i a JEAN-JOSEPH FAICT, p,GAJV^ Mercredi 14 Février 1877. ^-_kA^ 12" année. N° 1,161. rn z: z: Zn z: H::b ^#4' 2 S Le Journal parail le Mercredi el le Samedi. Un numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes Les insertions content lb centimes la ligne. Les réclames el annoncesjudiniairns ser piieul 30 centimes la ligne. On truth) d forfait ponivJ.cs insertions par année. Les numéros supplémentaircs conimahdés pour articles, Réclames oil Annonces, content 10 IV. les 100 exemplaires. C H E M I W S E 2s1 K BS. 1 Decern lire. ÉVÊQUE DE BRUGES, au Clergé et aux Fidèles de noire diocese salut et benediction. Nos Très-Chers Frères Parmi les nombreux devoirs qui incom- bent b uu Evêque, le premier et, sans con- tredit, le plus grave, est celui qui l'oblige b conriaitrè, b suivr'e de l'ceil et du cceur, le troupeau contié b sa sollicitude. Eu vérlu de son nom, l'Evêque est le pasteur qui veille; qui observe l'état et le mouvement des ames; qui porte son regard, partout autour d'elles, pour s'assurer que toutes marchent vers Téternelle patrie des ames, le Giel, et qu'aucun danger ne les menace. \Je vous ai préposé, dit le Seigneur, en ïsentinelle vigilante a la maison i'Israël (Ezech., xxxiiy. 7.). Que s'il découvre un danger, un ennemi qui s'apprête b séduire ou b lui arracher des ouailles, il n'est point libre b l'Evêque de se taire; il 'faut qu'il sonne l'alarme, qu'il ne cesse d'éle- ver la voix, et qu'il lui donne au besoin, comme dit le prophéte Isaie, l'éclat de la trompette (Is. lviii. 1). Hélas! N. T. C. F., par les temps si troubles oü nous vivons, cc n'est point un danger ni une séduclion isolée qui vous menace. De quelque cöté que Nous portions nos regards, Nous voyons se dresser autour de vous, avec les honteuses folies du paga nisme, tout l'orgueil, les emportements et lla haine aveugle de l'hérêsie. 11 était réser- Ivé au dix-neuvième siècle de voir se dé- Icbainer contre la vérité et contre 1 Eglise, ll'immortelle gardienne de la vérité, ies Ifureurs réunies de toutes les sectes des [époques précédentes. La vérité du Sei- bneur, sans doute, demeurera éternellement |(Ps. cxvi. 2), et les puissances de l'enfer ne Iprévaudront point contre I'Eg Use, balie sur le yoéher (Matt. xlv. 18); mais, si l'ceuvre de |Dieu est indestructible, les hommes cepen- lpendaul ne peuvent que trop se laisser éga- Ireret se pcrdre. En effet,que voyons-nous de nos jours,au Iscin nièrne de nos populations si éminem- Iment chrétiennes, et jusque dans les famil- lles nuguère encore si protondément atta- Ichées b la religion? Pour pcu que les pa- Irents aient abdiqué l'autorité, dont Dicu les la inveslis, a l'égard de leurs enfants; pour Ipeu qu'ils tolèrent, avec le danger de jl'oisiveté, celui de certaines compagnies, Ids verront leur familie changer a vue d teil: lie respect, lapiélé, l'union, le bonheur,faire [place b l'insubordination, b l'indifférence.b |la discorde et aux plus tristes mécomptes. [Mais que sera-ce, si, par le plus étrange des lmalheurs, 1'éducation a été manquée cl que, ldéja le doute et le vice dans l'ame, les jeunes I gens soient allés puiser la science b des sour ces empoisonnées Dés lors il ne sera pas rare que ces pauvres jeunes gens, sortis b peine des écolos, rompent avec les tradi tions religieuses et morales de leurs houo- rables families. Ayant perdu la crainte et jusqu'b la pe'nsée de Dieu, et dédaignant l'Egbse, dont