ÉTRFJNES - OFFRANDES
a. s. s. fii: ix,
p.GA IV £-
Samedi 10 Mars 1877
\T année
Le Journal parait le Mercredi et le Samedi. Les insertions coulent 15 centimes la ligne. Les réclames et annoncesjudiciaires se paient 30 centimes ia ligne. On traite a forfait pour les insertions par année.
(Jn numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes. Les numéros supplémentaires cormnandés pour articles, Réclames ou Annonces, coülent 10 fr. les 100 exemplaires.
CHEMISTS B» E F E BS. 1 Décembre.
POUR LE 50,nc ANNNIVERSAIRE DE SON
ÉPISCOPAT.
Fiste supplementaire.
LES FUTURS PERSÉCUTEURS.
Le parti libéral jette de plus en plus le
masque dont jusqu'en ces derniers temps,
il aimait a s'affubler. Le travail soulerain qui
s'accomplissait dans son sein se révèle au
grand jour et les résultals s'en affirment
avec une brutalité croissante.
La Constitution, ce lit de Procuste ou Pon
prétend enchainer le catholicisme et l'Eglise
et que certains catholiques croienl pouvoir
vicloi'ieusement opposer au débordement de
rage anti-religieuse auqtiel nous assistons,
est vraiment une digue bien cbancelante. On
y avait déja pratique de larges brèches, elle
avail livré passage a bien des oppressions,
mais voici que ce léger obstacle lui méme
gêne encore nos enuemis. lis répudient
sans détour cette pauvre duperie de 1830
qui leur semble représenter encore une om
bre de conscience, un reste de justice.
C'est la Flandre libérale qui le declare
ouvertement: La Constitution belgeest un
impasse, il faut la changer, ou du moins
l'appliquer dans un sens libéral. Ce jour
nal se pose comme le monileur officiel de
l'armée des loges depuis quelques jours il
commente avee une audace inouïe le fameux
point d'inlerrogalion de son inspirateur
Vainqueurs que ferons-nous
Ou avait déja répondu quand on a déclaré
que la Prusse el la Suisse nous offraient des
exemples bons a imiter. L'organe de la
trïbu-Laurent trouve celte formule encore
trop vague, el surtout Irop timide. II faut
aller plus loin que Bismark«il faut en-
lever a l'Eglise la liberie, supprimer le
budget des cultes, les convents, les écoles
catholiques, aller plus loin méme que les
radicaux it-aliens qui se sont contenlés de
confisquer la liberté de la religion, mesiire
insuffisanle aux yeux de la Flandre li
bérale. il faut exiler les prèlres, leur enlever
le droit de vivre La liberté, declare
t-elle, est un masque pour tromper les
niais
Telles sont les aspirations actuelles du
libéralisme. Escomplant le H juin 1878
comme il avait escompté le 13 juin 1876, il
se démasqué dans des réves de victoire. El
si la victoire lui échappe encore, ou si elle
est trop incompléte pour lui permettre de
tenter les réformes qu'il préconise, alors
il sera temps de songer au jeu terrible des
révolulions.
Dans l'impossibililé de tout citer, nous
devons nous borner a quelques courts ex-
traits de ce manifeste du libéralisme.
Samedi la Flandre écrit Les prètres
sont les ennemis de la liberté et de l'in-
dépendance nalionales: leur patrie est au
Vatican. On /intrafespèrepar les y
envoyer.
Plus loin, parlant des blasphemes de la
Chambre de Monte-Gitorio et des scandales
de la discussion de la loi Mancini conlro la
liberté du clergé, elle dit
L'extrème gauche, et a sa tète Petruc-
cellidemande ime loi organique del'E-
glise; elle va plus lom que Bismark sa
politique est celle des Suisses: abolition de
loule hiéracliie cal/iolique éleclion des
minislres du culte par les communesplus
de papautê. Celte haine vigoureuse de
l'Eglise de Romene se trouve qu'en Italië,
et elle se comprend.
Et immédi3tement après vient cette phrase
incroyable Les progressisles aiment la
liberté avec passion.
Prenons maintenant le numéro de diman-
che. Nous y bsons
«II y a dans notre parti des hommes, et
ce sont les plus énergiques, qui onl une
haine a mort pour la domination du clergé.
