REVALENTA ARABICA HOFSTEDE, HOFSTEDE, SANTÉ A TOUS VERKOOPING FRUITS SUR TERRE TOILES VERGEUSES OUVRAGES NEÜFS en France Ie libéralisme honnète flórit, com- elle mérite de l'èire, celle manoeuvre indé- cente et coupable. Sur 1 invitation de la Régie de la grande Waleringue du nord de Furnes, M. Beer- nacrt, minislre des Iravaux publics, et M. de Lantsheere, minislre de la justice, repré sentant de l'arrondissemenl de Dixmude, sunt venus, Lundi dernier, a Nieuport, afin de procéder a la pose solennelle de la pre mière pierre de la nouvelle écluse d'évacua- tion des eaux du Furnes-Ambacht, en voie de construction. MM. les ministres sont arrivés a onze heu- res, MM. Vramboul, gouverneur de la pro vince de la Flandre occidentale, Van Oeker- houl, sénateur, L. Visart, représentant de l'arrondissement de Furnes, Crêpiningé nieur en chef, directeur des ponts el chaus- sees de la province, Ie chevalier de Coninck de Merckem, président de la Waleringue de Merckem, Van den Bogaerde, directeur des chemins de fer des Flandres, et d'autres notabilnés sont arrivées par Ie mème train. MM. les ministres ont été recus a la station parM. Joye-Ghys, commissaire d'arrondisse- aient, président de la Waleringue, les mem bres de la direction, et par MM. lesbourg- mestres et échevins de la ville de Nieuport. Ils se sont rendus a 1'höiel de-ville, ou ils ont recu le conseil communal en audience; M. le bourgmeslre a prouoncé un discours dans lequel il a exposé la situation el les be- soins du port de Nieuport. II a remercié MM. les ministres pour les divers travaux qui s'exéculent en ce moment a Nieuport et qui penvent ètre considérés eomme les pre miers jalons d'une amelioration plus com pléte du port. II a surtout exprimé Fespoir du conseil communal de pouvoir dans un temps peu éloigné inviter ces hauls fonc- tionnairesa fêler ('inauguration de nouveaux Iravaux maritimes favorisant le commerce de Nieuport, coinme les travaux que la Wa leringue féte aujourd'hui favorisenl la con- tréede Furnes-Ambacht. Dans sa réponse au bourgmeslre, M. le minislre des iravaux publics a dit qu'un projet d'ensemble pour l'amélioration du port de Nieuport a été élaboré par son dé partement, et que tous les iravaux qu'on exéculera dorénavant lendront vers la reali sation de ce projet. Après cette réception, MM. les ministres, accompagnés de tous les invités de la Wale ringue, se sont rendus aux travaux. M. le president a prononcé un discours dans lequel il a fait ressorlir les avantages qui résulte- ronl de l'ensemble des Iravaux dont l'écluse de Furnes-Ambacht fait partie; ces iravaux, sollicités par toute la conlrée de Nieuport, Furnes et Dixmude depuis plus d'un demi- siécle, préviendront, dés leur achévernent, Jes inoudations désastreuses du bassin de l'Yscr, sépareront la navigation de l'évacua- lion des eaux a l'avantage du commerce el de l'agriculture, el empècheront l'introduc- lion des eaux saumatres dans les canaux d'alimentalion. M. Ie président, au nom de la Waleringue du nord de Furnes, a remercié le gouverne ment pour la maniére dont ces Iravaux ont été conduits ces dcrnières années; il a ensui- te rendu hommage a l'honorable M. Crepin, ingénieur en chef, directeur des ponts et chaussées de la province, et au jeune et zélé ingénieur de l'arrondissement de