®laeW^.laussi I ~«près 1877 sera ^{f&^^p^aément sauxadisDositions du titréj. *k% ,r Art. Lê titre II est applicable aux lisles-electa- rales qui seront jévisées en 1877. Donoéa Laekén Ie 1 ^Janvier 1877. s 1 h I v LÉOPOLD. IE a ijar le Roi pELCouR. nielqi 001 ióstitu'ljons. Or, cptnaie «UN FAIT. HOR| DOUT d'ailleurs avQué par l'Eiotk elfo-fffome ces'professions de .foi conslit'lent un Fur mertsonge. Presque"roos les „rh'ptes.sérieux du libéralisme sont de i'école politique de feu M. Defacqz, c'esi a-dire de* adversaries., acharnes sort de Ia Constitution be'ge» s°il_ tout au moins des disposition!» constitution*^ nelles qui consacrent l'ém^nd'P31'0!^®'^''® et féjigiépsü desiéathtrlrqu£iyif't3 ®óril',ir®l®s joséphistes et orangistes au fot'd de 1 ame et its regreltent Ie régime qui org^fgs<j{j 1 asser- v' vis^tnerit de'PFgfise aTEiat. ««u: 1 esDrit Dour Nous avons encore,:^ipp.; depJJ^t|l:JÓns' ét des aveuf a emprunler au dernier article- rnanifestejepublié par M. ;E-;De Laveleye dans la Revue de boot .hjju II y a la une veritable mine dont (il faul savoir exploiter successivement tous les fi- lons. Aujourd'hui, nous nótëfoBbrtiëf-öns a faire connaitre un sysléme nouveau dont M. E. De Lavelèye est Einvenieur ét qu'on póurrait a juste titre appéleHa tMbrfo déê deux pro- litres deitirer 1'aUentiou du lecleiiF. 9||9 D'aprèsM. De Lavejp|eyptelqupaTa rlibéra^ -BiïiBönwwRfoul parti politique et rplrgieusjbiep outillé, doit avoir deux programmes. 'Ol j f?. II y a d'aböril lë^programme électoijaP,^ olouvpë dWédésamét!icéins appellent Ièpldifonti :i5'jplQ?IO Ünïn inèup na'-1® leurs parmi lesquels I'Echo. du Parlement recrute la majorilè de ses abonnés. Dans ce programme, il ne faut metlre que ce qui divise le moins les amis, effraye le moins les timides et échappe'Ie mieux aux ana s' ques des adversaires. Nos Gueux, par exemple, se conferment a ces préceptes du genre lorsqu'ils entrent dans l'arène electoraleen arborant celle divise plus que banale l'mdépendance du pouvoir civil. Mais, a cötéde ce programme effacé, il y en a un autre plus large qui est l'idéal a pöursuivée. C'esl celui que l'on déploie courageusement... lorsque l'élèction est pas- sée. Les publicises les plus en vüe du libé ralisme élaborent tous les jours cette charte de l'avenir. Ainsi, «quand M. Laurent dit que la liberie »:ti'asSOciatiön el la liberlé d'enseignement, lelfes qu'on les pratique en Belgique, sont éssentiellemenl anarchiques et meitent en péril et la liberie et l'enseignement; quand M. Voituron, dans le Manuel du Itbéra- lisme, énumère loute une série de réfor- més qui, d'après lui, découlent nècessaire- ment des principesdu libéralisme; quand le comte Goblet d'Alviella, dans son article Aulelcontre Autel, émet l'opinion qu'il faut soutenirla propagation descullesmieux en rapport que le romanisme avec les be- b soins de notre époque; b quand M. De Laveleye lui-mème enfin préconise le pro testantisme tous ces écrivains formulent, développent et propagent le véritable pro- gramme du parti liberal, celui qui répond, article par article, a celte question si nuda- ciensement posée a ia veille des elections de Juin 1876 Vainqueurs, que ferons nous Si nous conslations nous-mêmesce dualis