Samedi 13 Janvier 1877
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Le Journal parait le Mercredi el le Samedi. Les insertions content 18 centimes la li™» i na ZZiZZ 17771 77 ~7~:
Un numéro du journal, pris aii Bureau, 10 centimes Les numóros suonlémeniVr^V icesjw inaire* se centimes la Iigne. Op. traite a forfait pour les insertions par année.
f nes np me ros supplemental res comma rrdes pour articles, Réèlarries-Öii Annonces, content 10 fr. les 100 exemplair.es.
IS SS VI I ;4 31 g<;
1 Decern b re.'
A 8. 8. PS 15 IX,
POUR LE SO™ ANNNIVERSAIRE DE SON
ÉPISCOPAT.
'JS'roisIèssse Sjilpte.
Pour facililer les expeditions,
"MM. les ahonnés du dehors sont
pries de renouyelcr leur abonne
ment par 'intermediaire de la
poste et de vouioir payer les quit
tances qui leui's seront présentées
par les facteurs.
L imprimcur-cditeur Vandergiü.nste-
issé, 1 uc au Beurre, 6b, a Ypres
voulant donner un grand privilege
aux abonnés du Journal ct Ypresmet
a leur disposition le portrait de s
EM. LE CARDiaAL-ARCHSVÊQUE DE fflA-
LlfJES, très-magnitiquc eliromo-Titho
graphic, mesurant 72 sur 56 Cs.
Cc portrait ne coüte pas moms de
15 fr. dans Ie commerce et est üvré a
nos abonnés au prix de 5 fr. el fran
co a fr. 5,50-
four recevoir cc portrait franco, il
suffit d'cnvoyer d'avance Ic montant
en timbres-postc ou un mandat sur la
poste au bureau de ce journal.
A Monsieur le Rédacteur du Journal
(f Ypres.
J'en nppelle a voire,imparlialité, en vous
demandant l'inseriion de ces lignes, ayant
Irait a la seance de laChambredu Id Decern-
lire.
Au cornpie rendu des Annates Parle,.nen-
lairesje lis
Quelle éiourdissanle contra véri/ej Ce
serail a no pas croire a la possibilile que des
représentants aient osé se ia pormettre, si les
An na les [tarieineniaires it'cn laisaienl foi
Mais tons le.s innocents lués par des assas
sins réculivisies deja condauiués a mort et
non executes, ue so.nl ijs pas tombés vicli-
mes de voire theorie, soi-disarit philanihro-i
pique, m iis, eti réaliié, cruelle pour les in-
nocenls el pleine de tnansuélude pour les
criminels.
La peine de morl, avez vous dit, Monsieur
le Mmislre, élait-elle bien applicable a Poh-
poell L'atienlait a la vie de Meurel. consu-
t li a it - il autre chose tp» une tentative, puisquei
la v'ielime n'avait pas succombé; ét Ie
meurlre de De Wit élail il prémétJiié Nlè-
tail-ce pas, au eon l ra ire. un meurt re non-
pr'émédHé, que le Code ne .pupil pas.de
morl? N'était-ce pas inoiris que cela, un coup
ayant eu poiJr conséquencëd'enlrainer la
mort.isans. inieni.o.u de la dunner
Duibortl je :ferai>remarquer que Ja Cour de
cassation atrail résolu ces questions en re-
je tun l le pourvQt. Mals, en eut-.il meme été
aulremeul, il reslerail lonjours inconlesla-
ble que le cas Polspoel dunne un démenii
i réfragable a voire assertion, par trop osée:
qu en faisanl tombe'r la tela de d-'x coupa
bles, on ne sauce pas un innocent, ear en-
fin, comine I'a dil fbonorable M. Wasseige,
si Polspoel, eondurnné a mort en 1869 póur
un premier ussussinot, nvail été execute ce
scélérat n'aurail pu en commeitre un second.