Quand ils voient que nos victoires électo-
rales n'aboutissent qu'a appeier au pouvoir
des hommes qui cruignent lout el qui n'onl
pas d'autre crainte quand ensuite ces
triomphes sont suivis d'améres défailes,
ils désespérent. Mais qu'on ne se trompe
pas Ce n'est pas le desespoir de l'apalhie!
C'est le désespoir de la révolte. On parait
ne pas s'en douter dans les hautes régions,
il estcependant bon qu'on lesache.»
Plus loin la Flandre met dans la bouche
de ses amis, soulignées d'une approbation
énergique, les lignes que voici
La constitution beige est une impasse.
»'H faut la changer. Les catholiques, aidés
de quelques liberaux aveugles,ont désarmé
l'Elal, en face d'une Eglise qui domine
sur les ames, et ils out donné a celle Eglise
sous le nom de liberté, la toute puissance.
La souveramelé du peuple est une cruelle
déceplion; le moindre vicaire de village a
plus de pouvoir que le roi des Beiges. II
faut enlever d Eglise la prétendue liberté
qui n'est que l'usurpation de la souverai-
nelé nationale. Plus de cmte salarié, plus
de couventsplus de moinesc'est la ver -
mine qui ronge la Belgique. Plus d'écoles
ou l'on crélmise l'enfance et la jeunesse.
L'Eiat désarmé par la Constitution doit re-
prendre son mdépendance, et èlre l'organe
du peuple; la liberté de l'Eglisec'est-a-
due son usurpation doit faire placed des
lois qui punissenl les usurpateurs
El encore
Nous disons a nos amis Imilez les libé-
raux ilaliens. En Italië, Ie haut clergé
attaque ouvertement ou sournoisement
l'indépendaace méme du jeune royaume,
la lulle y est done une lulte a mort. Ce-
pendant les libéraux ne songent pas a ren-
verser la Constitution.Que font - ils? Ils I'm -
terprélent et l'appliquent dans un sens
libéral. La Constilulion italienne porie que
la religion catholique est la religion de
l'Etat. Interprétée et appliquée dans lesens
ullramonlain, cette maxime suffirait pour
constiluer la théocralie, tandis que, en
Italië, on l'interprèle et on l'applique dans
le sens du libéralisme et on fail des lois
conlre les empiétements el les abus du
clergé catholique.
Pourquoi ne ferait-on pas de méme en
Belgique? Qu'on ne nous dise pasc'est
inutile, la Constitution est une impasse.
Nous répondrons a ceux qui nousoppose-
raient celte fin de non-recevoir Qu'en
savez-vous? A-t-on jamais essayé de faire
des lois dans le sens libéral sur les abus
des minislres du culte La Constitution s'y
oppose. Oui, la Constilulion telle que les
catholiques Tenlendent. Mais a-ton jamais
essayé de l'interprèter autremenl Un
exemple enlre mille. La Constitution con-
sacre la liberté d'assoclation. Les moines
de toutes les couleurs en onl profilé pour
dépouiller les families et reconslituer avec
ces dépouilles la main-morte avectous ses
abus, sans une ombre de garantie pas
méme pour la liberté individuelle. Voila
bientól cinquante ans que Ton souffre ces
abus, qui constituent une violation de la
loi et de la Constitution. Qui empèche un
ministère vraiment libéral de réprimer ces
excés Ce n'est certes pas la Constitution,
puisque la Constitution est violée par les
moines. Quand le moment sera venu, nous
dirons ce que l'on peut faire et ce que Ton
n'a pas fait par suite de celte admirable
politique qui par prudence ne fait rien et
qui aboutirait a l'immutabilité de la mort.
En tout cas, il faut tenter les réformes,
avant de songer au jeu terrible des révo-
lutions.
Dans un autre article du méme numéro,
le journal-Laurent appelle de lous ses vceux
une loi réprimantla vénération des reliques
des saints.
Enfin dans le numéro de lundi, loujours
des blasphémes de Monle-Cilorio, la Flandre
déclare trop douce et insufïisante la loi Man
cini et elle ajoute
Comment pénélrer dans leconfessionnal,
alors que le penitent garde le silence Ici
la répression est impuissante. II faut une
action preventive. Est-elle possible? En
théorie certes. D'aprés notre Constitution,
elle est impossible, eten Italië aussi, la loi
des garanties a abandonné le placetYexe-
quatur, I'appel comme diabus, ces vieilles
armes forgées par nos pères contre les
abus ecclésiastiques. Elles sont insuffisan-
les, il est vrai; mais vaut-il mieux être en-
liéremenl désarmé
On le voit: nos gueux poussent directe-
ment au renversement de la Constitution, la
grande duperie de 1830.
