CjS£ fW£7V> Sr Samedi 24 Mars 1877. 12e année. N° 1,172. NOTRE TRÉS-SAIAT PÉRE LE PIPE PIE IX, 9 °z >- g 3 z n Le Journal parail le Mercredi et le Samedi. Les insertions content 15 centimes la ligne. Les réclames et annonces judiciaires se paient 30 centimes la ligne. On traite a forfait pour ies insertions par année. Un numéro du journal, pris au Bureau, 10 centime-.. Les numéros supplémentaires commandés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 10 fr. les 100 exemplaires. C H E ÜI I i\r S WK K K BS. 1 Décembre. ALLOCUTION le 12 mars 1877, DANS LE PALAIS DU VATICAN. (Suite). Tel est, vénérables Fréres, l'élat que nous sommes obligé de subir par le fait de ceux qui gouvernent dans celte ville sainte; telle est la liberlé d'exercer nolre ministère, liberté mentueuse que Pon exploite contre nous et dont on prélend impudemment que nous jouissons. C'est la liberté de voir la démoli- tion progressive de l'ordre et du gouverne ment des choses ecclésiastiques de voir la perte des ames sans pouvoir nous employer et travailler a réparer efficacement tant de dommages. Dans un tel état de choses, ne devons-nous pas considérer comme une amére ironie et une nouvelle dérision ce qu'on répète si souvent, savoir que nous devrions enlamerdes projets de conciliation et de concorde avec les nouveaux maitres, quand il n'y aurait pas d'autre motif de con ciliation de notre part que celui de livrer entièrement, non-seulemenl les souverains droits de ce Saint-Siége que nous avons recu comme un dépot sacré el inviolable pour les protéger et les défendre au moment de nolre élévation a cette Chaire suprème, mais de livrer encore et surlout le divin ministère qui nous a été confié pour le salul des ames et d'abandonner l'hér.ilage de Jésus-Chrisl dans les mains d'une autorité de cette sorte, doni les efforts tendent a délruire, si c'élait possible, le nom mémede la religion calho lique? Maintenant, le monde entier peut assurément voir dans loute leur evidenced sous toutes leurs faces la force, la: vigueur et la bonne foi de ces prélendues garanties, au tnoyen desquelles, pour faire illusion aux fidéles, nos ennemis se sont vantés de vou- loir assurer la liberté et la dignité du Pontife Romain, et qui ne reposeni que sur l'aribitre et la volonté hostile desgouvernants desqeiels il dépend, suivant leurs projels, leurs points de vue el le gré de leurs caprices, de les ap- pliquer, de les conserver, de les inlerpréter et de les meilre a exéculion. Jamais assuré ment, non jamais le Pontife Romain n'est et nesera pfeinement maitre de sa liberlé et de son pouvoir, lant qu'il sera soumis a des do- minaleurs dans sa capilale. II n'y a pour lui d'autre destinée possible a Rome que celle d'èlre ou vrai souverain ou caplifet il no pourra jamais y avoir de paix, de sécurité et de trauquillilé pour l'Eglise calholique toute enlière, lant que Pexercice du suprème ministère ecclésiastique sera soumis aux pas sions des partis, au caprice des gouvernants, aux vicissitudes des éleciions poliliques, aux. projets et aux actes d'homrnes rosés qui sacrifient aisément la justice a leor propre utilité. Mais ne croyez pas, vénérablus Fréres, qu'au milieu de lam de maux qui nous affli- geni el nous accablent, notre ame tombe brisée, ou que cette conflance avec laquelle nous atlendons les décrets du Dit ju tout-puis- sant et éternel vienne a se lasser en Nous. En vérilé, depuis le jour oü, aprés l'usurpa- tion de notre Elat, nous primes la résolution de demeurer a Rome plutöl que d'aller cher- cher une hospitalilé tranquille dans des pays étrangers, el cela dans l'inlention de monter une garde vigilante auprés du lombeau de St-Pierre, pour la défense des intéréts catho- liques, nous n'avons jamais cessé, avec le secours de Dieu de combattre pour le triomphe de sa cause, el nous combaltons tous les