A VENDUE D'UN BEAU MO BI LI ER. DE BEAUX PEUPLIERS Ef BOIS-BLANCS. conduit falalemenl a l'anarchie sociale et qu'on ne peut maintenir deboul un édifice- lorsqu'on renverse la pierre fondainenlale sur laquelle il s'appuie. Or, toujours el par lout, la sagesse pnïenne elle-méme en a fait mainle fois I'avcu, la religiou a élé cetle base fondamentale. Le vrai coupable ici, c'est done la politi que antireligieuse du libéralisme qui a formé a son école les futurs soldats de la devolu tion. X) HORRIBLE SACRILEGE A GEMBLOUX. Nous lisons dans YAmide COrdre Un affreux sacrilege a étécommis diman- che dernier, vers midi, dans l'église de Gem bloux. Blaise a Dieu que, vu leur tont jeune age, las auteurs de cetle horrible profanation n'aient pas eu la conscience de Bade a jamais exécrable qu'ils ont com in is Une dixaine de pet its garcons se sont done introduits dans l'église, reslée ouverte par mégarde enlre les deux offices, et la, après avoir revètu les habits des enfants de clioeur et simulé une cérémonie religieuse, ils ont ouvert le tabernacle, et, iinpiéléinexplicable! ils ont porto une main sacrilége sur un ci- boire qui contenait environ 150 hosties con- sacrées. La plume se refuse a décrire les dé tails qui ont suivi. Qu'il noussuffise de dire que les sainles cspéces ont été en partie man- gées, en partie dispersées, el mème jetées au feu par ceux que nous appellerions des petits démons si, répélons-le, Pon ne voulait croire que la conscience du forfait leur a manqué. A la première nouvelle du sacrilége, Ie prètre de Gembloux, la douleur dans fame, jnterrogea ces misérables enfants, et sur les indications qui lui furenl données, il put recueill i r quelques parcel les. Depuislors une morne consternation régne dans la ville de Gembloux. L'église est en deuil. Soir et matin, le son lugubre des clo ches invite les paroissiens a venir implorer la miséricorde divine, el la population chró- lienne se porte en Joule ces prières de ré para t ion. C'est avec frémissement et navremenl que tous nos fréres dans la l'oi apprendrönt cel acte incomprehensible ils s'uniront au deuil de l'église de Gembloux, ils s'affligeront, ils prieront avec el le. Puisse ce concert de priè res parvenir a désarmer la Majesté divine, outragéedans fanguste Sacrementde l'Autel Acle de foi el d'amende honorable. Nous apprenons qu'une instruction judi- ciaire est cominencée. VEcho de Namur, après avoir relate le sacrilége, njoute: Nous n'en dirons pas davantage aujour- d'hui sur cetle oeuvre diabolique, ni ne vou- lons nous faire l'écho de tous les bruits qui circulenl a ce propos a Gembloux. Lorsque le jour sera fait sur ce scandale qui a épouvanté toule la population, nous serous plus a mème de dire a quel aibre il faul atlribuer ces fruits aflreux d'impiété. ENCORE L'ÉLECTION DE GAND. Le Bien public constate avec une légilime satisfaction, que l'échec électoral du 23 a G:ind n a pas abatlu le courage des calholi- ques. Nos amis poliliques, loin de se décou rager, ont au contraire pris la résolution de s prèparera de nouveaux combats. Lcs ca- tholiques de Gand.dil nolreconfrèrc, se sont trop reposés sur los calholiques do la cam pagne el leur out laissé l'lionneur et Ie som dc vamcre la gueuserie. RAPPROCHEMENT SIGNIFICATIF. On