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Mercredi 31 Mars 1877.
12e année. N° 1,174. v'
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c Journal parail le Mercredi et le Samedi. Les insertions coutent to centimes la ligne. Les réclames et annoncesjudicUiires se paieut 30 centimes la ligne. - On Iraile d forfait pour les insertions par année.
Un numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes. Les numéros supplémentaires coinmandés pour articles, lléclames ou Annonces, coütent 10 fr. les 100 exemplaires.
t' II E 171 I -V S K F K IS. 1 Décembre.
LES RÉSULTATS DU KULTURKAMPF.
II n'est plus possible, en Belgique. de se
faire illusion sur les tendances réelles du li-
b éralisme. S'il fut un temps oü l'équivoque
était concevable, ce temps est déja loin de
nous. Ce qui fait défaut aüjourd'hui, ce ne
sont certes ni les aveux de nos adversaires
lettrés, ni les brutalités significa lives de leurs
hommes d'action, ni les actes d'oppression
de leurs fonclionnaires, ni enfin les exemples
Iristemenl décisifs que nous pouvons con-
templer au-dela de nos frontières.
Les plus modérés de nos adversaires trou-
vent bons a imiterles procédés de M.
deBismark envers la religion catholique, et
déja mètne une fraction importante du par li
s'écrieavec la Flandre libérale: II faut al
ler plus loin que Bismark
Ce vceu sauvage s'éclaire d'une pleine lu-
mière quand on le rapproche de ce que se
permettent les soldats de l'armèe gueuse.
Obéissant au mot d'ordre: ceux qui croient
aux miracles ne sont bons qu'a ètre rossés,»
ils se sont montrés a la hauteur de leur la-
che a Oostacker, a Malines, a Gand, a Bru
xelles, a Anvers, a Liége, sur lous les points
du pays en un mot.
Dans une autre sphère, les chefs du parti
ont, mèmesousun gouvernement conserva-
teur, interdit les processions, rejelé un évè-
que dans sa calhédrale malgré la conscience,
la Constitution et les lois, moiesté les Petiles-
Sceurs des pauvres, profané les eimetiéres,
empèché la répression des attentats dont
leurs amis de bas étage se rendaient
coupables a l'égard de catholiques paisibles
ou de prêtres inoffensifs, etc. Si telle est
leur audace comme minorilé, que pré-
parenl-ils pour le jour oü ils réussiroul a
escalader le pouvoir
Cesfaits, qui n'ont pas élé réprimés, ont
toute la valeurd'un programme. II n'est que
Irop certain que le libéralisme médite de
faire passer dans une loi fulure ses empiéte-
ment d'aujourd'hui. Si lel n'est pas son bul,
comment expliquer la marche ascendanle de
ses usurpations? Un fonctionnaire isolé peul
sans doute oublier ses devoirs et se- laisser
griser par le fanatisme de parti, sans que le
blame qu'il mérite atteigne ses doctrines ou
ses amis. Mais que dire quand un parti tout
entier se rend coupable, quand toutes ses
créatures, du premier au dernier échelon de
l'échelle hiérarchique, s'étudienl a accumu-
ler les abus de pouvoir et a s'exerccr la main
aux coups d'Etat? Que dire surtout quand on
voil ce parti faire sienne l'intolérance haineu-
se de ses adeples, la défendre, s'en vanier et
regretter seulement qu'elle ne soit pas plus
criante
Ces indices, qui ne sont pas nouveaux,
mais qui s'accentuenl tous les jours, révé-
lent une situation très-grave. II n'y a pas
longlemps que les prudents du parti re-
niaient officiellemenl les admirateurs de la
politique allemande et nous représentaient
les aspirations de MM. Laurent, Delaveleye,
Pergameni el consorts comme personnelles a
ces publiciste. Aujourd'hui nous n'en som
mes plus la. Les timides eux-mèmes ont dé-
passé ce qui les èffrayait il y a quelques
mois. Tons aboient au clérical avec une rage
égale; lous, avec une égale ardeur, appel
ant sur la Belgique le Kulturkampfcorrigé
et aggravé. Le mot de M. Vandertaelen s'est
réalisé: nos ennemis sont lous gueux.