Le cas de Polspoel est loin dé consumer
une rare exception; il se prddbit assez frc-
quemrnent, au contraire. C'est Ie méme que
celui de Sips, Pierre-Jean, subissaut deja la
peine des Ira va ux forces a pcrpéluilé, alors
qu'il fut, par arrèl du 26 Avril 1867, con-
damné a morl, puis commué, ce qui le re-
placa cxaclement danssa position anlérieure:
Je cite Ie cas de Sips plutól que (out autre
Stniilajre, paree quil présente une eircon-
slance de la plus liaute signification; loule
urie révélalion de nalure a jeier uue vive lu-
miere sur'les sentiments que, logiquemenl,
il fa lit supposer aux inalfaiieurs, et anxquels
aussi la plupart obóissent. Interrogé iinmé-
diatement aprés la perpetration de son der-
nier crime, la settle réf>onse de Sips fut: Je
n ai qnatid meme rtèn a craindh je suis
condamné a vie:
Je tiausct'is ièxluelïèinèni ces paroles, id-
lesqiTelles se iribiiveni consignees dans lo
dossier öfficiYf de 'Sips,
soler y Outrun, de Madrid, con
damné a morl du olie! (fun premier as'sassj-
nal, mais n'ayant pas élé exéeulé) et nyani
recouvré ja bherl.é, tua encore, vers Ie coin-
meneeinonl de 1872, une autre personae de
sa familie, deux de ses fróres, et sa belle -
sceur, Soft'quatre nouvèilés victlmés de Ja-
bobtion 011 de la non application de la peine
de-morl...
Vous rappelez vous Lapètlnal Monsipur le
Min.sire, Lapclma, faisanl a Bruges subir au
cabaret.ier P,rueL mamlenu 01 mis hors d'élat
de se defpndre, par Bono, tinsupplice sur la
na It; re épquvunta/jle ti 11 j u ,e I je suis forcé de
jeier ur» voile, él, (ilus lard, récruninant
contre sa viclirne, en se pl ïignam du mal
aux den/s qu elle lui avail occasionné
Cédx-'la seiils qui savént au moyen de
quelle alroce lorture le rnalheurenx Bract fut
mis a mort, eomprendront (out ce-qifiil y
avail d'affreux cynisme dans ce propos de
Lapelina.
Lapeiina et Bovo, condauiués a morl, ne
furenl pas execuiés. Lapili, leur complice,
ne fut condamné qu'a 8' annéés de réclusion,
en égard a son jeune age.
Si je rappclle celle affaire, anlérieure a
i entree au ministère de fbonorable M. de,
Laulsheere, cast paree que Bovo est encore
tin assassin récidivisle; des declarations re-
cueillies a I audience done bien avant
foclroi de la grace, ccGi est a holer il
appert que Bovo', ayant jadis cxercé la pro
fession de brigand en Italië, aurait bien mé
60 personnes.
J'admels volontiers que Lapili nil flatlè
1 ancien bandit en end .int un pen Ie ehiffre
de ses assassinais anléricurs; en tons cas, il
en reslerail, me semble-t il, encore beaucoup
tro|».
Les débats de eeite édifiante affaire onl
ré véle la mise af elude, par Lapetma et Bo
vo, de p usienrs aulres assassinatsj encore a
fétat de projet.
On fremiti en pensant aux fioiivèaux cri
mes que pourraieót commettre de - tels rnons
tres, dans l'évenlualilé ou, par s,uile de ti'im-
poi'le quelle circonslance, 1 is viendraicnl
comine tanl daulres a rccouvrer la Iiber-
té.
Et voila les insignes scélérals que nos ini-
nislres abolilionnistes eouvrenl de leur égide
protect riee! Quelle aberration, ou plu tót
quelle horreur!
A pl.usieurs reprises déja, j ai prouvé que
MM. Ba ra el de Laoisheere élaienl oioluteurs
de la tol. Cette accusation tomberait d'elle-
méme, en préscnöe de l'art. 73 de la Consti-
-tulion, si ces ministres, distinquant entre les
différents cas, s'èlaienl bornés a Recorder
des commutations a ceux, a lousceuxqui,
suivapt leur appreciation bonne ou mau-
vaise, n'imporle avaienl par eux été jugés
dignes d'être l'objet d'un acte de eiémenee.