lit dans le Bien public Nos ad versa ires, enivrés dc leur succès d hier, sóuliennenl doja', ce matin, que la majorité est nequise au libéralisme dans l'ar- rondisserrienl dc Garid. Pour faire justice dc pareillc these, il suffit de citei quelques cluffres qui produironl sur cetie ivresse l'effet d'une douche. M. de Kerchove a obtenu hier 3.472 voix. Ce chIIre esl inférieur au nombre do voix recueillies Pan dernier par nos honorables représe Cants catholiques. M. Dc Haets obtenait 3,507 voix M. De lehaye, 3,500 M. Cruyl, 3,497. Ce rapprochement est d'aulant plus signi- ficalif qu'en 1874, ily avail seuJcinent 7,416 électeurs inscrits, tandis qu'en 1873, il y eu avail 7,529, soit cent électeurs de plus. CHRONIQUE JÜDICIAIRE. Dans son audience de Mereredi, le tribunal correct ion nel d Anvers a prononcé dens l'af- faire de I adminislralion de St-Jacques du 1' Juin dernier. Nos lecteurs se rappellent les ignobles outrages dont cette administra tion fut l'objet de la part de quelques mili ciens de i'avenir. Le tribunal correctionnel a condamné le nomn.é Edouard Nyssens, agé de 15 ans, a cette époque éléve de l'Atbénée royal d An vers, a 15 jours de prison el a 26 fr. d'amen de pour outrage aux objels du culte. coterie rouler a terre et son argile s'émietler sur le pavé. Mais ni les Vanden Bogaerde, ni les Gra vel, ni les Brunfaut ne parviendronl a sup- pléer au zéle et a l'expérience de Monsieur Hynderick en matière de travaux publics, lis ne bulaieroni pas la poussière que 1 'ho norable échevin, en s'en allant, a secoué au seuil du Collége. On regretle la démission de Fhonorable échevin paree qu'clle ctublil un précédent. Si dans I'avenir on éprouvait derechef le be- soin de faire une petite niche a quelqu'un dont le nez déplairait provisoiremenl, ce quelqu'un la pourrail s'anloriser de l'exem- ple de dignité donné par Monsieur Hynde rick, el alors le moyen de rire! Mais le motif principal pour lequel on regretle que M. Hynderick ne se soit pas ré signé sans mot dire.au l óle de souffre-dou- leurc'est naturcllemont le motif qu'on ne dit pas. Essayons dc lever le voile. Que voulait le Grand-Chef en enlevant des voix a M. Hynd'e riek, des voix libérales, des voix doctrinaireson ne Ie conteste plus aujourd'hui, et M. Hynderick ne s'y est pas un instant Irompé? II avail pu tolérer tin bourgmestre-soliveau, mais il ne voulait pas que la couronne et la puissance sortissenl dófiniiivemenl de la familie: il fallail ècarler M. Hynderick comme Bourgmeslre. On le disait assez haul, trop haul malhenreuse- ment, en commenlant le vote intelligent du 26 Oclobre. II fallail a Ypres, colportail on, un Bourgmeslre qui donnal de fetes. Le pe- tit-fils Gustave serail eet hommela: prenez mon ours! Et Ton avail, par un^scrutin intelligent donné a M. Gustave de Sluers 40 voix de plus qu'a M. Hynderick, et mis celui-ciala queue dos Gravel, des Brunfaut et autres Vandcvyvcr! Jusque la lout allait bien. PAILLE ET POUTRE. M. X., liberala f habitude, dit le Progrès dans son dernier numéro, et il en a incontes- TAisi.EMENT le DiioiT, de s'adressera loules les personnes gu'il co/mail, pour les engager d valer en faveur de tel ou tel landhut. El cela esl bien naturel, ajoute le Progrès: on serail tout bonnemenl ridicule de vouloir