fe. I 3 s f 1 OÜQÜÉiPS^L^AÏ ETRENNES - OFFRANDES s i I ^QlANc Samedi 27 Janvier 1877 12e année. N° 1,156. p g Z 50® IfiliM1 3l4 Jtk$h) r> >- r> 3^ p Journal parait Ie Mercredi et le Samedi. Les inner lions content 15 centimes la ligne. Les reclames el annonces judicial res su piium 30 centimes la ligne. On traite d forfait p.) ir les insertions par annee. Un numéro du journal, pris an Bureau. 10 ceniiine-.. Les numeros supplémenlaires coiniiMiidés |>our articles, Kéclames on Annonces, coütenl 10 fr. les 100 exemplaires. 4' it k ,?a a a e> s-: a."- y. m. 1 Déceniltre. A S. S. PIK BX. POUR LE 50™ ANNNIVERSAIRE DE SON ÉP1SCOPAT. t iiiqnièiiie Laste. AVIS, dans tin étal continue! de suspicion contre l Eglise calliolique qu'il fait considérer com- nit: feRHemi le plus dangereux. C'est pour cela que les libera ax onl des jouroaux a leurs gages ei s'elïorcenl d ètre lesseuls maitres de I'iustruction publique et privée, afin deloigner le clergé et daffaiblir le M'i.limenl du devoir. (Test ainsi qu'iLs parient continuellement, dans leurs pamphlets, de liberie pour le pen pie qu'ils s'y font les souliens du protestantisme et du lilue examen, sans avoir plus.de foi au protestantisme qu'au ea- tlioliscme; qu'ils provoquent enfin des réu- nions phtlanlluopiques,' scientifiques. écono- iniques, liiigiitsliques. etc., pour v trouver roceasion de répandre leurs theories anar- cbiques, imiiiorales et irréhgieusps. Ce travail du libéralisme lend a la démo- ralisadon des masses, fait régner la corrup tion dans toos les rangs de la sociélé, répnnd dans les esprits les idees les plus malsaines. Honneur, délicatesse, devoir palriotique, dans los pamphlets libéraux, sonl syuony- mes de honle, grossièrelé, serviltsme ram pant devant félranger qui en veut a noire foi, la plus pure source du vrai palriotisme. Et e'est en presence de ce travail évident aux yens de lous el donl le but démoralisa- leur est cyuiqueinenl avoué par des libres- penseurs qui éerivent dans les pampblels gueux, que ces mèines pamphlets.ostni répé ter, avec fillusiie I'eclier, la declamation que voici: C'esl a cette autorité suprème (des jésui- tes!!!) que les évéques se sonl soumis et qu lis out a leur tour soumis la üelgique! On s'en apercoil a la demoralisation des masses, a la corruption qui régue dans tou- les les spheres admimstratives el gouver- neinentales, (spheres, iiotez bien, presque loules pthiplees du libéraux par un gou- vernement liberal ren versé), aux idéés 1» ma Isa 11 es qui se repandent en matiére d honneur, de dulical sse, de devoir pa- b tnoiique. La pa trie, I indepeudance de 110- Ire pays, noire existence comme naliun soul uienacées (larce funeste pouvoir!!» iN'est-ce pas la une ciuelle ironie a l'adres- se des lecteurs de nos pamphlets libéraux? Et n'y en aurait il pas parmi eux qui aient assez de sens pour rélablir la venie dans lus lignes qui precedent en faisant les simples modifi cations suivautes: C'esl a raulorilé suprème de la franc- maconnerie que libéraux et gueux se sonl soumis et qu'ils veulent a leur tour soumettre la Belgique. On s'en apercoit.... etc. Aprés ces modifications, ils pourronl, avec raison, conclure que la palrie, rindependan- ce du noire pays, noire existence comme nation, sonl menacées par Ie libéralisme qui se dil seul fail pour le pouvoir. IRONIE. le libéralisme, comme doctrine, c'est