ZAEILANDEN,
VANDERGHINSTE-FOSSÉ,
MINISTÈRE DE L4 GUERRE.
LE MINISTRE DE LA GUERRE,
Uon qui nous occupe, un enseignemrnt per-
pütuel. Souvenons-nous settlement des Ireize
années de la domination doct naire. Nos
droits les plus ctiers élaient entamés l'un
après l'anlre, et ciiaque jour nous avi'ons a
redouler, acoristaier quelque nou vel efnpie
temenl, au point que la Constitution lott-
jours hypocritement adorée élail de fait
devènue mécounaissahle. Cela dura ains
jusqu'au moment ou line reaction énergiqu-3
de l'opinion amena les famcuses journées du
14 juin et du 2 aoül 1S7C, el alors qui ne
le sail ce fut l'ueuvre politique qui ui
l'honneur de sauver loules les autres.
A peine respirions nous, a peine certains
organesdela presse libérale avaient-ils eu le'
lemps de proelamer dans un accés de
franchise amérement regretté plus tard
ce qu'ilsappelaient Ie soulagemenl universel
que déja la menace se faisail entendre. Fu
rieux de voir sa pro:e lui écliapper, le faux
libéralisme se reprochail a lui-mème d'avoir
été trop modéré avec les calholiques, cl il se
prometlait bien, si le pouvoir lui revenait,
d'óler a ses adversaires l'envie de prendre
encore la Constitution et la liberie au sérieux.
Le caractère maladif et huinetix de ces dis"
positions d'espriT s'esl accenlué encore sous
l'infliience de l'i rri lat ion causée par un exil
qui se prolonge au-dela de tons les calculs.
A mesure que les masques lombaient, la
guerre a I'Eglise est devenue un mot d'ordre
trés-pen dissimulé; la presse libérale déclare,
a qui vent Pentehdre, que PAllemagne el la
Suisse nous donncnt un exemple bon a imi-
ter, et Pun des premiers résultats que I'on
ambitionne, ce sont des mesures destinées a
mettre les ordres religieux hors du droit
commun.
Ce serail se faire d'étranges illusions que
de croire, en présence d'une situation pareil-
le, que la politique puisse ètre impunément
isolée et qu'il soit possible de prendre le bé-
néfiee de ses victoires sans lui donncren mé-
me lemps un concours clïicace. Dans un dan
ger commun, la defense commune est de
stricte obligation or aujourd hui les choses
en sont au point qu'un nouvel avénemenl du
libéralismeexposerail au mème naufrage ce
que nous avons de meilleur dans nos fran
chises de ciloyen, ce que la liberté nous a
donné de plus précicux dans les ceuvres d'en-
seignement, decharité el de religion.
Nous pouvons le dire a l'honneur des ca
lholiques, ce triste mol c'esl de la politi
que, appliqué a l'accomplisseinent d'un
impérieux devoir, a déja beaucoup perdu de
son crédit sa puissance aura cessé d'èlre le
jour oü Pon comprendra bien qu'il n'est bon
qu'a couvrir la faiblesso, Pindifférence ou
l'égoïsme. Laissons-le done a d'autres, el
puisque les temps sont Iels qu'il faille, si 1'on
peut ainsi dire, faire le bien la main a la
garde de son épée, acceptons la loi qui nous
est faite, et alions généreusemenl a la luttc,
avec la devise Aide-loi, le ciel l'aidera
LA POUTRE ET LA PAILLE.
Les journaux libéraux el notrc Progrès
des premiers se passent en ricanant tine
boutade d'un des leurs au sujet de la reparti
tion des crédits pour ['augmentation des
pelits traitemenls en ce qui concerne les fac
teurs de la posle. Nous avons pubhé'Parrêté
royal qui alloue aux travaux publics des cré
dits importanis stir Pa I local ion volée par les
chambresdans le cours de la session derniére.
