ZAEILANDEN, VANDERGHINSTE-FOSSÉ, MINISTÈRE DE L4 GUERRE. LE MINISTRE DE LA GUERRE, Uon qui nous occupe, un enseignemrnt per- pütuel. Souvenons-nous settlement des Ireize années de la domination doct naire. Nos droits les plus ctiers élaient entamés l'un après l'anlre, et ciiaque jour nous avi'ons a redouler, acoristaier quelque nou vel efnpie temenl, au point que la Constitution lott- jours hypocritement adorée élail de fait devènue mécounaissahle. Cela dura ains jusqu'au moment ou line reaction énergiqu-3 de l'opinion amena les famcuses journées du 14 juin et du 2 aoül 1S7C, el alors qui ne le sail ce fut l'ueuvre politique qui ui l'honneur de sauver loules les autres. A peine respirions nous, a peine certains organesdela presse libérale avaient-ils eu le' lemps de proelamer dans un accés de franchise amérement regretté plus tard ce qu'ilsappelaient Ie soulagemenl universel que déja la menace se faisail entendre. Fu rieux de voir sa pro:e lui écliapper, le faux libéralisme se reprochail a lui-mème d'avoir été trop modéré avec les calholiques, cl il se prometlait bien, si le pouvoir lui revenait, d'óler a ses adversaires l'envie de prendre encore la Constitution et la liberie au sérieux. Le caractère maladif et huinetix de ces dis" positions d'espriT s'esl accenlué encore sous l'infliience de l'i rri lat ion causée par un exil qui se prolonge au-dela de tons les calculs. A mesure que les masques lombaient, la guerre a I'Eglise est devenue un mot d'ordre trés-pen dissimulé; la presse libérale déclare, a qui vent Pentehdre, que PAllemagne el la Suisse nous donncnt un exemple bon a imi- ter, et Pun des premiers résultats que I'on ambitionne, ce sont des mesures destinées a mettre les ordres religieux hors du droit commun. Ce serail se faire d'étranges illusions que de croire, en présence d'une situation pareil- le, que la politique puisse ètre impunément isolée et qu'il soit possible de prendre le bé- néfiee de ses victoires sans lui donncren mé- me lemps un concours clïicace. Dans un dan ger commun, la defense commune est de stricte obligation or aujourd hui les choses en sont au point qu'un nouvel avénemenl du libéralismeexposerail au mème naufrage ce que nous avons de meilleur dans nos fran chises de ciloyen, ce que la liberté nous a donné de plus précicux dans les ceuvres d'en- seignement, decharité el de religion. Nous pouvons le dire a l'honneur des ca lholiques, ce triste mol c'esl de la politi que, appliqué a l'accomplisseinent d'un impérieux devoir, a déja beaucoup perdu de son crédit sa puissance aura cessé d'èlre le jour oü Pon comprendra bien qu'il n'est bon qu'a couvrir la faiblesso, Pindifférence ou l'égoïsme. Laissons-le done a d'autres, el puisque les temps sont Iels qu'il faille, si 1'on peut ainsi dire, faire le bien la main a la garde de son épée, acceptons la loi qui nous est faite, et alions généreusemenl a la luttc, avec la devise Aide-loi, le ciel l'aidera LA POUTRE ET LA PAILLE. Les journaux libéraux el notrc Progrès des premiers se passent en ricanant tine boutade d'un des leurs au sujet de la reparti tion des crédits pour ['augmentation des pelits traitemenls en ce qui concerne les fac teurs de la posle. Nous avons pubhé'Parrêté royal qui alloue aux travaux publics des cré dits importanis stir Pa I local ion volée par les chambresdans le cours de la session derniére. Le gouvernement ne peut dépasser cette allo cation et, par conséquent, ce n'est pas a lui qu'il faut s'en prendre si l'augmentalion ré- parlieenlre les pelits traitemenls des facteurs de la poste n'est pas plus considerable. Selon les journaux libéraux, le gouvernement, comprenanl que ces modesles cl laborieux