Nieuport- Furnes, M. Demey, chargé de Ia direction des travaux. Aprés une réponse de M. le mi nislre des travaux publics, messieurs les ministres ont procédé a la pose solennelle de la première pierre. M. I'ingénieur Demey a donnè lecture du procés-verbal, lequel a été signè par messieurs les ministres, le gouver neur de la province et loutes les personncs notables présentes a la cérémonie. La truelle a été présentée par M. I'enlrepreneur Des- warte, lequel a été complimenté sur la bon ne exécution des travaux. Aprés la cérémonie, MM. les ministres sont allés visiter les travaux de la nouvelle ecluse d'évacuation des eaux du Vladsloo-Ambacht, en voie de construction, ainsi que tons les ouvrages dépendanls du port de Nieuport. Un banquet offert par la régie de la Wale ringue a MM. les ministres a réuni tous les invités a l'Hölel de Ville de Nieuport. REMPLACEMENT. Ou écrit de Bruxelles a la Gazelle de Liége: Dans la presse de gauche on a fait grand bruit d'un fait annoncé par elle et que j'ai lieu de croire trés-exagéré. Pour deux mille miliciens environ que le département de la guerre aura a remplacer d'ici a quelques se- maines, on n'aurait trouvé encore qu'un millier de remplacants; en sorle qu'un mil- lier de families ser'aienl obligees soit a laisser servir en pcrsonne les possesseurs d'un mau- vais numéro, soil a payer 2,500 lr., peut- ètre 3,000 fr., pour un_remplaQa.nl non fourni par les bureaux officiels. Mes renseignemcnls ne concordenl pas avec ceux-la. D'abord on me dit que plus de douze cents volontaires out dcja conlrac- té avec I'Etat, ensuite qu'on a I'espoir fondé d'en trouver encore cinq cents d ici a la date falale, de maniére que le deficit serait beau- coup moins considérable que la presse libé rale ne Ie prédit el ne le desire sans doute. Ceci soit dit dans l'intérèl de la vérité trop svslématiquement méconnue par certains journaux. Mon intention n est pas le moins du monde de just ifier la loi de tnilice, oeuvre libérale s'il en fut, mais il me semble que les advet^aires du service obligatoire devraicnt chercher a diminuer le nombre de ses victi- mes au lieu d'aggraver la situation par des mensonges ou par des difficullés nouvelles créées au département de la guerre. VILLE DE WERVICQ. -Programme du Concert qui sera donné par la Musique communale de Wervicq, le Mardi 24 Aoüt, a 5 heures précises du soir, Place St- Marlin: Voyage en Chine,pas redouble,(Painparé). Fanlaisie sur Rigoletlo, (arr. par Vander Biest). Duo concertant pour bugle el piston Fifres et Trompelles, polka, (Baudrouck). Mosaïque de l'opéra Mi reille, (Gounod). Banco, scholtisch, (Bau drouck). Fanlaisie sur Faust, (Gounod). Eglantine, Rcdowa, (Baudrouck). FA ITS DIVERS. IN EENE ZITTING, VRYDAG, 20°° AUGUSTY 1875, om 2 uren namiddag, ter estaminet dm Gouden Arend, op de Groole Markt, te Popcringhe, van Gemeente ISeitiiigliclst. 1° Een HOFSTEDEKEN, langs de Fontenaer- en Ylamertinghe straet, groot volgens cadaster sectie 13, N" 207, 430 431" en 432', 4 h. 11 a. 64 c.; Gebruikt door Désiré Malbranche. 