HOFSTEDE, T A A I1 REVALENTA ARABICA HOFSTEDEKEN D Ey LE CARDINAL DECHAMPS. GOEDEREN OVERSLAG Portrait de S. E. Monseigneur L education se compose d'exemples el de piéceptes; elle implique ia triple action de lu familie, de école et de la sociêté. Lors- qu'i! y a entente enlre ces trois forces, Ie résullat est fécond; que l'une de ces forces divei ge, el Ie résullat peut èlre désastreux. D'après une circulaire récente de M. Del cour, Ie ministre de Pintérieur lui-méme, qui doit être mieux informé que personne, Ie corps professoral des Athénées en général ne prèchernjt pas d exemple en ce qui con- cerne Ie respect de l'antorité. Pères de familie, lisez et méditez les passa ges suivants du document minislériel: Monsieur Ie préfet, Je dois appeler voire sérieuse attention surdesfaits récents, susceptibles de porter atteinte aux principes mèmes sur lesquels repose ('organisation du corps professoral des établissements de l'Elat. Des appreciations manifestement erro- nées et malveillantes, allanl jusqu'a suspecter les intentions du gouvernement, au moment ou rarnélioration de la carrière professorale est l'objel de toute sa sollicilude, sont livrées a la publicilé au nom des professeurs d'athé- née. D'autre part, des mesures d'ordre inté rieur, prises par le préfet des études, se sont trouvées en butte a la discussion publi- que, en vue d'intéréls personnels. La criti que s'est mèine adressée au conseil de per- feclionnemenl, l'une des institutions qui ont rendu a 1'enseignement public les plus grands services. Enfin, des essais ont été tentés, dans certaines reunions tenues dans les locaux de nos athénées, cEaltérer au détriment de l'or- dre administralif la véritable mission du corps professoral. Ces fails, en supposanl mème qu'ils aient été exagérés ou dénaturés, ont produit une emotion assez profonde pour qu'il soit né cessaire de rappeler que la bonne discipline s'enseigne d'abord par C exemple el qu elle se maintient chez les élèues grace au senti ment du devoir et des convenances qu'in- spirent leurs professeurs. II suffit de lire les lignes et entre les lignes pour comprendre. Un ministre qui juge né cessaire de rappeler au corps professoral des Athénées que la bonne discipline le sentiment du devoir el des convenances ne s'ensei- gnenl aux éléves que par I'exemple doit avoir des motifs bien graves pour prendre ce ton et dire de ces choses. UN MOT D'ORDRE DES LOGES. Ce nest pas seulement a Ypres, on remar- que partout, cette année, une recrudescence d'hoslilité contre 1'enseignement libre dirigé par le clergé el les religieux. Cette hostilité s'est surtout manifeslée dans les discours prononcés aux distributions de prix par les personnages officiels chargés de les prèsider. A Bruxelles comme a Liége et a Anvers et jusque dans les plus petites botirgades du pays, il y a eu comme un déchainement contre 1'enseignement a base religieuse. II n'est pas si petit échevin libéral chargé de l'inslruclion publique qui n'ait cru, a l'oe- casion des distributions de prix, devoir exé- cuter une charge a fond contre les écoles catholiques. Est-il nécessaire de le dire, tont ce monde a obéi a un mot d'ordre parti des Loges. L'enseignement est aujourd'hui plus que jamais le point de mire de nos adversaires. C'est sur lui qu'ils ont concentré toutes leurs visées, c'est en lui qu'ils placent leurs espé- rances. Que ce qui se passe actuellement sous nos yeux nous soil un stimulant el un avertisse- nienl. Un stimulant pour recommander en toute circonslance les bonnes écoles; Un avertissemenl pour que nous soyons en garde contre les surprises de I'ennemi qui, a coups de bourses, de faveurs, parfois mème de menaces, fait Ie siége des families pour les engager a confier leurs enfauts aux