BOSCET/iïLLIE
HOFSTEDE,
ETRENNES A PIE IX.
ONROERENDS VERKOOPINGEN.
114 zware Plantsoenen,
EN EEN KOOP ABEELEN,
B O O.HI VENDITIEN
TWEE WOONHUIZEN
Que résalle-t-il de Ions ces lémoignages?
Que les "princes macons, comme Ie dil
i'abbé Gyr servent a voiler les tendances
impies et anarchiques des loges, lis servent
d'enseigne, en un mot. Leur nom, leurs
richesses et leur immense influence sonl
exploités au profil de leurs enncmis; on les
réduit au róle de mannequins, et qnand
même ils sont décorés du litre de grand-
maitre, il leur est interdit de prendre con-
naissance des secrets de l'qrdre. On a pré
senté a leur signature ('organisation el Ie
reglement de maconnerie nationale
tandis qu'on a eu soin d'en rédiger d'aulres
qu'on se garde soigneusemenl de meltre au
jour. On possède des regislres doubles
dans les uns, on n'inscrit quece qui n'a pas
a redouterde froisser la snsceptibilité royale:
dans les autres on consigne les délibéralions
intimes. Derrière legrand maitre de nom se
trouve un chef effect if, inconnu au prince,
lequel dirige les travaux dans le sens macon-
nique réel. En un mol, le prince qui se fait
recevoir grand maitre 011 protecteur de
l'ordre est complétement dupe de sa con-
fianee; il ne s'apercoit pas qu'en se livrant
aux loges, il mine le tróne de ses propres
mains.
Aussi les dignités maconniques accordées
aux princes n'onl-elles nullemenl empèché
les loges de conspirer conlre eux.
Le roi Joseph était, sous le premier empi
re, a la tête de l'ordre maconnique en Fran
ce, l'arclii-chancelier de l'ernpire Cambacé-
rès était grand-maitre adjoint: ont i Is eras pê
ché les loges de travailler a la cbiite de
l'Empereur?
Louis-Philippe était prélendument initiéa
tons les hauls grades, les grands du royau-
me étaient revètus de loutes les dignités
maconniques: ont-ils pu prévcnir la catas
trophe de 1848, due, comme l'avonail offi-
ciellement Lamarline a Crémieux, aux ine-
nées soulerraines des loges?
Dien aveugles sont les princes a qui ces
exemples ne font pasouvrir les yeux.
II y a quelqne temps, le prince de Galles,
montrant son jeune fiIs a un haul personna-
ge, dit a cclui-ci: Vous voyez en eet en
fant le dernier roi d'Anglelerre.
Puissece malheureux prince comprendre
qu'en prolégeant publiquement les ennemis
du tróue et de 1'aulel, il t ra va i I le incon-
sciomment a la realisation de ces prophéti-
ques paroles!
LES DEUX POIDS.
Le pudibond Journal de Gund se trouve
très-scandalisé par les chants guerriers
des miliciens qui venaient se faire iuspeeter
en cette vilie. II y avail parmi eux, ajoule t-
il, beaucoup d'ivrogries qui scandalisaient
les passants.
Cerles, cela est fort deplorable: maisnous
dén ions au Journal de Gund le droit de se
faire l'organe de pareilles plain les, car son
parti a scandalisé le 23 Novembre et leüi-
manche suivanl tons les honnétes gens de
la vide: ces jours-la, nous avons vu et en-
lendu des centaines de libéraux bien vèttis
et accompagnés de leurs gueuses, parcourir
la cilé gantoise cn vociférant, blasphémant
el outrageant les catholiques. Et le Journul
de Gand ne s'en est pas plaint!
En outre, des bandes d'ouvriers, soulés
par l'argent libéral, se répandaienl parlout
chantant les chansons les plus obscènes en
présence de femmesel d'enfanls, et Ie Jour
nal de Gand ne s'esl pas plaint!
Arriére done le pudibond! Lorsqu'on ap-
partienl a tin parti qui a de pareilles hor
reurs a se reproeher, on se tait et on n'affec-
le pas une pruderie hypocrite.
DU DEVOIR DES CATHOLIQUES.
Le libéralisme est maintenant jugé par
ses elfels. L'Europe en meurt ou est sur le
point d'en inourir. Contre lui s'éléve la voix
de lous nos malheurs. Mensonges, discordes
civiles, trahisons, corruptions, apostasies,
tout cela lui appartienl et tout cela tue. Ce
qui vit encore, rnéme dans les rangs de nos
ennemis, no vil que dti catholicisme.
