^,!?rrs^dorus'we,kraa- Ia procession de la Fèie-Dieti n'a pu fran- chir leseuil de la caJhédraie de Melz, par ordre de l'autorilé. Et dire que la Gazelle el loules les aulres feuilles libérales out fait leur possible pour que la Belgique fut assimilée aux pays an nexes a l'Allemagne, ou les processions sonl inlerdiles par ordre prussien inlerdisanl les processions a Melz el M. I'iereol, inlerdisanl Jes processions a Liége, sonl sürs del'admi- ration libérale. CHRONIQUE JUDICIA IRE. Le tribunal correctioneel de Gand s'esl occupé bier encore de la poursuite inlenlée aux libéraux tolérants qui onl blessé les pélerins le lundi de la Pentecöie. Les nommés Adolphe Reynacrl, agé de 20 ans, ajusteur, né a Bruges et domicilie a Gand, et Louis De Vylder, agé de 20 ans, sculpleur, onl élé acquillés; Les nommós Baele, agé de 24 ans, huilier, a été coridamné a quinze jours de prison, el Victor De Meyer, agé de 23 ans, maréchal- ferrant, a la mème peine. or II c. PROCESSION JUBILAIRE DE WARNÊTON. Dimanche 27 Juin 1875. Un (rain spécial quittera Yprcs a 12 h. cl demie, et reviendra de Warnêton a 7 h. et demie du soir. Ou délivrera des coupons aller et retour. Les voyageurs seroril conduits d'Ypres a Warnêton el reviendront de Warrièlon a Ypies suns changer de Irani a Coniines. LA RELIGION DANS NOS ÉCOLES LIBÉRALES. L'nfficieux de UHóte! de Ville qui, dans les grandes occasions, rédige le Progrès trouve nos observations sur lecaractére fata- lement anliebrétien de iiqs Lcoles communa- les si frappant es et si jusles qu'il a garde d en laisser soupconnër la nature a ses lec- leurs: Phrases, ronflantes, dil-i], el il tien) que tout est dit. II n'en est pas rnoins évident, poor lous ceux qui y veulenl réfléebir, que iant valent les patrons d'utie école tant vaut Ie corps professoral; tant vaut le corps professoral laait valent les éléves. L'esprit des patrons finit par animerles maiires et mpilresses et fa la lemen l l'esprit des professeors descend dans les éléves. A patrons sans religion mai lles sans religion; a maiires irréligieux élé ves irréligieux. La eonformilé d'cspril et de conduite des Professeurs et des Pairons de notre enseignemcnl communal créve les yeux de tout Ie monde. Si ie Collége commu nal et I Ecole communale no reten lissen t pas sans cesse de leurs declamations irréligieu- ses, les cafes et les lieux publics en relentis- sent constammenl. lis se croiraienl irrémé- diablemenl compromis si non déshonorés, nos magislers laïcs, s ils élaienl répulés dévoués au Pape, a l'Episcopat, au Clcrgé, qui ce pen da nl constituent sculs l'Eglise divinement eliargée d'enseigner etdediri- ger les hommes dans la voie du salul. Teis pairons, leis maiires d'éeole. Et trois fois hélas! Iels éléves!! Combien d'anciens élé ves du Collége communal observent leurs devoirs religieus, gardent les préceptcs de l'Eglise, éeoulent l'Autoritéde l'Eglise? Dans nos institutions commtinales, si fon parle encore parfois des devoirs religieux, fespril de religion n'y est plus; ear on ledétruit autant a i'Ecole par d'hypocrites hommages que par le mépris publiquemenl affiché a l'endroit du Clergé el des choses de la Reli gion, comme le font par ceux qui président adminislrenl et ces institutions.... D'ailleurs, notis devons nous le demander, avec angoisse, les devoirs religieux sonl-ils encore enseignés dans l'Ecole communale gratuite des fllles?