établissements et aux universités de l'Etat. Protégeons ces families, soutenons-les dans leurs chréliennes résistances et n'oublions pas que combaltre le mauvais enseignement, c'est combaltre non-seulement au profil du présent, mais encore au profil de l'avenir. Nos lecleurs n'auronl peut ètre pas oublié la bande de brigands qui fut condamnée en 48G3 devant la Cour d'assises de la Flandre occidentale et dont le chef, capitaine Keste- legn, fut décapité a Ypres. L'accusée Marie de Gryse fut également condamnée a mort, mais la peine fut commuéeen cello de vingt ans de travaux forcés. Marie de Gryse a été mise en liberie hier matin. Lesportesde la prison s'ouvrirent ct la malheureuse se ren- dit a la station accompagnée d'une religieu se. Elle pril ensuile le train de Courtrai pour se rendre a Staden. Mercredi dernier, durant le trajet du train parlanl de Menin a 3 h. IS de l'après-diner, un bien terrible malheur est arrivé et a failli occasionner des suites bien déplorables. Une dame y avail pris place en compagnie de trois de ses enfanls, a on kilometre en viron de notre station, un des enfants, agé de trois ans, s'étant approché de la portiére qui par malheur n'avail pas été fermée, fut précipité hors du train; la mère, en voulant saisir l'enfant, allait subir le mème sort sans la présence d'esprit d'un voyageur qui a pu la relenir. Impossible de dormer aucun signal, le train etait encore en pleine marche ct il fal- lait se résigner a attendre l'arrivée a Wer- vicq avant de pouvoir faire des recherches; qu'on juge du désespoirde la mére. A l'arrèl du train on s'est empressé de se rendre sur les lieux, l'enfant n'avait heureu- sement qu'une large plaie a la tèle et de l'avis des médecins en sera encore quitte pour la peur. Ce triste accident a causé la plus pénible émolion a tous ceux qui en ont été les témoins. Le Cercle catholique de Bruxelles a ap- proprié, pendant cette époque de chaleur, le local et le jardin de l'ancien Hotel Adam, rue Montagneaux-Herbes-Potagéres. Les membres y sont admis sur présentation de leurs cartes, lis y trouveront d'excellenls ra- fraichissemenls. Sa Majesté le roi d'Espagne, voulant re- eonnaitre les services rendus a la cause de la religion et de la monarchie, par M. le comte Alphonse Van de Walle de Bruges, vienl de conférer a ce dernier la décoralion de pre mière classe de l'ordre royal el distingué de Charles VII. COMMUNICATION INTÉRESSANTE. Depuis l'invention de l'imprimerie, quel- ques Ordres Religieux seulement se sont voués au travail de la typographic. En voyant tout ce que la mauvaise presse pro duit de livres impies el immoraux, les moi- nes de Lérins se sont demandé si le meilleur moyen de la combaltre ne serail pas de multiplier les bons livres? A cette fin, l'ceuvre de YApostolat Catho lique par l'imprimerie et la propagation des bons livres est fondée depuis quelques mois, avec l'approbation de S. S. Pie IX et d'un grand nombre de Cardinaux, Archevèques, Evèques, etc. Le RRm<! Pére Abbé fait appel au Clergé et aux Fidèles, afin de créer, par leur charité, le capital nécessaire pour l'établissement d'une imprimerie au monastére de N.-D. de Lérins. Le Directeur de l'ceuvre, comptant sur le zéle des ames chréliennes, demande une of- frandede 5 francs, par laquelle on acquiert le litre de Fondaleur de fOEuvre, et on a droit, pour toujours, a I'union eta la parti cipation des priéres, ceuvres et pénilences des religieux Cislerciens. Les Fondaleursde YOEuvre qui voudraient participer a la propagation des bons livres dans une plus large mesure, acquerront des litres d'aulanl plus grands a la reconnaissan ce des Cislerciens. Les Fondateurs de fOEuvre auront Ie pri- vilége de prendre, au prix de revient, tous les livres qui seront publiés. Le principal but de l'Apostoiat Catholique par l'imprimerie n'esl pas seulement d'impri- mer et defournir de bons livres au prix le plus réduit, mais de les distribuer gratuite- ment, selon l'abondance des ressources dont il disposera. FAITS DIVERS. PÈLERINAGE BELGE A N.