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Mercredi 21 Mars 1877
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12e annee.
N° 1,171.
NOTRE TltÈS-SAINT M LE PAPB PIE K,
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Le Journal parait le Mercredi et le Samedi. Les insertions coutent IS centimes la ligne. Les réclames el annonces judiniair.es se paient 30 centimes la ligne. On traite a forfait pour les insertions par année.
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C H JE M I N S B> E ®r J? ES. 1 Décembre.
ALLOCUTION
le 12 mars 1877,
DANS LE PALAIS DU VATICAN.
Vénérables Frères,
Plusieurs fois déja, pendant les tristes
temps de Notre pontifical si agité, Nous
avons convoqué dans ce palais voire ordre
trés-illuslre pour déplorer devant vous les
grands maux donl l'Église est injustement
affligée, et pour vous faire entendre Nos pro
testations contre les acles accomplis au détri
ment de l'Église et du Siége Apostolique, soit
en Italië, soit en d'autres pays. Dans ces der-
niéres années, loulefois, Nous avons dü êlre
lémoins de nouvelles el toujours plus violen-
tes attaques, et des injures que l'Eg'ise de
Dieu a dü subir dans difïérentes parties du
monde calholique, de la part d'ennemis
acharnés qui onl regardé comme une occa
sion fort opportune d'assaillir l'Église de
Jésus-ChristNotre trisle situation et eet
abandon dans lequel Nous Nous trouvons,
privés que nous sommes de tout secours
humain. Nous aurions done, en vérilé, sou-
hailé aujourd'huiVénérables Fréres, de
soumeltre a voire sagesse et a vos reflexions
cette cruelle et si vaste perséculion qui sévit
contre l'Église dans plusieurs contrées de
l'Europe; mais quoique ce soitNotre intention
de vous présenter dans un autre temps cette
douloureuse peinture, Nous ne pouvons pas
faire moins, en attendant, que de vous rap-
peler les soufïrances et les vexations de plus
en plus dures auxquelles l'Église est en butte
dans cette Italië et tie vous faire connaitre
les périls, tous les jours plus grands, dont
Nous nous voyons menacés, Nous et ce saint
Siége. C'est déja la septiéme année qui s'é-
coule depuis que les envahisseurs de Notre
principaulé civile, foulant aux pieds tout
droit divin et humain, violant la foi de pac-
tes solennels et profilanl des malheurs d'une
illustre nation calholique, occupérent par la
violence et par les armes les provinces qui
étaient encore en Notre pouvoir, s'emparè-
rent de cette cité sainle, et, par cette oeuvre
d'une si grande iniquité, remplirenl de deuil
et de douleur l'Église tout entière. Les fein-
les et peu loyales promesses que, dans ces
jours funestes, ils firent aux gouvernemenls
étrangerssur Nos plus chers inlérêts, en dé-
clarant qu'ils voulaient rendre hommage et
honneur a la liberté de l'Église et que c'était
leur intention que le pouvoir du Ponlife re
main füt libre et complet, ne purent réussir
a Nous séduire par de vaines espérances, et
ne Nous empêchérent pas de comprendre dés
lorsenliérement tout ce qui Nous étail réser
vé de triste et de douloureux sous leur domi
nation. Nous rendanl au contraire parfaite-
ment comple des desseins impies qui som le
propre des hommes que l'amour des nou
veautés modernes et un sermenl criminel
unissenl ensemble. Nous avons aussilöt hau-
tement annoncé que cette sacrilége invasion
n'avail pas tant pour but d'opprimer Notre
principaulé civile que de détruire plus facile-
ment, par l'oppression de Notre pouvoir
lemporel, toules les institutions de l'Église,
de renverser l'aulorité du Saint-Siége el de
détruire entièrement le pouvoir du Vicaire
de Jésus-Christ que. lout indignes que Nous
en sommes, Nous exercons sur la terre.