— Au programmeUe Ia Distribution faitc a l'Ecole communale dile Fricadelleschoolil est inscrit des prix pour tout et a propos de rien, mais pour la Doctrine chrétienne, mais pour la Religion pas de prix, pas rnéme de menliofi honora ble; rien, absolumcnt rien. Dans le discours que le Bourgrneslre a prononcé et fait distri- buer aux enlanis et aux parents, nulle men tion non plus de religion. L'école serail pro testante, on en dirait davantage, et l'école serai; rationaliste, neutre, athéc, il n'y aurait pas at pus un seal mol a retraneher du d;,ours de M. Beke. En cffet comment le Bourgmeslre esposö-t-il le programme de l'Ecole nouvelle? El v o i I a tout! De la vraie Religion pas un mol! Les maximes de Evangile,.... mais les francs-macons, mais les philosophes, mais les libres-periseurs, ma is les at hees, tons ces libéraux saus loi et sans loi religieuses, par- lenl des maximes évangéliques dans des termes idenliques; pour tous, ces maximes sonl Pexpression de la morale la plus pure, la plus élevée qui jamais ait élé enseignée! Non, Monsieur le Rourgmeslre, ni dans le programme de la Distribution des Prix de voire Ecole, ni dans Ie programme de voire enseignemcnl, ni dans le discours que vous avez leuu et dislribué aux parents et aux éléves de voire Ecole, ni dans le journal qui vous approuve el qui vous lotte toujours, vous et tons ceux qui affecten! de ne profes sor aucune religion, neus ne 'Irouvons rien, mais absolument rien qui puisse rassu- rer la conscience chrétienne. Bien au contraire, nous vous voyons, dans voire discours, de la facon la plusgros- sière ei la plus éhontée, inspirer aux jeunes filles du peuple, le mépris de l'autorité ecclé- siastique et des institutions religieuses et chrétiennes; la et dans vos rapports officials, vous les calomniez, vous les vilipendcz de la manière la plus indigne el la plus deloyale. Nous le démonlrcrons.Et voire jour nal, nous le voyons triompber avec vous, paree quegrace a la pression Inavouable dc la Bietifaisanee poblique vous avez en- glué 264 pauvres filles, la plupart en trés- bas age; nous le voyons proclamer que votre Ecole arrache te peuple au fléau du fana tisme e'est a dire de la Religion chrétien ne; nous le voyons proclamer'avec orgueil que VOS ÉCOLES FOURNISSENT A LA SOCIÉTÉ DES GENERATIONS DE CITOYENS QUI SERONT NÉCESSAIREMENT DES ANTI- CLÉRICAUX Qu'elles promellenl d'èlre bonnes filles, bonnes méres... bonnes épouses,ces cilogen- nes qui seronl nécessairemezit des anti-clé- rica/esU! Et cependant la fondation La Molte fut ex- pressément faile pour former de bonnes chrétiennes el aussi de cbastes filles, des épotises fidéles et des méres sages et dé- vouées!... L'expérience des siècles l'atleste, on n'en forme pas autremenl... education ne peul que produire une géné- ration qui ,excitée et poussée paries mauvai- ses passions et par Tintérêt propre, devient aussi funeste a TEtat qu'a la familie. Mais si celte maniére d'enseigner si pcr- nieicuse, séparée qu elle est dc la loi ca- Iholique et de l'autorilé de l'Eglise, est une cause de dommage pour les individtts et pour la sociélé, lorsqu'il s'agit des insfitu- tions publiqiies consacrées aux lettres of a une instruction supérieure, el destinéesaux classes élevées de la sociélé, qui nevoitque ces matix ol ces dommages seront bien plus graves encore, si on applique la mème :né- thode aux écoles pohilaires? En eflet, c'cst principalement dans ces écolcs que tous les enfanls de Ia classe po- pulaire doivent èlre, dés leur plus lendre enfance, instants avec soin des mysléres el des principes de nolre trés-sainte Reli- gion, et diligeminent fortnés h la piété, a l'honnêleté. d,e.s moeurs, a la religion et a la l>onn« condu'ile civile. Er l'enseignement de l'éducation, que les aulres coniiaissances qu on propose a la jeunesse n'y paraissent que comme des coniiaissances secondaires et accessoires, Cest pourquoi la jeunesse est exposée a de bien grands perils, lorsque, dam ces écolef, l'instruction n'est pas élroi- tement