employés ne peuvenl pas vivre avec le salaire de 8 a 900 fr. qui leur était octroyé, a pris une belle résolution il s'esl décidé a leur accorder une augmentation d'appointements de QUATORZE CENTIMES par jour. Prenons le chiffre sans le diseuler. C'est peu, trop peu sans doule mais les iibéraux devraient bien, avant de critiquer, nous dire ce qu'ils onl fait, quand ils élaient au pou voir, pour cette mème catégorie d'employés. l'n ministre doctrinaire a doublé la besogne des percepteurs et des facteurs au priifii des journaux, dont le service s'est trouvé simpli fy d'autant. Mais si nous ne nous trompons, Je même ministre, oublianl que toute peine mérite salaire, n'a jamais songé a augmenter de cechef les émoluments de son personnel surmené. Courrier reprises attaqué M. I'avocal Léger, celui ci vient de lui adresser a litre de réponse les plaidoyers prononcés par MM™ Drubbel et Van Biervliet, dans le procés en denunciation calommeuse, intentéau dèvoué secrétaire de VAssociation conservatrice de l'arrondisse- menl de Gand. UÉc/io i/u Parlement s'esl execute et a constaté que la réponse de M. Léger (plai- doieries el lettres d'envoi) occupait une lon gueur de i metre 96, soit trois colonnes et demie. C'est presque deux fois la taille de l'invenleur du fameux systénie sur le droit de réponse en matière de [iresse. AUX INCORRUPTIRLES DU LIBÉRALISME. Nous avons parlé de la condamnalion qui a frappé a Mons l'avocat libéral A. De Fuis- seaux, frère du dépulé, pour subordination de lémoin. II parait que eet avocat, plaidant dans une affaire criminelle ffralrioidéj, avait demandé a l'accusé 5,000 frs. pour achetèr un témoin a décharge, une femme mais il n'avait donné au témoin en question qu'tinö partie de la soinme, gardant le resle pour lui. On parle beaucoup a Mons de cette af faire vérilablement sc.indaleuse, el l'on ra- conle que, pendant Uinstruction, des efforts désespérés onl été fails par des libéraux in fluents afin d'nrracher l'avocat De Fuisseaux aux mains de la justice. Une scène assez grave se serail mème passée a ce propos entre un magistral haul placé et le représentant de Mons. On nous apprend que le ministère public en nppelle d minima de la condamnalion a deux ans de prison infligée a l'avocat De Fuisseaux. (Courrier de BruxeUcs). NOMINATIONS ECCLESIASTIQUES. Monseigneur FÉvèque de Bruges vient de nomriier Curé a Harlebeke, M. Verraes, curè de St- Roch, a Courtrai Curè de Lombardzyde, M. Van Belleghem, vicaire a Dixmude. UNE LECON BIEN MÉRITÉE. L'Écho du Parlement ayant a diverses St 3* «e sa 3 sa e 1 o st le LA QUESTION DES EAUX. Dans un de nos précédenls uuméros nous nous sommes fait I écho des plainles qui s'élèvenl de toute part en notre viile par suite du manque absolu d'eau potable. Le Progrès, qui commence a senlir oü le bal blesse ses Maitres, essaie d'une réponse et balbutie en tout et pour tout Tetrange argument que voici: La question des eaux existe dans la plu- part des villes et presque nulleparton ne parvienl a y donner une solution satisfai- sanle: II s'agit en effet de trouver la qualilé et la quantilé, el la plus sage prévoyance exigede ne pas miner la vilje avant d'etre certain d'oblcnir un résultat. Que dirait-on d'un médccin qui, appeléau chevet d'un malade, trouverail uniquement a lui dire que son voisin ne vaul guére mieux et qu'il ne fera pas de vieux os. On le niet- trait polimenl a la porie et on aurait bien raison. Le Progrès prend absolument les allures d'un pareil médecin: Appelé a juslifier ses Seigneurs el Maitres nos tristes inédccins de l'Hötel-de-Villedont l'incurie ou l'tn- capacité (peut-ètre bien les deux: ce que nous exatninerons uu bon moment) nous