la negation de toute vérile, el, au point de vue rel'gieux, l'assemblage de loules les héré- sus. Coinme parti politique, c'esl l'anarcbie, la licence, ledésordre, lemeute, qui sonl au- lani de inoyens employés par ses homines pour cutiduire le peuple a la satisfaction de i ambition liberale ou de la rage du pouvoir. GARE LA BOMBE! De la ces ellorts constants du libérlisme On lil dans les journaux libéraux pour aneantir le chr.stianisme qui ordonne 0ll aiM10nce aujour(J'hul, d'a,)rés Ie p0VER0 l'obé.ssance aux aulontes el Ie respect au de Pu;ermei quc ,e parti socja|js(e CÜSmopo. bien d aulrui. j |lle va ^[re reconsljUld Sur des |,ase;. nouve|. Voila pourquoi il cherche a teuir le peuple les dans le prochain congres de Bruxelles. II y a longtemps que le «parti socialism cosmopolile a étésemé par le libéralisme, ii pousse ferme maiuienaiil et la moisson révolutionnaire se léve. Le prochain congrès de Bruxelles en verra el en enlendra de belles! Libéraux, a voseolTres forts! Aprés l'autel, le tröne; aprés le tröne, la caisse: aprés le prêtre, le roiIe capital. Bourgeois, bour geois, garde a vous On séme le libéralisme, on récolte le soci alisme. La tempête suil le vent. Et malheur aux semeursde vents Bourgeois libéraux, écoutez le Mirabèuu Le capital, voila la forleresse a assiéger! La politique c'est nolre moyen d'attaque. La revolution sociale, voila noire hut. Fas d hesitation pas de sophisme, pas d e- quivoques. Descendons dans la politique (car c'est descendre que de se confondre avec la pourrilure bourgeoise)descendons dans la politique; c'est le seul moyen pour nous elever dans les hautes regions dn socialisme. Voila qui est clair! La Chromque vienl de publier un article qui iait adinirablenieni suite a celui du Mirabèuu Nous n'avons pas assez d'espace pour élaIer cette prose au pélrole dans nos colonnes. Disons seulement qne les Suns-Culolles de la L/iruntquc espérenl que bienlöl ils verroiu et leront la inise a sac des couvenls, sous prétexie que les couvents ne renferment que des criuii/iels. En attendant, ces gentlemen regrettent les beaux jours de 1793, de.-> bains de sung (sic), des efforts violents et passionnés. Et voila! Bourgeois, encore une fois, garde a vous! TRAVAIL. La Voix du Luxembourg nous ajiprend que les caiholiqués Luxembourgeois ne s'en- dorment pas sur leurs sucoés. Farloul ils travaillenlpariout 1 Is fondunl des asocia- tions des cercles el ne négligeol rien pour fortifier leur position et la rendre inexpu gnable. Cest surtoul dans l'arrondissemenl de Neul chateau que ceile énergique aclivilé s'a- centue. Pendant que, a Neufchaleau méme, un cercle se fonde el s'orgainse, les élecleurs du canton de Paliseul viennent de se conshluer eu association. La présidence a élé offerte a M. le comie de Gourcy, qui a bien voulu l'accepter; MM. Leonard, bourgineslre de Bertrix, et Jacques, négociant a Paliseul, onl éiu notn- més vice-presidents; les functions dc secré taire out été dévolues a M. Claude Francois. La masse élecloiale du canton de Paliseul, a l'exceplioii de quelqueslibéraux incurables, a salue avec cnlbousiasine la fondation de cette association et s'est empressée d'y enirer. Nous lisons dans Ie Journal (I Amiers Eu presence des. attaques de la presse libérale comre la disposition du piojet de loi, déposé par le Nous savons gré a M. Pirmez d'avoir por" té a