a w e w MATERIALEN VENDITIE V gi- H w Ik z: o "n o rn zn ATTENTION |a veille d une electionVoila quelle lumière répandent el comment reslreignenl Cigno- rance les liideux iarlufes de i'enseignemeni lion sectuire! ILSY ÉTA1ENT!.. Le Progrès a bien peur qu'on ne le croie pas sur parole! II nous donne, avec un luxe de détails qui souligne celte legitime appre hension, Ie montant de la recette prétendue- inent encaissée par les brillants cavalcadeurs de la Mi-Carème. Le ehiiïre accuse se rap- proche de celui que nous avons rapporté sur on dit: Ir. 901-40. On a beau nous détail- Ier I'addition, nous n'ajoulerons pas plus une foi aveugle au détail qu'au total. Possi ble, car I'inlimidation et la surprise jouenl un grand röle dans Ie succès de ce genre de collecte, maïs c'est a voir. Mais un point nous tarabuste singulière- ment dans Ie décomple que présente le Pro- grès. Nous avons, nous dit-il, recu lanl en or, (très-peu d'or), tanl en argent (de celui- la on en connail la mine), taut en nickel, lanl en cuivre, 437b pieces de 2 cent*, 2b0 pieces de 1 cent., il énumére enfin touies les monnaies ayant cours. Mais quelque chose dinnommè, que Ie Progrès dissimule ehas- temenl sous ce déterminatif vague: appoint, lerinine Ténumération. Quel peul bien être cel appoint, qui n'esl ni du nickel, ni du cuivre, el que pourrail- on avoir déposé dans le sac du Denier de fenseignemenl non seclaire, que Ie Progrès évalue modestement a 40 centimes?... Mysiére et boutons de culolle!lis y élaienl, nous l'aurions parié! ENCORE UNE 1NFAMIE. Nous ne voulons pas relever la manière odieuse dont le Progrès fait mention de la promotion et du changement de résidcnce d'un respectable ecclésiastique, que lout le monde aimait et honorail dans celte ville. II y a tels délritus qu'on ne ramasse pas a moins d'être né vidangeur. Celui qui, pen dant quinze ans, a dépensé ici son dévoue- ment sans compter, est parti pour porter ailleurs les exemples d'une vie faile d'apos- lolat, d'abnégation et de sacrifice; il est par ti suivi des regrets des honnèles gens: il se soucie peu desaulres, et il ne voudrail pas qu'on le vengeal!... Mais si le Progrès tient a mesurer l'énormilé de l'infamie qu'il édite, infamie qui n'a d'égale que l'insanilé de ses prétendues informations, il n'a pas loin a aller. Bien prés de lui, parmi ceux qui aboienl aujourd'hui a sa suite a la soutane, il trouverail des gens qui pourraient lui con- fesser a l'oreille, dans l'expansion du téte-a- tète, cequ'ils doivent de reconnaissance a ce prélre, qui a cruellement el innocemment souffert, el dont on voudrail lachement ra- viver les blessures. arreslation de l'institutrice laïgue, que le Coriseil radical avail choisie a la place des Petiles Sceurs. Allons, Progrès, narrez doric cela a voire clientèle allriandée de scandales gras! Parmi les ordures que le Progrès ramasse dans sa hotte anti-sacerdotale, nous avons entrevu celle-ci, empruntée a un pamphlet brugeois: Une bonne histoire nous arrive de la province. Procés-verbal au rail été dressé au curé d'une commune de l'arrondissement de X... pour avoir été trouvé a 1 heure du matin, fèlant Bacchus et Gambrinus dans un caba ret, en compagnie de joyeux vivants el pro/i- pudor! de personnes du sexe faible. Priére a 1 'Echo de Bruges de chercher bien vile un article de loi qui dispense les onus du Seigneur de respecter les règlements sur la