a con duit a une situation contre laquelle tout le monde proleste, il répond: Ailleurs c'esl la mème chose. Non, Progrès, ailleurs on n'en est pas la. Vos reticences le prouvent a suflisance el bienlol, quand noire /mure sera venue, nous le prouverons a notre tour. Eniretetrips nous esperons que, sembla- bles au malade, nos élecleurs linironl par comprendre que le meilleur moyen de se délivrer de leurs maux c'est de décerneraux piètres fils d'Esculape qui les régentenl les honneurs.... de la porte. UN MAGISTER QUI A LE TIC. Dans line commune suburbaine sévil, par- mi le bétail, la slomatile apluheuse, et elle envahit les étables avec une désolante rapi- dité. Tout le monde y sail que le mal a pris naissance dans les paturages contigus de la commune appartenant a un libéral huppé qui, par imprudence, y avail mis deux têtes de bétail ainenées d'un lieu infeclé. Le bourg- meslre de la localité fut un des premiers dont les bestiaux furenl alteinls, et il eut soin d'averlir aussitöl l'autoriié compétente el de prendre les mesures de prudence prescriles par les lois, de sorte que, de l'aveu de cha- cun, il se trouva a l'abri de tout reprocbe. Un sen I ferniier dont les génisses offraient les synipiöines doutcux de la maladic.méconiiut pendant un ou deux jours les pressantcs in- jonctions du Bourgmcstre et parqua lardi- vement son bétail, cc qui lui vnInt une visite de la gendarmerie, avertie par letire anony- me, cl en outre un gros procés! La-dessus le Magister écloppé du lieu se frotte les mains ,ci pour charmer les ennuis de son far- nienie, il quitte les frais ombrages de ses ornieaux pott-r cmbouehér la trompette rau- que du Progrès ct lancer le quos ego contre son Bourgmeslre qu'il traite de Turc a Maure, de pelé, de galeux, d'incple auteur de lont Ie mal, et, se croyanl encore le puis sant autocrine de sa cave, <x cathedra ma- gistri, d'une main tenant la férule, de l'aulre le code pénal, il menace, il lonue, ilcommi- ne contre son pauvre Bourgmeslre, qui n'en peut mais, tonics, les pcines inlamanles el afflictives édictécs par les lois! II va mème jusqu'a suspendre l'épée de Damoclès sur la tète de sa victimc. Voyez pour preuve le Progrès deDimancbe dernier. Que doe ace brave homrne qui se démè- ne sous les ét rein tes du delirium tremens! Caline les nerfs, mon vieux! Renonce désor- mais a Ion pédantisme, car cela messied a les cheveux blancs retourne a l'ombrage de les arbres loufftis, tu Tytire lentus in om- bra, medilare. En bon pére de familie, consacre tes derniers jours aux soins de les enfants qui, par ton seul fait, a I'licure qu'il est, au beau milieu de leur carrière, en sont encore a se faire tirer 1 horoscope! Ecoute ce conseil, fas est et ab hoste doceri laisse-la les lendresses pour les bèles a comes, combats tes instincts de inotichard, car le tic moral dont tu es atteint, est bien plus redoulable que la stomatite aphleuse. Encore une fois nos plus vives salutations a notre conci'toyen, M. C'h. Breyne. Les ProfessenrS du Conservatoire de Paris sonl plus justes el plus imparliaux que nos Ediles. Nos lecleursse rappellen! que nous avons publié une leltre dalée d'Armenlières relatanl le magnilique succés remporlé a Boulogne,' snr Seine, (Paris) par la Société lyrique d'Armenlièresdirigée par noire conciloyen M. Cli. Breyne. Nous avons sous les ycux trois numéros de R-'vues musicalcs piibliées a Paris. El les coiiBrincnt complétcinciit les renseignements de noire honorable corres- pondant: L'OitPiiÈox, mondcur des Sociélés chorales et inslramentales de France, d'Alyérie el de Belgique, rend coiftpte du concours. Nous y lisons: Lecture a vue. lrc Division: lr Prix, La Lyre dc Belleville. 