Le gouvernement ne peut dépasser cette allo
cation et, par conséquent, ce n'est pas a lui
qu'il faut s'en prendre si l'augmentalion ré-
parlieenlre les pelits traitemenls des facteurs
de la poste n'est pas plus considerable. Selon
les journaux libéraux, le gouvernement,
comprenanl que ces modesles cl laborieux
employés ne peuvenl pas vivre avec le salaire
de 8 a 900 fr. qui leur était octroyé, a pris
une belle résolution il s'esl décidé a leur
accorder une augmentation d'appointements
de QUATORZE CENTIMES par jour.
Prenons le chiffre sans le diseuler. C'est
peu, trop peu sans doule mais les iibéraux
devraient bien, avant de critiquer, nous dire
ce qu'ils onl fait, quand ils élaient au pou
voir, pour cette mème catégorie d'employés.
l'n ministre doctrinaire a doublé la besogne
des percepteurs et des facteurs au priifii des
journaux, dont le service s'est trouvé simpli
fy d'autant. Mais si nous ne nous trompons,
Je même ministre, oublianl que toute peine
mérite salaire, n'a jamais songé a augmenter
de cechef les émoluments de son personnel
surmené. Courrier
reprises attaqué M. I'avocal Léger, celui ci
vient de lui adresser a litre de réponse les
plaidoyers prononcés par MM™ Drubbel et
Van Biervliet, dans le procés en denunciation
calommeuse, intentéau dèvoué secrétaire de
VAssociation conservatrice de l'arrondisse-
menl de Gand.
UÉc/io i/u Parlement s'esl execute et a
constaté que la réponse de M. Léger (plai-
doieries el lettres d'envoi) occupait une lon
gueur de i metre 96, soit trois colonnes et
demie. C'est presque deux fois la taille de
l'invenleur du fameux systénie sur le droit
de réponse en matière de [iresse.
AUX INCORRUPTIRLES DU LIBÉRALISME.
Nous avons parlé de la condamnalion qui
a frappé a Mons l'avocat libéral A. De Fuis-
seaux, frère du dépulé, pour subordination
de lémoin. II parait que eet avocat, plaidant
dans une affaire criminelle ffralrioidéj, avait
demandé a l'accusé 5,000 frs. pour achetèr
un témoin a décharge, une femme mais il
n'avait donné au témoin en question qu'tinö
partie de la soinme, gardant le resle pour
lui. On parle beaucoup a Mons de cette af
faire vérilablement sc.indaleuse, el l'on ra-
conle que, pendant Uinstruction, des efforts
désespérés onl été fails par des libéraux in
fluents afin d'nrracher l'avocat De Fuisseaux
aux mains de la justice. Une scène assez grave
se serail mème passée a ce propos entre un
magistral haul placé et le représentant de
Mons.
On nous apprend que le ministère public
en nppelle d minima de la condamnalion a
deux ans de prison infligée a l'avocat De
Fuisseaux. (Courrier de BruxeUcs).
NOMINATIONS ECCLESIASTIQUES.
Monseigneur FÉvèque de Bruges vient de
nomriier
Curé a Harlebeke, M. Verraes, curè de St-
Roch, a Courtrai
Curè de Lombardzyde, M. Van Belleghem,
vicaire a Dixmude.
UNE LECON BIEN MÉRITÉE.
L'Écho du Parlement ayant a diverses
St 3* «e sa 3 sa e 1 o st le
LA QUESTION DES EAUX.
Dans un de nos précédenls uuméros nous
nous sommes fait I écho des plainles qui
s'élèvenl de toute part en notre viile par
suite du manque absolu d'eau potable.
Le Progrès, qui commence a senlir oü le
bal blesse ses Maitres, essaie d'une réponse
et balbutie en tout et pour tout Tetrange
argument que voici:
La question des eaux existe dans la plu-
part des villes et presque nulleparton ne
parvienl a y donner une solution satisfai-
sanle: II s'agit en effet de trouver la qualilé
et la quantilé, el la plus sage prévoyance
exigede ne pas miner la vilje avant d'etre
certain d'oblcnir un résultat.
