REVALENTA ARABSCA SANTE ATOUS OÜYRAGES NEUFS OFFICE ET M E SS F, ST-RONIFACE 5 JUIN. GROOTE VENDITIE SCHOON GROOT HUIS, d'Instruments A ratoires JJOIS D OURDAGE, DEUX BONNES YAC11ES LA1TIÈRES, AU Sl MEDARD, CHEZ H. EMERY -DECÖRT, VIER WOONHUIZEN II y a des mor Isit y a des blessésü! Loyola, tu Las voulu, voild ton oeuvre. Maintenant qu'un jour s'esl passé, que les esprits sont relalivemeul calmes. qu'ils con- sidèrent froidement les fails, le sentiment public se traduit par indignation, colére, rage. Toutes les bouches prononcent un mot terrible de meditations: La guerre civile. Oui,/tt guerre civile, étudiaiils libéraux, songezy bien, elle upproche; LiegeGrind, •aulant d'escdrmouehes pour Caction géné rale. La guerre civileLoyola la vent, la de sire, Pappeile, il s'y raecroclte pour frapper un grand coup, nous vaincre, nous libéraux, et puis... régner en mailre. La guerre civile,tu lu veux Loyolosoil, nous sommes prots, muis c ost pour (etter miner. Beviens a Gand avec les bordes,si tu Po ses; nous iégorgerons tous. Beviens et lu verras la canaille libérale a Poeuvre. Reviens et le sang coulcrapar lorrenis, lu g baigneras la soutune. Nous t'atlendons. ex avaxt. LA SITUATION EN PBÉSE'NCE DES PRUSSIENS DE L'INTÉRIEUR ET DE L'EXTÉRIEUR. Un journal anglais, qui n'est pas sans au torité, le Daily Télégraph, publie la dépêche suivante dalée de Bruxelles, le Jeudi 20 Mai: Je liens d'une source qui me permet de garantir celte nouvelle, que le comte Per- poncher a été chargé de prier Ie Gouverne ment beige d'interdiré les processions rdi- gieuses. Geile nouvelle demande de l'Allema- gne a pour but Ie renversemenl du cabinet beige actuel; rnais comme elle constitue un acte d'intervention direcle dans les affaires inlérieures d'un pays voisin, elle a été, pour des raisons faciles a comprendre, tenue aussi secrete que possible a Berlin, Nous n'avons aucuneinformation qui nous permelte de garantir Pexaclilude de la nou velle annoncée par le Daily Télégraph en des termes si formels. II n'est cependant que Irop visible qu'une alliance élroite unit Ie libéralisme beige au libéralisme prussien. Nous sommes bien persuadés, pour notre part, que nos libéraux, pour escalader le pouvoir, n'hésiteraient pas a accepter la su- zeraineté de M. le prince de Bismark, a lui sacrifier noire indépendance et Ia liberlé re- ligieuse des calboliques. II n'est plusaujour- d'hui, dans toute la presse libérale, un seul journal qui défende encore la liberlé de l'ex- ercice public du culte, garantie cependant en toules lettres par la Constitution beige. Si Ie libéralisme arrivait au pouvoir dans les circonstances acluelles, et sous les auspices de l'étranger, il est plus que probable que notre droit public subirait de nouveaux ainoindrissements. Indépendamment de no tre organisation militaire, la législation qui regit la presse, les associations religieuses, 1'enseignement et le lemporel du culte, serait certainement mise en rapport avec le régi me allemand. Dés a présent, beaucoup de libéraux ne proclamenl-ils pas que l'Allema- gne nous a doriné, sous ce rapport, un exemple bon a imiter?... Si la situation est telle que le décrit le correspondanl du Daily Telegraph, nous n'hèsitons pas a reconnaitre que les ministres se trouvent en présence d'immenses el diffi- ciles devoirs. Pour l'honneur des hommes d'Eiat qui Ie composent et pour l'honneur de notre parti, nous espérons que M. Malou et ses collègues sauront demeurer a Ia hauteur de celle lache. 