2" Eene WEIDE, langs het Fontc- naerstraetje, groot volgens cadaster sectie B, Nr 438\ 1 h. 64 a. 30 c.; Gebruikt door de weduwe van Leo Dereckx. En 3° Vier partien ZAEILAND met een streepken MEERSCHlangs den steenweg van bet gehuchte den Ou derdom naer Vlamcrtinghe, te samen groot volgens cadaster sectie BN™ 650', 662', 663", 664" en 669', 2 b. 75 a. 90 c.; Gebruikt door zelfde we duwe Dereckx. Ingevolge de voorwaerden, berus tende ten kantoore van den Notaris LAVA Poperinghe. Men kan ook alle inlichtingen be komen by den Notaris VA N DECAS' TEELË, ter zelfde verblyfplaets. ETUDE LAWHTOl Notalre A COMINES. LUNDI 23 A OUT 1875, a 3 heures de relevée, Commune «le Aanhoorde. sur des terres de la ferme occupée par Louis Devos 1 hectare 50 ares de Pois, 1 50 de Fèvcs, 90 de Pommes de terre, A VEND RE PUBLIQUEMENT d long crédit sous caution Par le ministère et a la recette de M« IzARrnrOlr, Notetire a comines: KANTOOR Notaris N' M. TX Ë5> E ff* ff. ri' 1' 15 te RUiVBEKE. Verkooping van eene goede en wel bebouwde groot II. 19-94-67, gelegen 1c Gere ken, langs de Stockstraet, gebruikt door Louis Ostyn, aen de geringe jaerlyksche pagtsom van 1,600 francs boven de lastenmet regt tot Bavo 1877, Waervan den INSTEL DONDER DAG 19" OOGST 1875, ten 2 uren namiddag, in de afspanning de Café de Commerce, le Rousselaerc. Konditien, litels en plan bv den Notaris vandeputte, te Rumbeke. 1/2 Instel penning te winnen. OPENBARE VERKOOPING ZAEILANDEN E'i WEIDEN, TE M E IS C 14 E M. De Notaris LAMMENS, te Gent, zal, ten overstaen van den bevoeg den heer Vrederegter, opcnbaerlyk verkoopen GEMEENTE MERCKEM ftusschen Yper en Dixmude). Koopen 1 tot 16. Eene aller schoonste en wel bebouwde HOF STEDE, met medegaende Zaeilauden, Weiden en Maei-Gras, t'eenen blokke gelegen te Merckem, inden 18"" Om loop, langs den steenweg van Yper naer Dixmude, sektie A, Nrs 127, 128, 290, 770, 771; sektie B, N's 267, 268, 27*1, 272, 274, 804, 814; en sektie C, N" 100, 102, 104 tot 111, 113, 114, 129, 130a, 130b, 131a, 138, 140, 142, 143, 144, 267 en 268, groot volgens kadaster, 37 hectaren, 40 aren, en volgens titels 38 heet. 97 aren 87 c. In pachte by Désiré Van Wonter- ghem, ten fr. 4,400 'sjaars, boven de lasten, tot 1" October 1877. Alles breeder beschreven by plak brieven en gedrukte plans. INSTEL: WOENSDAG 8 SEPTEMBER 1875, ten 2 uren namiddag. VERBLYF: WOENSDAG 22 SEP TEMBER 1875, ten 9 uren voormid dag. Telkens in het Ilotel van Kortryk, op den Poel, te Gent. brevetées, d'une seule pièce JULES PAGNY et C'% Fabricants dc toilcs métalliques a Savenlhem prés Bruxelles. JEebtoI «ï'éeliantiMöias sub* êle*s?iia»a«le. A PRIX RÉDUITS, en vente chezvAHiDERGHUJSTE-FQSSE, 31aitiicl iFinstructios» s-«'3ï- jïiciiNc «ie gsiéicet «ï'éiiaieathm, d Cusage de la jeunesse. par l'Abhé Pognon, in-12 708 pages avec approbation, au lira de 3-30 1-30 Irettrés star Sa Tic sI'bbsb Bafluasa- mé .I'ésBSS. selon M. E. lien anmembre de l'lnslilul, par Jean Loyseau, 14">c édliuoii, in-12 2 30 ILes soirees amassaiites, recueil nouveau et varié d'historietles, anecdotes, plaisanteries, bons mots, plaidoyers comi- ques, aneries. calembourgs, joyetix devis, etc., etc., au lieu de 3-50 - 00 Ce SBB'èti'e «levsint Ie sièeit»- par l'Abbé Martin, ouvrage dédié a l'épis, copat, in-8u de 472 pages, au lieu de 0 fr. 1 2 50 Cours com plet «ï'iïïstriictioBBS neiives et prthiltiues sbhc les ereiBients, a l'usage de MM. los cures des villes et des campagnes, in-12, 273 pages, au lieu de 3-50 1-50. Ernest Catté. Musician au 63° de linne. Pour conserver les vèlements el les por Ier frats deux fois plus longtemps. Pour conserver les vèlements ei les porter frais deux fois plus long- lemps il ne s'agit que de substiluer l'éponge a la brosse pour les nettoyer. Si vous prenez une éponge bien lavéo, dont vous failessorlir l'eau en la pressant a plusieurs reprises dans une serviette, et si vous la passcz sur les habits dans le sens des poilsl'éponge enlève com plement ia poussière du drap.