ils out appris b méconnaitre l'autorité, ils ne tarderont pas b rènoncer, timidement d'abord, ouvertement ensuite, aux pratiques de la Religion, qui seules auraient pu les guérir et les sauver; et alors emportés par la présomption et par l'impé- tuosité de l'age, vaincus par les promesses et les applaudissements de leurs séducteurs, ils iront jusqu'b prendre place b cöté des ennemis de l'Eglise, et a combattre l'ceuvre de celui, que leur bouche enfautine avait appris b bénir, sur les genoux de leurs mères, et qui avait- fait tressaillir leurs cceurs, le jour de la première communion, belas trop tót oublié. Conpoit-on, N. T. C. E., pour une familie chrélienne un déshonneur, et pour unemè're pieuseuu opprobre, comparablesb celuid'uu enfant, d'uu Ills, révolté contre Dieu; ac- cueillant et propageant les calomnies inven- tées contre l'Eglise, ses dogmes et ses mi- nistres; poursuivaut de sa haine et de son mépris tout ce que les auteurs de ses jours ont le mieux airné cl le plus respeeté Si grand que soit ce malheur, il en cstun autre plus déplorable encore, paree qu'il est sans remède. Initié au doute et aux sophis- mes impiesdès sa jeuuesse,Tbomme semble ne pouvoir revenir a Dieu que par l'cffet d'un miracle. Ce miracle est possible; la prièro d'Etienne expirant l'a obtcnu en faveur d'un Paulcelles de Monique, en faveur d'Augustin, son tils. Mats il ii'en est malheureusement po-int ainsi du plus grand nombre. Généralement, avec l'age, l'orgueil et la haine grandissent, les préjugés aug- mentent, les chaines des passions se res- serrent, l'intelligence et le cceur se ferment b tout ce qui pourrait venir d'en haut;et, róulant d"abime en abime l'apostat de sa Eoi, le plus souvent, fïnit par mourir dans rimpénitence finale: Mors peccatorum pessi mal s'éerie le prophéte PsXXXIII. 22). Quot que l'on puisse dire et quoi que l'on puisse faire, la mort du pécheur est et reste ra ce qu'il y a, pour l'homme, de plus funeste et de plus épouvantable. Car aussi certuine qu'est la mort, aussi certains et aussi inevitables sont et le juste jugement de Dieu et Tenter el l'éternité. Mourir dans l'impiété, tel est done, N. T. C. F., dans les temps actuels, le sort au- quel plus d'un chrétien se trouve exposé. Pères et Mères qui Nous écoutez, hatez- vous, pour conjurer ee peril extréme, hatez- vous d'unir vos efforts aux nótres, a ceux de pasteursafin que les ames de vos en fants ne soient pas arrnchées bJésus-Chris). Ne vous laissez ni séduire par les folies espérarices, ni ébranler par les vairtes me naces vous souvenant que la Foi est le plus riche de tous les trésors et qu'en comparai- son de Téternelle félicité, les honneurs, les richesses et le bonheur de ce monde ne sont rien. Grace en soient rendues b Dieu, N. T. C. F., Timpiétë ouverte, telle que Nous ve nons de la décrire, Tapostasie faisant la' guerre a l'Eglise de Jésus-Chriet, esfjus- qu'ici rare, dans notre chère et religieuse Flandre. Gependaut le péril existe, et b la faveur de notre situation sociale, il tend b se développer. En vous le signalant, Nous n'avous fait qu'obéir au premier et au plus impérieux de nos devoirs. Muis Nous devons Nous élever avec une vigueur presque égale contre un vice qui, s'il gate moins les esprits, flétrit tout au- tant les coeurs, et menace par sa généralité un plus grand nombre d'ames. Nous voulons paiier de Timmoralité. 0! s'il Nous était donné, N. 