-D. DE LOURDES, du Mardi 7 Septembre au Mercredi 15, avec séjour a Issoudun, le 8, a Lourdes, les 10,11,12 el 13. et a Paray-le-Monial, le 1-i. Prix des places aller el retour: Premières fr. 185. Secondes fr. 115. Troisiémes fr. 85. Le nombre des inscriptions est limiléa 500. Pour les circulaires et les renseignements, s'adresser a M. L. HENRY, a Mons. Nos lecleurs apprendront avec plaisir que le portrait de S. E. Mgr Ie Cardinal Dechamps, annoncé précédemmepj, vient de parailre et se trouve en vente chez Vanderghinste- Fossé, rue au Beur re, 60, a Ypres. Ce beau et magnifique tableau d'un prélat illustre fera, nous l'espéronsl'ornement de toutes les demeures catholiques. SCCIOOY TE KOOPEN BINNEN IJPRE. §laden. Een wel bebouwd HOFSTEDEKEN, bij de herberg den Haze, op weinig afstand van den steenweg van Wcst,- roosebeke naar Hooghledc, groot 5 II. 63 A. 50 C. Gebruikt door sieur Snoeck-AUegaert, aan 755 fr. bij jare, boven de belastingen. Staat maar op 20,800 franks. Xoiiiiclieke. Eene partie BEflUISD LAND, oost bij de Broodseinde, groot 79 aren 28 centiaren. Gebruikt door sieur Pie- ler-Joannes Verfaillie. Staat op 4,000 franks. Bixscliotc. Eene partie ZAAILAND, bij den molen van sieur Ghyselen, groot 36 aren 60 cent. Gebruikt door de kinders Sedeyn. Staat op 1,700 franks. Den ABSOLUTEN OVERSLAG, ZATERDAG 28" AUGUSTIJ 1875om 2 uren na middag, ter afspanning S,e Barbara-Hof, binnen IJpre, inge volge de voorwaarden, berustende ten kantoore van den Notaris van- DERMEERSCH te IJpre residerende. winkel, aan de oostzijde der Dixmu- destraat, N' 60, binnen IJpre; Ge bruikt door sieur Alphonse Licgeois. Maar ingesteld 5,800 franks. De voorwaarden ten kantore van den Notaris VANDERIHEERSCH, te IJpre. Kantoor van den NOTARIS VANDEPUTTE, te liumbckc. VERHOOPING van eene goede en wel bebouwde groot H. 19-94-67, GELEGEN TE CLERCKEN, langs de Stockstraet, gebruikt door Louis Ostyn, aen de geringe jaer- lyksche pagtsom van 1,600 francs, boven de lastenmet regt tot Bavo 1877, waervan den OVERSLAG DONDERDAG 2 SEPTEMBER 1875, ten 2 uren namiddag, in de afspan ning de Graaf van Vlaanderen, te Rousselaere. Ingesteld 87,400 francs. VRIJDAG, 27" AUGUSTIJ 1875, om 4 uren namiddag, ter estaminet Ant- iverpen, in de Vleeschhouwcrsstraat binnen IJpre, van Een HUIS en ERVE, ten dienste van OPENBARE VERKOOPING ZAEILANDEN EN WEIDEN, TJE HIE1SCHE9I. De Notaris LAMMENS, te Gent, zal, ten overstacn van den bevoeg den lieer Vrederegter, openbacrlyk verkoopen GEMEENTE MERCKEM C'usschen Yper en Dixmude). Koopen 1 tot 16. Eene aller schoonste en wel bebouwde HOE STEDE, met medegaende Zaeilandcn, Weiden en Maei-Gras, t'eencn blokke gelegen te Mcrckcm, inden 18°" Om loop, langs den steenweg van Yper naer Dixmude, sektie A, Nrs 127, 128, 290, 770, 771; sektie B, Nrs 267, 268, 271, 272, 274, 804, 814; en sektie C, Nrs 100, 102, 104 tot 111, 113, 114, 129, 130a, 130b, 131a, 138, 140, 142, 143, 144, 267 en 268, groot volgens kadaster, 37 hectaren, 40 aren, en volgens titels 38 heet. 97 aren 87 c. In pachte by Désiré Van Wontcr- ghem, ten fr. 4,400 'sjaars, boven de lasten, tot 1" October 1877. Alles breeder beschreven by plak brieven en gedrukte plans. INSTELWOENSDAG 8 SEPTEMBER 1875, ten 2 uren namiddag. VERRLYF: WOENSDAG 22 SEP TEMBER 1875, ten 9 uren voormid dag. Telkens in bet Hotel van Kortryk op den Poel, Ie Gent. VIENT DE PARAÏTllE LE MAGNIFIQUE PBIA J 30 FHAAtS. L'album ou sont inscrits les noms des acquéreurs reste ouvert jusqu'au 