Ma is lets 11 out pis etc ieurs agissemenls; i is
out de fait abrogé la foi pendant loui'e fa dn-
réede leur ministère, lis fönl abrogèe en en
proscrivant sijstémaliquemeni fa'pplioation.
A cede objection: de quel droit décidez-
vous que ces ministres out loujourS gracié de
parti pris el non par suite d'une appreciation
que, lui-elle erronée, il doit vous ètre inter-
dit de bla ner a cello objeclion, si elle
m'élait fade, jo rcpondrais: Sous les trois
derniers minislères, parini les assassins con-
dainnés a mort et graciés, il s'en est Irouvé,
non pas un, ni même quelques-uus, mais bon
nombre, ayant commis des forfaits excep-
tionnellemeni aborrtinables, leiprendant ab-
soluinént indigries de eiémenee el. ne leur
laissant de litres qu'a fexécraiion poblique.
Ui tous onl élé graciés; tous suns exception
qucune.
Nai je done pas raison de prélendre que
dans I occurence, il no s'est nnllemenl agi
d une question d'appréciaion do degré de
erimmalile, mais uniquement de faire tom-
ber en desueltide la peine de morl. par sa
non-application si/stémalique, soi-disant pen
dant le-temps moral nécessaire (»our consla-
ler Ie résuliat d'une experience, doiH on s'est
garde de fixer positivement le lerme... par
ja raison loule simple qu'on espérc et contpie
uien la laire purer loujours.
0 1 iMM. Bara et de Laulsheere soul, tous
deux, des violaieurs de la loi, él'Ie dernier
est le plus coupabie. M. Rara, du moms, a
audace, j aIIa 1 s dire Ie cynisme de son opi
nion: Plus ri'exéculions capitales Telle a élé
sa devise, et il est resté conséquent avec lui-
mëme, tandis que M. de Lantsbeere n'en
pourrait drre autant. Voici, textuellemenl,
les paroles qu il pronoiitja, dans la séance du
/na 'V,.'e' (Annales parlementaires p.
492), repondant a une interpellation de M
H igemans
M, de Lantsheere ne vent pas reedminan-
uer a la couronne des. mesures assurant aux
assassins une impunitémême.parlielle.
Et il ne promet pas a la Cliambre de ne
pas exècuter une loi qu'elle ne juge pas a
|)t'opos :de reVoquer. ür éela nripjique-t-il,
om ou non, qu. il enlend ne pas faire préva-
oir sij s té mat iq u e m e n l la non application de
'f Reine de mort, c'est-a dire qu'i! ne vent
pas l'abroger de fait, ja réservant seuléméut
pour les cas tout-a-fait exceptionnels?
Mats ces cas de crimiualité cxceplionelle
se sont-iIs, 0111 ou uon, produits deputs qu'il
est mmislre? Et quels nöuveaux forfaitsattend-
'I done pour tlonnorsatisfaction la loi, aprés
ceux com mis par des mooslres tels que: Van
den Sinde, llennekens (2), la dame de Wil-
laupuis et son exéculeur de hautes ceuvres,
cet_ entrepreneur d'assassinats d prix ré
duits; Van Dooren (3),*le parricide de Scboo-
ten, Dceckmcyn (4); Jeanne Jacobs, épouse
De Ceuster (5); Léocadte Beaumorit, la fem
me au rasoir, la plus mfame entre lous ces
1 marnesi, et son complice Fraquel, lous com-
tnnés par M. de Lantsbeere, et lous, sauf
Fraquel!, un grand crimmel cependant
tons, sauf celui-la, plus scélérals encore que
le légendaire Dessous le Mousher.