Le bismarkisme et I emigration prus-
sienne dans noire pays ont sans doute aidé a
ce résultat, mais il est dü surtout a la logi-
que naturelle des choses qui développe les
corollaires des principes du libéralisme. Et
qu'on ne l'oublie pas! Ces principes n'ont pas
dit leur dernier mot avec le Kulturkampf.
Leurs adepies se sont placés, de propos déli-
béré, sur la pente révolutionnaire et, une
fois lancés, il faut qu'ils aillent jusqu'au
bout. lis y parviendrontAujourd'hui nous
en sommes au bismarkisme, demain
nous verrons le gambettisme, ensuite le
mancinisme, le mazzinisme pour
arriver enfin au naquetlisine socialiste,
si tant est que cette evolution mème soit la
derniére élape de la politique libérale.
En attendant que nous en soyons la, ce
qui peut-être ne lardera guère, il peut êlre
utile de considérer ce que produit le bis
markisme, c'est-a-dire le Kulturkampf
dont nous voyons déja les premières mani
festations dans noire pays.
Nous avons sous les yeux la discussion qui
s'est engagée récemmenl au Parlement de
Berlin, a ['occasion du budget des cultes.
Les discours pronoucés dans ce débat sont
pleins d'enseignements. Les'oraleurs catho
liques ont avec force fait ressortir les effets
dn Kulturkampf sur le terrain polilique, fi
nancier, social et religieux. Pour la millièine
fois le parti nalional-libéral a donné la me
sure de son courage et de son bonneur, en
operant des volte-faces incessantes, en re-
niant ses programmes, en multipliant les
contradictions, tout cela pour avoir l'hon-
nejir de mettre la tèlesous la botte dn gou
vernement et de s'accroupir sous la crava-
chede MM. Bismark el Falk.
Nous ne nous arrèterons pas a cette partie
du spectacle: l'autre est aussi peu consolanle,
inais plus honorable et plus saine.
La troisiéme lecture du budget des cultes
a donné occasion a M. de Schorlemer Alsl
d'établir le bilan du KullurkampJ. II l'a
fait avec une éloquence énergique, qui a.sou-
levédes lempêles a gauche: preuve nouvelle
de la vérilé de ses paroles
Le discours date déja de p-lusieurs jours,
mais les enseignemenls qu'il contientsont
toujours acluels. Ils sont de lous les temps,
paree qu'il sont l'expression de la vérité.
Ces vérités ne sont pas du goüt des KuKur-
kampfer, maisellcs s'imposent avec d'autant
plus d'aulorité a l'allention des honnêtes
gens, de ceux qui savent réfléchir et qui
osent conclure.
Aprés avoir conslaté que le Kulturkampf
a vingluplé plusieurs dépenses du budget
des cultes, l'oraleur se deniande ce qu'est
devenu cel enseignement prussien tant van-
té naguère. Voici sa réponse
La révocation des inspecteurs scolaires
catholiques a eu pour résultat uneélévatioo
énorme des dépenses: celles-ci qui montaienl
a 60.000 marcs ont alteint le chifïre de
1,170,000 mares (Ecoulez! écoutezet, a
mon avis, l'inspection a élé loin de s'amélio-
rer. Les dislriets ont dü ètre étendus, et,
puisqu'on excluait les ecclésiasliques, on a
dü surloul pêcher des inspecteurs dans les
rangs des professeurs des gymnases. Ceux-
ci ne connaissent pas la situation el enten-'
dent peu de chose a fenseignement primaire.