2'- Prix, Choral de Monlreuil. 3° Prix, Société lyrique d'Ar- rnentières. Execution. lre Division, 2" Section. Premier Prix ascendant, a l'unaniinilé, avec felicitations du Jury, Société lyrique dWrmentières, Directeur M. Breyne. 2C Prix, La Lyre de Belleville, Directeur M. Machard. 3° Prix, Chora I de Montreuil, Directeur M. Gagrie. 4e Prix, ajoulé a la demande du Jury, la Cecilia, (Paris), Directeur M. Dericquebourcq. La Nouvelle France Chorale, rapporle dans les mèmes lermes le double succés de la Société Lyrique d'Armenlières. Enfin L'Eciiodes Orpiiéons publie l'appré- cialion mème du Jury, constitué de- Profes- seursdu Conservatoire de Paris: Appréciation du Jury. lc Division. 2U Section. Un violent incendie rt éclaté cette semaine a Vlamerlinghe et délruit en qttelqties in- slanls la ferme occnpóc par le sienr Antpe. Grace an dévouément dós voisins, les bos- tiaux cl le tnobilier onl pn èire sauvés, mais In réeolte est devenue la proie des Hammes. Rien n'était assure. On aitnbue la cause de ce sinislre a l'imprudence d'un jenne en fant, qui jonanl avec des allutnelles aura communiqué le feu a la demeure de ses pa rents. Un affrenx malheur est arrivé cello se maine stir la ligne d'Ypres a Ostende. Prés du village de Moere, le garde convoi du Iraiu Nc 69 a fait une chute si malbeureuse qu'on n'a plus reievé qu'un cadavre. On a reliré hier des eaux desremparls, derrière la nouvelle prison cellulaire le eada- d'ttn homme qui parait avoir séjourné plu- siettrs jours dans l'eau. Le malheureux était bien mis ei porlait sur lui une soinme de 44 francs 50 een li mes. D'a[irés les renseignements rocueillis par la Police, la victime serail tin certain Char les Leroy, horloger, domicilié a Armcntières. HOrdmELfïlARKTEPsJ. SUGRIGESÏÏ i^ARKTEM. BURGERSTAND VAN YpEREN, chcz IMPRIMEUR-LITHOGRAPIIE, me am ISitmi-i-c. Cl éi, 7j' S^iia GESCHIEDENIS DER ZUSTERKENS DER ARMEN, uil liei fransch vati M. Loot) Aubineau door H. D. B., lid van den Sl Jozefskring van Lier. fr. 0,50. «floma'sséc du Chrélien avec E pit res et Evangiles de tons les Dimanehes, for mat de poche, jolies reliures, de 4 fr,. G fr. et a it - dessus. Approuvé par Mgr Dupanlottp. Ypres, Vanderqinste-Fossé66 rue an Bettrre. Paris, Dupuy, 24 rue Sl-Sulpiee. Lc Ministre de la Gucrre porte a la connaissance du public qu'il sera procédé Ie 9 OCTOBRE 1875, par les soins de Monsieur lc Commandant de la Place a Ypres, a l'adjudication de la fourniturc de S'Sisisic tci-re nécessaire, pendant l'année 1876, au chauffagè des fours de la boulangerie militaire établie dans la ditc place. Le cahier des charges est déposé, dans le bureau du Comman dant de Place précité, oü les amateurs peu vent en prendre connaissance tous les jours non fériés. (s) Xlaiclsamlsl. Porte a la connaissance du jju- blic qu'U sera procédé le 23 OCTO BRE 1875 a midi, dans les bureaux dc Monsieur le Commandant de Place a Ypres, a 1'adjudicatiQn jiour l'entre- prise de la fourniture de Ia Vlamde nécessaire aux corps de troupe qui occuperont. la place d'Ypres pendant l'année 1876. Le cahier des charges de l'cn- treprise est déposé eliez Monsieur le Commandant dc Place, rue desRecol- lets, N° 10, ou les personues qui dési- reraient concourir a l'adjudication, pourront en prendre connaissance, tous les jours non fériés. (s) TUiielftitmld. VERKOOPING tl UFA t i; n i; i, rm nniiui M, avnutt, RENTE EN SCHULDVORDERINGEN. POPERINGHE, by de Copernolle. 