^lu velours, de la soie et du chapeau. Le peu d'humidité qu'clle conserve dissou! les taches de nature débile, telle que la boue, la salive, le sucre, les confitures et beaucoup d'autres éclaboussures culinaires que la brosse ne peut enlever sans arracher le poil et sans substiluer une large tcinte grasse a la petite lache maigre. La vraie source du courage. Le 18 Aoüt 1870, l'aumónier d'une ambulance voit arriver a pied, marebant d'un pas ferme, un sergent du 00% dont le bras avait été broyé par un écla1 d'obus. Le soldat supportait d'une main son bras cassé qui ne lenail que par un lambcau de chair et un fragment d'éloffo. Qu'on l'emmène a Chalet avec les aulres, dit le major. Docteur, reprit l'aumónier, voyez quelle hor rible blessure! Et il est venu seul, a pied, du champ de baiaille. Le docteur se rendit, et tandis que l'aumónier lieni le patient, il commence l'opération... il scie les pointes de l'os brisé, il achéve de détacher le bras et rectifie la blessure. Ce sergent élait admirable d'énergie. Lorsque out fut fini, il refusa de monter en cacolet. II voulut suivre a pied jusqu'au village oü devait s'arrêler l'ambulance. La canonnade étail horrible, le soldat ne s'en apercevait pas, a cause de la dou- leur: lorsqu'un obus étant venu a éclater a un pas. II dit: Est-ce qu'ils en voudraient a mon autre bras? Quel beau soldat vous ètes! lui dit l'aumónier tavec admiration, quel courage! Tirant alors de sa poche un petit livre teint de son sang versé pour la patrie, le blessé se contenla de répondre: Voila ce qui me donno la force et le coura ge- C'était Limitation de Jésus Christ! Unjoli echo de la Commune. Dans un club de Belleville, un oraleur aussi aviné que possible monle a la tribune. Citoyens, s'écrie-t-il, je viens des remparts, nos braves défenseurs n'ont ni a manger, ni des souliers a se metlre, je demande qu'on nous f... du pain, qu'on nous f... du vin, qu'on nous f... de la chaussure. Et moi, interrompit le commissaire, puisque vous ne pensez pas a demander qu'on vous f... du travail je demande a ce que I'on vous f... a la porte. Un journal raconte a propos de M. Liltlré qu'il accompagnail sa fille an catéchisme au moment oil elle allail faire sa première communion. Le fait est parfaitemenl exact el connu d'ailleurs. Rappelons que Diderot eu faisait tout autant pour sa fille. Comtne on Ie raillail sur ce point: A tout hasard, dil-il, j'en veux faire uno bonne catholique.. Diderot, qui ne Ie cédail en science a person- ne, vit un jour une petite fille frapper a sa porte et lui demander quelques charbons pour allumer son feu Prenez, mon enfant. Seulement vous n'avez ni pel le ni pincette. Oh! monsieur, qa ne fait rien. L'enfant prit alors un peu de cendre froido dans sa main, y placa les charbons ardents et sortit. Diderot resta stupéfait. II jeta ses livres ce jour-la et s'en alia dans la campagne. .