jours, ne cédanl nulle part a l'enne- mi que repoussé par la force, afin de préser ver le peu qui reste encore de l'irruption de ces hommes qui meltenl tout a sac el s'effor- cent de lout détruire. La oü d'aulres secours nous ont manqué pour défendre les droits de l'Eglise el de la Religion, nous nous sommes servi de nolre voix et de nos réclamalions. Vous en ètes lémoins vous-mèmes, vous, qui avez parlagé les mèmesdangers et les mèmes douleurs que nous. Vous avez en effet sou vent eniendu les paroles que nous avons publiquemenl prononcées, soit pour réprou- ver de nouveaux attentats et protester contre la violence loujours croissante de nos enne mis, soil pour instruire les fidéles par de sages averlissements, de peur qu'ils ne fus- sent trompés par les embüches des méchants et par une espéce de feinle religion, et qu'ils ne se laissassent prendre,aux perverses doc trines de faux fréres. Plaise au Ciel que ceux- la prèleiit enfin l'oreille a nos accents el tour- nent. vers nous leurs pensées, a qui revient le devoir el pour qui il est du plus grand inlérèl de sontenir notre aulorilé et de défen dre avec énergie notre cause, la plus juste et la plus sainte de toutes Car esl-il possible qu'il échappe a leur prudence qu'on comple en vairi sur la solide et vraie prospérité des nations, sur la trauquillilé et l'ordre parmi les peuples el sur la stabilité du pouvoir chez ceux qui liennent le sceptre, si l'autorilé de l'Eglise, qui maintient par le lien de la reli gion toutes les sociétésjustement constituées, est impunément inéprisée et violée, et si son Chef suprème ne peut user d'une pleine liber té dans l'exercice de son ministère et reste soumis au bon plaisir d'uti autre pouvoir Certes nous nous réjouissons de ce qu'il est heoreusement arrivé que nolre langage a été aceuiüHi trés-volontiers et avec grand fruit par tou t Ie peuple calholique uni a nous par les liens de la piélé filiale. Les preuves conti- nuelles et réitéréesque nous avons recues de son amour s.ont lelies, en effet, qu'elles eon- fèrenl une gra ode gloire a eux-mèmes et a l'Eglise, el nous donnenl lieu d'espérer que des jours plus heureux se léveront pour celle mème Eglise et poar ee Siége Aposlolique. El en vérilé, c'est a peine si nous trouvons des paroles suffisanles pour exprimer la joie et la consolation que nous avons éprouvées, bien que privé de toul secours reelen ad- mirant les beaux mouvements des esprits et les vaillanls efforts qui, nés sponlanémenl, se propagent de plus en plus tous les jours, mème pareni les nations les plus éloignées, et qui out pour but de prendre en main la cause et la défense de la dignité du Pontifical romain et de notre humililé. Les subsides généreux qui nous parvicn- nent de toutes les parties de la terre pour que nous puissions pourvoir aux urgenles nécessilés de ce Saint-Siége, et les fréquents pélerinages de nos fils, qui accourent de tous les pays dansce palais dn Vatican, pour lé- moigner de leur dévouement au Chef visible de l'Eglise, sont de tels gages de la fidélité des cceurs qu'il nous est lout a fait impossible d'en rendre a la divine bonté de dignes ac tions de graces, nous voudrions toulefois que tous comprissent et cónsidérassent com me un enseignement saiutaire la force in time et la vraie signification de ces pélerinages que nous voyons se renouveler si fréquem- ment, juste en ce moment oü le Pontifical romain est en bulte a une guerre si acharnée. Car, en vérilé, ces pélerinages n'oul pas sett lement pour but de manifester l'amour el la piélé des fidéles envers nous, mais ils four- nissent surtoul une preuve manifeste des préoccupalions el des augoisses qui troublent les cceurs de nos fils, paree que leur Pére common se trouve dans une situation lout a fait anormale et qui ne saurait lui convenir. Et cette anxiété et celte inquietude, bien