enlraver ce bon M. X.,libéiat, dans sa petite propagande. Derniéremenl M. X., calholigue, engage son propre fermicr, dont il posséde el mérite tonte la confiance, a voter plulól pour lel candidal inslituteur que pour tel autre; et le Progrès cric comme un élranglé que c'est i'abominalion de la desolation. Cependant M. X, calholigue, n'usail que de l'influence qui lui est propre, sans aucune espèce de menace. C'est horrible, dit le Pro grès. M. X., liberal, use d'une influence qu'il ne possède qu'en verlu de la gesiion de hiens d'autrui, de hiens des pan vres; etjle maIbeu - reux lenancier n'ignore pas a quoi il s'ex- poserail en désobeissant. C'est parfait jubile le Progrès. II est décidémenl aussi ardu de mellre Ie Progrès d'accord avec la logique qu'il l'élail jadis, au témoignage de Boileau,|de mellre Pradon d'accord avec le parterre. TOUT-VENANT, 3",e, (grove kolen me w einig gruis), id. 1 ,000 kos, fr. 27-16 Zyn magazyn (by liet Paviljoen) tt Steenstraete is gedurig voorzien mei gelyke soorten kolen mits een franl per k"s verhoog, van de voorenge melde pryzen. Y EN Dl TIE van zeer schoone zuivere en lano-, stammige zachte Iepen, Abeelen Popelieren en andere BOOMEN Maandag 8? Bccenilicn' NOMINATIONS ECCLÉSIASTIQUES. Mgr I Evéque de Bruges vient de nommer: Cure a Weslkerke, M. Coolen, curé a Bix- schoie; Curé a Bixschote, M Delpulle, vicairc a Budeler voorde. C8a tro as 5s| sie local». COMMENT UNE NICHE DEV1ENT UNE CATASTROPHE. Le Progrès accu ei J1 c lalet t re de Monsieur le Chevalier Augusie Hynderick... uuxltr- mes dc lu lot, comme un enfant grincheux aecueillerait une médecinc amèrc, au Ier me... d une correction pa i cruel Ic. II na pas mème lespiil on Ic sang iroid de dissinuder au public I horrible grimace quo lui arraclie l'absorption forcée du julep que Fhonorable échevin lui présente. S'il insére la prose do Monsieur Hynderick, il l'imprime loul du long, c'est que la lollig oblige. Puis les sourcils en accent circonflexe, c'est sur nous qu il tourne sa colore, sur nous, innocents dc lout le mal, dc notoriétépubtiguc,Fho norable cchevin a pris le som de Ie conslaler. Si vous vous figureznous ene Ic Progrès gue mes patruns écrivenl pour vous faire pluisir, vous vous trompez el pas peul Eb bicu, qnoi qu iIs en uicnl, nous i'avou- ons, en se monlrant si naïvenieni pris dans leurs propres lacs, les pationsdu Progrès nous ainusent énoriiiément, el nous ne sommes pas les seuls, la galerie est avec nous. On vent bien nous dire pourquoi l'on re gretle la détermination de Fhonorable Mon sieur Hynderick. On la regrellc paree qu'elle privé le Collége échevinal de ses lumières el de son experience. Ce regret est legitime, nous l'avons constalé nous-mè nes. Pour s'en convaincre, il suffit de jeler les yeux sur les arrivés récents, auxquels on a si benoite- ment fait la courte échelle. Le palriarcbe avail prononcé sur eux le dtgni sunt mtrare; mais a la condition qu'ils servissent a perpé- luité de piédestal a quelqu'un des siens. Le piëdestal s'esl dérobé, laissanl la vénérable Mais, si on ne voulait pas de Monsieur le chevalier Hynderick, on voulait encore bien moins de M. Vanheule. Monsieur Vanheule au pouvoir, c'est le débordemenl complet, c'est la submersion finale de la coterie. Or, Monsieur