-Au café; Garcon, si M. F... vient me demander, vous lui direz que je I'attends cliez moi. Pardon, monsieur, je ne connais pas M. F' Si! vous le reconnaitrez, un grand biun, la moustache longue et tombante... II y en a tant, monsieur! Oui, mais vous le reconnaitrez bien: il a une décoration et il ne la porte pas! Notes comparties. En voyage, I'An- glais suit son gout, I'Allemand suit son guide, le Francais suit son nez. 0 L'Anglats se meul, I'Allemand se transporte, le Franqais se promène. Pour le premier, voyager est un exercice; pour le second, e'est une occupation; le Iroisième n'y voil qu'une distraction. L'Anglais fail des excursions el des empleltes, I'Allemand fait des remarques el des économies, le Francais fait des mots el desdelles. «L'Anglais s'occupe de ce qu'il regarde; I'Alle mand, de ce qui le regarde; Ie Francais, du ceux qui le regardent. L'Anglais emporte une lorgnette, I'Allemand, des lunettes, Ie Franqais, un lorgnon. L'Anglais va, I'Allemand chemine, le Franqais court. Un jeune hoinnie de seize ans, Irès-habile, avait un maitre d'escrime qui tous les Dimanches, avec la permission du père, le menait a des assauts dans des villes voisines. L'enfant avait du succès a qui lirerait avec lui. Un jour un ami vint trouver Ie père et lui dit: J'ai vu Dimanche a Amiens, dans un assaut, un jeune homme qui tiruii très-bien et qui ressem- blait énormément-a votre fils. C'est lui fait le pore avec orgueil. Pas possible! Pouiquoi pas? L'afliche portail: I'Enfant phenomena et on payait vingt sous d'entrée! .-. Feu le baron James de Rothschild disait du banquier Bisschofsheim aflligé de bégayement: Jamais je n'ai entendu de iangue plus embar- rassée! Quand ce gaillard-la vous dit, bonjour, il le fait en dix versemenls. E.n classe. La maitresse a Augustine. lté- cilez la leqon d'Hisloire Sainte -- N'oé prit une Colombo el lui suspendit au col une branche... Au col ceci est vieux.°Prononccz,dit le pro- fesseur, comme s'il y avait un U. Noé pril une colombe et lui suspendit au. ici la jeune Augustine rougit.et inurmure Oh je n'oserai jamais le dire. Allons done, continuez, tonne le maitre. Prit une colombe... potirsuivit t'ólèvé de plus en plus rouge... el lui suspendit... au der rière... une branche... de CONSISTA.NT EN van den van eene schoone gestaen en gelegen Four Tourailles dc Brasserie, Distillerie etc. RUE AU BEURRE, 66, YPRES. Londres, dite: rendtie s.ins médccine, sans purges el sans frats par la délieieusë farine de Santé de Du Barry de Vingl-six ans d'invariable succès. Elle combat avec succès les dyspepsies, niauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidilés, pituites, nausées, renvois, vomisseinenls, mème en grossesse, consti pation, diarrhée dyssenterie, coliques, phtliisie, toux, astlime, élotiffements, éloiirdissements, oppression, congestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabete, faiblesse, épuiseineni, anemie, chlorose, lous désordres de la poilrine, goi-ge, haleine, voies des bronches, vessie. loie, reins, intestins, niuqueuse. eerveau et sang. 75,000 cures, v compris celles de Madame la Duchesse de Castlestuarl, lo due de I'luskovv, Madame la marquise de Bréhan, Lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre, etc., etc. Lessines21 Déccmbre. 