fermeture des débits de boissons. L'Echo de Bruges, ainsi vaillamment in- lerpellé, pric: I' Avenir des Flandrcs d'avoir on peu plus de courage dans l'accusalion, et de lui donner Cadresse de ses scribes el le nom de Caccuse. Sous celte condition il s'en- gage a faire droit a la demande. Comine l'a- vail prévu 1 'Echo, le courageux Avenir s'est bien gardé de préciser sa dénonciation. Notre Progrès ne pourrait-il pas le faire a sa place, lui qui est si empressé a collecler pour son fumier? BEAUTES DE L'ENSEIGNEMENT NON SECTAIRE. Lesjournaux libéraux, si affamés de scan dales se produisanl en dehors de leurs amis, el spécialement le Progrès dans ses acta sanctorumn'oul pas dit un mot d'une série de fails odieux, qui se sont passés aux portes de Paris, a Surcines, et qui ont molivé Nous nous empressons de reproduire in extenso, d'aprés lesAnnales parlementaires, deux importants discours prononcés a la séance du lb Mars a la Chambre, par nos représentants MM. Slruyc et Berten, dans la discussion du budget des travaux publics: M. STRUYE. Messieurs, parmi les arron- dissements qui out le plus de droits a faire va- loir sur le budget dos travaux publics, l'arron dissement d'Ypres doit incontestablement être rangé sur la première ligne. Sa situation excep- tionnelle au point de vue des recettes et des dépenses faites par l'Etatla part longtemps trop large qu'il a, comme toute notre Flandre, payée dans l'impot foncier; son exclusion perma nente de toutes les grandes faveurs budgétaires qui ont donnó aux autres parties du pays des moyens de communication et de transport en rapport avec les besoins du commerce et de l'in- dustrie; en un mot, une situation aussi imméritée en droit que dommageable en fait nous commande d'élever a toute occasion la voix, pour que le gouvernement nous basse au plutot justice. Ce n'est ni l'esprit, m l'activité des habitants, ni l'abondance des capitanx, ni la richesse du sol ni l'excellence de ses produits qui nous font défaut. Bien au contraire; a voir la prospérité toujours croissante de nos communes rurales, le dévelop- pement de nos bourgs et de nos villages, leur heureuse initiative pour couvrir l'arrondisse ment entier d'un róseau serré de routes pavées ou empierrées, il est évident que c'est la défec- tuositó de nos services de transport et l'ólévation excessive des taril's de nos chemins de fer qui empêchent notre commerce et notre industrie de prendre des développements beaucoup plus con- sidérables. Cette défectuosité et cette élévation exception- nelles sont d'autant plus graves que, par position topographique, nous nous trouvons plus éloignés des grands centres d'affaires et aussi des bassins liouillers, qui doivent fournir, pour ainsi dire, le pain quotidien de l'industrie. En raison de cette position, nous avons besoin, pour concourir utilement sur le terrain com mercial et industriel, de tarifs les moins élevés possible et des communications les plus faciles et les plus rapides; et c'est précisément a un régime absolument contraire que nous sommes indéflpi- ment assujettis Pour ne citer qu'un seul exemple, les charbons de Mons ne sont livrés dans nos gares qu'avec une surtaxe dépassant de plus de 25 p. c. le prix de transport par chemin de fer de l'Etat. Comment des établissements industriels, tous grands consommateurs de charbon, pourraient- ils soutenir la concurrence, en étant