Hynde rick en brülant ses vaisseaux, par sa letlre du 18 Novembre, a laissé Faimable Monsieur Vanheule et ceux qui l'appuient dans le Con- seil, absolurnent maitres du terrain. Tant qu'il ne s'est agi que d'amoindrir Monsieur Hynderick, de rnaniére a le rendre impossible comme bourgmeslre, Monsieur Van Hen le, armé d'un méphy.stoj héüque sourire a pu lendre la main a la coterie el jouer son róle dans la petite niche, faite a son coliègue des travaux publics; mais lors- qu'il s'esl sérieusement agi dc bisser le petil- fils désigné, au fauteuil defeu Monsieur Beke, Monsieur Van Heule a naturellernent refuse son échine, il a fait volte face et il a fa Hu compter avec lui. Si bien que Monsieur de Sluers s'esl éclipsé tout a coup, et qu'il est parti pour Nice, eomplélemenl bredouille. Qu'on cut voulu alors se raccroclier a M. Hynderick Qu'on eut volonliers endossé la petite niche aux catholiques, a quelques grincheux, a des enfants perdus du parti Mais point M. Hynderick a cru que ses ser vices méntaienl autre chose que d'etre pris successivement pour plastron, et puis pom- pis aller. II nc s'est pas laissé dévoyer un seul instant il a marché droit, sa letlrc a la main, sur ceux dontle coup élail parti.Je n'avais pas, leur dit-il dédaigneusement, dc gratitude a allendre de vous, je vous connais trop bien j'avais droit de compter sur voire sympathie elle m'a fait défaut, vous vous êies moqués de moi, mes maitres, eh bien dansez mainlenant. Et ils dansenl, el M. Vanheule tient ie violon. ENQUÊTE. Nos amis inlerviendront au besoin dans Cenguète de Si-Jean, trouvons-nousjjencorc dans Ie Progrès, et ils auront une magnifi- gue occasion dc faire du scandale. Nous apprenons quecetle occasion de faire du scandale va ét re offerte aux amis du Pr igiès. L'enquète va dit-on s'ouvrir sur les laits électoraux de St Joan, comme sur les fails électoraux de Passchendaele. Seulement, amis du Progrès, prenez y garde. II a élé écritVai per guern scandatum venil. Le scandale une fois soulevé, qui sait sur qui il relombera Nous sommes bien en repos pour nos amis. Voila surtout l'amer regret qu'inspire aux dieux la leltre de Fhonorable Monsieur Hyn derick. Monsieur Hynderick a donné sa dé mission le 29 Octobre. Elle n'était pas accep- tée on temporisail, on espérait un retour le 18 Novembre,Monsieur Hynderick rend sa démission irrevocable, el l'olympe doctrinaire tout entier vacille au dessus de l'abime radi cal. Ei voila comme, par abus de finesse, d'une petite niche au début, on fait une ca tastrophe a la fin. BURGERSTAND VAN YpEREN, A LOVER. DE 200 HECTARES, située en Belgiqtie, h proximité dc la frontière francaise. VERKOOPING Popelieren en andere BOOMEN te ^'SsnEBJertist&Jae, M Meurillon, Notaire d Comines. Warnêton Bas, (France et Belgique). TERRE A LABOUR ET PRAIRIE DE LYS, appartenant au Bureau dc Bienfai- sance de Warnëton-Bas, (France), a losaer, POUR NE CF ANNÉES. «5eïe«Si 8 DéceiuEn-e fi-4»?.». PRYSVERfVISWDERIfyG VAM AEROEKOLEN. P.-J.