1863. On dit ici beaucoup de bien de votre Itevalenta; elle a dèja opéré quatre gucrison. van DE PUTTE. Toux, asthme: M. P. J. Imbrechts de Longueville, prés Nirelles, a été guéri d'une toux dont il souffrait depuis un an; quatre autres personncssur ses conseils, ont essayê la Revalenta et se sont guéries. Cure N° 6:5,311 Verva.nlle 28 Mars 1866, Monsieur. Dieu soit béni! voire Revalenta m'a sauve la vie. Mon tempérament natu- rcllèment faible était ruiné par suite d'une horrible dyspepsie de liuit anstraitée sans résultal favorable par les médecins, qui déclaraient que ju n'avais plas que quelques muis d vivre, quand l'éminente vertu de votre Revalenta ma rendu la santé. A. Brunelière, curé. Cure N° 48,270. Piititisie. Roberts, d'une consomption pulmonaire avec toux, vomissements, constipation et surdilé de 25 années. Cure N° 74,442. Courmes, par Vence [Alpes-Maritimes), Juillct 1871.Depuis que je fais usage de votre bienfaisante Revalenta, je russens une nouvelle rigueur, la laryngile dont je sou/fre depuis deux ans tend a disparaitre avec le malaise que j'éprouvais dans mes membres. Je vous en exprime toute ma reconnaissance. Cure N° 68,413. M. Lacan père, de 7 ans de Paralysie des jambes, des bras et de la langue. M. Johnen Guisse, de Couiet Hainautnous écrit: Si je n'urais pas fait usage de la Revalenta, qui m'avail été presente par les médécins, je n'exisleruis /das muintenant. Cure N" 45,814. La femme de M. le maire de Volvie, d'une irritation pulmonaire avec crachemcnt de sang et toux opinidlre. M. le capilaine Allen, d'épilepsie. Cure N' 36,212. Cure A'" 40,842. Marie Jolg, de 50 ans de constipation, indigestion, nervosité, insomnies, astlime, toux, flatus, spasmes et nausées. Cure A'° 63,476. M. le curé Cnmparet. de dix-huit ans de Gastralgie, de souffrances de l'cslomac, faiblesse des nerfs, et sueurs nocturnes. Cure A'° 47,422. T, pui sum ent. MBaldwin de délabrement le plus complet, de paralysie des membres par suite d'cxcès de jeunesse. Dep m au va is e vie Cure N° 76,448. Verdun, 16 Janvier 1872. 1puis 5 ans je souffrais de maux dans le cólé droit et deus le crcux de l'cslomac, ta miscs digestions, etc. Je n'hésite pas d vous certifier que votre Revalenta m a sutivé de Plus nourrissanle que la viandc, elle economise encore 80 fois son prix en médecine. En boiles: 1/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 60 fr. Les Biscuits de Revalenta, en boites de 4, 7 et 16 francs. La Revalenta chocolatée, en boiles de 2 fr. 25 c.; de 576 tasses, 60 fr. -Envoi contre bon de poste, les boites de 32 et 60 fr. franco. Dépot chez C. Becnwe, pharm. rue du Verger. IL Frysou. rue de Dixmude, Ypres. Bruges, Vve De Grave, droguiste, me Eeckhout, 2. 4. Veys Frisoti. Prés Si Jacques. 2, pharmacien. L. Algoet-Dispersyn, négociant, rue Notre-Darae, 33. De Houdt-Gazet, denrées coloniales. rue des Pierres, 10. A. Willaert-De Smet, denrées coloniales, Grand'Place. 3. Courtrai, II. Bossaert, pharmacien. F,. Uiers, pharmacien. Furnes, E. Duclos, pharmacien. Moorslede, Ch. Bostyn, boulanger. Oslende, F. kockenpoo, pharmacien, rue Louise. Rooiers. It. Boulens-Degeest, pharmacien. Tieghcm, G. et V. Moreels. Thielt. J. Btiyssens-Bvl, pharm. et chez les pharmaciens el épiciers, Du Barry el C°,p Boulevard du A on/, A" 19, Bruxelles

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 3