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Mercredi 4 Avril 1877. ^5
12e année. N° 1,175.
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Le Journal parait Ie Mercredi et le Samedi. Les insertions coütent 15 centimes la
Les réclames et annonces judiciaires se paient 30 centimes la ligne. On traite a forfait pour les insertions par année.
Un numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes. Les numéros supplémentaires commaddés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 10 tr. les 100 exemplaires.
CHE1EIM8 B> E F K lt. 1 Décembre.
cob. r TjapoifoAisrcES.
LES RÉSULTATS DU KULTURKAMPF.
(Suite),
L'orateur passe ensuite a l'enseignement
moyen et supérieur et constate que les cours
de religion sont confiés de preference a des
alhées et a des ennemis personnels de Dien.
Nous n'en sommes pas encore tout-a-fait
la en Belgique peut-èlre, mais, en revan
che, nous possédons des professeurs qui
a l'occasion de cours entièrement étrangers
a la question religieuse, se plaisent a insulter
a la foi de la nation et se préoccupent bien
plus d'affirmer leur haine anli-religieuse que
de former des hommes instruits ou mème
sérieux.
Pour en revenir a l'école primaire, il ré-
sulte de ce qu'on vient de lire, qu'elle des
cend en Prusse la pente d'une décadence ra-
pi'de et inevitable, fruit du Kulturkampf. II
y a pen d'années. l'enseignement populaire
prussien élait regardé par la plupart des
étrangers, comme ayanl réalisé l'idéal du
genre. Celle reputation élait surfaile, mais
elle existail, et elle n'eül pu s'élablir si la
Prussen'avait possédé un corps d'insliluteurs
modeste et savanl, représenlé en grande
parlie par les ordres religieux. Le Kultur
kampf a supprimé eet élément de civilisa
tion et créé ainsi un vide que l'élément laï-
que ne combiera jamais. Pourquoi? Paree
qu'il manque a ce dernier ce qui faisait la
force de l'autre, une abnegation et un dé-
vouement poussés jusqu'a l'héroïsme el que
la foi seule est en état de créer.
L'école prussienne s'étiole et meurt sous le
souffle délétère du libéralisme. L'enseigne
ment officie! beige, infiniment moins puis
sant, résislerait-il a ce souffle mortel? Ce
serail folie de le penser.
La lulle civilisatrice, si elle parvienl a
s'implanler en Belgique, ne produira qu'un
résullat: c'est la mort de l'enseignement offi-
ciel. Le peuple montre énergiquement, par-
tout oü on lui laisse le choix entre l'école
religieuse et l'école libérale, athée ou non,
qu'il préfère la première. Mème les exemples
ne sont pas rares, qui prouvent a l'évidence
que l'enseignement religienx est aux yeux
du peuple une condition sine qua non de
['instruction. Plutót pas de nourrilure qu'une
nourrilure empoisonnée
C'est la contre-partie de la parole prus
sienne que cilait M. de Schoriemer-Alst et
qu'en Belgique M. Laurent a faite sienne.
Presque parlout, dans noire pays, l'école
officielle ne se soutient que par une sorle
d'enseigne religieuse queses patrons se sont
efforcés de lui conserver. Que les Gueux,
s'ils arrivent un jour au pouvoir, osent réa-
liser leur programme actuel et supprimer ce
reste de catholicismc, leur réforme sera ac
cueillie par la desertion presque générale de
leurs établissemenls d'inslruction
lis auraienl beau combatlre celte répulsion
en inlroduisanl ['obligation scolaire, la cons
cience catholique serail plus forte que la
conlrainte légale.
L'obligalion existe en Prusse a cóté du
Kulturkampf. Qu'a-t-eile produit? Une hos
tililé ouverte, une guerre sans trève ni merci
entre le peuple catholique et les instituleurs
soutenus par l'Etat. Nos lecleurs savenl assez
es épisodès de celle lulle. L'Etat a pu pro-
noncer des condamnations, accumuler les
amendés, exiler, emprisonner: il n'a pu
'aire fléchir la foi. Celle-ci demeure la plus
'orte.
Les mèmes causes agissanl sur les mèmes
éléments produiraient chez nous les mèmes
effets.
Les Gueux affichcnt hautement leur inten
tion d'engager le combat. Les premières es-
carmouches ontdéja eu lieu. II importe que
les calholiques se préparent a la lutte.
Mais, une fois la balaille décisive commen-
cée, une fois que le cri d'alarme aura été
jeté et que le danger aura élé reconnu dans
toute sa gravité, la question religieuse sur-
gira et absorbera la question scolaire der
rière laquelle on s'efforce encore de Ia ca-
cher. Les voiles tomberont, les positions se
déssinërörit. Comme chez nos voisins de
'Est surgiront des méconlentemenls redou-
tables, le libéralisme viendra se beurter a
une résislance décidée a laquelle il finira
par succomber.
La question scolaire, si importante qu'elle
soit et en elle-même et par ses conséquences
religieuses et poliliques, n'est qu'une des
faces de la lutte engagée en Ailemagne. C'est
sur le terrain religieux que se livre la ba
laille décisive.