non-seule- ment sur cet article do plus d'un quart en perte, mais subissant, soit i\ l'importation soit a l'ex- portation, des pertes k peu prés égales sur tous leurs autres transports De bonne foi, le pays entior ne doit-il pas re- connaitre que notre situation est intolérable et qu il y a obligation stricte pour le gouvernement de redresser, de facon ou d'autre, une criante inégalité qui, par son maintien prolongé, prend tous les caractères d'une revoltante injustice? Quoi qu il advienne done des propositions faites au gouvernement par les compagnies concessionnaires et des négociations actuelle- ment engagées en vue ile la reprise par l'Etat, d'autres tarifs doivent nous être assurés. Si, a cette fin, l'Etat doit faire des sacrifices, s'il doit exploiter nos lignes sans en devenir propriétaire eli bien, j en ai la conviction, la Chambre et le pays ratifieront des sacrifices exceptionnels pour róparer une injustice exceptiounelle aussi. C'est ce que je crois avoir surabondamment justifié dans mon rapport du 6 février sur les pétitions relatives au réseau des Flandres. Mais le service des chemins de fer, dans l'ar rondissement d'Ypres, est insuffisant pour nous faire occuper la position industrielle et commer cial a laquelle nous avons droit de prétendre. Dés 1861, le gouvernement décréta d'utilité pu- blique le canal de jonction de la Lys a l'Yperlée. En janvier 18G3, la concession fut accordóe et les travaux devaient être achevés en 1867. Le gouvernement s'engagea dans l'entreprise pour un subside do 2,800,000 francs, contre déli- vrance d'actions non privilégiées, a valoir seule- ment après que les intéréts et l'amortissement des 3,200,000 francs fournis par la société eussent été servis. Dix ans se sont passés depuis l'époque déterminée pour la mise en exploitation du canal et rien n'est en état. Depuis des années, le gouvernement a versé k cette fin 2,600,000 francs. En 1873, les travaux étaient déclarés achevés a 800,000 francs prés, et aujourd'hui2 millions environ sont déclarés nécessaires pour réparer les ruines que le temps a faites et pour arriver la oü 800,000 francs, il y a quatre ans, pouvaient nous mener.... Le gouvernement laissera-t-il indéfiniment s'aggraver cette situation Le gouvernement y perd, depuis des années, 130,000 francs d'intérêt par an; les actionnaires privilégiés y perdent au moins autant; une partie considérable et féconde du sol national reste stérilisée sur tout le tracé du canal et les capi- taux y engagés s'anéantissent cliaque jour avec une rapiditó désastrcuse. Cette situation si anormale, si préjudiciable k tous les intéréts, ne peut durer plus longtemps. Le commerce, l'industrie, l'agrieulture des ar- rondissements d'Ypres, de Dixmude, de Furnes réclament a outrance le service de ce canal. lis en ont un impérieux besoin pour l'importation de la houille, du fer, des pierres de taille, de la chaux, des tourteaux, des cendres, de toutes sortes d'engrais, que les bateaux, comme des magasins flottants, amèneront, a bien plus bas prix que ne le pourra jamais le chemin de fer,— sur tous les points que traversent les canaux des trois arrondissements. Par l'achèvement du canal de Comines a Ypres qui mesure seulement 3 fj4 lieues, les houillères et les carrières du Hainaut seront, par voie d'eau rapprochées de 32 lieues pour Ypres et ses envi rons, de 17 lieues pour Dixmude et Furnes, de 