me politique, les libéraux nous accuseraient certainement de les calomnier et de douter de leur moralité politique. Mais c'est un des leurs, un des docleurs de la loi gueuse, qui vient aujourd'hui pholographier, en pleine Revue de Belgique, le Janus libéral Ses clichés ne peuvent done ètre suspects aux libéraux el, aussi bien que nous, ils doivenl les lenir pour authentiques. Nous, avons ainsi la mesure officielle de la sincèrité b de nos adversaires Elle est bonne a enregistrer et nous nous prornettons bien, lorsquelescandidals lrbéraux viendront exéculer leurs variations'accoutumées sur le thèmede l'indépendancédu pouvöir civil b de leur rappeler que ce n'esl la qu'un atlrape- nigauds ou, comme dit M. De>Laveleye, un simple programme de plateferme !- Ce lieu-commun dés pro.fessiops Ue foi libérales n'est d'ailleurs pas le seul dont M. De Laveleye fasse justice avec une sincérilé trop rare pour n'ètre pas louée. Presque tou- jours, a chaque election, les candidats libé raux se poseul en défenseurs de nos fibres De Laveleye, ÏÏfrent Constitution mais, diLM..E qui peut croire que cela est iptrssiole r La seconde, mèoe:air mtversemenl.de l'EV' glise par un8 pébselytisme fi'anchemefit eT carrément anti-calholiqüé.^ .'a»™"03 C'est celle seconde voieque le professeur liégeois conseille aux libéraux de prendre, en les poussant aapostasier fij»rrrt^^ement Ie catholicisme et a se proclamor protestants^ non point par conviction, mais pa,r taclique*, attendu d'ailleurs que cela n'epgagé^a et qu'il snffit, 'pour ètre bon gueux, de hair le Pape ét les papistcs. e*,'t i Voilafeü én est aujourd'hui Ié polémièjuê rit rapport i mm ^êr itffégrafeménX, totW les pètijts ill Sé*ffdtóBiriSijd'rtsiy'rèussirout. "AU ~"x' "UJiijjsens, l'un des curaléurs a la faillilc des Bassins-HouiHers, est parli précipitamment it* ibsioielt Une nouvelle réunion des administrateurs des Compagnies des cliemins de fer e.fploitéT pardéS'BéSstns-Röiiillér's'a ëu 'ïféu aVa'nt-hrër Soft's' la~'présid'ébcè Hl M'; ,il'a'fötol(i'b-Ö^iC,èl,! prince' mmm' qu ||yffl*gTT^ilfrr,'''n*''1"'"'" gdj'l'Jfcds" péüp'ba. "U'est un nS-' O.. iiVKBil.tfHt q.avi Ainsi, contenue le Rolterdamsclié':£btira)tt\ parle peubonyleoiftfésencte. de teli «veoXv,fii^|que le dominé van Toapnenbargen. Nous n'avons que 11a;quesIi00 réfigtewsé Söit iniérésséè dsns nos peu de m()^ ajoutet. Nous aussi,,npuaav4p»s élevé 1111 tteis'b ti b l'fq 'é'tpe In(fe bon po. foi, !la Voii'quarid on a 'vó.ilü rapuiisser nos pèresaa reprocber aq clergé d'éclai/-ÊV.-1^s.Huailles' •ImntioVi nhnn rib' WOt I g9l"3l.fai^Xil9 OlTonOO^taq Opnffp'r'nQ9 ijvi dtre vrai, c'ëst pri POUfno^W,teBBH ïtn boniment de' parade,' spécialementpar,M,:J)^ Laveleye,feknême- impose, a tout caifiDliqtte éoucienxfirdei'. l?ft'drtnejir déson vEgiii(göddé>i#J(»gbjte'yè'a#,?