la tribune la question de la protection que le gouvernement ne peut refuser aux mfoiTuiiés enfanls qu'on exhibe lors des foi - rus. et qu'on force de se disloquer les mem bres dans tin bul dc lucre. Eu France 011 a fait une loi relative a ces pauvres petils; en Bulgique il exisle une loi proiectrice des animaux, el il n'y en a pas pour protéger de malheureux enfanls contre l'avidité de leurs parents ou d'odieux spécu- laleurs! L'honorable M. Pirmez a levé un coin de la toilequi couvre les mauvais trailemenls auxquels ces enfants soul soumis; Ilse passe, dans noire pays, a l'égard de I'eiifance, a-l-il dit, des fails réelleinent re voltants, des fails qui doivent amener non pas seulement uue repression, maïs, je crois, une réprtssiou criaiineile. II est certain qu'il y a des spectacles aux quels on ne rend les enfants propres qu'aprés lus avoir soumis a des tortures cruelles el prolongèes; telles soul, par exemple, les ex- iiibitions d'cnfanls disloqués. II est incontestable qu'on ne pent oblenir les positions contre nature qu'oli fail prendre a ces enfanls qu'aprés les avoir soumis a des manoeuvres exirememeiil doulouruuses et longuus, ut exlrémumenl dangereuses pour juur vie. Dans d'autres circonstances, ou oblige les •3 S) 'i to -sO V: O 5 •s. u: x *e 3T cr. <r> V) C- o e 30 m h o G 5 H X B —3 •*5 58 »- 2 O F5 2 SC -x P.jpei m^lie Ypres, 3 15,7 00.St Sislz.'ieie Eecloo. !t OS, 1-2.1, 8-2.1. (i iiiij Terneuz/n. (station) -S 17. 12 48,9 30 IV Bruges--/{om- 28t.I f-o0,'2-13..''-Oil,9-21) - I'opi-riM/h ii 3 >.W "7 12 07.3-87.0 30. pefiugiie-'lfcizebrouck. 0 8.8, 12 28,7 10. Hazejmmck Popen lui Ypres, 8-28, 4 10, 8-28. Vines Ruuk'rs, 7-80, 12 28, 0-48. - Itoulws-\pres, 9-28, 1-30. 7-80. haulers-Bruges, 8-48. 11-34, 1-13,3,16,7-30,(9-83. Lielilerv.) Lielilerv.-Thourout, 4-23 m. vers Osiemte Itrs 8-28, 12 48, 8-03, 0-42. Lielilerv.-Courirai, 8-28 in. Ypixs-Courirai 8-34, 9-46, I 1-20, 2-33, 8-2.8, (Eouurai- Ypres, 8-08. 11-08, 2-80, 5-40, 8 49. Ypres-Thourout, 7-18, 12 00, 0 20, (le Samedi a 3-3» rtri matin jtisqu'a LnnghemurcklTlwurom- Ypm, 9 00, 1-23, 7 48, (fé-Samedi a 0-20 do maun de Langiiemarck i Ypres). Comiries-Wiirnèlon Le Timquet-llouplim-.s-.-lmeaLiVb'eji, 6-00, 12-00, 3-38, Armentières-lloupliiies Le '1 ooquel-W arnêlon- Cotnines 7 -23, 2,00, 4-43. Comines- Warnêlon 8 48, m .9-30 s. (Ie Lunü 0 30.,) \Va'rnêiou-C«/»»»es 8-30, 11-10, (le Lundi 6,00.) Courirai Bruges, 8 08,11-00, 12-33,4-4-0, (Ingel.) 6-3«j. 9-00 s. (Lichterv.) Bruges-CWrpvu, 8-2U, 12-48, 3-03,0-42. Bruges, Blanken'b, Hevsl, (Station) 7-23, 11 08,2-30,7-38. (bassin) 7-31, 11-14,2-80, 7.41, Heysl, Blankenl), Biuges, 3"43,'8,23, 11-23, 3-30. ngelmunster Deynz'e Gand, 8-00, 9-41, 2-18. lngelmuns!er-/>.o//t,:e. 0 |0 7- 18. tian I iloyiize-higelmunster0-38, 11-20, 4-41,7-21. Deyuie-lngelmuhsler, 1-00. ngelmunsier .4 nscghem6-03, 12-33, 0-13. Ausiegliem-I ngel munster7-42, 2-20, 7-43. Lfchiervelde-Dixir.-ade Furnes Duttkerke, 6 30, 9-08, 1-38, 8 00 3 40, 3-00. üixmuJe-A«;uj)07<,9 30,2-20,8-43. Nieup /Jtawi, 7 30,12 00,4 20. Thou rout-Osfendc, 4-30. 9-13, 1-50, 8-0.9. Ostehde-Thourout, 7-93, 10-10, 12 23, 0-13 Eecloii-$e/3ae/e, 3-88, 10 13.4-22. 2 23 7.3;l ipurie d'.Vnvers) 8-30, 12-40. 7 48. Turneiizen Gand, 0 00, 10-30, 440. Sehseie-Lokerea, 9 04. I 30. 8 30. lie Merer. 