11 s'agit avant tout de sanver, avec la liberlé religieuse des calholiques, l'indépendance du pays. Plus que jamais ces deux grandes causes sont aujourd'hui inti- mement liées l'une a l'autre. Toule capitula tion sur les droits des calholiques apparaitra nécessairemenl comme une concession faile a l'étranger enlamera évidernment les droits des calholiques. II faut, avant loutes choses, au mininislè- re, du courage et de la fermeté. Nos inlérêls i les plus chers sont entre ses mains. II ne peut et il ne doit absolument rien en céder. S'il devait succomber sous l'assaut simul tané des Prussiens de l'intérieur et de l'exlé- rieur, que ce soit du moins sur une question nettemenl posée et en arboranl le drapeau catholique! Ainsi seulement seront sauvegar- dés l'honneur de notre cause et son avenir. II y a en Belgique une profonde répulsion pour la domination étrnngère, et si cette ré pulsion venait se forlifier encore des résis- tances du sentiment religieux profondément blessé, il ne faut pas èlre prophéte pour pré- dire qu'en dépit de l'appui de M.de Bismark, le règne du libéralisme ne serait pas long. Malgré loutes les intrigues, la Belgique, sou- levée par un palriotique enthousiasme, sau- rait défendre son indépendance et sa foi. Mais nous n'en sommes pas encore réduits a de pareilles exlrémilés. Le ministère trou- vera dans le concours de la majorité et dans l'adhésion de tous les véritables Beiges assez de force pour résister a la pression étrangè- re. qtielque appui qti'ello puisse malhenreu- semenl rencontrer dans cerlaine presse et chez certains libéraux affnmés de pouvoir. Nous aimons aussi a nous persuader que le Boi, fidéle observatciir de ses devoirs consti- lulionnels. gardien de la neulralité beige el protecteur de noire indépendance, saura nous conserver le gouvernement du pays par le pays el nous préserver du gouverne ment du pays par la Prusse. C'est le premier de ses devoirs et il n'est pas Ie moins inté ressé a le rcmplir. LE CAS DE LOUISE LATEAÜ. VUnicer s revient en ces termes sur ses observations, relatives au cas de Louise La- teau, Ia sligmatisée de Bois-d'Haine. La science moderne, cette science qui a peur des faits et se dérobe bien souvent derrière les theories préconcues et les for mules élaborées a priori, y est mise au pied du mur. Voici les pourquoi de YUnivers les paree que de la science moderne se feront, selon toule apparence, attendre assez long- tem ps A PRIX RÉDUITS, envente chez VANDERGHINSTE-FOSSÉ, Un arrêté royal, en date dn 19 Mai anto- rise la construction d'une sacristie a l'église de Kemmel. üflaiinel tPinüili'iiction reli- giciiütc «le piété et «iNépliication, u l'usage de tajeunesse, par PAbbé Pogxox, in-12, 708 pages avec approbation, au lieu de 3-50 1-50 liCdres sin* Ia vie jPuii nom- iiic «ïésus. selon M. E. Renanrnembre de iTrtslilul, par Jeax Loyseau, 14me édtiiion. in-12 2 50 Fes soirees aiuiBsaiites, recueil nouveau el varié d'bistorieties, anecdotes, plaisahteries, bons mots, plaiijoyers comi- ques, aneris. calembonrgs, joyeux devis, etc., etc., an lien de 3 50 2 00 iLe i»rêtee «levalVt 1«» (siècle, par PAbbé Martin, ouvrage