C'est encore pis pour l'inspection locale. On
a rejeté ('inspecteur naturel, le curé (Cris a
gauche. Très-vraiau centre); on a dü en
conséquence s'adresser aux fonclionnaires,
c'esl-a-dire aux gens qui de tous les prussiens
sont le plus surchargés de besogne, aux
propriélaires, et jecrois même que la classe
otivrière elle mème a eu a fournir son con
tingent d'inspecleurs.
x> Nous avons dü élever progressivement
les iraitements des instiluteurs: malgré cette
augmentation considerable, le défaut d'insti-
tutenrs se fait de plus en plus sentir, et j'ai
déja eu a vous enlretenir des effets déplora-
bles que ne peut manquer de produire la
nécessilé de nous conlenter d'élèves des éco-
les normales.
On a proclamé ici que mieux vaut
l'ignorancequ'uneinstruction ultramontaine»
On a appliqué ce principe, on a expnlsé les
religieuses et les religieux qui se vouaient a
l'éduca I ion; 'on les a expulsés sans mème
s'inquiéler de leur remplacement. Aujóurd'
hui on ne sail oü trouver des institulrices.
On a élé plus loin: les orphelinats qui élaient
exemplairement dirigés par les religieuses
et oü les pauvres orphelines reirouvaient une
affeclion maternelle ont été supprimés.
Quelle en est la conséquence On se voit
forcé de trafiquer des orphelins et de les
adjuger au moins offrant. Messieurs, ce de-
gré de civilisation est celui des Elats a escla-
ves de l'Amérique! (Très-vraiCela ne
snffisait |ias, Messieurs: on a découvert qu'il
y avail un danger pour PEtat a laisser aux
religieuses l'éduca lion des enfants aveugles.
Cependanl il a élé constaté par les commis
sions des diètes provinciales commissions
composées de personnes de religion diffé
rente que le traiiement et l'éducation ne
laissaient rien adésirer. Mais qu'on s'irnagine
done un aveugle ultramonlain Quel sujet
de terreur pour un Kulturkump/er Trés-
bienCe n'était pas assez: on a fini par
s'éinöuvoir paree que des religieuses appre-
naient aux enfants a coudre et a tricoter.
Coudre et tricoter a l'nilramohismeAussi
M. le ministro des cultes a reconnu le danger
decesoccupationsrévolulionnaires! (Hilarité)
MM., l enseignement a éléarrachéde sa
base raiionnelle, c'est-a-dire de l'Eglise et de
ses organes. On l'a livre aux opinions on-
doyantes d'un gouvernement. Aujourd'hui
les inslituteurs auront a célébrer les beautés
du darwinisme, demain, ils seronl ortbo-
doxes, selon que l'une ou l'autre opinion
prévaudra a Berlin. Ce qu'on favorise ainsi,
c'est le mal qui, hèlas caractérise notre
temps, l'absence de convictions, l'abandpn
des principes. Les effets de ce sysléme -vont
plus loin il développe chez les inslituteurs
l'alhéisme, Pignorance préientieuse, il en fait
des caméléons poliliques et mécontents. MM.,
la nation y perd un trésor précieux: l'insti-
tuteur de village, bon, sage et content de
pen est un type quasi introuvable et a la
veille de disparaitre. (Très-vrai
On a enlevé a l'école la source do toute
education, de toute instruction, c'est-a-dire
la religion et l'Eglise. Aussi l'école devienl
un instrument de barbarie et de démoralisa-
lion, les plaiules des parents, je puis ledire,
sont unanimes pour proclamer que l'éduca -
lion, que les écoles ne sont plus cc qu'elles
étaienl auparavant. (Très-vrai
Les livres d'enseignement s'en ressentenl
aussi. II y a quèlque temps je vous citais un
livre de lecture répandu en Weslphalie au
jourd'hui, quóique je sois a mème de vous
apporter encore de nombreux specimens, je
ne vous arrêterai pas longlemps sur ce point.
Voici un autre ouvrage c'est le Nouveau
Guide pour l'enseignemenl dans l'école
populaire, édité a Breslau et compose par
a quatre recteurs et un inslitiiteur en chef
avec la collaboration de la députalion sco-
la ire municipale de Breslau. MM., sous
la rubrique Géographie, j'y lis que Gi
braltar est une ile européenne, (Ecoulez!