Que dirait-on d'un médccin qui, appeléau
chevet d'un malade, trouverail uniquement
a lui dire que son voisin ne vaul guére mieux
et qu'il ne fera pas de vieux os. On le niet-
trait polimenl a la porie et on aurait bien
raison.
Le Progrès prend absolument les allures
d'un pareil médecin: Appelé a juslifier ses
Seigneurs el Maitres nos tristes inédccins
de l'Hötel-de-Villedont l'incurie ou l'tn-
capacité (peut-ètre bien les deux: ce que nous
exatninerons uu bon moment) nous a con
duit a une situation contre laquelle tout le
monde proleste, il répond: Ailleurs c'esl
la mème chose.
Non, Progrès, ailleurs on n'en est pas la.
Vos reticences le prouvent a suflisance el
bienlol, quand noire /mure sera venue, nous
le prouverons a notre tour.
Eniretetrips nous esperons que, sembla-
bles au malade, nos élecleurs linironl par
comprendre que le meilleur moyen de se
délivrer de leurs maux c'est de décerneraux
piètres fils d'Esculape qui les régentenl les
honneurs.... de la porte.
UN MAGISTER QUI A LE TIC.
Dans line commune suburbaine sévil, par-
mi le bétail, la slomatile apluheuse, et elle
envahit les étables avec une désolante rapi-
dité. Tout le monde y sail que le mal a pris
naissance dans les paturages contigus de la
commune appartenant a un libéral huppé
qui, par imprudence, y avail mis deux têtes
de bétail ainenées d'un lieu infeclé. Le bourg-
meslre de la localité fut un des premiers dont
les bestiaux furenl alteinls, et il eut soin
d'averlir aussitöl l'autoriié compétente el de
prendre les mesures de prudence prescriles
par les lois, de sorte que, de l'aveu de cha-
cun, il se trouva a l'abri de tout reprocbe.
Un sen I ferniier dont les génisses offraient les
synipiöines doutcux de la maladic.méconiiut
pendant un ou deux jours les pressantcs in-
jonctions du Bourgmcstre et parqua lardi-
vement son bétail, cc qui lui vnInt une visite
de la gendarmerie, avertie par letire anony-
me, cl en outre un gros procés! La-dessus le
Magister écloppé du lieu se frotte les mains
,ci pour charmer les ennuis de son far-
nienie, il quitte les frais ombrages de ses
ornieaux pott-r cmbouehér la trompette rau-
que du Progrès ct lancer le quos ego contre
son Bourgmeslre qu'il traite de Turc a
Maure, de pelé, de galeux, d'incple auteur
de lont Ie mal, et, se croyanl encore le puis
sant autocrine de sa cave, <x cathedra ma-
gistri, d'une main tenant la férule, de l'aulre
le code pénal, il menace, il lonue, ilcommi-
ne contre son pauvre Bourgmeslre, qui n'en
peut mais, tonics, les pcines inlamanles el
afflictives édictécs par les lois! II va mème
jusqu'a suspendre l'épée de Damoclès sur la
tète de sa victimc. Voyez pour preuve le
Progrès deDimancbe dernier.
Que doe ace brave homrne qui se démè-
ne sous les ét rein tes du delirium tremens!
Caline les nerfs, mon vieux! Renonce désor-
mais a Ion pédantisme, car cela messied a les
cheveux blancs retourne a l'ombrage de
les arbres loufftis, tu Tytire lentus in om-
bra, medilare. En bon pére de familie,
consacre tes derniers jours aux soins de les
enfants qui, par ton seul fait, a I'licure
qu'il est, au beau milieu de leur carrière,
en sont encore a se faire tirer 1 horoscope!
Ecoute ce conseil, fas est et ab hoste doceri
laisse-la les lendresses pour les bèles a
comes, combats tes instincts de inotichard,
car le tic moral dont tu es atteint, est
bien plus redoulable que la stomatite
aphleuse.