Hier la Flandre posail la question que
doivent faire les libéraux? Elle répond
Faire une guerre acharnée au monslre qui
nous menace de renouveler toutes les hor-
reurs des siècles de foi.
Toutes ces diatribes enragées ont cela de
bon qu'elles fmissent pour ouvrir les yeux
a beaucoup d'indifférents ou de tièdes. Elles
nous avertissentde nous tenirsur nos gardes.
S'il est vrai qu'un hom me prévenu en vaut
deux, il n'est pas moms vrai qu'une foi me-
nacée en vaut qualre.
C'est dans notre foi qu'est le secret de
notre force. Nos adversaires le savent bien.
Aussi est-ce de ce cóté qu'ils dirigent l'atta-
que. II n'est que trop clair que c'est comme
gardiens de notre foi que les prèlres sont
honorés de ce débordement de haine. Le
prètre est la sentinelle qui nous garde, et
c'est a ce litre qu'il est le point de mire de
l'ennemi.
C'est surtout pour le frapper que le libéra
lisme veut gouverner a tout prix. Autrement,
il serail de son avantage de laisser le parti
catholique s'user au frottemenl dn pouvoir,
car les partis usés ne se renouvellent guèrc.
Mais aujourd'hui que nos adversaires eux-
mèmes nousdévoilent leur plan de campagne
il est du devoir des catholiques de relever le
gant. On nous promei pis que IeKulturkampf
pis que le machiavélisme des Mancini et des
Nicotera, on nous promet 93 dans toute la
brutalité oü font connu nos pères. On nous
prédit que les misérables du parti ullra
monlain seronl noyés dans un bain de sang.»
Les illusions ne sont done plus possibles:
le but est hautemenl proclamé. On veut nous
ramener a 89 el a la Constitution civile du
clergé de la a Robespierre il n'y a pas loin.
Les catholiques ne l'oublieront pas.
(Bien public.).
LES CRIS DE GUERRE.
Le mot d'ordre, le cri de guerre a compté
de tout temps parmi les grandes ressources
du libéralisme maconnique.
Autrefois on criait: Le prètre hors de
l'école! C'était relentissant, et la foulc
suivait; mais comme moyen d'entrainement
la formule a vieilli. II fallait songer a autre
chose. On connaissait bien le brutal conseil
de mettre tout simplement le prètre au ban
de la sociélé; on se souvenait que la Libre-
pensée avait dil dans son rapportII ne
doit pas y avoir de place pour Ie prètre
dans la vie humaine, puisqu'il ne répond
a aucun besoin et qu'il ne saurait jamais
être qu'un ennemi irréconciliable de I'in-
dépendance humaine. Seulement, la
prudence commandait des ménagements, et
voici qu'un des rhéleurs propose de mettre
le prêlre hors de l'ordre politique sans plus
de facon, et en réalité hors du droit commun
L'invention est due a M. Le Hardy de
Beaulieu; elle vient d'éclore dans la Revue
de Belgiqueoü les avancés déposent de
temps en temps ces pelites aspirations doot
l'heure n'est pas encore venue. II est done
urgent, c'est la conclusion de son article,
de proclamer fermement l'incompatibilité
enlre les fonctions des minislres des cultes
et l'électorat, ainsi qu'avec les fonctions
publiques a tous les degrés.
Mais c'est la violation flagrante de Particle
de la Constitution qui garantit l'égalitédes
Beiges devanl la loi! De quel droit préten-
drez-vous interdire l'exercice des préroga-
tives civi'ques a celui qui en possède les con
ditions? Les publicistes de celte écolo ne sont
pas embarrassés pour si peu. Vous entendrez
M. Le Hardy, payant d'audace, placer sa
proscription sous le patronage de la Consti
lulion méme et soutenir, dans une lettre au
Journal de Bruxellesque Ie prètre qui se
souslrait, dit-il, aux charges de l'Etat,
doit èlre déclaré incapable d'exercer les
droits des ciloyens. Pauvre sophisle, qui
transforme en privilége et en cause d'indi-
gnité, des exemptions que la loi a décrétées
précisément dans un intérêt social, et qui ne
s'apercoit pas qu'il est absurde de condam-
ner, quand il s'agit de la religion, ce qu'on
reconnail legitime et nécessaire dans tous les
ordres et a lous les degrés de la hiërarchie.