Et en vérilé on peut dire que cette oeuvre
de demolition et de renversement de lout ce
qui touche a l'édifice et a l'ordre ecclésiasli-
que est déja presqtieconsommée, sinon quant
aux désirs et a la haine des perséculeurs, au
moins quant aux ruines trés-funestes qu'ils
ont jusqu'a cc jour accumulées. II suffil en
effel de jeterles yeux sur les lois et les dé-
crets promulgués depuis le commencement
de la nouvelle domination jusqu'aujourd'hui,
pour s'apercevoir clairemenl qu'on Nous a
enlevé un a un, peu a peu, de jour en jour
el les uns aprés les aulres les moyens el les
ressources dont Nous avons absolument be-
soin pour diriger el gouverner, comme il
convienl, l'Église calholique. C'est ainsi que
l'inique suppression qui a été faite des or-
dres religieux Nous a malheureusement privé
de vaillanls el utiles aides, dont l'ceuvre Nous
est absolument nécessaire pour l'expédition
des affaires des congrégalions ecclésiastiques
et pour l'exerciee de tant d'autres devoirs
de Notre minisière. Cette inique suppression
a détruit en mêrne temps ici dans celte villc
sainle tant de demeures oü étaient recus les
religieux des nations étrangéres qui avaient
coutume de se rendre dans celte métropole
a des époques délerminées poury relremper
leur esprit et rendre comple de leur minis
tère, el elle a cruellement arraché jusque
dans leurs racines mêmes lant de plantes sa-
lutaires et ferliles qui portaient des fruits de
bénédiction etde paix danstoules les contrées
de la terre. Cette mème funeste suppression,
qui a frappé les colléges fondés a Rome pour
les Missions sacrées afin d'y former de dignes
ouvriers préls a porter hardiment la lumiére
de l'Evangile mème dans les pays éloignés
et barbares, a malheureusement enlevé par
le fait a tant de peoples le secours si salu-
laire de la piété et de la charilé, au grand
détriment de l'humanité elle-même et de la
civilisation qui lirent ensemble leur origine
de la sainleté, de la doctrine et de la verlu
de Notre religion. Mais ces lois déja si cruel-
les par elles-mémes et si profondément op-
posées a l'utilitè non-seulemeutdela religion,
mais mème de la société humaine, onl enco
re recu une plus grande aprelé par l'adjonc-
tion qu'y ont faite les ministres du gouver
nement de nouveaux réglements qui défen-
dent, sous des peines très-sévéres, la vie en
commun et sous un mème toit des families
religieuses, et loule admission de novices, et
loule profession parmi les Réguliers de l'un
et de i'autre sexe. Une fois les Ordres reli
gieux dispersés, le travail et les projets de
destruction se sont tournés vers Ie clergé
séculier, el alors a été portée cette loi par
laquelle, Nous et les pasteurs dn peupie ila-
lien, Nous avons dü voir avec la plus gran
de trislesse les jeunes clercs, l'espoir de
l'Église, méchamment arrachés du sancluaire
el forcés, a l'age mème oü ils devraienl se
consacrer solennellement a Dieu, a recevoir
le baudrier de la milice séculiére et a mener
un genre de vie qui diffèresi complélement
de leur education el de l'esprit de leur voca
tion. Quoi de plus? D'autres lois injustes
sont ertsuiles survenues par lesquelles lout Ie
patrimoine que l'Église possédait a des li
tres sacrés, in viola bles, de longue date, lui a
été en grande parite enlevé, pour subslituer
a sa place et en parlie seulemcnt de maigres
revenus qui sont entièrement assujettis aux
vicissitudes incertaines des temps, au bon
vouloir et au caprice du pouvoir public.Nous
avons été également forcés de déplorer l'oc-
cupalion et la transformation en usages pro
fanes, aprés que les legitimes possesseurs en
avaient été chassés sans aucune distinction,
d'un grand nombre d'édifices que la piété
des fidéles avait élevés au prix mème des
plus lourds sacrifices, qui étaient dignes des
temps chréliens de Rome el qui offraient un
paisible asile aux vierges consacrées a Dieu
el aux families des Reguliers.
On a en outre enlevé a Notre pouvoir et
a la garde des ministres sacrés tant d'oeuvres
pies et tant d'inslituts consacrés a la charilé
el a l'exerciee de la bienfaisance, dont plu
sieurs, destines au soulagemenl de la pau-
vrelé et des autres misères, avaient élé fondés
par les Ponlifes romains eux-mèmes, Nes
prédécesseurs, et par la pieuse libéralité de
nations étrangéres; et si quelques-uoes de
cesceuvres de charilé publique reslent en
core sous la vigilance de l'Église, on assure
qu'une loi qui ne se fera pas atlendre doit
Nous les souslraire ou les abolirentiérement
c'est du moins ce qu'annoncent avec assuran
ce el sans embages des documents publiés.
Nous avons vu en outre, et Nous le rappel
Ions l'ame brisce de la plus profonde douleur
l'enseignement public et privé des lettres
el des arts soustrail a l'aulorité el a la direc
tion de l'Église, et la mission d'enseigner
confiée a des hommes d'une foi suspecte ou
a des ennemis declares de l'Église, qui n'ont
pas craint de faire profession publique d'alhé-
isme. Mais pour les fils déserteurs de l'église
cen'étailpas assez d'avoir ainsi envahi ou
délruit lant d'institutions et de si grande
importance lant qu'ils n'avaienl pas encore
mis des obstacles au libre exercice de la mis
sion spirituelle des ministres du sancluaire.