liée h l'enseignement religieux. Les écolcs populaires (et entre loules l'Ecole La Muite) ont élé surloul élablies 1 pour clever religieusement le peuple pour h' former d la piété et lui inspirer les regies de la mqrale chrétienne, et e'est pour ccla qu'elles ont toujours a bon droit et fórt 1 justemenl attiré, plus que tous les aulres élablissements d'éducalion, lessoins, la sol- licitudeet la vigilance de l'Eglise. Les en- treprises et les efforts qui ont -pour but d'écarter autorité ecclésiastique des écoles populaires, sorlent done d'un esprit esscn- tiellemenl hostile a l'Eglise el proviennent du désir d'éteindre chez les peuples la divi ne lumière de notre tv'es-sainte foi. Aussi l'Eglise, qui a fondé ces écoles, les a-l-elle toujours entourées de ses soins et de sa protection; elie les a toujours cou- sidérées comme la parlie principale de son autorité et do son gouvernement, et ellc lient que tout ce qui les sépare de l'Eglise est pour l'Eglise et pour ces écoles elles- mêmes une cause de grand dommage. Tous ceux done qui declarant faussement que l Eglise doit abdiquer ou interrompre sa force médiatrice et saJutaire d Tégard des écoles populaires, ces hommes ne demandent pas autre chose que de voir l'Eglise agir contre les commandements de son divin Au teur, et manquer d la charge si grave qui lui a été divinement confiée de procurer le salut de tous les hommes. UN ACCES DE FIËVRE CHEZ LE PROGRÈS. Le Progrès se sent pris d'un accés de fff ore émolionnaire. Son clat loutefois n'est pas inquiétanl. Un pcu de délire. L'odeur settle des médecines judiciaires, que le tribu nal correctionnel de Gand adminislre en ce moment aux fiévreux de Gand Oostacker, préviendra chez les gens du Progrès et cltez bien d'autres, Ia frénésic anti-proces- sionnaire. Bassurons-nous done. Voici du reste comment se manifesten! I'agitation et le (rouble nerveux du Progrès. Dimanche dernier, dans loules les églises, a été annoncé cl recommandé le Pélerinage du 27 Juin, qui aura lieu a Warnêton, a l'occasion du huitiéme centenaire du Bien- henreux Jean de Warnêton, évèque de Té- rouanne, et un des grands apötres de la Flandre. L'Offieedu Saint fut successivement inscrit au Propre doe diocéses dc Térouanne, de Boulogne, d'Ypres, de St-Oiner, d'Arras et définitivement inséré, en 1852, par acte du Souverain Pontife, dans le Propre du diocè- scde Bruges. Le Pélerinage au lieu de nais- sance do ce grand apötre de notre diocese doit se faire aux intentions du Souverain- Ponlife et pour Ie bien-être de Notre Mère la Sainle Eglise. Prier solennellement et publiquemenl ce Saint Patron des Flandres, pour le Pape et pour la Sainle Eglise, voila Ie crime qui émeut Ie Progrès et qui fait monter a son cerveau toutes sortes de vapeurs el d'élran- ges visions. En effet quelles horreurs le Progrès n'en Irevoit-il pas? D'abord loules nos cltaires de vérité converlies, a cette occasion, en tribunes politiqties, ensuile d'élernelles excitations contre l'Allemagrie, la Suisse, l'llalie, »cs nations amies,» si chéres au cceur de nos libéraux et qui leur donnenl de si bons exemples a suivre; finalement la perle de notre indépendance et de notre nalionalilé provoquèe par un clergé qui est Romuin el voila tout!!! Mais ce n'est pas tout, le Progrès voit en core, comme suites definitives de eet affreux pélerinage, une neuvaine, qui servira an- nuellement a remplir l'escarcelle du clergé et une rude concurrence aux Pilules IIol- loway! Voila lout maintenant, la lout l'esprit et toutes les visions enfiévrées el enfiévrantes du Progrès. soient lerminés, et les concessionnaires les laisscnl depttis longtemps en souffranco, mal- gré les reclamations réilérées du