dédié a l'épis- copat, in-8° de 472 pages, au lieu de 6 fr. 2 50 Cours complet dTiist rnetions «eitves et pratiques sur I«;s Sa- ereiïieuts, a l'usage de MM. les curés des villes el des campagnes, in-12, 275 pages, au lieu de 3 50 1-50. NÊCROLOGIE. Notre confrère, M. Eugéne Erèbe, rédac teur en chef du Journal de Bruxelles, vient d'étre frappé bien douloureusement dans ses plus chères affections. Son fils unique, M. Armand Charles Erêbe. agé de 23 ans, a succombé après quelques mois de sonfiran- ces a une maladie qui ne pardonne pas. M. I'avocat Beyaert, de Gand, ancien rnembre de la deputation permanente du conseil provincial de la Flandre Oriëntale, vient de mourir a Rome, oü il s'était rendu en voyage d'agrément. M. Lammens, cnré de St-Miche! lez- Bruges, est décédé le 24 de ce mois, a Page de 70 ans et demi. chez VANDERGHINSTE-FOSSÉ, rue au Beurre, 66, Ypres. FAITS DIVERS. na, telkens om 3 uren namiddag, ter herberg La Paix, te Voormczecle plaets, het volgende onroerende goed: Oeaieeute lro«rmcKeele, Koop een. - Een groot, nieuwge- bouwen en allerschoonst WOONHUIS met verdere gerieven toedies 13 aren 28 cent Erve,onder bebouwden Grond Cour en schoonen Hof, staende langs den steenweg, allerbest gelegen, te genwoordig dienende voor Rente niershuis en bewoond door den heer Man-Ba,ptiste Six, met regt van pacht tot 1 October 1875. Koop twee. Een WOONHUIS, Stalleken en gerieven, gebouwen op 2 aren 35 cent. cheinserve onder be bouwden Grond, Cour en Hoving, be woond door si.eur Lamootmet regt van pacht tot 1 October 1875. Koop dry. Een WOONHUIS, Stal leken en gerievengebouwen op 2 aren 76 cent. cheinserve, onder be bouwden Grond, Cour en Hoving, tegenwoordiglyk bewoond door sieur Deraedt, met, regt van pacht tot 1 Oc tober 1875. Koop vier. Een WOONHUIS, 'Stalleken en gerievengebouwen op 2 aren 90 cent. cheinserve, onder be bouwden Grond, Cour en Hoving, tegenwoordiglyk bewoond door sieur Deconinckmet regt van pacht tot 1 October 1875. 1/2 Instelpremie te winnen. De voorwaerden en tvlelen van ei gendom berusten ten kantoore van genoemden Notaris VAN EECKEte Ypre. Ruchlbaerheid. CIï'rpks'M-filïaïaflBalst ten verzoeke van Mev. de Dre Cassiers, op DONDERDAG 27" MEI 1875, om 1 ure na middag, van 25 koopen Eiken Boomendienstig voor timmerwerken. 75 koopen Plantsoenen voor latte- perssen, plafondlaiten en speeken. 50 koopen Boomkroonen en Toppen van plantsoenen. 8 vummen Veldspannders. 40 vummen drooge Blokken. 1,000 Eiken Snoekbusschen. 1,000 Sparrebusschen in vummen. De vergadering ter herberg van P. Meersman. Door 't ambt van II. !®egs*<s>ote Gretïier, te Dixmude. OPEN RARE VERKOOPING MET GEBOUW gediend hebbende voor Schrijnwer kers- en Timmermans Atelier, staande binnen T P RIS aan de westzijde der S' Jacobsstraat, N°40. Bewoond door Jttfv. Josepuina Depoorter. Dezen eigendom is te zien alle da gen, van 2 tot 5 uren namiddag, de Zaterdagen en Zondagen uitgezonderd Den koo'per zal de helft zijner koop som in handen mogen blijven behou den, voor 10 jaren aan 41/2 Den INSTEL, met gewin van pre mie, MAANDAG 7" JUNI 1875, om 4 uren namiddag, ter estaminet Ant werpen, binnen Yper, ingevolge de voorwaarden ten kantore van den Notaris V A MSB EllMEEKSCH, te Ypre residerende. ÉTUDE ïi A W M O Y YaïlmiE-e A COMINES. 