'i'. G. F., de pouvoir vous montrer ici, dans sou augéli- que beauté, dans soa ravissant éclat, la plus noble des vertus chrétiennes, la céleste vertu de Pureté. que Nous appellerious vo- loutiers la plus chrctienne des vertus, puis- que le paganisme la conuut a peinel Bien- heureux les cceurs purs, paree qu'ils verront Dieu (Matt., v. 8). La pureté élève l'intel- ligence et en double les forces; elle enno- blit les cceurs et en fait germer les senti ments viriles et généreux. 11 n'est pas jus- qu'au corps dont eiie n'entretienne la beau té et la vigueur. Grande et ravissante vertu; mais malheurpusement exposée, de nos jours, b tant et de si formidables écueils! Instruit par une Jonge expérienoc, Nous sommes b Nous dèmandér s'il n'arrive pas que Penfance elle-mème rencontre, presque au début de la vie et parfois jusque sousle toit pateruel, les premiers dangers du vice? 'l'oujours est-ii que, a notre époque, 1'édu cation de familie, iudujgente et relachée comme elle Test généralement, produit, plus souvent qu'ón ne le croirait, des resul- tats désolants. Rien des pères et bien des mères montrent b leurs enfants trop d'a- mour et une conliance qui appelle lesabus. Ou ne los surveille pas, ou ne les occupe guère, on ne les corrige pour ainsi dire jamais et ii n'est pas rare qu'oa laisse étalés a leurs avides^regards des objets ou que Ton permette a leur curiosité de saisir ties paroles, trop propres, hélas b porter le poison dans leurs tendres coeurs. Pères et mères, Nous vous en conjurous, entou- ïez vos enfants des precautions que la sa- gesse vous commando, surveilléz-tès des le jeune age; et tout en les aimant, n'oubliez pas d'exercer ii propos l'autorité dont Dieu vous a investis, pour voire bonheur et pour le leur; sacbanl bien que, d'après nos saints oracles, II est bon a l'homme de sentii l'auto rité, dès son enfance (Tim., III. 27). Lorsque vous enverrez vos enfants aux écoles, gardez-vous de croire que votreres- ponsabilité cesse. Si vertueux et religieux que puissent ètre les mattres auxquels vous les avez conliés, leur action ne suffit point. 11 faut que le père et la mère veilleni avec le maitre; qu'ils conuaissent les personn.es et les lieux que leur enfant fréquente, les lectures qu'il fait, les habitudes qu'il con- tracte. Que s'ils s'apergóivent que lenr ado lescent, de laborieux, soumis, ouvert et pieux qu'il était, devient tout-a-coup indo lent, acariatre, dissimulé, sans goüt pour la prière, qu'ils sacbent que le moment est veriu de redoubler de vigilenee et de sofhs. A leur entree dans le monde, les jeunes gens des deux sexes rencontrent désormais presque partout le double écueil des com pagnies el des lectures dangereuses. Nous n'hésitons pas a le dire: en aucun temps, ces dangers ne fureut nisi multiplies ni si imminent qu'aujourd'hui s'y exposer, ne pas les éviter, e'est vouloi.t perir. Que de jeu nes gens, que de jeunes personnes même, qui promettent d'être un jour Tbonneur et lo soutien de leurs families, en sont deve- nus malheureusement la bonte et la ruine, paree qu'ils n'ont point fuilel endroit, rom- pu telle liaison, quitté la lecture de tel li vue ou de telle publication impure et impie! Afin de prévenir d'aussi tristes ravages, Nous avons, avecl'aide nenos zélés etbiert- aimés collaborateurs, et grace au concours de nos meilleures families, mulplié, sur tous les pointsdudiocèse. des Congregations pieuses des deux