^".H®'lJ I -« Poser la question, c'est la résoudre, et M. De Laveleye vient ainsi prendre une place remarquable dans la galerie «lêja nombreuse des apologisles involontaire^- Ce sera, selon toute apparaence, son n^iHeur titre au souvenir de-la poslénté. »rnmoü óui> 1 cjtut)i 13 ógoiu* - j Nous trouvons dans le Roth'rdamsche cou rant 1'article suivanl, qu'il m>us parail inté ressant de signaler. On y vefra dans quelle estime l'étranger tienl la faction bruyarile de nos gueux beiges. Nous ne reléverons pas les appréciations historiques démontrées feusses, que contient rarttcl'fdu Rotlerdam- sc/ie courantelles s'expliiioenl d'ailleurs nalurellement si l'on tient oomple des pré- jugés protestants. Les rédacteurs du journal hollandais sont des ministry calvinistes, el cette qualité les met a l'abri Je tout soupcon ide parti pris on de préventi°ns en faveur des catholiqués beiges r*"' Voila l'expression du bon sens néerlandais! Les prolestanls rejettent le nom de gueux et ceux qui le portent ne sont a leurs yeux que des filous affamés (Jan Raps), c'esl-a -dire comme l'explique phis loin le Rollerdumsche Courantde la basse canaille (een gemeen boeltje). L'expression est peu parlementaire, mais sortant d'utle telle bouche elle n'est guère suspecte d'exagèraliott. Cela explique pourquoi la feuille célviniste peul dire que pour Marnix lui-même c'est une bonte qu'il ne mérite pas que d'avoir a subir les éloges des gueux de Belgique. Ion pres'idën'C ffffW gée pettjjapi plus de trois heures. '"M.'^lb'M^I'dégbemsubsli tut du procuredr du rót, a eu avant-hier une longue confer fence avec' MM: LambuUe et Slosse, et nom- ,.m 0 bre de U:|ogrami)ies,ont etc ccbanges entre Parizet le parquet de Bruxelles. '!lim l:': ;i M. Pbilipparl/a assigaé a l'audience d'au-, jourd'/bui du tiibnna-l de commerce de Bru- xelles,^ en, rapport de sa faifiile. perspnoelfe, lescurateurs désignés par le tribunal a cette wnII3Nr fails allégués dans le jugement déclaralif de failes non sa mtse.en failltle, so,...^.,. de Wassy et de Filtols sont des sociélés civi les, que ses opérations de bo'ttrse* ont 6té pour son com pie personnel, etque, par con séquent, c'est a-tort'^ne le tribunal dit qu'il ^laaWa^rëSAifii1lü(r tob f^fnoo Les cttrateurs a, la faiiiite personnels de M. 1JP b ib ppa,rt ont tn média temen tèemandé tine angiqisa dans la marineoitomane. üemant de regimenis de cavalerie. Lambassaoe cbtpptgp^ tqrftyée, ün^C0D. seilde cabinet auda»(l»ftr»ta^3na9i8nui'nl8sn ^la«slone, reppndant a une deputation a f'-ome, a drt qu'.lmè croit pb qpb te illar. qui5 de Salisbury sod personuellemeid blfo ls (*uab|e> deoUinsuccês <le la conférence.L; nps, qui au président du tribunal de la Séine qüé ce né. Ceé- jè^éöi'éil t'^óiff^t^tri^' 'ft^cè. M. le président ayanl fait droit a cetïe 'dè- mande, M. Phili'ppart a assigné les curaléurs i!en référê^odr 's'opposer a eet exêciiloire. Vendredi le juge des référés a prononcé sur celle opposition. Son jugement porte qu'il n'y a pas lieu de tenir compte de l'opposilion el que l'exécutoire doit suivre son plein effet. M. Philippart ayant interjeté appél de ces deux ordonnances, la cour, conformément a la demande de MM. Hanssens elSlosse, cura léurs. el aux conclusions de l'avocat général, a confirmé Ia décision du premier juge. Le bruit court que M. Philippart vient d'arriver a Bruxelles. Nous lisons dans I'Eloile Une enquête judtciaire trés sévêre est ouverte a Bruxéllès au sujei des falsifications, supposées, volontaires el non par erronées, quiseseraient revélées dans des expedition* d'acles d'appel contre les décisioos de la deputation permanente du conseil provincial