1° JEU Dl 27 MAI 1875, a 2 heures de relevée a la Maison Communale, d'Houtuem. Veiite publifjiic 2° JEUDI 3 JUIN 1875, a 5 heures de relevée au cabaret le Corentje, A COMINES. A «1 j ®a «2 i c.ia.t i a PETI T 55 F F K M F, avec 1 hectare 61 ares 80 centiares de Fonds, Verger, Labour et Terrain a batir, a Comines. Mise a prix a 11,100 fr. 3" MARDI8 JUIN 1875, a 4 heures de relevée au cabaret YEtoile a Gheluvve," MISE-A-PRIX avec Me IleSeSba-trle, Notaire a Gheluwe. De 3 hectares 53 ares 91 centiares de TERRE, VERGER, ET PRAIRIE a Gheluwe, avec les BAT1MENTS Y ÉR1GÉS, occip és par la veuve Van- dorpe-Masschelein, a 425 fr. par an. Divisés en 4 lots. Une mére et sa fil Ie désirent se placer en un service convenable de une ou deux per sonnes. La mére se chargerait des soins du ménage, la fil le d'autres travaux. S'adresser au bureau du journal sous les initiales S. P. COira DE LA ROE AU BEURRE, on trouve un très-beau choix d'Om- brelles, Eneas, Parapluies et Cannes, bien meilleur marehé que partout ailleurs. EN HOVING, TE VOORMEZEEEE. De Notaris VAN EECKE, te Yperen, zal openbaerlyk verkoopen in twee zitdagenwaervan de eerste voor den INSTEL op DONDERDAG 27 MEI 1875, en de tweede voor den OVER SLAG op MAENDAG 28 JUNY daer- Nous n'avons poinl He réponse de M, Sarcey it s'en tienl a ses explications sor Louise Lateau. La sligmatisée de Bois d'Haine est décidément une mnlade. Nous serions curieux d'entendre M. Sarcey raisonner plus longuemenl sur ce cas. Quelle cause peut avoir a ses yeux une si élrange maladie que celle dont souffre l'humble paysanne Depuis sept ans le jour consacré par l'Eglise au souvenir de la Passion de Notre Seigneur Jésus Christ cetlo pau- vre fitie éprouve régulièretnenl aux piedsaux mains et au cölé en conformité avec les plaies sacrées du divin Rédempteur, de longs écoulements de sang suivis d'extase et compliqués d'une plaie circulaire au front rappelant la couronne d'épines. Tel est le fait constaté par ia commission d'enquète de l'aca- demie de médecine de Bruxelles, et accepté (il Ie faut bien) par M Sarcey. La science declare que c'est un phénomène pathologique curieux sans doute mais de I'ordre puremenl naturel. La scienceomct toutefois de répondre a cerlaines questions sur lesquelles nous voudrions avoir l'avis de M. Sarcey. Pourquoi est-ce toujours le Vcndredi, et unique- ment ce jour la, qu'a lieu Ie phénomène Pourquoi les stigmales sonl ils places juste aux endroits oil furent enfoncés les clous la lance et la couronne d'épines du Sauveur Pourquoi le sang ne coule-t-il que le Vendredi, toujours et seulement par les mömes endroits Pourquoi les extases n'ont elles lieu également que ce jour la 1 Pourquoi, pendant les ravisscments qu'elle éprou ve la patiente n'est-ellc sensible qu'au contact des objets saints et a la voix des prèlres? Pourquoi ces ravissements extatiques, qui durent d'ordinaire plusieurs heures cessent-ils subitement sur I'ordre, même mentaL d'un représentant de ('autorité ecclésiastique II y aurail beaucoup d'autres pourquoi qui tou- cheraienta la science ceux-ci ne s'adressent qu'a la raison. Pour nous, croyants, la réponse est simple. La scène du Vendredi, a la cbaumièrede Bois d'Haine, c'est la representation, divine ou diabolique, du Calvaite. Nous ne disons pas encore qu'il y ait miracle, l'Eglise ne s'étant pas prononcée; mais