sexes. Tous ceux qui s'in- téressent au maintien des families et au bon- beur des ames Nous viendront en aide, pour mettre eu honneur de plus en plus et faire fleurir ces importantes institutions; pour les défendre au besoin et les faire connaitre pour ce qu'elles Sont: des asso ciations préservatrices de la Foi et de ^in nocence. D'un autre cöté, tout en renouve- lant les defenses sévères, portées par l'E glise et par Nous, contre les livres et écrits impies ou obscènes, Nous Nous appliquons b faire ériger, dans toutes les locaütés im portantes des bibliolhèques catholiques. Puisse cette oeuvre prospérer et s'étendre et prospérer b son tour, dèstinéé comme elle Test b affermir, dans nos heüreuses conuées, les deux bases de leur srrandeur et de leur gloire: la Religion et la pureté des moeurs! Afin qu'il en soit ainsi, et que les vceux ardents que Nous formons, pour le salut et Ie bonheur de tous nos chers dioeésains, se réalisent, offrons au Dieu dos miséricordes, au Goeur si compnlissant de Jésus, durant la sainte Quarantaine qui approche, le t rib ut de nos meilleures prières et de nos expia tions. Prions pour nos frères égards mij ne prient plus. Prions pour la conversion de tous les pécheurs; et appliquons-nous b ob- tenir du Giel, avec Talfennissement de la Eoi. la conservation dos m enrs, dans notre belle patrie. DISPOSITIE DU CARÈME. I. II est permis de se servir de laitage lous les j mrs, excrplé le Mercredi dós Cendres et le Vendredi-Saiiit. II. I! est permis de manger des ce ifs tous les jours, exceplè lè Mercredi des Cendres, les trois j mrs des Qualretemps el les trois dermers jours de la Som liit.te-Siinte. Les Dunanolies, il est permis d'en manger plu- sieurs fois (ce q n est aussi permis tous les jours a ceux qui soul exemptésdu jetiiie, ou qui n'y soul pas obliges), mais les autrds jours une settle fois, cl" cela au repas princi pal, et non a la collalion; ce qit'on doit aussi observer au\jours de jeune pendant Tannee. II est a remarquer néanmoins que, hors le Mercredi des Cendres et le Vendredi-Sainl, cette defense ne s'élend pas aux oeufs qui servent, en potile qnaniité, a preparer d'au- lres mets, mais settlement a ceux que Ton sert séparémeut et comme un mets particulier. III. II est permis de manger de la viande les Dimanche, Lundi Mardi et Jeudi de ciiaque seinaiue, le J utdi-Samt seul excepté. Nous ne doulons point que lous les fidèles ne se rappellenl que Tabstinence, donl-ils ont obtèiiu la dispense pour les Sained is ordinaires de Tannée, est mainlenue aux jours de jeune; et que par conséquent elle doit ètre ngoureuseinent observée tous les Samedis du Carème et des Qualretemps, el aux vigdes des fètes. IV. II est défendu de in niger de la viande plus d'tine fois par jour excejité le Dimanche. V. II est défendu, mèine Ie D.manche, de mangerde la viande, et du poissou au inème re|)as. VI. Les fidèles qui no profiteront (ias de la permission que Nous aecordons a certains jours, de manger de la viande, pourront, aux (fits jours, user de bouillon, an diner seulemeni. Nous permeltons aussi, ces jours-la, Tusage plus fréquent de grnisse fondue au lieu de beurre, quand mème, au lieu de viande, on mangerail du poissou. VII. Nous enjoignous a nos dioeésains, de reciter trois fois Notre Père, el trois fois Je vous salue Marie, et une fois les actes tie foi, d'espérance, de charité el de contrition, cltaque jour qu'ils profiteront