8 lo m.1 L ikeren Selzaete, 0 00, 10-29, 4 48. (le Mjrdi, 9,30.) cormBsr>oi*i»ANCES COURIRAI, BKUXKI.LES. BIIUXELLBS, C0UKTIUI. Courirai dép Bruxelles arr. 0.37 8,80 10,33 1,33 12,33 2.28 3,42 0,33. *5,10 8,84. Bruxelles dép. Courirai arr. 8.22 8,00 8,28 10,40 12,21 2,44 3,33 7,30 6,47. 8,44. i)i*rtA"«;'A'e-Kiinies-l)i\uiiid'' el Lt htnr m-l dr0 33. II 10 COURTRA I TOURNAlLILLE. Courirai dép. li.37 10,30 2,34 3,34 8,47. Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 0,39 9,41. Lille 7,38 12,08 4,00 6,38 10,00. Lille dép Touruai Courirai arr. LILLE, TOURNAI, CollrtTRAI. 8,13 8,2-1 I 1,09 2.2-2 4,48 3,42 8,90 I 1,29 2,40 .9,39 0,34 9.47 12,20 3,38 0,33 COURTHU, UAND Courirai dep. 0,42 9,49 12,31 Gand arr. 8,01 11.08 1,31 BRUGES, GAND BRUXELLES. CAN», COURTRAI 3,44 0,40. 9,04 7,90. Gand dép. Courirai arr 9,19 0,37 9,38 10,30 1 28 4,24 2,3 4 8,34 7,21 8,47 BRUXELLES, GAND, 6RÜUES Binges d. 0,49ex.7,04 9,39 12,34, 2-82 ex. 0,43. 1 Bin tel, les lép. 7,2 t H.lt 11,00 1,39 3,02 ex. 4,99 ex. Gaud a. 7,34 8,19 10,34 1,49 4,n7, 7,88. 9,31. Gull arr. 0,00 8,39 9,41 1.23 3.89 4,11 6 29 Bruxelles 8,30 10,33 12,39 4 00, 7,13, 9-31. I >,40. Bruges 7,18 9.2311,34 2.38 - 8,01 7,22 3.15 7,77 8.38 Muntanl des I isles précédenles, 8,193 23 PA1101S9E DE ST-MARTIN (V RES). Anonyme20 M. Ch. et Mlle Marie Verschaeve Barbe Crock Anonyme Prudence Depuydt M. l'abbé Vandevelde Henri Becelaere, sous-sacristain Les- demoiselles Jonckheere B. De Bruyne-Leclercq demande la bé- nédietion du St-I'ère pour toute sa familie Acliille De Bruyne demande la béné- diction du St-Père pour bien faire sa première Communion PAROISSE DE ST-PIERRE (YPRES). Anonyme PAROISSE DE ST-JACQUES (YPRES). MM. Alois et Eugène Struye et M"° Zoé Struye M. le Principal et MM. les Professeurs du collége de St-Yincent de Paul. Una mère de familie M. Yandeweghe, vicaire Anonyme PAROISSE DE ST-NICOLAS (YPRES). Sophie, ser'vante Le Couvent de la Ste-Famille M. Jean Baeckeroot Une personne kqui demande la bén. dic tion du St-Père M. Laumosnier, vicaire Mel" Catbérine Vandermeerscli M. Nuytten-Domicent S. Vandermarliere RODSBRUGGE. 10 00 5 00 5 00 i 4 00 10 00 2 00 15 00 5 00 1 00 5 00 300 00 170 00 5 00 10 00 2 00 1 00 64 50 4 00 1 00 50 00 50 00 5 00 2 00 M. Van den Bogaerde, curé 20 00 M. Affenaer,-vicaire. to 00 M. et Mme I'eel, M. et M"« Peel 50 00 MIle M.-Ther. Van-den Bogaerde 5 00 Séraphin Leys 10 00 J.-Ble Wouters 10 00 M. D. Van den Berghe-Desaegher to 00 Mmo v® Van den Berghe 4 00 Ye Rosselle 2 00 Alph. Masselis 2 00 Depovere, sacristain 4 00 M. Léon Ruyssen et soeur 5 00 Les soeurs de Notre-Damo O O »o Ve Boucry i CO Anonyme 2 00 Id 2 60 Plusievrs anonymes 2 75 10 00 VLAMERTINGHE. M. Vanneste, vicaire Urse jeune personne demande la béné- diction du St-Père Une familie dévouée au St-Père Quelques a lonymes BlXSCHo.'i;. M. le Curé Anonyme ZUYDSCHOTE. Le Curé et quelques paroissiens WOESTEN. M. Yeys, vicaire 5 00 5 00 5 00 12 00 10 00 2 00 25 00 10 00 D1CKEBUSCH. Plusieurs paroissiens dévouées au St- Père, demandent sa bénédiction ST-JEAN-LEZ YPBES. M. Riethaeglie, curé et quelques parois siens LANGEMARCK. M. le Curé et MM. les vicaires M. lid. Liebaert et M0,1° Stephanie, sa soeur Anonyme Louis Pieters et Marie-Thérèse, sa soeur Le couvent Anonyme Anonyme PAROISSE DE sT-BERYIN (POPERIXGHE). 