loin de s'apaiser, ne feront qu'augmenter jusqu'au jour oü le Pasteur de l'Eglise uni verselle sera enfin remis en possession de sa pleine et vraie liberlé. En attendant, nous ne désirons rien lant, vénérables Fréres, que de voir nos paroles se répandre de l'enceinle de cette salie jus- qu'aux dernières limiies de la terre, pour qu'elles témoignent des sentiments de notre ame envers tous les fidéles du monde entier, en reconnaissance des ad in i ra bles témoigna- ges d'amour el de dévouement filial qu'ils ne cessent de nous donner. Nous désirons, en effet, leur rendre grace pour la pieuse libé- ralité avec laquelle, oublianl mème souvent leurs propres difficultés, ils viennenl a notre secours, persuodés que lout ce qu'on offre a l'Eglise est donné a Dieu. Nous désirons aussi les féliciter de la magnanimité et du courage avec lesquels ils rnéprisent les colères et les railleries des impies, el leur déclarer que nous leur sommes profondément reconnais- sanl pour l'enthousiasme avec lequel ils cherchent a nous offrir les lémoignages de leur amour afin de fèler le souvenir anniver- saire de ce jour oü, cinquante ans aupara- vant, nous recümes, quoique indigne, la grace de la consécration épiscopale. Ce que nous ne souhaitons pas moins vivement, c'est que leus les pasteers des églises qui sont répandues au loin sur la lerre, en reeevanl nos paroles, en prennent encouragement pour faire connailre a leurs fidéles les périls, les attaques el les préjudices de plus en plus graves auxquels nous som mes en butie, et pour les convaincre de plus en plus que nous, certainement, nous ne cesserons jamais, quelle que doive ètre Tis sue de celle situation, de condamner les ini- quilés qui se commettent devant nousil faut aussi qu'ils sachent qu'il pourra bien arriver un jour oü notre parole ne leur par- viendra plus que rarement el fort difficile- ment par suite des difficultés qui ponrront survenir, soit a cause des lois cilées tanlót, soit a cause d'aulres dont ou annonce la pre sentation. Nous exhorlons toulefois les pas- teurs eux-mèmes a prévenir leur troupeau de ne pas se laisser prendre aux artifices perfides par lesquels des hommes trompeurs s'efforcent dans leurs paroles de dénaturer el de défigurer le vrai état de choses dans le quel nous nous irouvons, soit en cachant sa dureté, soit en exultant nolre liberté et en affirmant que notre pouvoir n'esl soumis a personne, tandis que nous pouvons rèelle- ment definir en peu do mots loute notre situation, en disant que l'Eglise de Dieu souffre violence el perséoution en Italië, que le Vicaire de Jésus-Christ ne jouit ni de la liberlé, ni du plein et entier usage de son indépendance. Dans cel état dj choses, nous ne croyons rien de plus opportun, et nous ne désirons rien avec plus d'ardeur que de voir ces mè mes pasleurs, qui nous out donné taut de preuves de leur union dans la défense des droits de l'Eglise et de leur bonne volonté a l'égard du Siége Aposloiiq ie, exhorter les fidéles qui leur soul confiés a se servirde tous les inoyeus que les lois dechaque pays mettent a leur disposition pour agir avec empressement auprés de ceux qui gouver nent, afin que ceux-ci considérent avec plus d'attention la pénible situation faite au Chef de l'Eglise el prennent des résolulions elfica ces pour écarler les obstacles qui s'opposent a sa pleine indépendance. Mais comme c'est au Toul-Puissant qu'il appartient de faire pénétrer la lumière dans les esprits et de lléchir les cceurs des hommes, nous vous demandons non-seulerhent a vous, vénéra bles Fréres, d'élever vers Lui vos fervenles prières,'surlout dans ce temps de propitia tion, mais nous exhortons encore inslam- ment les pasteurs de tous les peuples catho- liques a réunir dans les temples sacrés les fidéles qui leur sont confiés pour y verser du fond de leur ame d'humbles prières