Ce dernier, au contraire, monte, grandit
s'épanouit dans une magnifique et glorieuse
efflorescence. La foi de nos ancétres, cetle
foi vaillante et fiére qui ne connail pas le
respect humain, nous est revenue. Aujour-
d'hui comme il y a deux cents ans, on se
porie aux pèlerinages, on prie tout haul
dans la rue, les églises regorgenl de fidéles,
les Sacrements sont fréquenlés avec ferveur
et des Cercles catholiques s'élablissenl par
lout.
Les catholiques qui incontestablement
constituent l'immense majorilé de la nation,
doivent affin mer leur existence par des actes
qui témoigneronl de leur force, de leur
énergie, du sentiment de leur dignité el de
leur confiance dans le bon droit.
Les Gueux n'ont pour eux que leur inso
lence, leur audace et le sou venir encoura-
geanl de défaillances proverbiales.
Persuades qu'its peuvent (out oser conlre
nous, persuadés qu'ils auront facilement
raison de nos droils et de nos liberlés, pour
pen qu'ils veuillent pousser l'injustice jus-
qu'au cynisme et la violence jusqu'aux voies
de fail, nos ennemis sont disposés a nous
faire vidcr jusqtt'a l'exlrème lie le calice de
tontes les humiliations. Eh bien! voila ce
que nous ne pouvons lolérer sans lacheté,
que dis je, sans apostasie. C'est ici que le
chrétien, que le catiiolique doit se relrouver
dans (oute sa male énergie, paree qu'il s'agit
de déi'eudresa foi, sa religion, ses principes,
toutes choses pour lesquelles il doit vivre et
mourirs'il lefaut. Relenons bien ceci, disait
ces jours derniers le Bien Public. Nous ne
conserverons de liberlés que 'celles que
nous saurons défendre nous-mèmes. Tou-
les les garanties politiques ne suppléeronl
pas au défaul d'action personuelle; faction
personuelle, au contraire, peut suppléer
aux garanties poiiliques. Nous sommes
a une époque oii la liberie ne demeure
fidéle qu'a ceux qui, aprés avoir su la
prendre, savenl la garderpar l'affirmalion
éclatante du droit el par la pratique coura-
geuse des verlus civiques.
Telle est aussi notre opinion et nous
croyons que les catholiques sont rigoureu-
sement tonus a s'organiser de maniére a
pouvoir produire cette éclatante affirma
tion du droit dont parle notre confrère.
II faut que eet le affirmation s'impose, sévère
comme la conscience, puissanle cotr.me le
nombre, efficace comme la force légale;
de telle facon que les faibles en soient re-
confortés et que nos oppresseurs en soient
frappés de crainte. Alors tout changera d'as-
pect sur la scène politique et nos ministres
verronl s'évanouir bien des, obstacles.
ETRENNES A PIE IX
pour l'exercice 1874 187b.
La Pulrie et le S/andaerdfr. 10,342 77
Journal de Courtrai, Echo
de CourtraiVrijheid, 23,388 99
Journal d'Ypres, Nieuwsblad, 12,201 8b
Gazette van T/uelt, 0 033 06
De Landbouwera Roulers, 5.993 00
De Vredea Thourout. 3,148 80
Gazette van Dixmude, 4.017 84
De Veurnaar, 3 150 16
Fr. 75,545 03
NOMINATIONS ECCLÉSIASTIQUES.
Mgr l'Evèquede Bruges a nommé:
Curé a Noordschote, M. Dewaele, vicaire
a Ledeghem
Vicaires: De Notre Dame, a Bruges, M.
Dambre, vicaire a Iseghem
Alseghem, M. Bolliou, vicaireaGulleghem;
AGuflegliem, M. Dewitte, coadjutcur de
Wercken;
A Thourout, M. Callebert, vicaire a Cotic-
kelaere;
A Couckelaere, M. Dijonckheere, vicaire a
Ploegsteert
A Ploegsteert, M. Jacquemart, vicaire a
Comiries Ten Brielen
A Pitthem,M. Pielers, vicairea Emelghem;
A Emelghem, M. Froidure, coadjuteur de
M. le vicaire de Dranoutre;
A Dranoutre, M. Sinacve, coadjuteur a
Maria kerke.
A Ledeghem, M. Vandacle, coadjuteur a
Ghyverenchove;
Et a Comities Ten Brielen, M. Glorieux
prélre au Séminaire.
Et coadjuteurs:
A Ghyverenchove, M. Senez, prélre au
Séminaire;
A Wercken, M. Rommel, prélre au Sémi
naire.
locale.