Mais ils sont encore parvenus a ce but crimi
nel par celte loi récemmenl nppronvée de la
Chambre des dépulés, et qu'ils appellent du
nom de Lois sur les abus du clergé, en
verlu de laquelle on impute a crime et a
dèlit tant aux évéques qu'aux prêtres, et on
frappe de peines sévères ces actes que les
auteurs de la suedite loi comprennent sous
le nom insidieux de perturbation de la con
science qu'ils appellent publique ou de per
turbation de la paix des families. En verlu
encore de celte loi que nous signalons, les
paroles et les écrits de tout genre par les-
quels les ministres de la religion croironl, a
raison de leur charge, devoir dénoneer et
désapprouver des lois, des décrets ou tout
autre acte de l'aulorité civile comme con-
traires soit aux droits de la religion, soit aux
lois de Dieu et de l'Église, seront également
passibles de chatimentset de peines, comme
aussi l'ceuvre de ceux qui auront publié ou
répandu ces mêmes écrits, quel que soil le
rang de l'autorité ecclésiastique et quel que
soit le lieu d'oü ilsémanent. Une fois cette loi
portée el promulguée, il sera permis a un
tribunal la'ïque de définir si,dans l'admi-
nislralion des sacremenls et dans la pré-
dication de la parole de Dieu, le prètre a
troublé et comment il a troublé la conscience
publique et la tranquillilé des families, et la
condition de l'évèque et du prètre sera telle
qu'on comprimera et arrètera sa voix, non
moins que la voix du Vicaire de Jésus-Christ,
qui, bien que déclaré en soi, pour des motifs
politiques, exempt de loute espéce de peine,
n'en est pas moins censé devoir ètre puni
dans la personne de ceux qui auront été
complices de sa faute; c'est la, en effet, ce
quen'a pas eraint de declarer ouverlement,
a la Chambre des députés, un ministre du
royaume, lorsque, parlant deNous, iiavouait
hautementque ce n'était ni nouveau, ni in-
solite dans les lois, ni contraire aux régies, a
la science et a la pratique du droit criminel,
de punir les complices d'un crime, quand
l'auteur principal ne peut ètre atteint. D'oü
l'on comprend que, dans l'intention de ceux
qui gouvernent, c'est contre Nous aussi qu'est
dirigé le coup de cette loi. de telle sorte que
lorsque Nos parolesou Nos acles viendront a
offenser celte loi, les évéques ou les prêtres
qui auront ou reproduit Nos discours ou
exéculé Nos ordres devront subir la peine
de ce prétendu crime, dont Nous, aulant
qu'auleur principal. Nous serons condamné
a porter l'inculpation et la faute.
Voila done, vénérables Fréres, comment
non-seulemenl tant d'asiles et d'instituis que
les siècles avaient édifiés, que les bouleverse-
ments n'avaient pu abattre et qui sont si
nécessaires a 1'adrninistration de l'Église, ont
élé détruits parmi nous par la violence et
l'esprit de demolition de nos ennemis, mais
comment encore on en est arrivé d'une facon
criminelle it rendre impossible a l'Église cette
sublime mission d'enseigner et de veiller sur
lesaluldes ames qu'elle a recue de son divin
Fondateur, en décrétant des peines très-sé
véres pour fermer la bouche a ses ministres
qui, tandis qu'ils enseignent aux peuples a
observer tout ce que Jésus-Christ a ordonné
et qu'ils insistent a temps el a contre temps,
en reprenanl, en suppliant et en répriman-
dant en toute patience et doctrine, ne font
pas autre chose que ce qui leur est comman-
dé par l'aulorité divine et ecclésiastique.
Mais nous passons sous silence d'autres ma
chinations ténébreuses des assaillants de l'É
glise auxquels, nous le savons, quelques-uns
mêmes des ministres publics ne refusent ni
les conseils ni les encouragements, machina
tions qui tendent a preparer a lEglise des
jours encore de plus grande tribulation, ou
a susciter des occasions de schisme le jour
oü aura lieu l'élection du nouveau Pontife,,
ou a entraver l'exerciee de l'aulorité spiri
tuelle des évéques qui dirigent les égliscs
d'llalie.