après toutes les enquêtes et témoignages de savants, de théologiens, de visiteurs dignes de foi, nous croyons a un fait surnalurel. Mais que répondra M. Sarcoy? Voila l'occasion de nous prouver que la science explique tout. RUE AU BEURRE, 66, VPRES. BEURRE, DE Parmi les primeuts qui apparaissent successive- ment dans nos marchés, il faut signaler les fraises. Déja, il y a une quinzaine, on voyait a Paris des petits pots de fraises dont chacune revenaita 30, 40 ct 80 centimes pièce. La plupart de ces fraises vienneul des iles d'Hyèrés, et leör pi ix élevé a pour cause leur production très-limitée. La plus grande parlie des fraises que l'on vend a Paris sont récoltées aux environst ;Bagnolet possède la plus grande quantité de fraisiersOn y compte prés de 300 cultivateurs. Dans les bonnes terres et lorsque la saison est favorable, on récolle 6 paniers de fraises par 100 mèlres carrés de superficie. On fait géncralement 8 cueilleltes par an pour cliaque plant de fraises. Un are produit done 48 paniers, e( 1,000 mèlres 480 paniers en les estimant en moyenne a 1 fr. S0 on les rend de fr. 1-23 a 2 fr. le panier on trouve qu'un hectare rapporle 720 francs. Sur cette somme, on peut compter moitié de bénéfice. II y a beaucoup de variétés de fraises, La meil- leure et la plus parfumée est la fraise de bois. La fraise contient un sue légèrement acide qui fait qu'elle désaltère et rafraicliit. C'est un fruit qui convient surtoul aux personnes bilieuses et sangui nes. Cependant, celles qui onl un estomac délicat ne doivent pas en faire un usage Irop fréquent, paree que la fraise est froide a l'cslomac. On remédie a eet inconvénient en l'assaisonnant avec du vin e' du sucre. L'usage des fraises produit de singuliers effels sur l'éconömie. On cite des guérisons inespéiées. Linrié le célèbre naiuraliste suédois, souffrail de la goutte. La souffrance était telle qu'il fut obligé d'mterrompre ses travaux. Sur le conseil d'un mé- decin, il se mil a manger une quantité de fraises. Au bout de quelque temps, il se trouva soulagé. Les années suivanles, la goulte reparut, mais moins intense et au bout de quatre ans de même régime, Linné se trouva débarrassé de son infirmité. D'après Boerhaave, les graines de (raises infusées dans le vin blanc apportent un soulagement aux porsonnes atteintes de gravelle et d affections calcu- leuses, Van Swieten assure que dys maniaques ont été rendus a la raison cn moins d'un mois par l'usage quotidien de fraises. Les fraises écrasées avec du.miel ont la propriété d'après Apuléede calmer les douleurs qui out leur siége a la rate. ji/. Enfin, les fraises sont emplpyées avec a vantage dans les maladies inflainmatoires. M. Lefebvre, i'éminent protesseur de médeci ne de l'LJniversilé catholique, auteur d'un ouvrage qui fait autorité sur la sligmatisée de Bois-d'Haine, a demandé a l'Académie de médecine de Bruxelles de meltre au premier rang a Son ordre du jour de 'a séance du Samedi 20 Mai prpchain, la discussion sur le travail de la commission chargée de faire une enquête concernanl les phénomènes présentés par M"' Louise Lateau. Sa proposition a été accep- tée. Un Américain vient d'inVenter une scie d'un genre nouveau, fondé sur l'emploi do l'électricité- II a substilué a la scie ordinaire un fil de platine que chauffe a blanc