Les empiétemenls de l'Etat prussien en
malière d'enseignement ne datent pas d'hier.
Bien avant 1872 et les premières lois persé-
cutrices, l'Etat préparait le terrain, il affai -
blissait l'esprit catholique dans ses écoles
qui, élant obligatoires pour tous les ciloyens
devaient forcément être mixtes. Cette mar-
che, pour être lente, n'en élait que plus sure,
et, aux yeux des hommes poliliques de Ber
lin, elle devait avoir pour résullat final la
lélhargie des consciences el l'anéanlissement
de la foi romaine dans le royaume.
II y a trente ans, un homme dont la foi
inspirait le génie, Donoso Cortès, disail que
Fame et la raison d'etre de la Prusse élait le
protestantisme, c'est-a-dire l'hostilité conlre
Rome. Les événemenls qui se sont succédé
depuis lors n'onl cessé de donner raison a
l'illustre publiciste. Les germes que son ceil
clairvoyant avail démélés dans la politique
machiavélique de Berlin, se sont développés
et les fruits de l'arbre ont juslifié le juge-
ment que le diplomate espagnol avail porté
sur la semence. Nos adversaires eux-mèmes
complètent tous les jours Ia demonstration.
La guerre que l'Eglise soutient dans l'Eu-
rope occidentale toulentièrea pris un carac-
lère nettement prussien. Les libéraux beiges,
suisses et ilaliens ne cachent plus les liens
de vassalité qui les attachent a Berlin. Les
libéraux anglais et les radicaux francais sont
tenns a plus de réserve. Le caraclère natio
nal de ces deux peuples se prêterait mal a
une servitude ouverte et reconnue a l'égard
de l'Allemagne. Néanmoins leur conduite est
si bien d'accord avec les instructions que la
chancellerie allemande expédie a ses alliés
reconnus que la complicité, pour ne pas dire
l'sservissement, est visible et flagrante. Le
procés d'Arnim ét la fameuse brochure Pro
nihilo ont, d'ailletirs, fourni a ce sujet des
renseignemenls si décisifs qu'il n'y a plus
désormais qu'a s'incliner devant l'évidence
du fait.
Tous ces fails ne montrenl-ils pas que
nos adversaires out compris que Berlin devait
ètre leur Rome et que la Prusse est vouée,
par sa position mème, a devenir les Elals de
l'Eglise libérale?
Dans ces circonslances, il est clair que les
lecons qui viennent d'Outre Rhin outpour
nous une importance ca pi tale. Chez nos voi
sins de I'Est et chez nous la marche du libé-
ralismemst paralléle.
Quand la Prusse a pu, par l'annexion de
provinces calholiques, commencer a l'inté-
rieur la campagne anti-romaine pour la
quelle elle élait créée, elle s'est atlaquée
lout d'abord a l'enseignement. Celui -ci de-
vint obligatoire. Ce premier pas était fait, le
reste devait suivre. L'Etat ayant décrété la
conlrainte scolaire devait tenir la main a
['execution de sa loi et s'assurer par lui-mê-
me si celle-ci ne demeurait pas lettre morle.
Or, la liberie pour Ie pére de familie de
confier ses enfants a l'école privée rendait le
controle de l'Etat impossible ou du moins
Irès-difficile. L'enseignement libre fut dés
lors condamné ct l'instruclion devait être cen-
tralisée aux mains de l'Etat.
C'est ce qui arriva. Mais ici surgissait la
question de l'enseignement religieux. L'Etat
protestant pouvait supprimer celui-ci, mais
e'eüt été mettre le feu aux poudres danj des
provinces mal soumises el altachées a leurs
croyances. L'unilé politique en eut souffert.
Ou pril un détour: l'école devint mixte. On
évilait ainsi de heurter en face le sentiment
religieux des populations, ct d'autre part la
neulralitê qu'affichait l'Etat enseignant entre
les différentes confessions religieuses devait
r'éagir sur l'esprit de l'éléve el y déposer des
germes d'indifférence religieuse germes
morlels pour toute foi positive.
Quand on put croire avoir réussi dans cet
te ceuvre préliminaire, les batteries cachées
ont été démasquées, et la guerre ouverte a
éclaté.
Cette marche progressive du libéralisme
en Prusse, n'esl-elle pas tout juste celle que
ne cessent de préconiser chez nous les chefs
de file de la gueuserie? N'est-ce pas celle que
suil l'armée libérale tout enliére? En atten
dant que le pays soit mur pour l'enseigne
ment obligatoire, on organise, on étend
l'enseignement ofliciel, dont on masque l'a-
théisme sous le mot de neutralilé. Ce que
signifie celte neutralilé, nous le voyons par
lout oü nos adversaires se croient assez forts
pour rejeler les timidilés et passer outre aux
hésitations. Mème sous le régime de la loi de
1842, les écoles de Gand sont devenues des
pépiniéres de libéraux. Que sont les
athénées, les universités de l'Etat? Tout le
monde sail ce qu'y sont les professeurs et ce
qu'y sont les éléves
Comme nous, les calholiques allemands
se sont laissé prendre a l'hamecon de l'école
officielle; comme nous, ils ontcrainl de pas
ser pour les ennemis des lumiéres, el ils se
sont courbés sous le niveau de ('obligation
scolaire, souvent mêmc ils ont prèlé la main
a la consolidation de l'enseignement de l'Etat.