d'Anvers en maliére electorale. Nous ne demandons pas mieux, dit Ie Journal d'Anvers, que de voir faire cette enquête compléte, persuade que rtous sommes qu'eile révélera de véritables faux en écritu- resa charge de sommités de la gueuserie anversoise. Nos amis ont les pieces de conviction sou* la main et ils exhiberontau bon moment. Rirabien qui rira ledernier, FA1LLITE DES BASSINS HOUILLERS. Les curaléurs onl fait assigner la Société anonyme des Bassins-Houillers, en la per- sonne de son administrateur délégue, M. Stmon Philippart, aux fins de s'enlendre au- toriser a vendre de gré a gré ou publique- menl les meubles-etïels el marchandises dont se compose l'actif mobilierde la masse faillie. ^on Le tribunal de commerce a fixé au C jui gjj 1876 la dale de la cessation des paiements de la Société faillie. 81 nb IgioJosIs elio'i nb 8(ioiJl80QBib 83.1 On Sa i I q tie les administraleurs de I a Bao- qne Frarico-Holiandaise ont fennéjOpposilian au jugement dn tribunafode commerce rende par défaut, cjui a'prononcé la mtse en fajllite de eet élablissêment. L'alTaire a élé appeJée' vendredi el remise a qujnzaiiie. Les administrateurs de la Banque Franeo-. Hollandaise travaillenl a se présenter au tri- BULLETIN POLITIQUE. La tournure prise par les événements fait sentir a la Serbie louté 1'imprudence de sa conduite. Aussi des télégrammes de Belgrade signalent-ils un grand abatlement dansles esprits. L'lstokl'srgane de M. Ristitch et du parli de la guerre a oulrancp, a qessé de pa- raitre. Pour le momeni il n'esl plus question ni de conquérir ia Bosnië, ni de s'annexer les provinces serbes derAulriche. Le Post de Berlin, va jusqu'a dire que le prince Milan aurait solliqilé confideniielleménl J'enlremise du cabinet de Vtenne pour faciliter la con clusion de la pajx de la Serbie avec la Tur- idHtol 9l 6liU8n9 9XÖ 13 919116 UCOltld 9l On lit dans la Coxrespondance bleue: Les nonvelles que nous recevons d'Es- pagne sont fort graves. Qnalre mille hommes de gendarmerie viennent de recevoir du gouvernement es- pagnol l'ordre de partir immédiatement pour la Biscaye et la Navarre, ou la situation de- vient teliement tendue que les villes qui s'é- laient montréos hostiles a la cause Carlisle pendant la derniêre guerre, manifestent au jourd'hui des sentiments défavorables au gouvernement d'Alphonse XII. De nombreuses arrestations viennent d'a voir lieu a Bilbeo at a Saint-Sébastien. Les jeunes gens soumis a la conscription se réfuT gient dans les montagnes. b Les journaux officieux éspagnols s'occu-' pent effectivement des difficullés que Ie cabi net de M. Canovas trouve a appliquer la loi porlanl suppression des franchises basques. II est parfaitement exact, comme l'a an noncé le lélégraphe, qu'une nombreuse reu nion des adminislratiens municipales de Gui- puzcoa a décidé a l'unanimité d'opposer une résislance passive a i'applicalion de la loi sur Ie recrulement militaire, qui est la parlie la plus grave a réaiiser de la réforme; il se pourrail done que les choses ne se passent gas. aussi pacifiqttcmen'l que les journaux.' officieux veulent bien le donner a entendre. Nous trouvons d'ailletiés'très-nata'rêl qbe les villes les plus importantes du pays bas-; que, qui ont