roei cela, je l'ai déja dil; cependant je
crois opporluu de rappëter textuellemenl la
profession de foi précilée de M. de La ril s-
heere, puisque méme les défenseursde l'ap-
ptical'on de la loi paraissent avoir compléle-
ment perdu de vue Texisience de celle
declaration, avec laquélle riiono'rab.le rninis-
tre n'a cessé detre.en flagrahiq' contradic,
lion, de'puis son avénement au département
de la justice; a telles enseignes tju'il n'a pits
laissé passer une seule'occasion de lui don
net' un éclatant démenti. Or, si I honorable
M. Wasseige s'étail rappelé la fallacieuse
promesse fane par M. de Lantsheere. en
séance de la Chambre du 20 Février 1872'
Gouptrai
G.ind
S-15,7-00,9-28,11-00,2-13 3.03,9-2i» Ypéet-Poperinyhe. 0-3 1,0-07. 12-07 3-57 0 50 8-43 4-30
ncn nglle-iïazfibrouck6 53, 12-28,7 10. - llr/.ehmuck Popmin-I,,. V,ir«s. 8-2 3 4 10 8-25
lioulers, 7-UO, I2-26, 6-4-^J KortIers- Ypres. 9-25 1-50 7-50
O O Kit M Ct t I I i.1 C* r.
Lieliterv.- Thouroul, 4-25 m. vers Ostemle
Y |»re:
fflfcagLgasnSg <t 'Eggga>g>CB3U CIvS; *y;nara« woiwi
SelzSelfi Eed00. 9 05. 1-25,8 -25. - ^^m-SeizaeU. 5-35 10 1S 4-29
^0Keun< '-3Ü. (ie Merer. .7 In m.) - UknrVn-Sélzdete, 6 00, 10-28, 4 43. (Ie Mar,li, 9,30'.)
'i' 1 va, 0 au, 1 OU
Lichirrv. Thourout, 4-23m. vers Ostende. - Bruges «ou
ters «-2b12- 4a, b-Ob, 6-42. Lieliterv.. Courlrüi, 5-23 m. 0
V pres-Courtrai 8-34,: 9-46-, 11-20,2-33,5-23, Couru-iff-fyre«f 8-0», 11-03, 2-36 3-40 8-49
0 20 (Ie Samedi a 3-30 du matin jusqn'a-Langhemarck). - Thpurout-Ypres, 9 00, 1-28 7-43
(Ie öamedi a 6-20 du matin de Langhemarck a Ypres).
C1iU27,0t~l,^,pIineS"*l7'nen/^r^'ö6,00' ,2-0,)' 3'3T' - Armentières-IIouplines Le To.iquel-Warnêton-
r Lundi 6 50 Uml"es' Wfirnelon 8 4b, rn .9-30 s, (Ie Lundi-,0-30,).- Warnêton-Comi»es 3-30, 11-10. (Ie
COURTRAIBRüXf'LLES
as s je* o w x) rsr c ay
Courtrai Bruges, 8-03,11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6-83. 9-00.s. (Lieliterv
Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-28, I 108, 2-80, 7-33. (bassin) 7-31' 11-14 2-36 7 41
5-45,8,23,11-23,3-30.
ngelmunster Deyrue Gahd5-00, 9-412-13 - Ingelmunster-Z%n2A, o io 7-13. - Gand-Devnzë-Inqelmunster6-38 11-20
4-41,7-21. Dovnzalnnelmimster, 1-00.
Bruges-CóMrtrat, 8-25, 12-48 3-03 6-42.
Heyst, Blankenb, Biuges,
4-41,7-21. Dcynza Ingelmanster1-00.
Ingelmuns(er-d?».?ep/ie»«, 6-03, 12-85,0-13.
Lichtervelde-Dixn"; ide Furnes et ÜUnkerkë, 6 30, 9 08 1-38'8 00
3-40, 5-00.
l)itmude-JVte^p»<,9-30,2-20,8-43. Nieup-Dix»», 7 30,12 00,4-20.
Thourout-Oslentïë, 4-50, 9-13, 1-50, 8-03. Oslende-7"houroul
Anseghein -1ngelm unster7-42, 2-20, 7-43.