Al* CATOLIOEES
«le rai'i oiirlissemenl d'V [irrs.
Noel! Noel! Que le règne du Christ
arrive!
En ce jour, tel est le cri de l'uni-
vers catiiolique.
Répondons a cette grande voix par
nos prières, par nos offrandes et par
nos eeuvres. Souvenons-nous que Dieu
s'est fait homme et a institué son
Eglisc pour régénérer le monde; que
nous sommes les enfanls de cette
Eglisc et que nous devons être ses
coopérateurs.
La situation sociale est mauvaise.
Tons les lions se detendent ou se bri-
sent. Toutes les forces de la société
semblent flotter au liasard, toujours
pref es a s'entrechoquer et se détrui-
re; toute puissance humaine tourne a
la tyrannie et toute liberté lmmaine
dégénéré cn licence. L'anarchie et lc
despotisme apparaissent comme les
deux termes entre lesquels le monde
se halancera désormais. Nos progrès
matériels n'abou lissen t qu'a la surex-
citation de toutes les convoitises; la
diffusion de t'enseigeëment laïque a
la contagion générale de la flèvre ré-
volutfonnaire. L'autorité, la familie
et la propriélé a la fois, sont ébranlées
et chancel antes.
D'oü peut venir le salut, si non de
Dieu? Comment s'exerccra l'action
de Dieu, si non par son Eglise?
Catholiques; associons-nous done a
i'oeuvre de TEglise et a faction de son
Chef infailliblc, qui nous conduira a
travers les oppressions, les déserts et
les mors de nol re siècle. Regardons
Notre Saint Père Pie IX, au milieu de
notre sociéié malade de toutes les
défaillances, de toutes les folies et de
toutes les corruptions: Nous le voyons
dépouillé des movens et des ressour
ces que la foi et Ia piété des siècles
avaient mis dans ses mains. L'aban-
donnerons-nous dans la détresse, dé-
pourvu de tout ce qui est matérielle-
ment nécessaire pour lc gouverne
ment et les intéréts de la Catholicité?
Cela est impossible. Ce seraitajou-
tcr notre prevarication a tant d'au-
tres prévarieations. Ce serait appeler
sur nous les chafiments diis a ceux
qui n'assistent et n'honorent pas Père
etMère dans la nécessilé. Pet its nous
donnerons notre obole; riches nous
donnérons notre or. La persecution
dont, graces a Dieu! nous avons
élé préservés jusqu'a cette heure,
multiplie sans cesse les besoins et
les victimes. Les largesses de Notre
Père commun, en même temps
que Sa Sainteté a déja a pourvoir a
tous les frais généraux du gouverne
ment de l'Eglise, dont le budget ordi
naire est supprimé, out a faire face
aux plus pressantes nécessités de cent
Evéqucs, de milliers de Prctres, de
ntilliers de Religieux et de Religieu-
scs, tous spoliés ou exilës pour leur
fidélitó a Dieu et au Saint-Siége. Pas
un malheur public, pas de catastro
phe ou de cataclysme qui ne réclame
pour ses victimes la générosilé et la
bénédiction dc Pic IX.— Permettons
lui d'etre toujours l'Ange consolateuf
des malheureux. Commeson coeur dc
Père, a l'exemple du Coeur divin, s'ou-
vre pour les embrassor tous, fesons
en sorte que sa main paternelle.puis-
se en les bénfssant être généreuse et
abondante, a l'instar de la main
divine; ouifaisons en sorte que
Notre Saint Père ne doive pas plus
laisser la misère saus secours qu'il ne
laisse la douleur et l'ëpreuve sans
consolation et sans rcconfort. Soyons
généreux et Dieu nous lc rendra. A la
rapacité des ennemis de l'Eglise nous
opposerons la générosité de ses
tidèles enfants.
Quand nous aurons mis Notre Saint
Père Pie IX a même d'etre la Provi
dence visible de tous ceux qui souf-
frent persécution pour la justice,
alors nous pourrons compler avec
plus d'assurance que la Providence
divine éloignèra définitivement de
notre cbère Patrie, de nos. families et
dc nous-mèmes les jours mauvais et
rcdoutables que traversent nos freres
si malheureux d'Italie, de Suisse et
d'Allemagne...
Assistons notre Père commun, et
Dieu nous bén ira.
Nous publierons a huitaine la pre
mière listc des offrandes.
A V
Ui) arrèlé royal du 21 Décembre porie:
Art. 1'. II est établi un type gravé pour
l'impression du timbre adhésif' destiné aux
afliches.