Gouverne ment. lis se Irou vent par suite soos Ie coup de la déchéance de leur droits, mais dans l'hy- pothése même oü elle serail prononcée, l'achévemenl du canal exigerail encore des dépenses considerables. Le Département des travaox publics attend a ce sujet l'avis du département des finances. Rclativcmenl aux stations decheminsde fer M. le ministre des travaux publics a dil: «La slation de Conrtraia été agrandie et doit èlre complétée par tine gare de forma tion dont les terrains sont déja la propriété du gouvernement. II a été liquide pour ces travaux une somme de 391,000 francs. II est urgent d'agrandir et d'améliorer les dis positions du baliment des recettes. La station de Bruges doit recevoir une gare couverte el le baliment des recettes doit èlre rebati. L'administration communale de cette ville demande des modifications imporlantesaux projets arrètés par le gouvernement pour ce travail. Rnpprochorts de ces trisles signes du temps l'enseignement exprés et formel de Pie IX quant aux conditions de l'Ecole chré tienne, quant aux devoirs des parents, quant aux intéréts de la sociélé el des families, Le texle ici cité est emprunté a une letlre adressée par le Pape a l'Evèque de Fribourg en Brisgau, en date du 14 Jnillel 1864: Lorsque Tautorité modéralrice de TE- gl/se et sa force salutaire sont êcartées de f education publique et privêe de la jeu- nesse.... la société humaine est peuapeu dépouillee de cel esprit chrétien, qui peut seul conserver inébranlables les fonde- ments de l'ordfe public et de la Iranqttil- lité, procurer et diriger le vrai et utile progrès de la civilisation, el fournir aux hommes tous les secotirs qui leur sont nécessaiies pour atleindre leur derniére fin, c'esl-a-dire le salut élernel, aprós Ie cours de cette vie morlelle. L'instruction qui n'a pour but que la science de la nature et la vie lerrestrc el sociale, cl qui de plus s'éloigne des vérilés révélées de Dieu, tombe nécessairemenl dans l'esprit d'erreur el de mensonge, et I 'education qui pretend se passer du secours de la discipline morale pour former les dmes encore tendres des jeunes gens et ces cmurs flexibles comme la cire pour le vice, cette Cerlainementlorsquedans certains lieux et dans certains pays, serait entrepris et execute ce dessein d'eloigner des écoles l autorité de l Eglise, et que la jeunesse se- rail misérablemenl exposée a perdre la foi, l'Eglise devrait non-seulement faire les plus grands efforts, el n'épargner aucun soin pour que la jeunesse reeul Yinstruc- tien et Yéducation chrétienne nécessaire, mais encore elle serait forcée d'avertir tous les fidéles et de leur declarer que ces sortes decodes, hostites a TEglise, ne peuvent en CONSCIENCE ÉT RE FRLQCENTÉES. Nous sommes persuade, Vénérable Fiére, que vous ne négligerez rien pour défendre intYépidement les droits de cette Eglise, et pour eloigner soigneusement de l'éducation des jeunes gens lont ce qui pourrail Irouhler mème légèrement la solidité de leur foi, ou l'ébranler, ou cor- rompre leur conscience religieuse el souil- ler cetle purelé dc mceurs que nolre trés- sainte foi peul scule produire, alimenter et augmenter. Nous éprouvons aussi une grande con solation, en voyant que le clergé de votre diocese, se souvenanl parfaitement de sa vocation et de son devoir, emploie tous ses efforts avec vous a défendre les droits de l'Eglise et du peuple calholique du Grand Duclié. Ce n'est pas avec une moindre joie que Nous voyons ce peuple fidéle apprécier exactement les avantages de l'éducation calholique des enfanls et n'avoir rien plus a coeur que de faire élever ses enfanls dans les écoles dirigées par l'Eglise calholi- HuePie IX, Pape. ENCORE UNE BÊTISE DU