15 lieux pour Nieuport, de 10 lieux pour Ostende. Actuellement, a la station d'Ypres, un waggon de 10,000 kilogrammes du bassin de Mons coüte 65 francs de transportpar le canal de jonction, le transport de 10,000 kilogrammes ne coüterait plus que 32 francs Et un industriel d'Ypres qui prend par an soi xante bateaux do charbon a Lens (France), verra abréger de 45 lieues de détour cet important transport Ainsi les centres producteurs du Hainaut et du nord de la France seront, par la voic la plus économique, mis en communication directe avec notre Flandre et avec les ports de Nieuport et d'Ostende. Pour charge de retour, le canal ser- vira de débouché aux produits si varies, si abon- dants et si recherchés de notre sol. Les arron dissements d'Ypres, de Dixmude et de Furnes cultivent 3,500 hectares de lin; on compte en moyenne 50 tonnes par hectare; il y a la 175,000 tonnes a transporter a la Lys, a des prix incom- parablement avantageux. Les immenses prairies du Furnes-Ambacht fournissent le foin a Lille, Roubaix, Tourcoing, Douai. Un seul de nos mar- chands de bois frète environ, 200 bateaux de sa- pins et de plancons provenant du Vrybosch, pour los houillères du Hainaut. Nulle part le sapin du Nord n'est a aussi bas prix qu'a Nieuport, a cause de l'exiguïté exceptionnelle des droits de quai, et il défaut d'autre charge de retour, les bateaux pourront aussi fournir le nord de la France de sable de mer pour la construction des routes. Je ne cite que les éléments principaux du transport. C'est done bien a tort, Messieurs, que l'on a compare le mouvement éventuel de not^e canal de jonction au mouvement restreint du canal de Bossuyt. Isoló, le canal de Bossuyt n'était appeló a pourvoir des produits pondóreux du Hainaut, de houille et de pierres de taille que la ville de Courtrai et les bords de la Lys, qui de leur coté n'ont guère de matières pondóreuses ou vo- lumineuses exporter daus le Haiuaut. C'est une navigation sans charge de retour par con séquent, a doubles frais. Pour notre canal de jonction, il en sera tout autrement. De plus, remarquez-le bien, Messieurs, si déja le canal Lys-Roulers est venu ajouter quelque chose au mouvement du canal de Bossuyt et a dégrevé le gouvernement d'une partie du mini mum d'intérêt, quancl notre canal de jonction sera achevé tous les canaux de la partie occiden tale de notre province amèneront au canal de Bossuyt un mouvement infiniment plus considé rable, et ainsi l'Etat, dans un avenir prochain, se verra complètement affranchi de la redevauce annuelle de 200,000 francs, qu'il payait sans pro- fit aucun aux concessionnaires du canal de Bos suyt. Pour toutes ces raisons, j'adjure le gouverne ment de ne pas laisser plus longtemps inachevé le canal Lys-Yperlée. Je n'ai pas a conseiller le gouvernement sur la voie a suivre pour arriver promptement au but. Je me permettrai cependant de faire observer que la compagnie concessionnaire a rencontré bien des cas de force majeure. Lui faire subir la déchéance dans toute sa rigueur et avec ses dernières consequences, me semblerait une me sure difficile a justifier. Une liquidation plus bienveillante et plus équitable.une reprise moins désastreuse pour les concessionnaires me semble recommandée par une longue suite de rencontres et d'accidents impróvus et inévitables. J'ose le dire, un moyen terme, a débattre entre parties, serait accepté et