pour le salul de Notre Mén l'Église, pour la con version de nos ennemis et pour la fin de nos maux si graves el si élendus. Dieu, qui aime ceux qui le craignent et ceux qui espèrent en sa miséricorde, daignera, nous en avons la ferme confiance, accueillir la priére du peuple qui crie vers Lui. Au reste, vénérables Fréres, prenoris cou rage dans le Seigneur et dans la puissance de sa vertu, et, revèius de l'armure de Dieu, de la cuirasse de la justice el du bouclier de la foi, combaltons bravemenl et avec force contre la puissance des ténébreset l'iniquité de ce monde. Déja en vérilé, le soin qu'on a mis a lout mêler et iroubler en est arrivé a ce point que, semblable a un torrent, le mouvement menace de loul enlrainer au precipice, et beaucoup de ceux qui furent les auleurs et les complices de ee nouvel élat de choses regardent effrayés, en arriére. LE PROBLEME ELECTORAL. II s'eslfail, depuis un certain temps, con- sidérablement de bruil autour des questions de réforme électorale. On connait l'origine dn tapage. Nolre ré gimc de suffrage complait doja de longs ser vices. Les libera ax ne ie trouvaient pas Irop mauvais, eu égard au soin qu'ils avaienl pris, pendant leur domination de treize an- nées, de l'agrémenler d'une quanlité de petits abus qui le rendaienl plus propre a l'usage. Sur la fin de leur régne, ils avaienl mème jugé expedient de perfectionner l'engin au moyen d'une loi draconienne dirigée en apparence contre les fraudes électorales. Tout s'emblail marcher a souhait, lorsque les jours mauvais survinrent d'une maniere inaltendue. La déroute de 1,'armée libérale en 1870 öta beaucoup au charme de l'orga- nisation; les cinq ou six défailes qui suivirent rendirenl le sysleme abominable aux yetix des ci-deVant maitres, et le 13 juin 1876, leur rèvéla des abimes effrayants de fraude et de corruption. Alorsla vertu politique du «grand parti déja si vivement alarrnée par les premiers échecs, se révolta indignée, et l'on vit inter ven ir de nouveau non seulement la phraséo- logie el la fantasmagorie des occasions ma jeures, mais encore, ce qui était plus grave, le langage révolulionnaire et les spontanéilés foudroyanles. La Fédéralion libérale s'étail plue a donner e t on. Elle avail gémi sur le sort de nos liberates institutions protesté contre lus euvahissemenls du clergé uui a la noblesse, de I'ullramonlanisme et du jésuilisme, jeté l'msulte a la législalure et au gouvernement en les declarant issus d'une source cmpoi- sonnée et du scandale élecloral, et conclu, chose èlrange, en sommanl des indignes de ui fabriquer sa réforme électorale. Rien qu'a l'idée des atlemtes porlées a l'indépendance de l'électeur et au secret du vote, elle se pa- iiia itla verlueuse Ce fut bieu autre chose encore quand ap- parul le projet de loi annoncé par M. Malou. Le gros des sectaires donna libre carrière a l'expression rageusedeson désappointement. Les gueux de presse se livrèrent a un in- croyable dévergondage de polémique. Les gueux de club d'aucuns lout brodés sur lescoutures exigérent sans pius de facou le retrait de cel infame projet de loi; ils préchèreul la résistauce de leur plus grosse voix, et firetil entendre que cette foison ne se bornerail pas a des promenades et a des chants dans les rues. Quant aux gueux de carrefour, ils eureiil pour mission, comme loujours, de burler, de chansonner, d'outra- ger,sans préjudicedes emotions pratiques el des pavésa l'occasion.Ou saits'ils firent leur besogne en conscience et si les preux cham pions de la moralité publique eurent lieu d'etresatisfaits des exploits de leurs soldats. Lepays est encore sous la pénible impression que lui out causée les scandaieuses masca rades oü celte lourbea impunément insullé, sous l'ceil de la police, les ministres du cube, les associations religieuses, des classes entiè- res de ciloyens, des