1° Een HOFSTEDEKEN, groot 1 h. 33 a. 02 c.; Gebruikt duor de we duwe van Joseph Ghülebert. les bons. De longue dale nous n'uvons entendu une esécution aussi parfaite. Cello société est exlraoi'di- naiiemeni supérieure aux aulres. Diclion excellente, nuances dislinguées, presque tie la inise en scène dans les voix. C'est vrnimnnt arlislique, el quelle lenuc! Tons nos compliments clialeureux a M. Cli. Breyne, le directeur. II est regrellaldo que les cxc- cnlarils n'aienl pas concouru en excellence, ils 011- raicnl certainement reniporlé le prix. Pour te Jury Henri de Thannbep.g, secrétaire. La Cecilia. Jolios voix, juslessn, énergie, execution brillanie, -malgró Ie petit noinbrc de chanteurs, dans lechceur itnposé. II y a un peu de confusion dans Ie commencement des Lansquenets ravissant clioeur de notre excellent ami le sympa- lliique Léo Deliber. Les demi tons laisscnl a dési- sirer. Trompettes, sonnez a été mal exéculé par les basses. La Lyre tie Belleville. 1° Les ténors sont timides, cela nuii a la pureté du son L'ensenihle est bon et correct. Au fond du verrelés exéculants onl irouvó la vcriié, c'esl-a dire une exéculion éner- gique, parfaile, trés bien fondue. Choral de Monlreuil. Les chanteurs sont plus nomlireux que dans les sociétés précédenles et l'ef fet, malgré cela, n'est pas sensiblemenl meilleur. Le Charivari (3' prix, couronné a Amiens) a été remplacó par l'Orphéon, c'est lepeuple. On pour- rnil y désirer plus de pureté dans les aceompagne- mcnis a bouche fermée, les nuances manquenl de relief. Union musicale de Corbeil. Exéculion médio cre; la note, rien de plus. II faul du goül. Les enfants de Beauvais. II ne sufïii pas d'avoir un directeur intelligent, dévoué, il faut travailler; un peu plus de nerf ne feraii pas de mal, loin de la. Société Lyrique d'Aumentières. Aux derniers CAISSE GÉNÉRALE D'ÉPARGNE ET DÉ RETRAITE, sous la garantie de l'Elal. 30 Juin 1874. ACTIF. 11 Mai 1S75. 30Juin 1875. 5,979,274 Ene. ii la Ranq, Nal'°. 26,379,851 Placement grovi^soir 19,881,350 16. détinit it's. 52,240,435 44,876,432 PASSIF. Déposants, Fonds communal. 4,840,078 Mand. en circulation. 4,240,407 peod. des placements. 1,283,538 Fonds de réserve, 52.240,453 Mouvement du mots. 4,256,338 Versements. 4,510,824 Remboursements. i Solde. ld. depuis le l Janv. 254,286 3,714,972 2.870.662 33.2 -4.759 20.512.093 56.668.114 52.550.063 1.070 765 1.228.433 1.818.853 56.663.I14 3.846.326 4.451.377 305.051 7.444.653 8.609.901 31.906.869 20.448.978 00.963,748 55.433 547 2 621.203 4.390.445 1.818.853 60.965.748 6.709.893 4.424.409 2.5857484 40.027.137 Les Pilules u Hulloway som rcconniies coni- mc la Médccine la meiilcure pour les constitutions débilitécs, les maladies du fnie, tl les indigestions. L'eflicacité clonnanle de ce n méde et les edels saiutaues qu'il produit chez les personues atlein- les de res affections paicilraient incroyables, s'ils n 'élaient u I testes par des preuves innombrables dc guérisons i ffeclnées t'l par les avanlages durables qui cu rcsultent pour la santé. Ces pilules tempc- renl et forlifiuiit ie syslt'me uerveiix, purifienl le sang, règient les sécrélions et dontu-nl de la vi- giieur a la constitution. Une fois qu'on en a fait usage, ces remèdes.inspirerU une conliance entiè- re, et des miIIiers de personues, connaissanl pat- leur propre experience leur ellicacilé. en ontcon- seillé l'usage ii leurs amis m ilades. qui a leur tour onl été soitlagés de sytnplöines révélant l'appro- che de maladies pénibles, si non dan'gerenses. PÖPERINGHE, 24 September. De hommel geldt hier 00 franks. Het maililhrieftje van Poperinghe is ons deze week niei toegekomen. LONDEN, 18 September. De invoer van vreemde hommel bestond uil 219 halen van Antwer pen, 151 van Hamburg en 47 van Rotterdam. NUREMBERG, 18 September. Wy hebben heden eenen voorraed van 800 balen hommel gehad, welke spoedig verkocht wierden aen de vorige pry zen, len