donné tant de preuves de leurJ amour pour la liberlé, au risque de cotnpro- jjpslttulions, comma gg/a ■^i^Pwrossent mainieftam^e p^),esle jparsf^ attitude', contre la ®>nd|5te r ^erriement cehtfal. Celui-cè en réconi^ fff ,t'ur 'brdeur conire Ie carlisme, qu, a| matl les luéros ti'ans toute leur itiftégrjté |Pn enlèvo ces tftsfi'tulions. CeinIpu.giiorSévgJ nous j'avinns pn-w:e. el ces preteudus n (notes n ont pas elé sans la ofériter Mai!" '1 ne faut pas se faire illusion, ce rfe seroni pas les libéraux basques, qui, par leur aiti tude, sau verent-les-ftjcros. e8 al 13 ibais BULL'Efflv TÉLÉGRAPHH3UE. janvier. Ie!ts cent Des depêches pri. |i|la»iinople, en dale d'hier, annon- ent qu aprés le depart des ambassadeurs i, concessions ,que n'em avaient demande lr-< petissanées. au-.vialdaiJ .£*-9 ,80-8 ,6*-s:i ,8£--h que''ifö <ieS Turnue^l élla D-at»T>^Srn«kd!i„sis,f;'' *"»T»?!^«ï8Wlt,ïeVcé"tóSfKi 11sav»"-sl la P4He,'»Arës avoir hooleose- oient man q ude? rem plir' sêS profnessdè, doit coBtmttet* de jouir des-avantages du traité d» LAnglelerre a une sériettse responsabililé dans celte affaire; Ie gouvernement doit in former le pays des conséquencesde Pinsuccé»* de ia conference.;,M. Gladstone a conclu en disant qu'il ne veut pasirepreadre la direc tion du parti libéral. Berlin, 22 janvier. Divers symplömei signalent l'éventualiié de négociations pour la patx entre la Turquiq et la Setrbie. La Serbie montre un grand empréssemenl pour arriver a une p'aii concluè separèmenl, Mais ccci demande confirmation. ASSOCIATION INTERNATIONALE AFRICAINE, Avis. 0J Les correspondences adressées de Ptnlé- rieur du Royaume au. Président, ou au Se- crétaire de I Association internationale afri catne (placée sous Ie patronage de Sa Maies te), ayanl son stége rue de Luxembourg, 7. a Bruxelles, sont admises par Ia ooste FRANCHISE DE P0RT::A P Le montant des souscriptions au profit I oeuvre peut ètre versé dans tous les burea'n de poste du Royaume. II sera délivré a parbe versante, un mandat poste dans I; lorme ordinaire, mais EXÊMPT DE TOUI DROIT el peut éi re adressé, étralemertt FRANCHISE DE PORT, au Tréso^ier de L vre, rue du Luxembourg, N° 7, a Bruxelles Clironifjiic localcJ' M. Jean Van fseghem, bourgmestre d'Ot tende et dernier specimen libéral de noir province a la cbambre des repróseutants, i depuis quelquesannées enfourché un dada II feut qu'a cbaque session, fors de la dis cussion du budget de l'intérieur, il attaque la Députation permanente au sujet de ia ré partition des subsides accordés pour l'amé- lioration de la voirie vicinale. A sa' suile, el tout naturellement, Le Progrès monle en croupe et radole a vee Itti Cette monomaöie prouve une foisdeplm que le dépil aveugle qui s'y laisse aller. Ni le jóiirnal ni- Ie Représentant necóe- naissem Ie' premier mot de l'affaire dontüs ont la prétention de parler. Lieurs paroles t' fon t fo i1 1 D'abord ils oubJienl tpu? deux Tart. 15- de la loi provinciale, qui cpnfie au Gotiver neur l'instruclion préalable des affairesso» ntises a la, Reputation. C'est done ce fonc- tionnaire qui ,préseute des propositions a collége, lequel- ne peut leg examiner nilé approuver avant qu'il en soit saisi. Énsüiteces censeurs n'ont pas pris le ébk