Au fond, la logique el la justice n'ont rien
a démèler avec ce genre de politique. C'est
tout simplement l'hostilité moins la franchi
se. Le procédé n'en est que plus libéral pour
cela; on le reconnait a ses traits de familie:
la haine, la violence et Ia peur.
Le libéralisme n'eut jamais l'amour sin-
cère de la liberté. lila craint et la déteste
dans les mains d'autrui, la confisque a son
profit quand il peut, el penche nécessaire-
inent vers le despotisme, comme les corps
obéissenl aux lois de la gravitation. Qu'on
le dise, Tobligatoire n'est-il pas son idéal
partout et loujours? N'esl-ce pas grace a lui
que nos institutions les moins susceptibles de
subir Taction de cel élément s'en trouvent
pour ainsi dire imprégnées?
II ne faut done point s'élonner ni du ter
rain que le dépulé deNivellesa choisi, ni
du moyen qu'il préconise. Le vote est une
artne puissante, mais qui veut èlre maniée
par des mains libres el doit rester au service
du droit. Or la secte peut-elle jamais oublier
que l'Eglise la condamne, la démasqué, la
combat sans relache? Laissera-t-elle une in
fluence, si legitime qu'elle soit, a ces minis
lres de l'Eglise qui sont vraiment capables
d'user de leur droit pour Taccomplissement
de leur devoir? Et ne sera-t-il pas bien plus
libéral d'entrer généreusement en lutle aprcs
avoir, autant qu'on Laura pu, désarmé un
adversaire redouté?
Poperinglie-Ypres, 5-15,7-00,9-28,11 -00,2-1 ,r>-0b9-20. - Ypres-Poperinglie, 6-30,9-07,12-07,3-57,6-80,8-48,9-80. Po-
peringhe-Ilazebrouck, 6 S3, 12-25,7-10. Hazëbrouck-Poperinghe-Ypres, 8-25, 4-10, 8-2S.
Ypres-Roulers, 7-50, 12-25, 6-48. Ron Iers-Ypres, 9-25, 1-50, 7-80.
Kouiers-Bruges, 8-45, 11-34, 1-13,5,16,7-36, (9-55. Lichterv.) Licliterv.-Thourout, 4-25 m. versOstende. Bruges-rtoa-
j»rs 8-25, 12-45, 5-05, 6-42. Lichierv.-Cowrlrai, 5-25 m.
Ypres-Courtrai 5-34, 9-46, 11-20, 2-35, 8-25, Courtrai-Ypres, 8-08, 11-05, 2-56, 5-40, 8-49.
Ypres-Thourout, 7-18, 12 06, 6-20, (le Samedi a 5-50 du maiin jusqu'a Langhemarck). Thourout- Ypres, 9-00, 1-25, 7-45,
(le Samedi a 6-20 du matin de Langbemarck a Ypres).
Comines-Warnêton-Le Touquet-Houplines-.drwentiéres, 6-00, 12-00, 3-35, Armentieres-Houplines^Le louquet-Warnelon-
Comines 7-25, 2,00, 4-45. Comines- Warnêlon 8-45, m. 9-30s. (le Lundi 6 30,) Warnêlon-Comities 5-30, 11-10, (le
Courtrai-Brui», 8-05, 11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6-55. 9-00 s. (Lichterv.) - Bruges-Ctmrlrai, 8-25, 12-45, 8-05, 6-42.
Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-25, 11 -08, 2-50, 7-35.-(bassin) 7-31, 11-14,2-56, 7.41, - Heyst, Blankenb, Bruges,
5-4-S 8 25 11-25 5-30.
Ingelmuns'ier-Deynze-Gawd, 5-00, 9-412-15. Ingelmunster-Deyreze, 6-10 7-15. Gand-Deynze-Ingelmunster6-58, 11-20,
4-41 7-21. Deynz e-Ingelmunster, 1-00.