Le timbre est conforme au modéle ci-an-
nexé.
II est imprimé en rouge.
Néanmoins notre ministre des finances
pourra changer la couleur du timbre lors-
qu'il lejugera nécessaire.
Art. 2. Le timbre sera confeclionné pour
les taux de 5, 0, 7, 8, 9, 10, 11 el 12 centi
mes.
Art. 3. Des empreintes du nouveau timbre
seront déposées augreffedes cours el tri-
bunaux, eonformémenl a Particle 38 de la
loi du 13 brumaire an VII.
Art. 4, Les frais du matériel et de la main-
d'ecuvre seront imputés sur l'arl. 31 du bud
get des dépenses.
Art. 5. Uu arrèlé royal fera connailre ul-
lérieuremenl le jour de la mise en ven te,
ainsi que le moded'emploi et d'obliléralion
des nouveaux timbres.
BURGERSTAND VAN YpEREN,
Studie van den Notaris ellebouqt,
Tti Lang f.mauck.
4° Woensdag 29 December 4875,
E S3 I T JE
En 2° Woensdag 5 January 487C,
IOO k o o i» e ii
POPELIEREN EN IEPEN
DOOM E N
A COM I NES.
4° Lundi 40 JANVIER 4876, a midi,
VENTE PUB Li QUE
«lc «gas'j-tjarsi iSai*-S»lasi«s
2° Jeudi 43 Janvier 4876, a midi,
VENTE PUBLIQUE
OKMES
3° Lundi 47 Janvier 4876, a midi,
COMINES TEN BRIELEN,
VENTE PUBLIQUE
Petiplirrs den Caiiatla
et «3e Clsêsiau*.
KANTOOR
van lieu Rfofarits CAPELLE,
T E WA TO U
Donderdag 6 Januari 1876,
MERK WEEBDIGE KOOP DA G
alies'üsasiile Eoosticn,
Maandag 47 Januari 4876,
verkooping'
a.IIe&'!samS« s<:Si«»«ne Biuotsieii.
Maandag 24 Januari 4876,
VERKOOPING
30 koopen SStxiitirii,
Woensdag 2 "Februari 1876,
VERKOOPING
op Donderdag 27 Januari 1876,
OPENBA RE VERKOOPING
te Watou,
TWEE PERCEELEFtl ZAAILAND
EENE WEIDE,
t e I' o p i' ring li c
En op Donderdag 24 Februari 4876,
OPENBARE VERKOOPING
te AVsitttii-ra-aaiscjii^
I
MM. les Ecclésiastiques da l'arrondissement
voudronl bien recevoir les souscriplions.
Toutes aulres personnes de bonne volonte' sonl
également cunsidérées comme aples a recueillir,
a recevoir el a transmellre les offrandes.
Ou les percoit également au BUItEAU DU
JOURNAL D' YPRES et du NIEUWSBLAD.
Pour permellre une exacte complabilité
1" Le donateur et son intermediaire sont install
ment pries de rcmellrc simullanémenl la note de la
souscriplion et l'argent quelle comporle.
Les personnes qui seraienl embarrassées pour
faire parvenir au centre de l'ceuvre le montant de
leur souscriplion, peuvent l'envoyer en munduts sur
la posiu a M. le doyen d' Ypres.
Ut" Nous ne pourrons publier chaque semaine
que les souscriplions dont la note el L'argent seront
parvenus au centre de l'ceuvre, cliez M. le Doyen
d' Ypres, avanl le Jeudi midi.
Pilules d'Holloway.Estomac el indigestion
L'eslomac disiribue a chaque organe les élé-
ments nécessaires a sa viialiié".'SM est dérangé,
toni ie corps languil inais qnelqu'affecló qu'il
puissc êlre, il lecouvrera, par l'emploi suivi el
rc.glé de ces Pilules irrésisiibles, son ton cl sa
vigueur accoulumés. Efles guérisseni également cl
avec liicililé, les affections causces par la liile, les
indigestions, les dérangements du foie ou ties inlos
(ins. Des milliers de personnes lémoignenl do leur
eflicacité rootle, qu'on ne peut méconnaitre quand
une fois on n employé ces bienfaisanles Pilules.
D,ins loulcs les affections de l'eslomac, depuis le
moinere eas de dyspepsie jusqu'a l'borrible cancer,
depuis les nausées qu'occasionnent les dérange-
mcuts du foie jusqu'aux voinissemenls suscilés par
uu esluniac aliéré ces Pilules procureut un soula-
gement iminédiat el en général une guérison
comp'èie.
van den 17 lot den 24 December 187Ö.