écoutez et que les Etats-Unis d'Amérique,
bien qu'ayanl 2b fois l'élendue de la Prusse,
n'ont qu'une population égale a la nólre
(Ecoulez! écoutez!) Le livre contierit nombre
de ces belles choses: lisez-le et comparez-le a
la critique de la BorsenzeilungSi c'est la
un progrès de l'enseïgnement, jc n'en veux
pas (Très-bien Mais cela prouve une fois
deplus la justessedela these soutenue par
l'éminent inslitiiteur el écrivain Beck, qui dit:
L'Elal est impuissant a engendrer des en-
fants, done il n'a pas a se mèler de leur
éducation. (Très-vraiJe citerai encore
une autre auteur dont vous ne récnserez pas
l'a ulorité, c'est Dahlmann. II dit: Aucun
Elat ne s'est jamais, sans nuire a la moil-
leure partie de sa population, einparé de
l'enfance pour la former selon son plaisir
et dans les vues poliliques, sans se préoc-
euper de leurs dispositions ou de leur vo-
cation quant a nous, c'est pour des motifs
encore bien plus élevés que nous repous-
sons ce trafic d'ames dont I'Etat s'arroge
l'entreprise(Tres bien Voila les paro
les de Dahlmann, et je vondrais que les rriai-
tres de 1'éducation en Prusse y rèfléchissent
mürement
La question de Penseignement religieux
et de son controle a été récemmenl traitée
par moi. A mon avis, c'est la l'irnpasseoü Ie
Kulturkampfs'èpnisen sans pouvoir en sor-
tir. Ou bien vous aurez a re.venir.sur vos pas
et rendre a l'Eglise Penseignement religieux;
ou bien vous vous perdez dans la stalolatrie.
(Tres bien!) Ou bien vousdirez: le minislre
des cultes est incompétent dans cette maliére
ou bien vous aurez a vous courber sous le
reproche que vous avez commis un attenlat
suprème eontre la foi et la religion des ci-
toyens. (Très-bien MM., si vous continuez
dans votre yoie persècutrice, soyez certains
que vous susciterez des mécontentemenls
redoutables, que vous devez vous heurlcr a
une résislance Irès-décidèe. Et vous y suc-
comberez
A continuer).
LE PROBLËME ÉLECTORAL.
II s'est fait, depuis un certain temps, con-
sidérablernent de bruit aulour des ques
tions de réforme électorale.
On connait Porigine du tanage. Nolre
régime de suffrage coin plait déja de longs
services. Les libéraux ne le Irouvaient pas
trop mauvais, en égard au soin qu'ils avaient
pris, pendant leur domination de Ireize an-
nées, de l'agrérpenter d'une quantilé ile (ie-
lits abus qui le rendaient plus proprn a
l'usage. Sur la fin de leur règne ils avaient
mème jugé expedient de pcrfeclionner l'en-
gm au moyen d'une loi draconienne diri-
gée eu apparence corilre les fraudes élec-
torales.
Tout seinblait marcher a souhail, lorsque
les jours mauvais survinrent d'une maniére
inattendue. La déroute de l'armée libércle
en 1870 öta beaucoup au charme de ('or
ganisation les cinq ou six défaites qui
suivirent rendirent le sysléme abominable
aux yeux des ci-devant inailres, el le 13
Juin 1876 leur révéla des abimes effrayants
de fraude et de corruption.
Alors la verin politique du grand
parti, déja si vivement alarmée par les
premiers échecsse ré vol ta indignee et
Pon vit intervenir de nouveau non-seule-
ment la phraséologie el la fantasmagorie
des occasions majeures, mais encore, ce
qui était plus grave, le langagc révolution
naire et les spontanéilés foudroganles
La Federation libérale s'était plue a don-
ner le ton. Elle avajt gémi sur le sort dc
nos libérales institutions, protesté conlre
les envahissemenls du clergé uni a la no
blesse, de Vuhramontanisme et du jésui-
tisme, jeté Pitisulle a la législature ct au
gouvernement cn les declarant issus d'une
source ernpoisonnée et du scandale é/ecto-
ratet conclu, chose étrange, en sommant
ces indignes de lui fabriquer sa réforme
électorale. Rien qu'a Pidée des nlleintes
portées a Pindépendauce de l'élecieur et au
secret du vole, elle se pamait, la vertueuse
Ce fut bien autre chose encore quand
apparut le projet de loi annoncé par M.