Encore une fois nos plus vives salutations
a notre conci'toyen, M. C'h. Breyne. Les
ProfessenrS du Conservatoire de Paris sonl
plus justes el plus imparliaux que nos Ediles.
Nos lecleursse rappellen! que nous avons
publié une leltre dalée d'Armenlières relatanl
le magnilique succés remporlé a Boulogne,'
snr Seine, (Paris) par la Société lyrique
d'Armenlièresdirigée par noire conciloyen
M. Cli. Breyne. Nous avons sous les ycux
trois numéros de R-'vues musicalcs piibliées
a Paris. El les coiiBrincnt complétcinciit les
renseignements de noire honorable corres-
pondant:
L'OitPiiÈox, mondcur des Sociélés chorales
et inslramentales de France, d'Alyérie el de
Belgique, rend coiftpte du concours. Nous
y lisons:
Lecture a vue. lrc Division: lr Prix,
La Lyre dc Belleville. 2'- Prix, Choral de
Monlreuil. 3° Prix, Société lyrique d'Ar-
rnentières.
Execution. lre Division, 2" Section.
Premier Prix ascendant, a l'unaniinilé,
avec felicitations du Jury, Société lyrique
dWrmentières, Directeur M. Breyne.
2C Prix, La Lyre de Belleville, Directeur
M. Machard. 3° Prix, Chora I de Montreuil,
Directeur M. Gagrie. 4e Prix, ajoulé a
la demande du Jury, la Cecilia, (Paris),
Directeur M. Dericquebourcq.
La Nouvelle France Chorale, rapporle
dans les mèmes lermes le double succés de
la Société Lyrique d'Armenlières.
Enfin L'Eciiodes Orpiiéons publie l'appré-
cialion mème du Jury, constitué de- Profes-
seursdu Conservatoire de Paris:
Appréciation du Jury.
lc Division. 2U Section.
Un violent incendie rt éclaté cette semaine
a Vlamerlinghe et délruit en qttelqties in-
slanls la ferme occnpóc par le sienr Antpe.
Grace an dévouément dós voisins, les bos-
tiaux cl le tnobilier onl pn èire sauvés, mais
In réeolte est devenue la proie des Hammes.
Rien n'était assure. On aitnbue la cause de
ce sinislre a l'imprudence d'un jenne en
fant, qui jonanl avec des allutnelles aura
communiqué le feu a la demeure de ses pa
rents.
Un affrenx malheur est arrivé cello se
maine stir la ligne d'Ypres a Ostende. Prés
du village de Moere, le garde convoi du
Iraiu Nc 69 a fait une chute si malbeureuse
qu'on n'a plus reievé qu'un cadavre.
On a reliré hier des eaux desremparls,
derrière la nouvelle prison cellulaire le eada-
d'ttn homme qui parait avoir séjourné plu-
siettrs jours dans l'eau. Le malheureux était
bien mis ei porlait sur lui une soinme de
44 francs 50 een li mes.
D'a[irés les renseignements rocueillis par
la Police, la victime serail tin certain Char
les Leroy, horloger, domicilié a Armcntières.
HOrdmELfïlARKTEPsJ.
SUGRIGESÏÏ i^ARKTEM.
BURGERSTAND VAN YpEREN,
chcz
IMPRIMEUR-LITHOGRAPIIE,
me am ISitmi-i-c. Cl éi, 7j' S^iia
GESCHIEDENIS DER ZUSTERKENS DER
ARMEN, uil liei fransch vati M. Loot) Aubineau
door H. D. B., lid van den Sl Jozefskring
van Lier. fr. 0,50.
«floma'sséc du Chrélien avec E pit res et
Evangiles de tons les Dimanehes, for
mat de poche, jolies reliures, de 4 fr,.
G fr. et a it - dessus. Approuvé par Mgr
Dupanlottp.