GEUOOnTEN.
Mannclyk ges'aclil I. Vrouwelyk geslacht 0.
STEnFGEVALI.E.N.
Verscbaeve, Marlinus, 80 jaren, zonder beroep,
weduwenaer van Virginia Ledure, Dixmudeslrael.
Maurau Petrus 80 jaren mnziekmeesier
echtgenoot van Jusiina Deslré, S' Jacobstraet.
Nosdy, Isabella, 89 jaren, zonder beroup, xveduxve
van Benedictus Spinnexvyn, Bollingstraet. Beau
prez, Joanna, 08 jaren; zonder beroep, eclilgenoole
van Joannes Provoost, Lange Tliouroutslrael.
iane, Petrus, 82 jaren, zonder beroep, xveduxve-
naor van Theresia Debruyne Meénenslraet.
Debacle, Anlonia, 03 jaren, werkvrouw onge-
liuxvd, Bollingstraet. Bendel, Joseplia, 80 jaren,
zonder beroep, weduwe van Curolus Gbys, Sinl-
Jaris Hospilaelstraet.
Kinileren beneden de 7 jaren.
Mannelykgeslacht 2. Vrouwelyk geslacht 4.
om 2 uren juist namiddag, Ier herbergde Kortekeer,
bewoond by de binders Roelynck te Langemarck.
van scboonc
mei
wassende op 2 hectaren 04 aren 40 centiaren
boschgrond te LANGEMARCK cn BIXSCIIOTE,
benevens 3 koopen zeer zware barde IEPEN eri
EEN POPELIER van 2 meters tol 2 meters 75 c.
omtrek, sluende op liet hofstedeken gebruikt by
de weduwe Pieler Meerscliaer, te Langemarck-
digt naby gemelde herberg.
om 12 ure juist 's middags, ten verzoeke van
Bestuer der Provinlie Westvlaenderen, van
sehoone en zware
wassende langs de navermclde provinliale stee
xvegen, te weten:
A. Van Ypre naer Dixmude, te beginnen v;
deszolfs oorspong lot aen paele 1, en B. Van
Jan tot aen hel gehuchte St Julianus, onder Langt
marek, (usschen palen t en 2, 4, 5 en 0
De boomen onder letter A zullen vei kocht word
ter herberg van sieur Engel SLmbrouck, te St Jar
by dies deze voorafgaendelyk le bezigtigen
degene onder letter B, ter plaets zelfs.
De vergadering ter gehuchte St. Julianus aet
koop 1, alxvaer de verkooping zal aenvang nemer
ÉTUDE DE
Sj A A A it A. Aotaire,
de
80 marches de superbes
PcHltiiers «1st Canailas
et
a ZANTVOult BE, prés de la place,
sur des lerres occupées par ,11. Orel et lite Stumper
de
SO marches de ires-beaux
conlre la station dc Coinines.
dans un hois desiiné au defrichement, a
entre le chemin tie üadizeele et celui de Becelaere
de
drie Koningendag,
om t ure fix na middag, ie Watou, wijk Roozen-
dael. Ier hofstede gebruikt door de gebroeders
Conbronne.
van
wel aangeduid bij plakbrieven
om 2 ure na middag, le Watou, ter hofstede
gebruikt door sienr Syssauw - Liefooghe, aan
de Kruisstraat, langs den steenweg.
van
1 ure na middag, Ie Slavele, in den Oosthoek,
ter hofstede eu medtgaande landen gebruikt
door sieur Seraphin DevlooTop,
van
waaronder EIKEN van 2 in. tot 2 m, 1|2 dikte
en eene allerschoonste Iviele.
De vergadering ter hofplaats.
I ure na middag, te Gyyeririchove, nabij den
Abeele ter hofstede gebruikt door gebroeders
en zuster Tiqupt.
van
allerhande sehoone en langstarnmipe
II S& AI E 'i¥
om o uren na middag, le Watou. Sint-Jans ter
Iitezen, ter herberg u de Zon bewoond door
liasile Boeket,
en
breedloopig beschreven hij uithangende plak-
brieven.
om na middag, te Watou, ter herberg en
brouw ene bewoond en geëxploiteerd door dc
weduwe De Bruyne
van
eene sehoone en patrimonieele
inhoudende volgens kadaster 10 hectaren 48 aren
7U centiaren gebruikt door de mede eigenaar
tl heer Joseph De Jonghe.
Breedloopig beschreven hij uithangende plak
brieven.
Om alle verdere inlichtingen zich te begeven
bij voornoemden notaris CAPELLE.