ratifié par l'opinion publique et, je n'en doutepas, aussi par la Chambre et par le Sénat. Une dernière observation. Une déelaration positivement favorable a l'a chèvement de notre canal de jonction me parait tout a fait en situation a l'lieure oü les négocia tions sont ouvertes pour la reprise de nos che mins de fer. Cette déelaration du gouvernement déterminerait plus exactement la valeur du marclié a intervenir, et les compagnies de nos chemins de fer auraieut a régler en conséquence leurs pretentions. Je finis, convaincu que le gouvernement ne voudra, en aucun cas, se soustraire a la repara tion d'une trop longue inégalité, j'allais dire in justice, dont notre Flandre et particulièrement l'arrondissement d'Ypres sont victimes, et qu'il avisera a nous mettre au plutot, par n'importe quels moyens, sur le pied parfait d'égalité avec le reste du pays quant a nos moyens de commu nication et de transport. Nous ne demandons pas plus; mais, en droit, nous ne pouvons exiger moins. Snit le discours de M. Berten, què nous mes obligé' faute de place. sommes obligés de remellre a Mercredi, SUCRI0EFJ MARKTEN. VEURNE, 7 Maart, fr. 00,00 tot 00,00. 14 Maart. li'. 19,50 tot 21,00 de 145 liters. BERGEN (Frankrijk). 5 Maart. fr. 13,15 12 Maart. fr. 13,15 per hectoliter. HCMMELMARKT. POPERINGHE, 9 Maart. fr. 95 a 100 de 50 kilogr. g I Sllill I M I IJ I I I I 1 co I I II I SS ff 5^ §2 g-X I I i i i i i a I I I I S I SM I I I g I II c 5 II i II l I §1111 1 I II I I oScq rt >5 I I io I oo I I I M '.I II I *111111 5 I I I I I I o S I I S1: I g I 05 I I m S •o s en E. 2 3 M O 3D O X O X er a S M - ps pa O oo 2! zn H AIOE-PHARIVIACIEW capable est de mandé pour Gand, Pharmacie rue des Champs, 46. Appointements élévés CONVOCATION. Le Conseil d'administration de la Compagnie du Canal de la Lys a l'Y perlée a l'honneur d'inviter MM. les actionnaires a se réunir en assemblée générale extraordinaire, LUND1 2 AVRIL prochain, a une heure de relevée, N° 15, rue Duquesnoy a Brux- elles. Ordre du jour Rapport sur la si tuation; Nomination d'administra- teurs et de commissaires; Mesures pour rachèvement du canal et sa reprise. VERKOOPING van BCOföEN EN SNOEISEL, te 3EOMNEBGHK Westlioeli. MAANDAG, 19 MAART 1877, om 2 uren namiddag, in den bosch den ZONKAART, bij de herberg den Koekuit. Door het ambt van den Notaris VANDERMEERSCH, te Ypre. VERKOOPING van El 14. EN SC O OMEN, PLANTSOENEN EN TAILLIE TE VOORMEZEELE. WOENSDAG, 21 MAART 1877, om 2 ure namiddag, in den bosch de VLOGE, langs de Kriekstraat. Door het ambt van den Notaris VAMDERMEERSCH, te Ypre. VENOTTIE «ti» luidere Voorwerpen TE YPER. DEN MAENDAG 2 APRIL 1877, ten 2 uren juist namiddag, in den cour van het huis geteekend nummer 12, Recollettestraet te Yper, (ingang door de achterpoort der Oude Ilout- marktstraet 11BIS), zal er ten verzoeke van sieur Désiré Demyttenaere, open- baerlyk verkocht worden Ecnc schoonc Klcerkas, eene al'ge- brokene Serre, vele Deuren en Vens sterramen, Banken, Bakken, Vitrinen- Eiken- en Iepen Ribben, Poutrcllcn en andere gezaegde stukken alsook eene hoeveelheid Brandhout, zachte Splete. Knippelbondels en Busschen, Verders 2000 meters Popelieren Planken. 