un courant électrique. Ce fil, auquel est imprimé. un mouvement rapide de va-et- vient, pénètre dans les bois les plus dors, et sa faible épaisseur permet de donner aux pièces a débiter, resultant de la les formes les plus compli- quóes. Le déchet résultant de la carbonisation est égal a celui que produit Ie sciage ordinaire. (Wyk Plaets.) te van een de el do d'une bonne rendue sans médecine, sans purges par la délicieuse farine de Santé de et sans frais Bn Barry de Londres, dite: Vingt-six ans d'invariable suecès. gastralgies, glaires, grossesse, constl- Elle combat avec succès les dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, vents aiereurs, acidités, pituites, nausées, renvois, vomtssements, même en diarrhée dyssenterie, coliques, phthisie, lonx, asthme, élouffements, élourdissements, congestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, épuisement, anemie, chlorose, tous 'désordres de la poitrine, gorge, haleine, voies des bronches, vessie, To.e, reins, inlestins, muquet.se. cerveau et sang. - 75,000 cures, y compus celles de Madame la Duchesse de Castlestuart, le due de Pluskqw, Madame la marquise de Brehan, Lotd Stuart de Decies, pair d'Angleterre, etc., etc. palion, oppression, /l/nir ia marquise de Brèlxan, de 7 ans de Maladie du foie, d'estomac, amaigpissement, battement nerveux sur le corpsagitation nervease et tristesse mor telle. Monsieur. Dieu soit bèni! La Revalenta du Barry a mis fin d mes dix-huil années de souIJrance de l'estomac et des nerfs, de faiblesses et de sueurs nocturnes. J. CompareT, cure. Cure N°62,986. j/iie Martin, de Suppression des régies et Danse de Saint-Guy, déclarée incurable, parjai- tement guérie par la Revalenta. Cure N° 65,112. E. Payard, de Gastrnlgie et Vomissements. II ne pouvuit plus se lenir sur ses jambes, ni dormir, ayant toujours le creux de l estomae gonflé. M. Bollet, curé, de §6 Cure N° 62,8-43. ans d'Asthme avec étouffenlents dans la nlnt. OPENBARE VERKOOPING van Cnrc N° 70,421. t M. A. Spadaro, d'une Constipation opiniatre de 9 ans. C était hors ligne avaient déclaré qu'il n'y avait pas mogen de le quénr. terrible, et des médècins 3 Plus nourrissante que la viandc, elle economise encore 50 fois son priX en médecine. Eh bolles: 1/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 kil., 4. fr.; 1 kil,, 7 fr.; 12 kil 60 fr. - Les Biscuits de Revalenta, en boites de 4, 7 et 16 francs. - La Revalenta chocola tee, en bottes de 2 fr. r- de 576 lasses 60 fr.Envoi centre bon de posle, les boites de «2 et 60 fr. franco. Dépot chez C. Be'cuwe, pharm. rue du Verger. H. Frysou rue de Dixmude, Ypres. Bruges, Vve De Grave, droguiste, rue Eeckho.it, 2. V. Veys-Frisoü, Pres St-Jacques, 2, pharmacien. L. Algoet-Dispersyn, négociant, rue Notre-Dame, coloniates, rue des Pierres, 10. A. "Willaert-De Smet, denri tn-..marien Courtrai, H. Bossaert, pharmacien. E. Biers, pharmacien. Furnes, E. Duclos, phaimacien. Moorslede, Ch. Bostyn, boulanger. Ostende, F. Kockenpoo, pharmacien, rue Louise. E.Tomens-Degeest, pharmacien. Tieghem, G. et V. Moreels. Thielt, J. Bnysscns-Byl, pharm. Prés De Rondt-Gazet, denrées coloniates, Grand Place. et chez les pharmactens et epiciers, Routers. pharm. Do Barry ct Ce., Boulevard du Nord, A" 19, Bruxelles

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 3