fixce au MARDI 25 MAI, et Pad judication definitive ct sans remise, le MARDI 8 JUIN 1875, k 1 heure de relevée, a l'estaminet SAINT LAUJiENT, rue des Chiens, a Yprcs. Le Notaire Jl ilII KIJ, rue des Récollets N° 22 a Ypres, est char gé de la direction de cette vente. LA SOUSCRIPTION aia de S. E. R. Mgr. le Cardinal Inscription dans l'album jusqu'au 20 'MAL chez Vahdérg/iinste - Fossê, rue au Beurre, 66, Ypres. T U D E lilMW'ei, Wetoire A COilIINES. •IRUDI 20 MA! 4875, a 5 hen res de relevée a l'estaminet la Station, a Comines, d'nne pet 'le avec 4 hectare 64 ares 80 centiares df Ponds, Verger, "Terre-et, Terrain a bal-ir, a Comines, oceu ée par Fr. Leclercq-Delbccque et Augitstin Clais. LUN Dl 24 MAI 4875, a 6 beu res de relevée, au cabaret VUnion, a Ten- brielen. avec 2 hectares 49 arcs 46 centiares en Fonds de ba-timent,s, Pature et Torres a Labour a Comines-Tenbrie- len. oceupée par Henri Charles Calle avec droit, .jusqu'an 4"rOetobre4875. Mise-d prix 4 7,320// 'wrics (avec rinteryentjon dc Mc WAM 15 85€I4 15', Notaire a Wervicq.) JEUDI 27^MaTT875, a 2 heurcs de relevée a la RIaison Communale, a Houthem. WcBiSe paalsSis|gge et, de TE KOOPEN M I M Hi 15 M W P II. K Woesten en Reninghe. Een Hofstedeken langs de Omloop straat, groot 6 hectaren 05 aren 24 centiaren. Gebruikt door de we duwe Persoon e. Reninghe. Een Hofstedeken, langs dc Pershof straat, groot, 4 hectaren 94 aren 90 centiaren. Gebruikt door sicur Debeir. Een Hofstedeken bij dezelve straat, groot 3 hectaren 73 aren 40 centiaren. Gebruikt door sicur Ernest Per- soone, eigenaar der gebouwen. Eene partie Sparrehoseh, groot 4 hectare 57 aren 50 centiaren, sectie D, 1,267. Oostvleteren. 1 hectare 90 aren 64 centiaren Gras en Zaailand hij de herberg den Stier. Gebruikt door sieur Désiré Comelte. 44 aren 66 centiaran bebouwden Grond en Weide, langs' de Nieuw fi st raet. Gebruikt door sieur Francies Saesen en andere- Langemarck. 63 aren 20 centiaren Zaciland, sec tie F, Nr 724. Gebruikt door sieur A Hein. Boesinghe. 9 aren 40 centiaren Meersch, langs den steenweg naar IJpre, sectie A, Nr 4,069. lÉSTEL, met'-gewin van promicn, ZATERDAG 22 MEI 1875, om 2, uren namiddag ter estaminet den Gouden Arend, binnen IJpre, ingevolge do voorwaarden, berustende ten kantoö- re van den Notaris VANDER81EERSCH, te IJpre residerende. ClercIiMi-SIoatk ii 1st ten verzoeke van Mev. de Dre Cassiers, op DONDERDAG 27" ME! 4.875, om 4 ure na middag, van 25 koopen Eiken Hoornendienstig voor timmerwerken. 75 koopqn Plantsoenen voor latte- perssan, plafondlatlcn en sjteeken. 50 koopen Roomkroonen en Toppen van plantsoenen. 8 vummen Yeldspaanders. ■40 vummen 'drooge Blokken. 4,000 Eiken Snoekbusscben. 4,000 Sparrcbusschen in vummen. De vergadering ter herberg van P. Meersman. Door 't ambt van K. Degroote, Greftier, te Dixmude. VENTE PUBLIQUE EI OBJETS D'ART DE LA BELLE ET NOMBREUSÉ COLLECTION de M. Désiré Rölim, Artiste peintre et Professenr a FAcadémie des beaux-arts d'Ypres, in' Marall 9S Mffia fSfö, et jours suivants, de 40 beures du matin a midi et demi et de 3 a 6 4/2 beures du soir, au local de l'ancien Lombard, ruc du Lombard 43, a A7pres. Par le ministère de M° waaseier- me^rscBii. Notaire a Ypres et sous Ia direction de M' L. Van Dycke, anti- quairc a Bruges. Cette vente se fera au comptant avec augmentation dc 40 COIN DE LA RUE AO BEUR'R'E, on trouve un très-beau cboix d'Om- brellcs, Enoas, Ptirapluies et Cannes, bien meilleur marclic que partout ailleurs. M. BERTEN. Messieurs, mon intention était de prendre la parole au commencement de la dis cussion du budget et de présenter alors des obser vations asses élendues sur les voies de communica tion en general. J'en ai été empêché malgré