Malon. Le gros des sectaires donna libre
carrière a l'expression rageuse de son dés-
•appoinlemenl. Les gueux de presse se livré-
rent a un incroyable dévergondage de polé-
mique. Les gueux de club d'aucuns lout
brodés sur les coulures exigéreni sans
plus de facon le relrait de eet infame pro
jet de loi ils prèchèrent la résislance de
leur plus grosse voix, et lirent entendre que
cette fois on ne se boruerail p3S a des pro
menades et a des chants dans les rues.
Quant aux gueux de carrefour, il eut pour
mission, comme toujours, de hurler, de
chansonner, d'outrager, sans prejudice des
emotions pratiques et des pavés a l'occasion.
On sail s'il fit sa besogne en conscience et si
les preux champions de la moiraliié publique
eurent lieu a ètre satisfaits des exploits de
leurs soldats. Le pays est encore sous le pé-
nible impression que lui ont ca'usée les scan-
daleuses mascarades oü cette lourbe a impu-
némenl insulté, sous l'ceil de la police, les
ministres du culle, les associations religieu
ses, des classes enlières de citoyens, des dé-
puléset jusqu'a des conseillers dela Couroune.
Le public honnèle, qui d'abord n'avait pas
bougè et qui s'etaii borné a liausser les épan-
les a toule cette agitation factice, finit cepeji-
dant par reconnoitre qu'on voulail le meiiCr
oü il ne lui convenail pas d'aller, et qu'on
faisait de la propagande maconnico-libérale
au dépens de son bien-èlre. Soucieux de sa
suprematie comme en 1870. il étonria et
troubla la seclc par la vigueur de son atti
tude, et nous assislons depuis lors a l'un des
mouvements d'opinion les plus imposants
dont d soil fait mention dans l'hisloire de
nos luiles poliliques. A I'hen ré qu'il est on
ne ciierait pas un com du pays qui n'ait fait
entendre ses vceux a la legislature et énergi-
queinent repoussé les arrogantes pretentions
i de la gueuserie.
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Pupermglie- Ypres, 5-15,7-00,9-28,11-00,2-13,5-05,9-20. Ypres-Poperinghe, 6-30,9-07,12-07,3-57,6-90,8-49,9-30. Po-
peringhe-Hazebrouck, 6 S3, 12-23,7-10. Bazebrouuk-Poperinghe-Ypres, 8-25, 4--10, 8-25.
pres-Boulers, 7-50, 12-25, 6-45. Roulers- Ypres, 9-25, 1-50, 7-30.
\io\i\ers-Bruges, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-36, (9-55. Licluerv.) Licluerv.-Thourout, 4-23 m. vers Oslende. Bruges-ttoiz-
lers 8-25, 12-45, 3-05, 6-42. Lichlerv.-Courtrai, 5-25 m.
Y pres- Cour Ir ai 5-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-25, Courtrai-Ypres, 8-08, 11-05, 2-36, 5-40, 8-49.
Ypres-Thourout, 7-18, 12 06, 6-20, (le Samedi ii 5-50 du matin jusqu'a Langtiemarck). Thourout-Ypres, 9 00, 1-23, 7-43,
(le Samedi a 6-20du matin de Langhemarck a Ypres).