Ditnkarke- Tu rues-Di'x mm ff
et Lichtgevulde6 35 tl -
Courtrai dep:
Bruxelles arr.
BRUXELl.SS, COURTRAI.
COURTRAI, T0URNA1', LILLK.
Courtrai dép. 6,37 10,56 2,34 5 3t 8 17
l'ouniai arr. 7,-28 11,47 3,48; 6 A) 9y4D
ie 7,38 12,08 .4,00 0,33 10,00.
Lil lts
Totiriiai
Courtrai arr.
COURTRAI, GAftO..
Lil,Ui, TOORN,tl. COURTRAI.
•8,15.8,22 11,08 2,22.4,43
3,4.2 8,50 d 1,29 2,40 ^39
6,31 9.17 1-2,26 3,38- 6,33
«AND, COURTRAI.
arr. 8,01
BRUGES, GAND URUXEI.LËS
Gand dép.
Courtrai arr
5,13
6.37
Bhigès d. ti,49ex. 7,01 9,39 12.81, 2-52 ex 6 13
Gaud a 7,31 8,19 10,31 1,49 4, 7 7'(.is"
10,35 1-2,39 1 00, 7U o'si
100-00
10-00
3,0—00
10—00
2-00
10—00
6 00
5-00
5—00
Une erreur d'impression s'ëst gliss'ée dan? notre
dernière lisle: au lieu de M. Léun Mulle, 200 fr
lisez M. et M"' Mulle, 200-h00
Monlam desJisl.es préc^dentes, 1,510 50
PAUOISSE DE «T-MARTIN (YPRES).
M. Slruye-Vanden Peereboom,
M"* Marie Slruye,
Différents anonymes,
Mesdemoiselles Deliaerrie,
Anonyme,
Anonyme.
M. Mortier Bazyn,
A. C.
Deux persorines dévouées au St-Père,
Joseph Lussclienlier demande. la bénédic-
tion du St Père,
Loui>P Pieicr.-,
Anonyme,
M let M"" Justin Van der Meersoh,
Anuiiyme,
S Sch.
N' P.
M. Van Ruynibeke, vicaire de St-.Maitin
M Vercruysse, vicaire de Si-Martin,
PAUOISSE DE ST-PIERRRE (YPRES).
M. et M'"° Cyrille Boone A'uylsteke,
PAROISSE DE ST-JACQUES (YPRES).
M. Gravelcure en relraile,
Les Carméliles,
Une familie dévouée au Pape,
Mme Iwe'ins lïinufyck,
Trois personnes dévouées au St Père,
M"c Leclercq,
PAROISSE DE ST-NICOLAS (YPRES).
E.C St-Père, bénissez nous,
M. L. Gorrissen demande la benedic
tion du St Père puur bien faire sa
première Communion,
Anonymes,
Une sei vnnle,
ZILLEBEKE.
M. liuughe de Peotevinne, 100—00
KEMMEL.
M. de Maulde, 100-00
M. Masureel, curé, 20-00
M. Vandenbussche, vicaire, 1000
Mlu P. V. I). B. 5—00
M"« AV00
Que'ques paroissiens, 2000
DICKEBUSCII.
MGhyool, cure, 20 00
M. Doorns, vicaire, 10—00
LANGEMARCK (ST-JULAEN).
M. Heldenberglii prévöt de Sl-Julien, 10 00
BAS WARNÈTON.
1-00
4-00
3-00
10-00
10-00
2-00
3-00
10-00
10—00
50-00
20-00
20 - 00
10-00
10-00
5-00
5-00
5-00
2—00
28-00
2—00
M. B, Billiau,
MCoutteeL
Enfants Allaeys,
Anonyme,
Une mè,re el sa ff lie,
WERVICQ.