15 Septembre et sera aussitót après remis solennellement a Mgr le Cardinal. Un exemplaire du portrait est exposé au bureau du journal. Bruxelles, C Juillet 1873. jV. B. Désireux de contribuer a la prospérité de l'Apostoiat, M. Emile Clarisse propose aux person- nes qui voudront bien ajouter 5 francs a leur pre mière offrande, de leur envoyer franco un niagni- fique ouvrage illustré, de la valeur de 8 francs, aussi attrayanl que moral, et qu'on ne saurait trop propager. Prière de s'adresser, pour le tout, a M. Emile Clarisse, zélaleur de l'OEuvre, rue de Calais, 21 a Saint Omer (Pas de-Calais) ou au bureau du Jour nal d' Ypres. Conservation des ceufs. Pour transporter les oeufs dans un étal frais, d'une conlrée a une autre, i' faut les couvrir de vernis, en les plongeant dans une solution de gomme arabique, et en les couvrant de char bon pulvérisé. La gomme arabique, comme vernis, fait un meilleur efiet que lout autre gomme tésine; car on peut aisément la faire disparaitre en la lavant dans de Peau tièdfr ou frarche, et en outre elle est a bon marclié. Les oeufs traités de cette monière se consetvent pendant plusieurs années car le lit de chaibon, par sa nature poreusc, est un mauvais conducteur duj calorique, etjmaintient en conséquence autour des oeufs une temperature égale, 'I les empêche d'éprouver des alternatives de cba leur el de l'roid, lorsqu'on les transporie d'un climat a un autre. Cette méthode est infinimeritjpréférable acclle de graisser les oeufs, car, lorsque la graisse devientSrance,telle hate ou avance la putréfaction de la matière animale de l'ceuf. Pendant la guerre, un officier de uhlans s'ar- réte au presbytère el demande au curé oü il pourrail trouver des lourrages pour son escadron. Suivoz-moi, fait le ptêtre. A quelques centaines de metres, on arrive des avoines.Jle capitaine veut faire mettre pied a lerro. Pas ici, dit le curé, j'ai mieux tout a cólé. El on arrive bientöl a un autre champ qui eS| aussitót ravage par lessoldals Prussiens. Au moment de parlir Pofficier dit au prêtre: II me semble que les premiers fourrages étaient plus beaux. C'est vrai! Pourquoi alors nous avoir conduits jusqu'ici? Paree que l'autre i/était pas a moi! Simple reflexion: Les bonnes ames doctrinaires ne manquent jamais de qualifier messieurs lés communards de pau. vres égarés, pauvres aveuglèsb» Pardon, mais il nous semble que si ces pauvres aveugles étaient si aveugles que qa, ils iraienl tanlót a droile, tantót a gauche. Or, comment se fait-il qu'ils ne vont jamais qu'a gauche? On ne tarira jamais'sür Ie compte de ces pau vres servantes. II est vrai qu'elles vous ont parfois des farjons de faire vos commissions!... Un de nos amis, en villégiature, a pris a son service une brave fille allemande, bonne comme du pain mais un peu dure au francais, qui va se trou ver bien étonnée de voir son dernier exploit couché tout au long dans le journal. Dernièrement notre ami, ayant invité quelques connaissanccs? a une partie de pêche aux écrevisses, se met en quête d'un vieux filet devant servir a ces [entalives crustacéocides. Pas moyen d'en trouver et pas le temps d'en filochert Justement, Gretchen devait aller jusqu'a la ville voisine pour y faire divers achats. Notre ami prend le parti de lui faire acheter un filet la- bas. Vous achèterez un bon filet, pas trop frais. C'est pour attraper des éctevisses... La fille ouvre de grands yeux Ouion coupe le filet en petits ronds, on y attache une grenouille et puis on jette le tout a eaules écrevisses les pincent et ce sont elles qui sont pincées. Vous comprenez... Pien, Mozieu, ch'ai gombris. Et voila la bonne qui s'en va-t-en ville. Notre pêcheur d'écrevisses lui demande des nou- velles du filet. Och! Mozieu, ch'ai ajedé un si