moi. Les discours qui out été prononcés depuis lors ct des circonslances partïcu 1 ières me permellent de restrcindre quelques-unös de ces observations el de supprimer '.es a litres. La reprise des cliemins de fer de la Flandre occi dentale est réclanvée de nouveau, avec instance, par les liabilanls de l'arrondissement d'Ypres, dont un grand nombrè ont adressé récemment des petitions a la Chambre. Le conseil provincial de la Flandre occidentale, dans sa session de 1874, a renouvelé le voeu qu'il avnit déja émis en 1871 et 1872, pour In reprise par FEtal des chemins de fer concedes, et la deputation permanente a élé chargée d'user do tous les moyens possibles pour parv.eiiir. enfin a la réalisation de ce voeu, qui lend a faire cesser l'état do souffranco dans lequel se trouvent le commerce et l'induslrie d'une grande partie do In juovince el nolamment de tout l'arrondissement d'Ypres, pnr suite du tnrif exorbitant impose par la sociélé des Bassins houil- lers, qui exploite acluellemeht les cliemins de fer de la Flandre occidentale. De leur cötó, MM les représentants de la Flandre occidentale n'ont cessé d'cxpdser au gouvernement les jusles plaintes que cel élat de choses soulèvo. D'après le rapport du budjet, les sections ont aussi nppelé l'attentiön du gouvernement sur la re prise des chemins de for concedes et nolamment de cetix de la Flandre occidentale. La section centrale a invité Ie gouvernement a examiner si la reprise de ce réseou ne serait pas opportune et el le a émis le vceu qu'un projet de. loi dans ce sens soit promple- ment dépasé. Je constate avec satisfaction que toutes ces voix réunics ne sont pas reslées sans écho et qu elles ont attiré l'attentiön de l'honorabie minislre des travaux publics. En effet, dans la séance d'hier, oprès s'rjtre occu- pé de la question de reprise de chemins do fer con cedes et de la difficult a en résulter pour l'admi- nistralion, M. le minisire disait Je reconnais cependant, avec mes collègues les dépulés de la Flandre occidentale, que celle provin ce se trouve dans une situation particuliêremenl désavantageuse et dont elle a droit de se plaindre; puisque, sauf sur un petvt nomfre de lig-nes, elle paye un tarif plus élevé que ceux de l'Etal et se tröu- ve ainsirelutivemetit aux aulres, dans des condi tions de veritable infé.riorite. La Flandre occiden tale.devra done étre 'j'une des prémières préoccupa- lions'de I Etat, lorsqu'il s'agira de reprendre des I ignes nouveilcs L'honorabie ministre ajoutnil: II n'y a point, i' ne peut y avoir pour notre industrie d'avantage plus important que des tarifs pet) élevés; peut étre cela sera t-il encoro plus vrai dans i'avenir que dans le présent. Qu'il me soit permis de faire ressortir la nécessité indispensable de la reprise et de l'abaisscmo.nt des tarils par une compftraison entro ceux de l'Etal ct de la société, comparaison qui suffira pour prouver que ^application de ce deruier tarif est ruineuse pour l'arrondissement d'Ypres. Un waggon de 10,000 kilogrammes de houille, expédié de Jemmapes a Poperinghe (oü il n'existe aucune voie navigable)paye actuellement G7 francs, pour droit de transpórt, tandis que ce droit ne s élèverait qu'a 48 francs d'après le tarif de l'Etal; done une ditférence en plus de 19 francs, resultant dun parcours de 44 kilometres, distance qui- sé- pare Poperinghe du chemin de fer de l'Etat a Coui trui. La difference pour Ypres et dans la même proportion d'environ 27. p. c. De ces chjffrcs, il résulte, que pour un million de kilogrammes de houille, l'indnslriel paye une mnjorniïon de 1,800 francs, en y ajoutant une somme égale pour le transport des malières pre mières et l'èxpédition des produits de fabrication, on