Or, c'est pour cela que nous avons été
amené a declarer dernièrement qu'il pouvait
ètre toléré d'exhiber au pouvoir laïque les
actes de l'instilution canonique de ces mêmes
évéques, pour remédier, aulant qu'il était
eii Nous, a un trés-funeste état de choses
dans lequel il ne s'agissait plus dc la posses
sion des biens temporels, mais bien plulót
du grave et manifeste peril auquel était ex
posé ce qui eonsliluö Notre suprème loi,
c'est-a-direles consciences mêmes des fidéles,
leur paix et la direction et le salut des ames.
Mais, en agissanl ainsi pour éloigner de trés-
graves dangers, Nous voulons qu'il soit pu-
bliqnement de nouveau bien connu que Nous
désapprouvons et que Nous déteslons com
plélement celte injusle loi qu'on appelle Pla
cet royal, déclarant ouverlement qu'eile
blesse la divine autorité de l'Église et qu'elle
viole sa liberté. Mainlenant aprés tout ce
que Nous avons exposé jusqu'ici, quoique
cependant Nous ayous omis beaucoup d'au
tres attentats sur lesquels Nous pourrions
élever ia voix pour les déplorer, Nous de-
mandons ceciComment est-il possible que
Nous pnissions gouverner l'Église lant quo
Nous sommes sons la domination de cette
sorte de pouvoir qui Nous enléve conlinuel-
lement tous les secours et tous les moyens
d'exercer Nolre Apostolat, qui Nous ferme
loute voie, qui soulève tous les jours de nou
veaux obstacles et va jusqu'a dresser de nou
veaux piéges et de nouvelles embüches?
Assurément, Nous ne pouvons assez Nous
elonner qu'il se trouve des hommes, dont
Nous ne savons si la légèreléou la méchan-
ceté est plus grande, qui, soit dans les jour-
naux publics, soit dans des écrits parlicu-
iiers, soit dans d'imprudents discours pro-
noncés a l'oecasion de plusieurs réunions,
s'efforcent de faire croire et de persuader
aux populations que la présente condition
du Sou vera in-Pon life a Rome est telle que,
bieu que placé sous ia domination du pou
voir d'aulrui, li jouit d'une entiére liberté
et peul tranquillemenl et pleinement s'acquit-
ter des deyqirs de sa suprème primauté spi
rituelle. Or, ccs hommes ne laissenl échap-
per aucune occasion de confirmer publique-
ment cetle opinion soit lorsque les évéques
et les fidéles viennent des pays étrangers
pour Nous voir, soit lorsque Nous admellons
en Notre presence leurs pieuses assemblées,
soit encore lorsque, dans les discours que
Nous leur adressons, Nous déplorons les en-
treprises des tmpies contre l'Église. Dans ces
circonstances, ils s'efforcent a dessein et avec
ruse d'insinuer a ceux qui ne sont pas sur
leurs gardes que Nous, par le fait, Nous jouis-
sons d'uu plein pouvoir et d'une entière
liberté soit de parler, soit de recevoir les
fidéles soit de gouverner loute l'Église.
Nous sommes en vérilé élonnés qu'on puisse
soulenir impudemment de telles assertions,
comme si l'exerciee de ces actes qu'on passé
cn revue était entièrement en Nolre pouvoir,
comme si loule la somrne du gouvernement
de l'Église qui appartient a Notre charge élait
contenue dans ces actes. Qui ne sait, en effet,
que les actes de celte libertc qu'ils vautenl
taut, ne soul pas sons Notre pouvoir, mais
sous le pouvoir de ceux qui dominent, de
telle sorte que Nous ne pouvons accomplir
ces actes que jusqu'a tant et tout aulant qu'ils
ne l'empécheront pas? Veut-on savoir en
vérilé quelle est la liberté de Nos actes lant
qu'elle est sous leur pouvoir A délaul d'au
tres prenves, la récente loi, que Nous avons
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Poperinghe- Ypres, 5-18)7-00,9-28,11-00,2-18,3-05,9-20. Ypres-Poperinghe, 0-30,9-07,12-07,3-57,6-50,8-43,9-80. Po-
periughe-Hazebrouck, 6 S3, 12-28,7-10. Hazebrouck -Poperinghe-Ypres, 8-28, 4-10, 8-28.
Ypres-Routers, 7-80, 12-28, 6-48. Kouiers- Ypres, 9-28, 1-80, 7-80.
Kou Iers-Bruges, 8-43, 11-34, 1-13,8,16, 7-36, (9-88. Lichterv.) Lichlerv.-Thourout, 4-28 m. vers Ostende. Bruges-KoM-
lers 8-28, 12-43, 8-03, 6-42. Lichlerv.-Courtrai, 8-23 m.
Ypres-Courtrai 8-34, 9-46, 11-20,2-38,8-28, Courtrai- Ypres,,8-08, 11-08, 2-80,8-40,8-49.