Ypres, Vanderqinste-Fossé66 rue an
Bettrre. Paris, Dupuy, 24 rue Sl-Sulpiee.
Lc Ministre de la Gucrre
porte a la connaissance du public
qu'il sera procédé Ie 9 OCTOBRE
1875, par les soins de Monsieur lc
Commandant de la Place a Ypres,
a l'adjudication de la fourniturc de
S'Sisisic tci-re nécessaire,
pendant l'année 1876, au chauffagè
des fours de la boulangerie militaire
établie dans la ditc place.
Le cahier des charges est
déposé, dans le bureau du Comman
dant de Place précité, oü les amateurs
peu vent en prendre connaissance tous
les jours non fériés.
(s) Xlaiclsamlsl.
Porte a la connaissance du jju-
blic qu'U sera procédé le 23 OCTO
BRE 1875 a midi, dans les bureaux dc
Monsieur le Commandant de Place
a Ypres, a 1'adjudicatiQn jiour l'entre-
prise de la fourniture de Ia Vlamde
nécessaire aux corps de troupe qui
occuperont. la place d'Ypres pendant
l'année 1876.
Le cahier des charges de l'cn-
treprise est déposé eliez Monsieur le
Commandant dc Place, rue desRecol-
lets, N° 10, ou les personues qui dési-
reraient concourir a l'adjudication,
pourront en prendre connaissance,
tous les jours non fériés.
(s) TUiielftitmld.
VERKOOPING
tl UFA t i; n i; i, rm nniiui
M, avnutt,
RENTE EN SCHULDVORDERINGEN.
POPERINGHE, by de Copernolle.
1° Een HOFSTEDEKEN, groot 1 h.
33 a. 02 c.; Gebruikt duor de we
duwe van Joseph Ghülebert.
les bons. De longue dale nous n'uvons entendu une
esécution aussi parfaite. Cello société est exlraoi'di-
naiiemeni supérieure aux aulres. Diclion excellente,
nuances dislinguées, presque tie la inise en scène
dans les voix. C'est vrnimnnt arlislique, el quelle
lenuc! Tons nos compliments clialeureux a M. Cli.
Breyne, le directeur. II est regrellaldo que les cxc-
cnlarils n'aienl pas concouru en excellence, ils 011-
raicnl certainement reniporlé le prix.
Pour te Jury
Henri de Thannbep.g, secrétaire.
La Cecilia. Jolios voix, juslessn, énergie,
execution brillanie, -malgró Ie petit noinbrc de
chanteurs, dans lechceur itnposé. II y a un peu de
confusion dans Ie commencement des Lansquenets
ravissant clioeur de notre excellent ami le sympa-
lliique Léo Deliber. Les demi tons laisscnl a dési-
sirer. Trompettes, sonnez a été mal exéculé par
les basses.
La Lyre tie Belleville. 1° Les ténors sont
timides, cela nuii a la pureté du son L'ensenihle
est bon et correct. Au fond du verrelés exéculants
onl irouvó la vcriié, c'esl-a dire une exéculion éner-
gique, parfaile, trés bien fondue.
Choral de Monlreuil. Les chanteurs sont plus
nomlireux que dans les sociétés précédenles et l'ef
fet, malgré cela, n'est pas sensiblemenl meilleur.
Le Charivari (3' prix, couronné a Amiens) a été
remplacó par l'Orphéon, c'est lepeuple. On pour-
rnil y désirer plus de pureté dans les aceompagne-
mcnis a bouche fermée, les nuances manquenl de
relief.
Union musicale de Corbeil. Exéculion médio
cre; la note, rien de plus. II faul du goül.
Les enfants de Beauvais. II ne sufïii pas
d'avoir un directeur intelligent, dévoué, il faut
travailler; un peu plus de nerf ne feraii pas de mal,
loin de la.
Société Lyrique d'Aumentières. Aux derniers
CAISSE GÉNÉRALE D'ÉPARGNE ET DÉ RETRAITE,
sous la garantie de l'Elal.