po vilet. Comhien l'avez-vous^payé? Totisse vrancs cingande zentimes. Monzieu. C'est au tour de notre ami a ouvrir de grands yeux. Diable, c'est cher; montrez moi ca. Gretchen indique le garde manger. Notre ami l'ouvre et trouve un splendide filet... de bceuf! Tableau. Ler écrevisses des environs s'en pincent encore |es cótes! Mais ce sont les pécheurs-amateurs qui n'ont pas été contents.., j - EN ANDERE van eene schoone geslaen en gelegen O A M ™T" C" A IO rt'nch|e sans médecine, sans purges et sans frias CD/AI\I I Q f\ I U U O par la délicieuse farine de Santé de Du llarry de Londres, dite: Vingt-six ans d'invariable succes. Elle combat avec succes les dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, aeidités, pituiles, nausées, renvois, vomissemenls, inême en grosscsse, consti pation, diarrhée dyssenlerie, coliques, phthisie, toux, aslhme, étotiffcmenls, étonrdissements, oppression, congestion, névrose, insómnies, mélancolie, diabete, faiblesse, épiiisemenl, anéinie, chlorose, tons désordres de la poilrine, gorge, haleine, voies des bronehes, vessie, foie, reins, inteslins, niiiqueiise. eerveau et sang. 75,000 cures, y compris celles de Madame la üuchesse de Castiestunrt, le due de Pluskow, Madame la marquise de Ëréhan, Lord Stuart de Decies, pair d'Angl'eterre, etc., etc. Dyspepsie: M. J.-J. Noël, da Thuillies Hainautde. ringt années de dyspepsie. Dxrtres: Gr. Boos, de Liége, abandonné par les médecins qui déclaraient qua son age (55 ans) toute guérisun était impossible, a été totalement guéri des dartres par I usage de la llevalcnla. JV" 49,8-42:' .Vme Marie Joly, de cinquante ans de constipation, indigestion, nervoshé, nisomnies, aslhme, toux, flatus, spasmes et nausées. J\" -46,270: ld. Roberts, d une consumption pnhnonaire, avec toux, vomissementsconstipation et surdilé de 25 amices. N" 46.217: M. -Ie docteur-médccin Martin, d'une gastralgie et irritation d estomac qui le fuisait vomir 15 18 fois par jour pendant liuit ans. N" 40.218; te colonel II of.som, de la qoutte. neuralgie el ronslipation opinidlre. N" 18,744: le docteur- injdecin Shortandd'une hydropisie ct constipation. N° 49,522; M. lialdwin, de l cpuiseinenl le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d cxcès de jeunesse. Cure N" 62,913. Éalgorge [Jrdèche), 19 Octobre 1863. l.a Recale nta est un remede que j'cuppeller ai presque divin. Elle a fait un bu-n immense d notre bonne sirur Julie, atteinte depuis qualre ans d'une névralgie d la tele, qui la fuisait soujfrir crueltemrnt el ne lui laissait presque aucun repos. Gnice a voire spect/ique elle est auiourd'liui guérie. Moxassier, curé. 1 Plus nourrissante que la viande, elle economise encore 50 fois son prix en medeetne. En boites: 1/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 k,l 60 fr. - Les Biscuits de Revalenta, en boites de 4, 7 et 16 francs. - La Rcvalenta ckocolatee, en bo.tes de 2 fr. 25 c.; de 576 tasses, 60 fr.—Envoi contre bon de poste, les boites de 32 tt 60 fifiunco. Dépót chez C. Been we, pharm. rue du Verger. H. Frysou, rue de D.xmude, Ypres. Bruges, Vve De Grave, droguiste, rue Eeckhout, 2. V. Veys-Frtsou Pres St Jacques 2, phai macien. I.. Algoet-Dispersyn, négociant, rue Notre-Darje, 33. De IIondt-Gazet, te es coloniales, rue des Pierres, 10. A. Witlaert-De Smet, denrees colon,ales Grand Place. 3. Courtrai, H. Bossaert, pharmacien. E. Hiers, pharmacten. Fnrnes, E. Duclos. pharmaeten. Moorslede, Ch. Bostyn, boulanger. Ostende, F. Kockenpoo pharmacien, rue Louise Roulers. II. Boutens-üegeest, pharmacien. Tieghem, G. et V. Moreels. Th.elt J. Buyssens-Byl, phaim. et chez les pharmaciens et épiciers, Dn Barry et C».# Boulevard du Bord, A 10, Biuxelles

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 3