Comines-Warnêton-Le Tmiquel-Hoilplines-/lrmenlières, 6-00, 12-00, 3-33, ArmeiUières-llouplines-Le louquel-W arnelon-
Comines 7-25, 2,00, 4-43. Comines- Wamélon 8-43, m 9-30 s. (le Lundi 6-30,) Warnêton-Corames 3-30, 11-10, (le
Courtrai-Bruges, 8-05,11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6-55. 9-00 s. (Licluerv.) Bruges-Ctwrtm", 8-25, 12-433-03 6-42.
Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-25, 11-08,2-30, 7-35. (bassin) 7-31, 11-14,2-36, 7.41, - lleyst, Blankenb, Bruges,
5-45,8,25,11-25, 3-30. o
Ingelmunster Deynze-Gand, 5-00., 9-41, 2-15. Ingelmansler-Dey/ize, 0-10 7-f5. Gand-Dayme-Ingelmunster6-58, 11-20,
4-417-21. Deynze-ïngelmnnsler, 1-00.
Ingelmunster-Awsep/tm, 6-05, 12-55, 6-13. Anseghem-Ingebnunster, 7-42, 2-20, 7-43.
Lichtervelde-Dixmude-Furnes et Dunktrke, 6 30, 9-08, 1-33, 8-00. öizzi/cerAa-Funies-Dixinucie et Lichlei'vaUle, ti-33, tl-10,
3-40, 3-00.
Dixmude-Arjeupor,L9-50,2-20j8-45. Nieup-DLr/n, 7-30,12 00,4-20.
Thourout-Oslende, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. 'Oslende-Thotaural, 7-55, 10-10, 12 25, 6
Selzaete Eecloo, 9-05, 1-25, 8-25. Eecloo-Seérae(e,5-35, 10-15. 4-22
Giind-Terneuzen, (sintion) 8-17, l2-"^3. 7,30. (porte d'
Selzaete-Lokeren, 9-04, 1-30, 8-30. (Ie Merer. 3-10 ni.)
Gand-Terneuzèn, (station) 8-17, 12-23. 7,30. (porie d'Anvers) 8-30, 12-40. 7-45. Terneuzen-Gbiad, 6-00, 10-30, 4*o.
®"i—A* "A h Lokeren-Selzaete, 6-00, 10-25, 4-43. (le Mardi, 9,30.)
O O It R ESPON33AIVCBS.
COURTRAI, BRUXELLES. BRUXSLLES, COURTRAI-
6-15.
Courtrai dép; 6,37 10,33 12,33 3,42 6,33.
Bruxelles arr. 8,50 1,35 2,25 6,10 8,54.
COURTRAI, TOURNA ILILLE.
Courtrai dép. 6,37 10,56 2,54 3,.34 '8~47.
Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 6,39 9,41.
Lifie 7,38 12,08 4,00 6,35 10,00.
COURTRAI, GAND.
Courtrai dep. 0,42 9,49 12,3! 3,44 6,40.
Gand arr. 8,01 11,08 1,31 5,04 7,36.
BRUGES, GAND, BRUXELLES.
Bruges d. 0,49ex.7,04 9,39 12,34, 2-52,ex. 6,43.
Gand a. 7,34 8,19 10,54 1,49 4,1)7, 7,38. 9,31.
Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4 00,7,13, 9-31. 10,40.
Bruxelles dép.
Courtrai arr.
5,22
8,00
8,28
10,46
12,21 5,35
2,44 7,36
6.47.
8,44.
LILLE, TOURNAI, COURTRAI.
Lille dép. 5,15 8,22 11,03 2,22 4,43
Tournai 5,42 8,56 11,29 2,40 5,39
Courtrai arr. 6,34 9.47 12,26 3,38 6,33
GAND, COURTRAI.
Gand dép.
Courlrai arr
5,15
6,37
9,38
10,56
1 28
2,54
4,24
5,34
7.21
8,47
BRUXELLES, GAND, BRUGES.
Brux-tlles dép. 7,29 8,14 11,06 1,35 3,02 ex. 4,59 ex.
Gipl arr. 6,00 8;S8 9,41 1,23 3,59 4,11 6,29
Bruges 7,15 9,23 10,34 2,38 5,01 7,22
5.33
7,17
8,85