1500 id. 2000 id. 500 id. 500 id. id. id. id. id. 3U 7-i id. id. id. id. En menigvuldige andere voorwer pen. Tyd van betaling mits borg, 10 voor kosten. Door 't ambt van den Deurwaerder Charles Costeiiohle, te Yper. OP 2 APRIL 1877 (2" PAASCIIDAG), om 2 ure namiddag, TE HOUTHULST, ONDER CLERCKEN, ten verzoeke van Mev. de Dre Cassiers, van 40 vummen Eiken Rodingsblokken, 17 Sparreblokken, 6000 Snoek-Ameloozen, 4000 Stop- en Hageperssen, 17 koopen Larixen voor timmer hout, 50 koopen gestekt Sparresnoei. De vergadering bij P. Meersman. Alles bij plakbrieven breeder ge meld. Betaalbaar bij IS. Me Groote, Greffier te Dixmude. CV BEBIAWDE des représenlanfs clans les villes et les campagnes pour des arlicles trés-ntiles qui ont oblenn la grande médaille a l'Exposilion de Philadelphie. Toute personne active, homme ou dame, pourra réaliser d'importants bénifices sans nuire en rien a ses occupations. S'adresser f° au D' de CAlliance a La Chaux-de-fonds (Suisse). AIT. avec timbre de 30 cent. (6572). ii SOCIÉTÉ DE LA CONCORDE. Programme des morceaux qui seront exécules par la inusi- que du corps des Sapeurs-Pompiers, le jeudi 22 Mars 1877 a 7 1/2heures du soir sous la direction de monsieur Wittebrood! Jeanne, Jeaniiette et Jeannelou. Pas redouble (Labory). La nation beige. Ouverture. (Benoit). Paul et Yirginie. Fanlaisie lc execution arr. par 51. Wittebrood!. (Massé). Marclie égyp- tienne. (Strauss.). Aïda, fragments du 2° acte 1° exéention arr. par monsieur Wittebrood!. (Verdi). Gambrinus, Valse (Métra.) CIIRONIQUE DES IIOÜBLONS. Anvers, 10 Mars. Demarche pour houblon reste par continuation plongé dans un trés-grand calme, et sous l'influence des avis de baisse des marches anglais et allemands. les cours sur notre place, ont aussi plus ou moins fortement reculé de valeur en affaires, nous avons seulement connu la veiite de 25 balles houblon d'Alost, au prix de 80 fr. par 50 kilos, qui reste eneore demandé en ce momentt-n houblon de Poperin- ghe village, nous nevovoiis tien a renseigner; on cote cette sortc 90 fr. par 50 kilos. Nous avons recu cette semaine 20 balles bouillons de Phila delphia Alost. 9 Mars. La position de notre marché est par continuation calme et sans affaires. Du 10. On a vendu au marché' de ce jour 10 sacs houblon de 90a98fr., par 50 kil. En culture il y a peu d'acheteurs a 90 fr. K Ti o ®Zor2» 3;e;OTHH L- Wr- o i* rt éoZs as cs O0^' 2 ST C t "ft is C O a: 7 5? o s»o Q_ 0 o =J cis - 2 3 3 n cd <"2 O O O n O 9. o o_ pr- 2. zr T O O -o CD O O co o i I T C O r* !S O fD ff o n o o KS hS CO 00 co co CO Ci o o 00 ND ND O 0 o, QC CO CC Cl OO O CX <1 cx CX O O* O KS O CX co ZX I CX hS> O I O CX n: p- p: Ci e— o O O co ND co I I I I ND Q5 ND p - R -c o ?r O I O O CO O <1 co O CÏQ to H OO O cT P5" I ND ND NS NO O I O O CO I 05 I CÏQ CD O O P P5 o o o P5 o. 9r zr. 7r. cx tr. cx O O O CO ND ND «j C R CX oc O O I -4 I O I Ci <1 2 CS O O O p- ND ND NS 'CO O C7. ND O O p. f O O o ND o o O O O CX O O prr <1 CX O o to ND o O O O O CX O O TT TT 7T 7T TT ND ND ND ND ND CO CX CX GO ND ND I ND ND CO 0 CX I CC O B r- OO CO g TT "Zl r~ ND CO w erj, 03' s, ND - m K M Z Uj co co w ND CX C5' CO ND ND OO O CJ CO O cr- o P- - CD >—3 Üf C~ OO O <1 I ND O I ND nd CX O CD [rrj S.X PT O NS C3 NS <1 CX CO cj O o C=5 CO O OO I O I NS P- CO CJQ NS -4 CX NS NS NS 00 ND -1 OC oc P m i; O ft G 53 =5 M G CD ft 53 s CS Cd Cd H "Cd -3 ft 3 •O m s Co 53 Sn' rm «k 55 C/3 CD co li ft 3D G CD O 3 m O oö SJ M, C3 53 m 2! 95 3 i— O- m ft 2! H Cfi ft V. ft -ft SO Na 0 01 53 PI ai i VAN (ZYNDE 2en PAESCHDAG),

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 3