de assurer s'il n'exisle pas cerlaines rég? qui délerminent Ie mode a suivre danst répartitionlis feraienl bien cependant d' s'en informed. La chose sera facile au jn"' dal, aujourd'hui qu'il posséde un représen lam au Conseil provincial. II y a la,la ma''®' mrnmmmmm V -Le «inistre des finsnpes, J. MALOU. j' Le ministre de la justice, T. DE LANTSHEERE. Le minisire des affaires élrangères, c^-d'aspremo-xt-eynde:*. .V9fljjgisffipjC^A5fl^e(ir>s;i:0q Vs«VÓ\ Le ministre de la guerre, TmEBftPBW." ■^■«TnTilMPWPMCM Le ministre des iravaux publics, nj.^A.cW^flNAERTr. .84" (.08,(1 .ib-iuM e!) .8*4 ,85M>I ,00 ti wascutsriK £6.0 66,8 ö£,£*l "1,6 *8,0 .m «Só'ffrsfmiftttf *0t« ;'8'! ö0-" r:'-T TT 0O" 11,* €8,8 6SU $8.8 00.0. &8 Le sujet est intéressant et merite a tous les 863 payslJxeek'qm pfesawp1 en 1 au 'f Ü'Ürangc el a Mnr.ijix.el '^öh'fiÖJiyèreB^Je iéBouWpi^eurs-éfforis. --ij Eaz-consertyifion du nom de j ^destp^atiques 'guevses-futföifuvr&Pïïft eux voies S ymem modifier ja situation déplorabi1] felle au libé- ratisfifl^'^ajjijberlg.de l%Ii?b» st M La' première mèfië!aü rén'Verserhertt dé Ha rrtuoo tï. V. O 'JL H Cl JFT'B A x.» -aéxTy jii>- uféfcs pefcuitgiresi.-nécesiirti'eaopdkir. CTGfltlüH^rS' meg, d üri 'Henibgzj;, d'un f)alheen, non c^je^ K g.f d'uftJffarnix II a,it est vrat,'défendu et approure-.-Q B.jle sac des églises comme éiant t'cxpreision d'ur, Ata suite de nouyelles importante*, M. E.* i^alrf&'Érié^ c^laios geeu^ de tiié(^èséQXBmissions de gurire, mais cela ne prouve milfement que son conseil ait jamais accepté leurs sauvages espera: - ces.comme ï'idéal d'un parli o,u Je. ro.QVen de,pon: I"16 jP4L§rj's'è"tfeK5a ÜfrieIIe elié- memoo'aurnil J - ;1ique.)Pbi>1 ex déc 1^ren'eust élé que depuis .!».s,uccédaiè>Pfeslsingfte. Mais assimiler, n'importe ^;söüsiqulél)3bi!hti(lè~"bue, l'aiUeur(flu,.Bijpnkwif libéraux brabancons de notre temps, c'est plus qu'un mensonge hislgrique, c'est une injustice a l'égard de Marnix. IljrS'la 'uné; c/rffe re ne'eVir'dlê: rifeTI'é1 jqu'une observation superficielle peut seule tUUsxju'icP toeconnaure. r;ü v ,00-6 Tous les partisans de ces nou.v^aux admirateurs »ide,Mflrnix ne l'oni its pa's co'nsjdèré, kpnime 'üa perséóVileur jusqu'au moment ou ce'ux-ci se inirenl n en'(êtfe'ij'e le représeijter comme un libéral(nvcrncé? ii De ces deux opinions, Pu»B t*feut-'tAiiltTé interrogeons lui-mêrpe, jttous voyons q. 3 Home, non pour déiundre liberlé de sa periséê, mais pour faire cesser cette ii incertitude et ce dpule'qui fait quedé peuple st «.jettddanè'iyiWilfé'de l'alhéisme et de l'irréligion, 'ii se'péraurfdant qu'il n'y a ni Dieu ni vraie re it,. 08,8 esllaxinp^ 3 igion, soil que chacun peut servir Dieu a sa guise qqtpjyittit l'Eglise de or f j; - i t |j'g I Ui Antérieurement déja nous avCS protesté, dit le Rollerdgmsche Courant, conire 3 tbèse dequel- ques publicistes qui prétendent repr®senter les gueux beiges d'aujóiird'hui c'est-a diodesultraradicaux 'el des'libres pénseurs comme parlageanl fes idéés des hommes de liberlé qui or, vécu 'dans notre j" v U ihliJJU I age tieroïque. Nous avons traité celte question a l'occasion des fêtes dé la Pacification de Gand Ces fèles ne nous déplaisaient pas par-hvs mêmes, mais nous redoutions