M. Vahraes-Verheust,
M Cardoen-Ghesqiiiére,
M Terrier, Directeur,
M, Devos, vicaire,
Anonyme,
M'k Ei e Van Elslnnde,
MM. et Mllc' Verliaeglie,
Anonyme;
M'"" venve Fnvez,
M. Gheyse.n \'erraes,
Anonyme,
10
20-00
10-00
•2 -00
3 -t 0.0
10-00
8—00
25 00
10-00
10-00
.500—00
100-00
20 -00
8 - 00
3 :00
20—00
MM. les Ecclésiastiques de l'arrohdissmenl
voudronl bien .receya^r les s(inscriptions
Toutes aulres personnes de bonne volonié son
'■(jalemenl considérces comnie aptes cl recueillir
d recevoir. el (UransmqUre les offrmdes.
On les percoit écjalement au /JUREAU DU
JOURNAL D'YPRES et da NIEUWSBLAD.
Pour permettre une eccacle cömplabilüé
I J.e donateur el son intermédiaire soul instumJ
ment priës de remellresimuLanêmenl la note de la
souseriplion et I argent qu'elle eomporte.
Les personnes qui seraienl embarrassées pour
faire parvenir au centre de l'oeuvre le monlanl de
leur souseriplion. peuvent l'envoyer .en mandats sur
la poste d le doyen d'Ypres.
2° Nous tie pourrons publier chaque semaine
que les souscripiions dont la note el I'argent seront
parvenus au centre de l''oeuvre, chez M le Doyen
d-Ypresavant Je jeud-i midi
He NO V E LL e MEAT DES A lit INNEMEN is
au Jourin.ax d"Ypres.
BRUXELL8S, GA.NDbRUG^S.
7.M 3,11 I 1,00 1.38 3,02 ex
6. L> 8.33 i.t-1 I ,23 3.8 1 1.1 1
7.15 9,23 19,31 -2,38 n'oi
23
20
MHoving, curé,
Af"'-" veuve Joye;
M. Ackerman,
M"!7 Célöstine Alard,
PAROISSE DE ST JEAN (pOPIÏUINGHE).
M. Verwilglren, vicaire, 20-
Enlunts Dejcorte, 10
-Annnymo, g..
M"' Demcy, y.
Silvie S. 2-
00
00
5-00
2—00
-00
00
-00
-00
-00
Bruxelles, .0 Janvier 1877.
Monsieur Ie.Rédacteur.
M. PlliMEZ «Quanta moi, ciiird ln viu'd'un in-
n6crut ct ccl'lr do dix dóupsbles; jé n'hésiterai
pas; j'uiinc mictix que dix'tele,s doVMu pa teles tum-
brnl que de voir un seul innocent succomber.
M. de LANTblTEYTiE. Commfe M. Birmrz et
comnie cliai;un,il 0litre votisi, jo proclaino qu'entrp
la tnorl de dix .you pa bles rt la morl d'un innoj-
com, Hiicune hesitation ri'est possible. Mais l|
n'est pas la question; Il s'agit de savoir si, 'en
faisanl lumber ia tele de dix coupables, on sau-
vera la vie d'un seul innocent I (.1
M. GUILLERY. Pour justifier la ihèse de i'ho,
nopible.M, B1ijir1ez.il laudraii démoiUrer ee qui
n'est pas encore démoniré jusqu'ici que, l'exécu-
«lion de la peine de mort ait jamais ernpëché un
'i crime. (I).
Ju n« puis proineilre a In Chamüre que'je n'ex-
ecutemi pas une loi qu'elle ne juge pus a propos
da févoquer el je veux, surloui, pas proinètiie
aux assassins do recéiiiniandèr' la Couronne
des mesures qui leur ass.uróraiejQt.une impuuiié
même parlielle.
Muis je rassiireriii l'iionoraijie memLire (M.Ha-
gemans), en ajoulant que. j'ai eu Iff,0,meur Tap-
prendre Ie droit erimine! a l'éeole de l'lionoral.le
M. 1 hollissen, et que je p ntage, en celte maffere,
lés opinions qu'il 11'a cessé de soulenir.