-F. GODDYN, handelaer te Bixschote, laet weten dat een 2dc Schip met inlandsche kolen, geladen te Jemmape, voor zyne rekening zal aen komen tot Steen sir aetein den loop der 2,lc weck van de eerstko mende maend December, die hy zal verkoopen op comptant aen boord van hei schip, aen de volgende pry zen, te weten: GAILLETTE, (handkolen voor brou wers) per 1,000 kos, fr. 38-80. GAILLETTERIE, (grove stovekolen) id 1,000 kos, fr. 36 86. ETUDES DE fil MEURILLON, NOTAIRE A COMINES. Ct de P,T LEBIGRE, NOTAIRE A LILLE. sections des Coutelles et du Rossignol, SU' 11'In(i;l)a,,:re ct des terres occupées par M. Ft or ent Lesaffre-Liénaiït. Ven te iMihlhttic de 100 marchés UUNDI G DÉCEMBRE 1875, a 10 heures du matin. Le V ER KOOPïNG, ry^a»i S^eceiitbei' Om II urm voormiddagler hofstede ge bruikt door de weduwe Gheeraert en andere hofstede daernevens Te NOORDSCHOOTEPoesel, bij de steenweg en den vaart van Ypcr naar Dixmude. Door bet ambt van den Notaris VANüFR ME Eli SC li le Ypre. complélera Ia voire, el pardonnez-moi si je rouvre des plriies que je veux cieairiser. La morl de Maurice cniraïna celïe de mon pèrn el la fail I ite de notre maison. Jelai«, vous avez dtï Ic savoir, attaché alois a I'ambassade de France a Sainl-Pélersbourg, el c'esl ce qui m'a einpêcbé de vous connaine. J'avais des proijols d etablissement. La luine de notre maison renversa tous mes projets- Dieu, qui avail ses desseins sur moi, se servil de l'adversilé pour m'appoler a lui. Mes espérances selon le monde s'éianl évariouies, je me consacrai loul eritier a son service. Jientrai au séminaire el je devins prêtre. Que vous dirai je je me Irouve. Iiuu- reux aujourd'bui de la pari qu'il m'a faite, et je lo remercie de m'avoir placé sur voire route, pour vous ramener dans la bonne voie, el je suis sur que vous y marclierez. Ma sceur, souvenez vous, après moi, de tous ceux pour qui j'ai lont prié, et priez pour eux el pour inoi Combicn les larmes de La ure furenl amères en écoutanl ce triste récil! Ses tantes avaienl loul brisé autour d'elle. 'l'oule sa familie avail élé v i c li in e de son égoïsme el de sa vaniié. Le prélre mouranl lui dans ses yeux toutes ses pensees. Ma fiile, lui dit-il doucement, sans doute vous avez élé coupable mais, s'ils ont élé bien sévère- menl punis. combien ds om élé coupables aussi ceux qui, par leur aveugle lendresse, vous out précipilée dans rabiine. Un père. une mêre, un mari, doivenl êlre des guides sages et au besoin sëvères, et non des compïaisa nis idol a l res pour celle qu'ils sont chargés de conduire dans la vie. Bien dirigée, vous eussiez peul êlre évilé une partie des fames que vous avez commises. Je ne dis point cela pour vous absoudre <i vos propres yeux, car la responsabilité de vos parents ne détruil pas la voire. Pleurez done vosfaules, mon enfant, mais espérez. Les faulcs irrépar'ables ici-bas peuvent se réparerpour I'auire vie. Pleurez, car vous avez élé coupable, mais espérez Ce furenl les dernières paroles de I'homme juste, ct il semblail a Laure quo c'élail Dieu lui-mêmequi lui parlail par la bouciie de son minislre... FIN. Pilules d IIoli.oway. Maladies du Fuie. Ces incoiiqiurables Pilules par leur vertiis jouissent d'une répulation juslement ménlée dans loules I;> parlies du globe. Comme eiles agissent sur t uit le syslème en enlranl dans la circulation, il exisle pen d'affeclions qo'elles ne pnisseut guérir; m iiselles sont surloui efficaces dans les derange ments du fuie, pour lesquels elles sont un spéeifi- que incontestable. Elles possédent des