de les voir explores par des gens résolusü tout sauf a tine pacification sérieuse. A celte époque I'esprit de parti tr»vestit nos vues c'esl pourquoi il nous a été agreab'e', en parcourant la livraison de janvier du (fevuc protestante trés-enthousiaste du. Kulturkampf) d'y rencontrer un allié dans la pei'sonne de notreestimé concitoyen le dominé J. J. van Toorenentergen. Ce savant ccrit, a propos de deux livres sCr Marnix de Sainte- Aldegonde, ce qui suit Les auteur? des ouvrages dof' n?l)S parions onl eu raison dé n'e tóuclier qu'incidstn|nem aux efforts des hableurs anversois, pour fore passer Philippe dé Marnix pour uri champion df 'a lu'le entreprise contre le cleiicalisme actuel par 'es libéraux beiges avec toute l'ardeur de' fours appétits politiques. C'est lè un regrettable traves'ssementdu caracr tére et de la vje (Je .Majnix. L1 resurrection j(du nom de gueux adopté par ces aimirateurs de Ph. ii Marnix, ne rend pas plus accepab'es les homma- ii ges qui lui viennent de ce cólé. Nous n'examine- roris pas si le d' van Violen a pJ réussir justifier i. le moins du monde le parallèlelu'd a cru pouvoir ii établir, il y a deux ans, entrè c^rla|nes factions de ii notre temps et les réfurmés du 1' siècle, mais ii nous constaterons un faitle rfifn de gueux né a peul plus êire h'morablement frlé. A I origine il avail élé adopt? pour exprimer ii fidélilé que vouaienl.au roi, les adversaires de l'ln-j ii quisilion mais aussitót apié» 1560ceux qui n s'affüblaient.déce nom lombé'l'M dans un com- ii plet discredit. 1r| ij ii Avaiit qii'ünc artiiée se fdji écculée, la sou.mission JeS seigneurs élail générale, e non de gueux n'éveilla plu's d'autre sóuvenv i!ie celui des ico- ii noclastes. Dès ce.moment gvzuserie signifiait ii les excès et les violences dont 00 50 tendail cou ii pable dans la révolte légitime Cfo conire le roi ii d'Espogne, qui foulait aux piéo3 'es priviléges du •y^otf HÜfftWWè'Vólfru rapetjsser nos pècp?;|è 'taillé Mh> ïWtMi^'é'iameüra ke'nolre temps, i onl sans cesse ft,lg>.imd)»y5g mot de liberlé der/ffoy?,, 1% Genestet iui.mmnéplés'.'jugeant de son point de vue impartial, le|appellerait des filous iIn fantes Jan Raps)1,' paree qu'ils manquenfoabsolu- mént 'dé sèrïeux sur le terrain de la religion. En politique nous combaltons pour la liberté de tous, sans en excepler les'caboliques romains, mais aus?: en religion nous voulons maintenir les idéés de 3 réforme, qui sont ies nölres, contre les idéés catho liqués. Ainsi, nous demeurons fidèles a I'esprit de nos pères: nous agissons par conviction, nonpar absence de convictions, et nous ne méprisor® nulle- me/U pour emprunter l'expression du dominé Cun ning, loutes les éminentes quaiités que Dieu a loujours répandues d'une main prodiguè sur nos frères catholiqués romains. .31' A r..;itïri >.A-.Ii;^sV<RAJAtt5ntó.u^uiattS8ïn Ulill^lU-iSilllOi-aA'VCAlUUl .wo ,oo-l ,ov-i: e ,clfx*l ,01-0r ,gg-v 7j4)ot>voïvY-onnoJi pas p0ur comp(e J- U03 ,8*0908118*00 8|D(I gtllJellwd 80b 19 89l(I I Six nfficiprc a1V 1 MX omcie.s anglais ont recu le coalman. rSOffcl .(fneïnsTÓ .eetjuiü 0<Vil' tr\-'Jiny-iCl .tï-T,l*-* «^■0. tOAWW Ï8S0U13VUOU 38 tuj> 89(1 fe ue

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 2