dépulés et jusqu'a des conseillers de la couronne. Le public honnète, qui d'abord n'avait pas bougé el qui s'étail borné a hausser les épaules a toQle celle agitaliou faclice, finit cependant par reconnaitre qu'on voulait le mener oü il ne lui convenait pas d'aller, et i qu'on faisait de la propagande maconnico- erf Z 55 O -C Z O v? 7? O c-** 7) - Q -t ü2 CC ZO CO cc CC 3 Cd Cd 3 cc c* m r_ —3 o> w Ti 3D Cs hh FTJ c/3 •H H O G H P3 CO PI O G re er az o m en P» Po- Popen nghe-Ypres, 5-19,7-00,9-28,11-00,2-10,9-00,9-20. pres-Poperinghe, 0-30,9-07,12-07,3-57,6 50,8-45,9-50 peringhe-Hazebrouck, 6 53, 12-25,7-10. Hazebrouck Poperinglie-Ypies, 8-25, 4-10, 8-25. Ypres-Routers, 7-50, 12-25, 6-45. RouIers- Ypres, 9-25, 1-50, 7-50. ftoulers-örwjes, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-36, (9-55. Licluerv.) LiclHerv.-Thourout, 4-25 m. vers Ostende. Bruges-Ro«- lers 8-25, 12-45, 5-05, 6-42. Lichlerv.-Courtrai, 5-25 m. Ypres-Courtrai 5-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-25, Courtrai-Ypres, 8-08, 11-05, 2-50, 5-40, 8-49. Ypres-Thourout, 7-18, 12 06, 6-20, (le Samedi a 5-50 du matin jusqu'a Langbemarek). Thourout- Ypres, 9-00, 1-25, 7-45, (le Samedi a 6-20 du matin de Langhemarck a Ypres). Comines-Warnètoii-Le Touquet-Houplines-Amewnières, 6-00, 12-00, 3-35Arinentières-liouplines-Le Touquel-Warnêlon- Comines 7-25, 2,00, 4-45. Comines- Wamêlon 8-45, m. 9-30s. (le Lundi 6-30,) Warnêton-Comines 5-30, 11-10, (le Lundi 6,50.) Courtrai-firw^es, 8-05,11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6-53. 9-00 s. (Licbterv.)Bruges-Cowrtrat, 8-25, 12-45, 5-05,6-42. Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-25, 11-08, 2-50, 7-35. (bassin) 7-31, 11-14, 2-56, 7.41, Heysl, Blankenb, Bruges, 5-45, 8,25, 11-25, 5-30. Ingelmunster-Deynze-Crcmd, 5-00, 9-41,2-15. lngelmunsier-.Dep».se, 6-10 7-15. Gand-Deynze-/repeówwrcsler, 6-58, 11-20, 4-41, 7-21. Deynze Ingelmunster, 1-00. Ingelmunsler-zl«se<;/ie»i, 6-05, 12-55, 6-13. Anseghem-Ingelmunster, 7-42, 2-20, 7-45. Lichtervelde-Dixmude-Furnes et Dunkerke, 6 30, 9-08, 1-35, 8-00. ÜMwA'erA-e-Furnes-Dixmude et Lichtervelde0-35, 11-10, 3-40, 5-00. Dixmude-iViewport,9-50,2-20,8-45. Nieup-Ditm, 7-30,12 00,4-20. Thou rout-OsferctZe, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. Ostende- Thourout, 7-55, 10-10, 12 25, 6-15. Selzaete-Eectoo, 9-05, 1-25, 8-25. Eecloo-Se/zaefe,5-35, 10-15.4-22. Gand-Terneuzen, (station) 8-17, 12-25, 7,30. (porte d'Anvers) 8-30, 12-40. 7 45. Terneuzen-6ra«<i, 6-00, 10-30, Sehaeie-Lokeren, 9-04, 1-30, 8-30. (le Merer. 5-10 m.) Lokeren-.Se/ineZe, 0 00, 10-23, 4 45. (le Mardi, 9,30.) 440. COR.HES3POWDANCES. COURTRAI, BRUXELLES. BRUXELLBS, COURTRAI. Courtrai dép. Bruxelles arr. 0,37 8,50 10,53 1,35 12,33 2,25 3,42 6,10 0,35. 8,54. Bruxelles dép. Courtrai arr. 5,2-2 8,00 8,28 10,46 12,21 2,44 535 7,50 0,47. 8,44. COURTRAI, TOURNAI, RILLE. Courtrai dép. 0,37 10,50 2,54 5,34 8,47. Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 0,39 9,41. Lille 7,38 12,08 4,00 6,35 10,00. I.ille dép. Tournai Courtrai arr. I.ILLE, TOURNAI, COURTRAI. 5,15 8,22 II,05 2,22 4,45 5,42 8,50 11,29 2,40 5,39 0,34 9.47 12,20 3,38 0,33 COURTRAI, GANI). GAND, COURTRAI. Courtrai dép. Gand arr. 0,42 8,01 9,49 11,08 12,31 1,51 3,44 5,04 6,40. 7,50. Gand dép. Courtrai arr. 5,15 6,37 9,38 10,50 1 28 2,54 4,24 5,34 7,2! 8,47 BRUGES, GANDBRUXELLES. Bruges d. 6,49ex.7,04 9,39 12,34, 2-52,ex. 6,43. Gand a. 7,34 8,19 10,54 1,49 4,o7, 7,58. 9,31. Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4 00,7,15, 9-31.10,40. BRUXELLES, GAND, BRUGES. Bruxelles dép. 7,20 8,1 4 11,06 1,38 3,02 ex 4,59 ex5.58 Giind arr. 6,00 8,38 9,41 1,23 3,59 4,11 6,29 7,17 Bruges 7,15 9,23 10,34 2,38 5,01 7,22 8,35 ADRESSÉE PAR AUX CARDINAUX DE LA SAINTE ÉGLISE ROMAINE,

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1