30 Juin 1874.
ACTIF.
11 Mai 1S75. 30Juin 1875.
5,979,274 Ene. ii la Ranq, Nal'°.
26,379,851 Placement grovi^soir
19,881,350 16. détinit it's.
52,240,435
44,876,432
PASSIF.
Déposants,
Fonds communal.
4,840,078 Mand. en circulation.
4,240,407 peod. des placements.
1,283,538 Fonds de réserve,
52.240,453
Mouvement du mots.
4,256,338 Versements.
4,510,824 Remboursements.
i Solde.
ld. depuis le l Janv.
254,286
3,714,972
2.870.662
33.2 -4.759
20.512.093
56.668.114
52.550.063
1.070 765
1.228.433
1.818.853
56.663.I14
3.846.326
4.451.377
305.051
7.444.653
8.609.901
31.906.869
20.448.978
00.963,748
55.433 547
2 621.203
4.390.445
1.818.853
60.965.748
6.709.893
4.424.409
2.5857484
40.027.137
Les Pilules u Hulloway som rcconniies coni-
mc la Médccine la meiilcure pour les constitutions
débilitécs, les maladies du fnie, tl les indigestions.
L'eflicacité clonnanle de ce n méde et les edels
saiutaues qu'il produit chez les personues atlein-
les de res affections paicilraient incroyables, s'ils
n 'élaient u I testes par des preuves innombrables dc
guérisons i ffeclnées t'l par les avanlages durables
qui cu rcsultent pour la santé. Ces pilules tempc-
renl et forlifiuiit ie syslt'me uerveiix, purifienl le
sang, règient les sécrélions et dontu-nl de la vi-
giieur a la constitution. Une fois qu'on en a fait
usage, ces remèdes.inspirerU une conliance entiè-
re, et des miIIiers de personues, connaissanl pat-
leur propre experience leur ellicacilé. en ontcon-
seillé l'usage ii leurs amis m ilades. qui a leur tour
onl été soitlagés de sytnplöines révélant l'appro-
che de maladies pénibles, si non dan'gerenses.
PÖPERINGHE, 24 September. De hommel
geldt hier 00 franks.
Het maililhrieftje van Poperinghe is ons deze
week niei toegekomen.
LONDEN, 18 September. De invoer van
vreemde hommel bestond uil 219 halen van Antwer
pen, 151 van Hamburg en 47 van Rotterdam.
NUREMBERG, 18 September. Wy hebben
heden eenen voorraed van 800 balen hommel gehad,
welke spoedig verkocht wierden aen de vorige pry
zen, len mei-sten deole van 22 lot 28 guldens Voor
de Leste hommel van Markwaare, heeft men eenige
guldens meer belaeld de goede kwaliteiten hebben
in hel algemeen meer gelrokken geweest dan de
gemeeno koopwaer en de handelingen zouden nog
aenzienlyker geweest hebben indiende verkozone
kwaliteiten in grooleren overvloed op de markt had
den gebrogl geweesl. In deze laetste soorlen hebben
er sedeil gisicren meer dan 300 balen verkocht ge
weesl van 48 lol 52 en van 42 loi 46 guldens v'nn-
daeg beklaegde men zich over de schaerschheid van
die kwaliteiten, alhoewel de aenkomsten der hom
mel niet ophouden. Omtrent 10 ure was geheel den
voorraed, len gevolge eener groote vraeg van eenige
uitvoerders, niet alleen verkocht maer de schoone
kwaliteiten hebben ook aenleiding gegeven tol het
sluiten van eenige zaken. Men heeft voor geplom
beerde waren en Anslich lot 2 en 58 guldens be
laeld; liet getal verkoopingen op dezen dag bedrnegi
boven de 1,000 halen. Men coieerl (eerste) Matkl-
waare van 30 lot 35 guldens dito, (tweede), van
gl. 24 loi 28 dito, (derde), van gl. 29 lot 23 Hal
lerlau (eerste) van gl. 48 lot 34 Bade van gl. 36
lot 40 Aischgrund gl. 35 tot 39 Bergliommel gl.