PROGRÈS. Quand il s'agit de dire une bêtise, on sail que le Progrès n'hésile jamais. Voici ce qu'on lit dans son dernier Numéro: La place de président de Furnes était prédestinée, parait-il,a récompenser quel- que dévouement politique. Tout ie monde sail en effet que M. Verlynde n'accepla, en 1872, le mandat de conseiller provin- cial que sur la promesse de le nommer président a Furnes, lorsque ceite place de- viendrait vacante. Depuis,['honorable con- seiller provincial a préféré les functions de juge de paix a Alost, qui sont plus modes- les mais plus lucralivcs, cl la place de président a Furnes servira encore a ré- compenser quelqu'autre dévouement poli- lique. Et la preuve qu'en sert Ie Progrès, c'est que le Conseil provincial a prcféré, comme candidat, l'honorable M. Valcke depuis nombre d'années Procureur du Roi aFurnes, et comme lel entouré de ia considéralion e't de l'eslime de tous les honnêtes gens, a MM. Gondry et Timmermans, jeunes magis trals recommandés par la Cour d'appel apparemment bien plus a cause de leurs prouesses libérales que pour tous aulres litres. Quant a l'honorable M. Verlynde, il faul èlre béte comme le Progrès pour ignorer que précisément sa qualité de Conseiller pro vincial rendait légalement inaccessible a M. Verlynde la place de Président du Tribunal de Furnes. Au moment de meltre sous presse nous recevonscommunication de la note suivante, nous la publions en faisant des voeux pour en trouver la confirmation au Moniteur La section centrale de la Chambre des re- présenlanls, en réponse au, ministre des tra vaux publics a avisé et volé la reprise par l'élal du canal de la Lys a l'Yperlée. Par arrêlé royal du 16 Juin, M. R. Van- honver, docleur en droit a Ypres, est nommé grefiier-adjoint au tribunal de lle instance séant cn celte ville, en remplacement de M. Duval, démissionnaire. Par arrclè royal du 17 Juin, sont nom- mésau corps des sapeurs-pompiers commu- naux d'Ypres: LieutenantM. A. Brunfaut. Sous-lieutenant: M. L. Vergracht. N Interrogé sur Ie point de savoir si le gou vernement est en possession de lous les ren- seigncmcnts dont tl a hesoin pour assurer Ia ptompte exéculion du canal de jonction de la Lys a 1 Yperlée, M. lo ministre des travaux publics a répondu: Le canal de jonction de la Lys a l'Yper- lee est un canal concede et Ie Gouvernement a Itmile son intervention dans la dépense, a une prise d actions a concurrence de 2,800 000 francs. Bien que l'Etat ait liquide sur sa part contribuliveune soimnede 2,600,000 francs il sen laul de beaucoup que les travaux BURGERSTAND VAN YpEREN van den 11 tot den 18 Juny 1S7Ü. Mannelyk geslacht B. Vrouwelyk geslacht 2, «L'éducation comprend I Do opvoeding behelst les exercices corporels qu\ dus da lichamelijke oefe- donnent la forco ei la ningendie.slerkte en be- gcntillesse, telles sonl les'.vuiligheid geven, zooals leconsde mainlien et d'ejk- de lessen van houding en ercices da corps-, ensuile lichaamsoefeningen-, ver- I enseignenienl de la mo volgens het onderwijs der rale qui adoucit et épure zcdeleer, welke de zeden les moeurs et, enfin, l'in verzacht en reinigt, en, slruciion proprenient dileVe» slolte het eigenlijk ge- qui sert a mieux com-jzegd onderwijs dat dient prendre et a mieux appli- om beter le begrijpen en quei les principes de la 0111 beter de grondbegin- mornle sur lesquels on doit régler sa vie. Pour IVnscignenient de la morale la voie élait tra céo; el le a pour tonde ment les maximes de i'E- vangile, qui som l'expres sion de la morale la plus pure el la plus élevée qui jamais ait été enseignée. Pour Tinstruntion pro premenl dite il a sufiit de ineltro au programme les matières d'euseignemenl designees dans la loi de 184*2. seis