Ingelmüiwter-AnsejAem, 6-05, 12-55,6-13. knsegbem-Ingelmunstgr, 7-42, 2-20,7-45 s- u,
Licbtervelde-Dixrriode-Furnes et Dunkerke6 30, 9-08, 1-35, 8 00. D««/ter/re-Furnes-Dixmude et LichteHel.de, 6-35, 11-10,
Dixnïïdeb-ivLporL9-50,2-20,8-45.—Nieup-öm»-.7-30,12 00,4-20
Thourout-Ostende, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. - Osiend e-lhouroul, 7-55, 10-10, 12 25, 6-15.
Selzaete-jEectoo, 9-05, 1-25, 8-25. Eecloo-5eted'ete,5-35, 10-15.4-22.
(j and-Terne u zen, (station) 8-17, 12-25, 7,30. (porto d'Anvers) 8-30, 12-40. 7-45. Terneuzen-Ga»d, 6-00, 10-30, 440.
Selzaete-Lokeren, 9-04, 1-30, 8-30. (le Merer. 5-10 in.) Lokeren-Selzaete, 6 00, 10-26, 4 45. (Ie Mardi, 9,30.)
C O R R EaPOWD AWCE9.
COURTBAI, BRUXELLES. BRUXELLES, COURTRAI.
Courtrai dép. 6,37 10,53 12,33 3,42 6,35. I Bruxelles dép. 5,22 8,28 12,21 5,35 6,47.
Bruxelles arr. 8,50 1,35 2,25 6,10 8,54 Courtrai arr. 8,00 10,46 2,44 7,56 8,44.
COURTRAi, TOURNA), L1LLE.
Courtrai dép. 6,37 10,56 2,54 5,34 8,47.
Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 6,39 9,41.
Lille 7,38 12,08 4,00 6,35 10,00.
LILLE, TOURNAI, COURTRAI.
Lille dép. 5,15 8,22 11,05 2,22 4,45
Tournai 3,42 8,56 11,29 2,40 5,39
Courtrai arr. 6,34 9.47 12,26 3,38 6,33
COURTRAI, GAND. GAND, COURTRAI.
Courtrai dép. 0,42 9,49 12,31 3,44 6,40. I Gand dép. 5,13 9,38 1 28 4,24 7,21.
Gand arr. 8,01 11,08 1,31 5,04 7,36. Courtrai arr. 6,37 10,56 2,54 3,34 8,47
BRUGES, GAND, BRUXELLES.
Bruges d. 6,49ex.7,04 9,39 12,34, 2-52,ex. 6,43.
Gand a. 7,34 8,19 10,34 1,49 4,07, 7,38. 9,31.
I Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4-00,7,13, 9-3110,40.
BRUXELLES, GAND, BRUGES.
Bruxelles dép. 7,20 8,14 11,06 1,3.5 3,02 ex. 4,39 ex. 5.33
Gand arr. 6,00 8,38 9,41 1.23 3,59 4,11 6,29 7,17
Bruges 7,13 9,28 10,34 2,38 - 3,01 7,22 8,38
Montant des lisies précédentes, 12,029—34
PAROISSE DE ST-MART1N (YPRES).
Derolez-Casier00
PAROISSE DE ST-P1ERRE (YPRES).
Pour obtenir la bénédiction du St-Père
pour ma familie 3 00
PAROISSE DE ST-JACQUES (YPRES).
La familie N. D. B. 10 00
Une servante demande la bénédiction
du St-Père1 00
PAROISSE DE ST-NICOLAS (YPRES).
Anonyme1 00
Z0NNEBEKE.
M. le Curélo 00
M. le Yicaire 5 00
Quelques paroissiens 27 00
GHELUVELT.
M. le Curé20 00
Deux anonymes2 00
PLOEGSTEERT.
Anonyme3 00
BOESINGHE.
Trois anonymes15 00
PAROISSE DE ST-BERTIN (POPERINGHE).
M. Achille Van Renynghe et sa familie20 00
WOKSTEN.
Anonyme2 00
WERVICQ.
Auonyme10 00
TOTAL FR. 12,170 34
N. B. Une erreur s'est glissée dans la neuviè-
me liste: au lieu de Woesten. Le Curé et
quelques paroissiene 10,00, lisez: le Curé et
quelques paroissiens, 50 francs.