34 tui 40 Alsaiien gi. 40 tol 43 Altmark gl. 26
lol 28.
FÜKTH, 16 September. De hommelzaken be
palen zich tol hiertoe aen de gemeene kwaliteiten,
terwyl de beste soorlen maer later zullen ingevoerd
worden men leekent vandaeg Marktwaere van
gl. 23 lol 33 beste soorlen van 50 lol 55.
SAEZ, 17 September. Sedert gisteren is de
hommelmarlu Hauw en men handel l er weinig. Itys
op nieuw van eenige guldens afslag, hommel der
omstreken en distrikl 00 1st 75 guidons dito der
stad 80 tot 85 gl.
HAUZENBERG (Beyeren) 16 Sept. De hom-
meloogst is byna ten einde en de voortbrengers zyn
zeervoldaen over de hoeveelheid en de hoedanigheid
Er hebben omlrentGOO kw nlalen ingooogsl geweesl.
TETTNANG, 16 Sept. De hommelpluk is nu
geëindigd de zaken zyn nog weinig.bedryvend-, en
de brouwers alleen hebben tot hiertoe eenige koopen
gedaen. Vele voortbrengers willen niet afzeilen aen
de pryzen die nu geboden zyn, liet zy van 20 tot 40
gl des le meer dat zy een grooter getal koopers ver
wachten en aen hetere pryzen lydens de tentoonstel
ling van bommel die hoest moet geopend worden.
QUSCHA, 13 Septcmb. Vandaeg heeft onze
markt levendig gewceesl. De aenhrengslen hebben
lot 233 balen bereikt. Men heeft in alles 155
balen hommel verkocht groene prima van gl. 25 tot
30, dito middensoort gl. 2o/"20, dito liciamelyke
voor den uitvoer gl. 17 tol 20; roste prima hommel
gl. 54; dito middensoort gl. 35, 40,45; dito beta-
melyke voor den den uitvoer, gl. 20 lol 20 per
kwinlael (56 kil.)
VEURNE, 15 Si-pi fr. 17,50 tot 20. 22
Sopt. fr. 17 lot 18 de 145 liiers.
BERGEN, 13 Sept. - 12, 18. 20 Sept. 13,
24 fr. per hectoliter
van den 17 lot den 24 September 1875.
GliUOO I1TEN.
Mannelyk ges'acht 4 Vrouwelyk geslacht 3.
IIUWELYKEN
Dcvarver, Arthur, bankiers klerk, en Angiitis,
Maria, zonder beroep Buhbe, A'phonsus, zadel
maker, en Cuvelie, Maria, zonder beroep.
STERFGEVALLEN.
Clirisliaen, Catharina, 30 jaren, kantwerkster,
ongehuwd, S' Jacobs nevens Ypre. Beelprez,
Maria-Thoresia, 48 jaren, koeihoudster, echlgenoote
van Ludovicus Verbeke, Gi imminckslraet. Klin
gels, I'aulns, 67 jaren, zonder beroep, echtgeuoot
van Julia Taccoen, Hondsiraet.
Kinderen beneden de 7 jaren.
Mannelyk geslacht 3. Vrouwelyk geslacht 2.
Ij X 33 XX A. X XX E
ROEMRUCHTIGE BEKEERINGEN de-
zer laelsle tijden door den E. I'. lluguel. Boekdeel
gioot in-8°, van 236 bladzyden, met versierden
omslag. I'iijs: fr. 1,50.
LICHSTRAAL VAN GENA DEdoorschij
nende in de verandering van leven van vele uit
stekende mannen dezer lijden door den E. P
lluguel Boekdeel groot in 8", van 300 bladzyden,
met versierden omslag. Prijs fr. 1,50.
I JIJIIIIJ—BBBBMWWWBBBBWBBWBB—a—
van