arrive a un résultcl qui expljque facilement la dilliculté, je puis dire l'impossibilité d'élablir, dans mon arrondissement, des industries en mesure de littler avec celles jouissant des faveurs du chemin de fer de l'Etat. Le transport des perches a houblon, d'une im portation considerable a Poperinghe et dans les communes limitrophes est tont nussi couu'ux, ce transport exigeant deux waggons ou un waggon it buit roues; ces perches nous arrivent en grande partie de la fronlière hollandnise; en admettant la déparl d'Anvors, le coöt de transport jusqu'a Pope ringhe est de 19rt francs; par le tarif de l'Etat, il ne serail que de 142 francs.Done difference en plus de S3 francs pour 20,000 kilogrammes, charge d'envi- ron 1,300 perches de moyenne, grandeur, nombre nécessaire a la culture d'environ 45 ares de bou- blonnière. II est desirable que les perches a houblon et les engrais soienl soumis a un tarif plus modéré, même au chentin de fer de l'Etal, et que la majoralion, resultant du transport sur celui de la Flandre Occi dentale, yienno it cesser, car en definitive le coüt de ces transports se paye par I agriculture, qui devrait, ainsi que l'ont demandé les sections, jouir des re ductions accordéesaux industries les plus favorisées. J'aime a croire que le gouvernement s'occupera activernent de la question de reprise des chemins de fer de la Flandre occidentale et qu'il saisira prochai- nemont l'occasion de satisfnire aux jusles reclama tions dé la province de laFlandre occidentale,lendant a ce qu'elle soit mise, comme elle en a le droit, sur un pied de parfaile égalité avec les autres provinces. x x J'ajouterai que je ne puis admettre l'opinion qui a étc cmise, que, pour que le gouvernement se décide I a une reprise de chemin do fer, il faut que son pro duit soit suffisant pour ne pas meltre l'Etat en perle. II me parait qu'il y a lieu de tenir comple non- seulement du produit effectif de ces voies de trans port, mnis aussi et surtout du bien-étre a résulter de leur reprise pour l'induslrie, l'agrjculture et la population en général; bien-être qui augmentera la fortune publique et, par conséquent, les droits de mutation, de succession et tous autres impóïs, dans lesquels le gouvernement trouvera une large com pensation. x II me roste a parler d'a'utres voies de communi cation, qui apportent aussi leur tribut a la richesse du pavs el au tiésor public. Les chemins vicinanx.indispensables a la prospé- rité de l'agricultnre, ne peuvent étre trop nombreux. Les administrations communales en général, recon- naissant l'utilité des routes pavées, se sonl imposé de grands sacrifices pour en obtcnir, ct dans le but de parvenir a une prompte exéculion, la plupart des communes ont fait dos avances considérables pour les provinces el l'Etat; il faut reconnaitro que leur zèle el leur activué n'ont pas toujours élé bien récompensés, car les communes no rentrent que trés lehtement dans leurs débours et encore par payeraents ïeHfemoht minimes, qu'ils suffisent quni que fo i s a peine a ncquitter les intéréts des capitaux emprUniés pour faire ces avances de frais do Construction. Je finis en émcttnnt le voeu quo ie gouvernement prenne, le plus lót possible, des dispositions le meilant en mesure de payer in'égralemeiil les sommes dues pour construction des routeslerminées et reprises. Un grand notnbre de communes n'atlen- dent que la rentree de ces subsides pour entrepren- dre de nouveaux travaux de voirie ou autres d'ulilité générale. La question des routes m'amène nccessairemnnt a dire quclques mots en faveurs des conducteurs des ponts et chaussées; ma besogne sera facile; car je n'ai ricn de micux a faire que de m'en rapporier entièr,anient