propriélés sans pareilies pour faire du bien sans jamais oeca- sionner aueun mul. La femme la plus délicate et l'enfant mème peuvent prendre ces Pilules sans Ie moindre danger, s'ils en usent avec discretion; car tont le monde sait que Faliinent même Ie plus salubre pris il l'excès devirnt nnisible. En détrtii- sant l'excès de la bile, en réglant la séerétion, et donnant du ton a l'eslornac elles prodoisent une gtiérison compléte et permanente. Un seul essai sufFira pour prouver leurs propiiélés curatives. van den 19 lot den 26 November 1873. GEBOORTEN. Manneiyk ges'acbt 4. Vrouwelyk geslacht S. IIUWELYKËN Debrouwer, Alplionsus, slotenmaker, en Beckaert, Alixe, kantenwerksier. Bliliet. tienricus, statie overste, en Mabieu, Pliilonu-na, kleeimaekster. Ciaeys, Franciseus, linienwever, en Bogaerl, Ca- tliarina, kantenwerksier. Messiaen, Ludovicus, daglooner, en Deryeke, llerina, kuntenwerkster. STEnFfiEVALLEM. Mole, Ludovicus, 33 jaren, werkman, echtgenoot van Florenlia Koussel, Grimmincksiract Ver- brugglie, Oetavia, 38 jaren, heibergierster, ecbige- nooie van Carolus Lndovictis Leuridan, Vleescli- houwerstrael Sanctorum, Pliilippus77 jaren schoenmaker, weduwenaar van Serapbina Van Be' celaere, Bolerstrael. Soens, Barbara, 48 jaren, dagloonster weduwe van Franciseus Deiae«lier Bollingstraet. Je'. Kinderen beneden de 7 jaren. Manneiyk geslacht 0. Vrouwelyk geslacht 2. Une MAISON, fraiehement décorée, h Pest de la rue du Quai, N° 8, ii Ypres, avec Jardin et sortie dans la rnelle v alenante. S adresser au Notaire VANDERMEERSCH a Ypres. a la main Reanx Batiments d babilalion et d'exploitation et Terre de première qualiléle tont aflermé par baux notaries expjranl en 1881 et 1883 a dix excellents cultivateurs très-solvables au feimage annuel de 23,613 fr. 07 centimes. Gibier tiès-abondant. Facilités de paiement. On trailerait sur le pied de 3 1/2 <y„. S'adresser a M8 REAUVOISNotaire a Valenciennes. van schoone VRIJDAG 10" DECEMBER 1873, om 12 uren middag ter hofstede gebruikt door de we duwe Vasseur, langst de Hospilaalsli-aat. Door bet ambt van den Notaris VANDER- ME FR SC II, te Ypre. Etude de de le Ee JEUDI 9 DÉCEMRRE 1873, a 3 hen res de relevée, eb la Mason Commune YV arnêlon-Bas (France) il sera procédé par (lit Notaire Meurillon, a la location publique de 3 hectares 36 ares 78 centiares de Terre a Labour a Warnêton Bas (France), louésjus qn'au 1 Oclobre 1876 a M. Henri Teheulle au fermage dc *501 francs. Et 19 ares 93 centiares de Prairie de Ly. a Wai-nêton-Res (Belgique), loués a M. Pierre Axtoihe Braehe. jiisqu'au 23 Décembre 1876 au ferniHge de 30 francs. VIlNS ET ARGENTERIE, a 10 hemes du matin el 2 hemes de relevée, a la morluaire de M. Henri Dupret, Petite Place N° 33, il Ypres. Par le ministère du Notaire VAN DER MEERSCH. a Ypres. IN EENE ZITTING, om 2 uren namiddag, to,- herberg hel llemel- rykwld, by de Leene, le Poperinghe, nevens stad, van r u Gemeente Poperinghe IIaeghebaerthoek, O. V. 1° Een HOFSTEDEKEN, met Woonhuis, ten dienste van gezegde herberg hel IJemelryk veld, i. een klein woonhuizeken en 2 h. 20 a.V c. volgens cadaster, onder grond van gebouwen cour, hovenierhof, boomgaeid en zaeilanden langs de Bernamynoog en Brabanlstraet.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 2