42 78 72 00 50 00 50 00 30 00 10 00 10 00 2 00 2 00 M. le Principal et MM. les prof'esseurs du collége de St-Stanislas 110 00 M° V® Cnapelynck-Baeckeroot 30 00 Molle L. Cnapelynck 25 00 M# V" Cliarles Van Merris 30 00 Deux servantes 2 00 M. et Me"M Coutteel 25 00 M. Henri Ryekexvaert 5 00 M. Justin Vanftours 5 00 M" V* Haemers O O O Une anonyme 20 00 PAROCHIE ST-JAN (POI'ERINGHE). M. B. Billiau 20 00 Tms Révérendos- Soeurs Pénitentes 20 00 M. Wullemau-Verl'aiilie 8 00 Anonymes 20 00 M« Vc Degryse 10 00 Vu Vermeulen 10 00 Anonymes 16 00 M" Vc. Vandromme 5 00 TOTAL FR. 6,793 28 MM. les Ecclésiastiques de l'arrondissmenl voudrunl bien recevuir les suuscriptions Tuutes aulres personnes de bonne volonié son égalemenl considérées porwie aptes a recueillir, a recevoir et a transméllre les offrondes. On les percoit égalemenl au BUREAU DU JOURNAL IJ' YPRES el da NIEUWSBLAD. Poar permellre une exacte comptabilüé 1° Le donateur et son intermédiaire sonl instam- tneul pries de remellre simultiuirmcnt la note de la souscriptiun et l'urgent quelle eomparte. Les personnes qui seraient embarrassées pour faire parvenir au centre de l'oeuvre Ie monlant de leur souscriptiunpeuvent l'envoger tin mandals sui te poslu a M. Ic doyen d' Ypres. 2" Nous ne pourrons publier chaque semaine que les souscriptions donl la nole el l'argent seront parvenus au centre de l'wuvre, chez Mle Doyen d'Ypres, avanl lejeudi midi gouvt'rnemenl, el qui a trail b Ir liéclaralion des paienles, nous leiiou> a faire cuniiaitre au public comment la «ueusene ariVeisoise s'y prend pour lli- poler la larie éleelorale el assurer la sincénlé du syslème parlemenlaire. Les 29 el 30 sepleiuhre de i'aiiuée 1876, leroie falui, puur cróer des élecleurs, suivaui les libéraux, deux coinmisa 11L)cl 1 és A i'usine éleelorile gueuse, dépo.-èrenl cliez les reeeveurs des contributions de a vil Ie et des faubouigs, des declarations de palen G'S qui, d'uii seul coup, donnaienl a nos adversaires 1249 élecleurs Voici te décompte de ee groupe engendié par la generation sponiatiee gueuse I I 10 peisuniies de la ville, 104 de Borgerboul, 33 de Bercliein. Tulal 1249 élecleurs. Remaiquons que la plupari de ces declarations se. rappoiTeiii a des conuuis donl tes appomlemeiiU n'éiaieni, il y a quelques mois, que de 1000 a 1200 francs Or, a en oroire les déciaralions déposées cliez les reeeveurs, ces gratie-papier som aciuellérneni lolis ile irai enieiiis de 3,400, 3,600 a 4,000 francs, chiffre de irailemenl qui dunne lieu a une paleiiie dom te coül dépasse 42 fr. 32 c. II n'esi pas un liunime sérieux qui puisse un seul insiaui adinelire te léaldé de oes brusques augmen tations de iraiieiiienl C'esl toul simplemenl ce qu'eo langage d'l'.niérique on nomine un jeu d'écrilure. Nous iraversons depuis longtemps une crise com- meiciale qui loin de perniellre aux pairons anversois d'ainéiiorer le soil de leur personnel, tes force p.uiól a le diminuer. Ceüe siliiation, nous n'hésitons pas a le dire, no peul pas éire lüiéiée: l'lionneur el te dignilé du ré gime parlementaire demandent impérieusemem que le pouvoir el les Chambies prennenl des mesures prompies el énergiques pour la faire cesser. ]l est plus quo temps de itfréner l'audace cynique de te doen ing gueuseiie qui vgudiail. iiiiplanier ilans nolre pays des agissemenis élecioraux que les nègres de te Louistane el de la Caroline du Sud ne suppor- leraient fias.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1