a ce qu'a dit, leur égard, l'honorabie M. Tlionissén, qui a défendu avec tanl d'éloquertce la cause de ces infatigables traval I leu rs qui, quélque denomination qu'on puisse leur donner, sont et resteront les vérilables conducteurs des travaux publics. Je desire quo leurs services s.oint mienx appréciés et qu'il soit procliainement satisfait a leurs jusles réclamations. da te dés Londres, dilp: rendtte sans médecine, sans pttr pat' la délioieuse farine de Santé de et Du ai'i'y frais de Yingt-six ans d'invariable sttccès. Elle combat avec succes les dyspepsies, mativaises digestions, gastrites. gastralgies, glaires, vents, aigrettrs, acidités, piltiiies, nausées, renvois, vomissemenls, même en grossesse, consti pation, diarrbée dyssenlerie coliques, phlhisie, tonx, astbrne, élouffements, étourdissements, oppression, congestion, névrose, insomnjes, mélancolie, diabete, faiblesse, épuisemrnt, anemie, cblorose, tons désordres de la poitrine, gorge,, haleine, voies des bronches, vessie, foie, reins, intestins, mttqueiise cervean et sang, 75,000 cures, y compris celles de Madame la Dttchesse de Castlestuarl, le due de. Pluskow, Madame la marquise de Bréhan, Lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre, etc., etc. Dyspepsie: M. J.-J. Noël, de Thvillies (I/amant), de, vingt annéex de dyspepsie. Dartkes: M, Gr. Go os, de Liége, abandonné par les mêdecim qui diklaraiehl qu'a son age (55 ans) toule guérison élait impossible, a élé lotalcment giléri des dartres par I'usage de la Hevalenla. N" 49,8-42: Mme Marie Joly, de cinquanlc ans de constipation, indigestion, nervosité nisomniesastbmetonx, flatus, spasmes et nausées. j\" 46,270: M. Roberts, d'une consomption pulmonaire, avec tonx, vomissemenlsf constipation et surdité dc 28' années. TV" 46,217: M. ie dóctenr-médccin Martin, d'une gqstralgie et irritation d'esiomac qui le faisait vomir 15 a 18 fois par jour pendant-huil ans. N" 46,218: le colonel Watson, de la goutteneuralgie, et constipation opinidlre, A'° 18,744: le doctcur-nudecin Short-andd'une hf/dropisie et constipation. N° 49,522: M. Baldwin, dé l'épuisement le plus complet, paralysie de la vessie ct clcs membres, par suite d'excès de jcuncsse. Cure N" 62,913. Valgorge [Jrdèrhe), 19 Octobre 186,3. La Revale.nla est un rcmède que j'appellerai presque divih. Elle a fait un bien immense a noire bonne srnur Julie, attcinte depuis quatre ans d'une névralgie d la lè.tfi, qui la faisait souffrir cruellemcnt et ne lui laissait presque aucun repos. Greece d voire spéci/ique elle est qujourd'hui guérie. Monassier, cure. 1 Plus nourrissanle que la viande, elle economise encore 50 fois son prix en médecine En bolles: 1/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 60 fr. Les Biscuits de Revalenla. en boites de 4, 7 et 16 francs. La Remlénta chorolatée, en bolles de 2 fr. 25 c.; de 576 tasses, 60 fr.—Envoi contre bon de posle, les boites de 32 et go fr. franco. Dépot chez C. Bectiwe, pharm. rue du Verger. H. Frysou, rue de Dixmude, Ypres! Bruges, Vve De Grave, droguiste, rue Eeckhout, 2. V. Veys-Frisoti, Prés St-Jacques, 2* phaimacien. L. Algoet-Dispersyn, négociant, rue Notre-Daiide, 33. De Bondt-Gazel, den'rées coloniales, rue des Pierres, 10. A. Willaert-Dc Smet, denrées coloniales, Grand'Place 3 Courtrai, H. Bossaert, pharmacien. E. Hiers, pharmacien. -Fumes, E, Duclos, pharmacfen* Moorslede, Cb. Bostyn, boulanger. Ostende, F. Kockenpoo, pharmacien, rue Louise. Bo'uler's* H. Boulens-Degeest, pharmacien. Tieghem,'G. ct V. Moreels. Thielt, J. Buyssens-ByK pharm* et chez les pharmaciens et épiciers, Du Barry et C0., Boulevard du Nord, N" 19, Bruxelles

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 3