mei-sten deole van 22 lot 28 guldens Voor de Leste hommel van Markwaare, heeft men eenige guldens meer belaeld de goede kwaliteiten hebben in hel algemeen meer gelrokken geweest dan de gemeeno koopwaer en de handelingen zouden nog aenzienlyker geweest hebben indiende verkozone kwaliteiten in grooleren overvloed op de markt had den gebrogl geweesl. In deze laetste soorlen hebben er sedeil gisicren meer dan 300 balen verkocht ge weesl van 48 lol 52 en van 42 loi 46 guldens v'nn- daeg beklaegde men zich over de schaerschheid van die kwaliteiten, alhoewel de aenkomsten der hom mel niet ophouden. Omtrent 10 ure was geheel den voorraed, len gevolge eener groote vraeg van eenige uitvoerders, niet alleen verkocht maer de schoone kwaliteiten hebben ook aenleiding gegeven tol het sluiten van eenige zaken. Men heeft voor geplom beerde waren en Anslich lot 2 en 58 guldens be laeld; liet getal verkoopingen op dezen dag bedrnegi boven de 1,000 halen. Men coieerl (eerste) Matkl- waare van 30 lot 35 guldens dito, (tweede), van gl. 24 loi 28 dito, (derde), van gl. 29 lot 23 Hal lerlau (eerste) van gl. 48 lot 34 Bade van gl. 36 lot 40 Aischgrund gl. 35 tot 39 Bergliommel gl. 34 tui 40 Alsaiien gi. 40 tol 43 Altmark gl. 26 lol 28. FÜKTH, 16 September. De hommelzaken be palen zich tol hiertoe aen de gemeene kwaliteiten, terwyl de beste soorlen maer later zullen ingevoerd worden men leekent vandaeg Marktwaere van gl. 23 lol 33 beste soorlen van 50 lol 55. SAEZ, 17 September. Sedert gisteren is de hommelmarlu Hauw en men handel l er weinig. Itys op nieuw van eenige guldens afslag, hommel der omstreken en distrikl 00 1st 75 guidons dito der stad 80 tot 85 gl. HAUZENBERG (Beyeren) 16 Sept. De hom- meloogst is byna ten einde en de voortbrengers zyn zeervoldaen over de hoeveelheid en de hoedanigheid Er hebben omlrentGOO kw nlalen ingooogsl geweesl. TETTNANG, 16 Sept. De hommelpluk is nu geëindigd de zaken zyn nog weinig.bedryvend-, en de brouwers alleen hebben tot hiertoe eenige koopen gedaen. Vele voortbrengers willen niet afzeilen aen de pryzen die nu geboden zyn, liet zy van 20 tot 40 gl des le meer dat zy een grooter getal koopers ver wachten en aen hetere pryzen lydens de tentoonstel ling van bommel die hoest moet geopend worden. QUSCHA, 13 Septcmb. Vandaeg heeft onze markt levendig gewceesl. De aenhrengslen hebben lot 233 balen bereikt. Men heeft in alles 155 balen hommel verkocht groene prima van gl. 25 tot 30, dito middensoort gl. 2o/"20, dito liciamelyke voor den uitvoer gl. 17 tol 20; roste prima hommel gl. 54; dito middensoort gl. 35, 40,45; dito beta- melyke voor den den uitvoer, gl. 20 lol 20 per kwinlael (56 kil.) VEURNE, 15 Si-pi fr. 17,50 tot 20. 22 Sopt. fr. 17 lot 18 de 145 liiers. BERGEN, 13 Sept. - 12, 18. 20 Sept. 13, 24 fr. per hectoliter van den 17 lot den 24 September 1875. GliUOO I1TEN. Mannelyk ges'acht 4 Vrouwelyk geslacht 3. IIUWELYKEN Dcvarver, Arthur, bankiers klerk, en Angiitis, Maria, zonder beroep Buhbe, A'phonsus, zadel maker, en Cuvelie, Maria, zonder beroep. STERFGEVALLEN. Clirisliaen, Catharina, 30 jaren, kantwerkster, ongehuwd, S' Jacobs nevens Ypre. Beelprez, Maria-Thoresia, 48 jaren, koeihoudster, echlgenoote van Ludovicus Verbeke, Gi imminckslraet. Klin gels, I'aulns, 67 jaren, zonder beroep, echtgeuoot van Julia Taccoen, Hondsiraet. Kinderen beneden de 7 jaren. Mannelyk geslacht 3. Vrouwelyk geslacht 2. Ij X 33 XX A. X XX E ROEMRUCHTIGE BEKEERINGEN de- zer laelsle tijden door den E. I'. lluguel. Boekdeel gioot in-8°, van 236 bladzyden, met versierden omslag. I'iijs: fr. 1,50. 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HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 2