Ypres-Thourout, 7-18, 12 06, 6-20, (le Samedi a 3-30 du maiin jusqu'a Langhemarck)Thourout- Ypres, 9-00, 1-23, 7-43,
(le Samedi a 6-2Ó du inatin de Langhemarck a Ypres).
Comines-Warnêton-Le Touquel-Hotiplines-.-lmenlières, 6-00, 12-00, 3-33, Armentières-ilouplines Le Touquet-Warnêton-
Comines 7-28,2,00,4-43. Comines-Warnéton 8 43, m 9-30s. (le Lundi 6-30,) Warnêton-Commes 8-30, 11-10, (le
Lundi 6,80.)
Courtrai Bruges, 8-08,1 1-00, 12-38,4-40, (Ingel.) 6-83. 9-00 s. (Lichterv.)Bruges-Courtrai, 8-28, 12-43, 3-08,6-42.
Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-28, 11-08, 2-30, 7-35. (bassin) 7-31, 11-14, 2-86, 7.41, Heyst, Blankenb, Bruges,
5-48, 8,25, 11-23, 5-30.
Ingelmunsler-Deynze-Gand, 5-00, 9-412-18. lngelmunster-Z)e!/«ze, 6-10 7-15. Gand-Deynze-Ingelmunsler6-58, 11-20,
4-41, 7-21. Deyme-Ingelmunster, 1-00.
Iagelmunster-zlzwep/iêm, 6-05, 12-58, 6-13. \nsagbem-Ingetmufister, 7-42, 2-20, 7-45.
Lichtervelde-Dixmude-Furnes et Dunkerke, 6 30, 9-08, 1-35, 8 00. Z)tz?jA"erA"e-Furnes-Dixmude et Lichlervelde, 6-38, 11 10,
3-40, 3-00.
üixmude-JVieuport,9-30,2-20,8-45. Nieup-Dixm, 7-30,12 00,4-20.
Thou rout-Ostende, 4-80, 9-15, 1-30, 8-05. Ostende- Thourout, 7-85, 10-10, 12 25, 6-18
Selzaete Eecloo, 9-05, 1-23, 8-23. Eecloo-óe/zaefc,5-35, 10-15, 4-22.
Gand-Terneuzen, (station) 8-17, 12-23, 7,30. (porte d'Anvers) 8-30, 12-40. 7-45. 'lVr neuzen-Gand, 0-00, 10-30, 440.
Selzr.ete-LoAe/^n, 9-04, 1-30, 8-30. (le Merer. 5-10 irt.) Lokeren-Séteaclc, 0 00,10-28, 4 45. (le Marili, 9,30.)
C O TEX. KSPOMDAirCES,
COURTRAI, BRUXELLES.
Courtrai dép. 0,37 10,53 12,33 3,42 0,35.
Bruxelles arr8,50 1,35 2,25 0,10 8,34.
COURTRAI, T0URNA1, LILLE.
Courtrai dép. 6,37 10,56 2,54 5,34 8,47.
Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 0,39 9,41.
Lille i» 7,38 12,08 4,00 6,35 10,00. I
COURTRAI, GAND.
BRUXELLES, COURTRAI.
Bruxelles dép. 5,22 8,28 12,21 5,35 6,47.
Courtrai arr. 8,00 10,40 2,44 7,56 8,44.
LILLE, TOURNAI, COURTRAI.
Lille dep. 0,15 8,22 11,03 2,22 4,43
Tournai 5,42 8,36 11,29 2,40 3,39
Courtrai arr. 6,34 9.47 12,20 3,38 6,33
Courtrai dép. 0,42 9,49
Gand arr. 8,01 11,08
12,31 3,44 6,40.
1,51 3,04 7,30.
Gand dép.
Courtrai arr
5,13
6,37
GAND, COURTRAI.
9,38 1,28
4,24 7,21.
BRUGES, GAND, BRUXELLES.
Bruges d. 6,49ex.7,04 9,39 12,34, 2-32,ex. 6,43.
Gand a. 7,34 8,19 10,34 1,49 4,o7, 7,58. 9,31.
Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4 00,7,18, 9-31.10,40.
10,56 2,54 5,34 8,47
BRUXELLES, GAND, BRUGES.
Bruxelles dep. 7,20 8,1 4 11,06 1,35 3,02 ex. 4,89 ex.
Gand arr. 6,00 8,38 9,4-1 1.23 3,59 4,11 6,29
Bruges 7,18 9,23 10,3*4 2,38 3,01 7,22
8.55
7,18
8,37
ADRESSÉE PAR
flUX CARDINAUX 0E LA SAINTE ÉGLISE ROMAINE,