der zcdeleernaar welke men zijn leven schikken moet, ie kunne* toepassen Voor hel onderwijs der zcdeleer was de weg afgo- leekend zij heeft tot 'grondslag de leerstelsels van het Evangelie, die do uitdrukking der reinste en verhevonsle redeleer zijn welke ooit is onderwezen geweest. Voor wal liet eigenlijk gezegd onderwijs anngant, was hel voldoende de leerstoffen, in He wel van 1842 aangeduid, op het programma te brengen. m REI.IGIEUA Ij'ölT DE TELLE SOP.TE OCCUPER LE PREMIER RANG ET JiOMIXEP, DANS CES ÉCOLES, SOUS LE DOUBLÉ RAPPORT DE l'i.NSTRUCTION ET CHOSES ET AÜTRES. N est il pas vrai que le libéralisme, qui se dil ami de la liberté, pouisuit, en fait, avec une impla cable rigueur les apólres et les témoins de la vérilé? Lorsque l'Eglise calholique est proscrite et com- baltue, toujours nous voyons le libéralisme du cóié des perséculeurs; nulle part il ne s'est ajiproclie d un proscrit ou d une vietime que pour insulter au malheur. Voyez la situation de l'Europe, interrogez les échos des prétoires, frappez aux portes des prisons d Etat, et, lorsque vous aurez terminé cetto sombre et affligeanto revue, lorsque vous aurez dénombré los évêques captifs, les religieux exilés, les consci ences opprimées et les ames méurtries, diles, si vous I osez, que le libéralisme peut se concilier avec la liberté! t Fes feuilles libérales ont fait grand bruit dc 1 arret par lequel la cour d'appel de Bruxelles a decide la radiation de (i3 électeurs catholiqucs que la deputation permanente d'Anvers avail porlós sur la lisle electorale de cette derniére ville. II s'agis- sait d électeurs dont le eens élait parfait, pour 1873, au moyen de patenies prises et payées en 1874o Nalurellement, on cria, dans la comp doctrinaire, a la part ia i i ié de la deputation permanente. Or, chose digne d'etre notée, la cour d'appel do Liége vient, dans un cas tout a-fait identique, do juger, en faveur d un habitant de Gougnies, dans le taeme sens que la deputation permanente d'An vers. La gueuserio aura -1-cl lc maintenant le caquet rabatlu? Ukglient et Pilules d'Holloway. Nul doute sur ce point résolu par la Science. Un sang tmpttr ou taction imparfnte de quelquor- gane engendre maladie. Punfiez l'un et équilibrez t'autre, la maladie disparait, la santé revient. C'est en exergant ce pouvoir réparateur que les Pilules d Hollow,ty ont acquis une reputation universelle: et la rectitude du principe en vertu duquel elles expulsent la maladie el rétablissent la santé a été prouvée par un sitccès constant depuis plus dc 30 annees. Une Pilule ou deux prises a t'heure du coucher, quand la lassitude physique et morale paralyse inomcntanément l'énergie ramèneront dansle fote unesécrétion plus active et réveilleront a bonne humeur. Comine médecine stomachique, les 1 tittles Holloway sont sans rivales; elles dusil pent imtnediatement toute flatuosité pénible pesanleur ou malaise après manger, ces sympto- "tes si douloureux de la dyspepsie. GEBOORTEN. Mannelyk geslacht 3. - Vrouwelyk geslacht 1 huwelyken. Collet, Uenricus, metselaer en Vandenbusscho Clementia, zonder beroep. - Lebbe 5 hoedenmaker en Claeys, Leontina, zonder beroep' STERFGEVALLEN. Decroix Eugenia, 70 jaren, zonder beroep w». duwe van Gorolus Lamaire, Meenenslraet. _L t)„ puydt, Amelia, 38 jaren, kantwerkster, echifrennm" van Ludovicns r.n/.ar,io R,.LL„„stl.ae(u öenoote Vramhout, The^ - "w juioii, tvumwci naiür van Ludovicus Lacanle, Bukkerstraet.De Maria 14jaren, Houtmarkt. Vrambout There' sta, 40 jaren, kantwerkster, ongehuwd M„'„ slraet. V.-in,-aii„n,t.„.L v.Mccnen- straet - Vancattendyck, Franciscus,00 Taren" Kinderen heneden de 7 jaren.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 2