de la permis sion de manger de la viande, accordee par le présent mandement. Ils pourront cepen- dant se libérer decelte obligation, en versant ttut: aumóne, selon leur devotion, dans le lropc du CarQ.me, qi,Tt doit ètre placé dans toutes les égjiscs. Tous les motifs qui Nous onl oblige, Tan née derniére. a prior avec instame les fidè les de s'aoquitter gónérciisonienl de cette dette, subsisU'fii encore cette année. Nous les engageons done de nouveau a offrir leur aumóne ou leurs dons pour Tamour de No- Ire-Seigneur. et avec lu douce persuasion, qn'eii accofffphssans ce devoir, ils acqulérent le double mérite de satisfaire aux prescrip tions de l'Eglise, et decontribuer.au öi'oins pour une petite part, a Ijentretien de nos institutions cbrétiennes, qui font le bonheur de benucoup de families el la gloire de la religion en Relgique. Comme TdiiiisSioii de ce devoir n'a le plus souvent d'aiilre cause que Touhli, Messieurs les Curés auront som de le rappeler plusieurs fois a leurs paroissiens, surtoul vers la fin du Carème, elnprés la l'ete de Paques. Et afin que les fidèles puissent s'acquitlcr aussi faciiemenl de cette obligation que de toutes les autres qui leur sont prescrites pour le saint teinpsdu Carème, on aura soin de li: publier par affiche, jusiju'au Diinincbo aprés Paques, VIII. Comme les miliiaires de tout grade, leurs femmes, enfants et domesliqites. ainsi que les autres personnes attachés de fait au service militaire, sont soumis a noire juri diction, et que leur ét at exige des égards parliculiets, Nous leur aecordons, par ex tension de dispense, la permission de faire gras lous les jours de Tannée, exceple le Vendredi Saint, oü ilsdevront se con former aux autres fidèles. Vu que les gen.lirmes et les employés de la dot ine, en service nel if, exig tut ies mèu)e5 tégards, a eause des fatigues a'ixquefies ils sont astreinls, la unit aussi bien que le j oir, Nous les assimiions aux miliiaires. Pour des motifs analogues, Nous assimi ions égalemenl aux miliiaires les employés du eliemin de fer, actuelieineiil de service stir lbs trains. IX. En vertu des pouvoirs spèeiau.v que Notre Snul-Père le Pape Nous a accordés. Nous perinettons a lous nos dioeésains dc faire cette année usage de viande, mème plu sieurs fois, les jours des Rogations et de S. Mare. Nous desirous que les fidèles, qui profite ront de cette dispense spéciale, fassenl aussi une aumóne parliculiére pour ie soutien des bonnes cepvres du diocese. X. A cause de la eherlé du beurre, el tant que cette clierté duren», Nous perinettons aux délenus, aux pauvres et aux ouvriers pour- voyant a leur propre iionrriture, Tusage de graisse fondue au lieu de beurre, tons left jours de Tannée, le Mercredi des Cendres el le Vendredi-Saint seals exceptès. XI. En vertu d'un indult spécial de Sa Samtcte, Nons aecordons a lous nos dioeé sains, pour une année, la dispense de faire gras le Samedi, mème plusieurs fois le jour; ies Snnedis ou il y a jeune toujours exceptès. Le vceu du Saint-Père est que Ton taclie dé raeheier en bonnes cenvres cette condescen» dance de sa pari. Et soront les présenles lues au próne, dans les églises et oratoires publics du ibocèse, le Dimanche qui en suivra la réceptiqn. Doiiuéa Bruges, le 1 Fevrier 1S77. f JEAN-JOSEPH, Par mandement de Mgr TEvèque, F. Nolf, Chan. Secret. S) O O O O as as I-- .j I^Ky; Kt -1 C* 73 >- ZZ. rs c« *1f} H 51, 2 SS C3 n sï rr o CA H w t»1 VS rTi rt ïBCTflg «gf.dgx j Sélza uia-Eecloo. 9 05, 1-25, 8-23. Eecloo(-6c/srtetó,.'t-3S, 10 15.4-2? Gnn<l-Terüeusen, (stniiuii) 8-17, 12 23, 7,3 Poperin^'lie-Vprei, 5-13,7-00,9-28,11-00,2-15,5-03,9-20. Ypres-Poperinghe6-3 1,9-07.12-07,3-57,6 50,8-43,9-30. l'o- perin^he-Ilazebrouck6 S3, 12-23,7-10. Hazebroück-Poperinghe-Ypres8-2,i, 4 10, 8-23. Ypres-7(oit(m, 7-50, 12-2S, 6-45. Roulers-Fprps, 9-25, 1-50, 7-50. Roulers-Bntjes, 8-45, 11-34, 1-13,3,16, 7-36, (9-55. Lichierv.) Lichterv.- Thourout, 4-25 in. vers Oslemto. Bruges - Hau lers 8-25, 12-45, 5-05, 6-42. Lichterv.-Courlrat, 5-25 m. Y pres-Cowrlrai 3-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-25, Courtrai-Fprei, 8-08, 11-05. 2-5(i, 5-40. 8^49. Ypres-Thourout, 7-18, 12 06, 6-20, (le Samedi a 5-50 du matin jusqu'a Lnngheninrek). Thourout- Vpres, 9 00, 1-25, 7-45, (le Samedi a 6-20 du matin de Langhemarck a Ypres). Continus-Warnèlon-Le Touqitel-Houplinês-.-lr»tenlt«rei, 6-00, 12-00, 3-35, Arnienlières-lloiiplnies Le 1 ouquet-\V arnetoit- Comines 7-23, 2,00, 4-45. Conti nes- Warnèlon 8 45, in 9-30 s. (le Lundi 6 30,) -» Warnêton-Comities 5-30, 11 -10, (le Gourlrai -&Bruqes, 8-05,11-00, 12-33, 4-40, (Ingel.) 6-53. 9-00 s. (Lichterv.) Bruges-Courlrai, 8-23, 12-45, 3-03, 6-42. Bruges, Blanken»), Heysl, (Station) 7-23, 11 08,2-30, 7-35. (bassin) 7-31, 11-14,2-56, 7.41, - lleysl, Blankenh, L.nges, ngeinrfunster Dey^e-Ganrf, 5-00, 9-41, 2-15. Ingelmunster-Deyure, 6-10 7-15. Gand Dryiac-Ingelmunsler, 6-58, I 1-20, ^4-41, 7-21. Deynze-Ingehnunster, 1-00. ncelmunster-Ansea/tem, 6-03, 12-55, 0-13. Xn^hcM-hifjehnanster, 7-42, 2-20 7-43 Lichtervelde-Dtxmnde-Furries et Dunkerke6 30, 9-08, 1-33, 8-00. ftuukerke-Vurnes-üixiifu.le et Lu-.hUrvehU. 6-3!., il 10, 3-40, 5-00. Dixmude-JVteuporf,9-50,2-20,8-45. Nieup-öttrwi, 7-30,12 00,4-20. Thourout-Östende, 4-50, 9-13, 1-30, 8-05. - Ostepde-Thourout, 7-53, 1.0-10, 12 23, 0-15. 30 (porie' tl' Vu Vérs) 8-30, 12 40. 7 43. Teriieuzen O ami, 6 00, 10-30, ito. Selz.iete-/yoAvtmt, 9 04, 1-30, 8 30. (le Morcr. 3 in nu LnkUfieiSö/Z'i'Itö, 6 09', 10-25, 4 45. (Ie Mardi, 9,30.) OOaHBSPONDAWOE: CUURTKAI, BKUXKLLHS. BUUTEUBS, COUHTRAI. Ctui Iti'tii dép. Brujelles arr. 6,37 8,30 1(1,38 1,35 12.33 2.23 3.42 6,10 tl,S3. 8,54 iirtixellus Courlrai dép arr. 5.22 8,00 8,28 10,46 12,21 2,44 5,35. 7,56 6,47. 3,44. coubthai, TOURNA11.11.LS. Court ra i llé'p. Tournai ah'. Lille ti ,37 7,28 7,38 10,50 I 1,47 12,08 2,34 3,48 4,00 3,31 8;47. 6,39 9,41. 0,33 10,00. linie dép. Tournai Courlrai arr. Lille, Toijrnai, coubtrai. 3,13 8,22 j r,p.3 2,22 4,43 5,42 8,56 I 1,29 2,40 5',39 6,34 9.47 12,26 3,88.6)33 COUHTRAI, OANI). (JANO, COURTRAi. Court hij dép. Gaud arr. 642 8,01 9,49 11,03 12,51 1,31 3,44 3JH li,io. 7,36.- Gand dél Court ra i ar 5,13 6.57 9,38 10,50 I 23 2,54 4,24 3,34 7,2t 8,47 BHU0RS('.AND, BRUXULLKS. URU-XBLLkSOANI), BItUGBS. Binges d. 6,49ex. 7,04 9 39 12.31, 2-52 ex. 6,43 Gand a 7.34 8,19 10,54 f,49 4.i'.7, 7, is 9,31. Bruxelles 8,30 10,53 12,39 4 00,7.li, 9 31. C»,40. UiMxelle7,2» 8,li 11,06 1.33 3,02 ex 4,59 ex. Gtul ar/'. 6,OU 8,3.3 9,41 1.23 3,39 4,11 6,29 Bruges 7.15 9.2 (10,34 2,33 -r- 5,01 7,22 3.53 7,17 8,38 "2iay7r-'nv?fflr PAR LA MISÉRlCORIlE DE DIEU ET LA GRACE IUj SAINT-S1ÉGE APOSTOLIQUE. PRÉLAT DOMEST1QUE DE S. S. PIE IX ET ÉVÊQUE ASSISTANT AU TR0NE PONTIFICAL, 7 c5 ÉVÉQÜE DE R ItL'GES.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1