Jnsque-la le parrallélisme est complet, mais
nos frères d'Outre-Rhin ont eu a dépasser
avant nous ce régime d'énervante hypocrisie
qui n'est que le vestibule de la persecution.
Que leur exemple nous serve de lecon Ain
si que nous l'avons dit, il importe que les
calholiques beiges s'arrêtent dans cette voie,
qu'ils sortent de ce vestibule dangereux qui
n'a que deux issues possibles, ou bien la
chute de l'enseignement officiel et neütre
ou bien la persécution bismarekienne.
On sail ce qu'est le Kulturkampfil se
passé peu de jours que nous n'ayonsa faire
connailre un nouvel attentat. II ne sera done
pas nécessaire de rappeler mème sommaire-
ment, cette navrante histoire. Nous préférons
rendre la parole a M. de Schorlemer-Alst.
1.1 indique queiques-unes des usurpations de
l'Etat et développe fièremenl les enseigne-
ments qu'a su en lirer la foi subitement ré-
veillée des calholiques. Les résullats des lois
de mai ont sbsolumenl trompé l'atlente de
leurs auteurs.
La plupart des évêques calholiques
dit l'éminent oraleur, sont en exil. La cour
des affaires religieuses a vaillamment con
damné; mais qu'y avez-vous gagné Le lien
qui unit les laïques et les prêtres a leurs évê
ques n'en est devenu que plus fort et plus
étroit On a trainé devant les tribunaux
les évêques et les hauls dignitaires de l'Eglise
on les a accuses de délournement de fonds
commis par des fonclionnaires. Et cepen-
dant, lont récemment, on a dit, ici mème
au banc des ministres, que les évêques et
les dignitaires ecclésiasliques ne sont pas
fonclionnaires et que l'Etat ne peut leur re-
connaitre celte qualité La presse des repti
les, toujours préte a faire du zèle, a aussitót
brodé sur celte accusalion et s'est efforcéde
faire accroire qu'on avail affaire a des voleurs
et a des tnalfaiteurs vulgaires. L'évèque (de
Munster) et les ecclésiastiques accuses ont été
condamnés: c'étail dans l'ordre de la justice
libérale. Mais la cour dut declarer explicite-
mentdans son arrèt que l'intérêt personnel
avail été entièrement élranger a la conduile
de l'évèque et que les aecusés avaient agi
dans l'entière conviction qu'ils faisaient leur
devoir et qu'ils défendaient les intéréts de
l'Eglise. Mais, MM., que signifie done un
arrèt pareil, quand le peuple, non par des
milliers mais par des millions de voix, a
acquitlé les aecusés et est convaincu qu'ils
onl fait leur devoir et qu'ils ne pouvaient
agir autrement Ne vous imaginez pas que
le bon sens populaire se laisse égarer par des
arrèts semblablesCroyez-moi le peuple
sait trop bien oü trouver les voleurs (Cris
eltumulte d gauche. Très-vrai! au centre)
lei j'emprunte le langage d'un des Vol res,
du poéie Hoffmann von Fallersleben, et je
déclareavec lui que voire Etat fiscal el ra pace
est le requin de la socióté. Très-bien
MM., nombre de paroisses sont privées
de leurs pasteurs; les exercices religieux ne
peuvent plus s'y faire convenablement, les
malades el les mourants demandent en vain
les dernières consolations de la Religion.
Quelle est la consequence de eet état de cho-
ses?Une colère formidable couve dans le
occur du peuple, et, si celle situation se pro
longe, nous marchons a la barbarie. Mais a
qui nuisez vous par vos attentats Ce n'est
certes pas a l'Eglise, c'est a la société, c'est a
l'Etat
Vous avez essayé des curés ct du catho-
licisme d'Etat: ces essaisont misérablement
avorté. Le ministro des cullcs a dü depuis
longtemps se dire a lui-même que tout ce
qu'on a fait depuis cinq ans n'a nbouli qu'a
des mécomptes ct au ridicule. (Très-vrai
Vous avez appuyé, récompensé, excilé, sou-
doyé l'apostasie: combien avez-vous recueijli
d'apostats Je puis vous le dire l'Eglise
catholique vous doit une profonde reconnais
sance, car vous l'avez débarrassée des im-
mondices qui la souillaient. (Très-vrai!) Les
curés fidèles et les autres prêtres sont admi-
nistrativement suspendus, arrêlés et jelés
dans la mème prison que les voleurs et les
malfaileurs. Qu'y avez-vous gagné Le peu
ple leur a tressé des couronnes d'or et les
honore mille fois plus qu'auparavant. Toules
les communes des provinces catholiques vous
combatlent et se refusenta ['execution de la
loi sur fadministration des bieos ecclésiasti
ques el sur la remise aux commissaires d?
l'Etat des biens des diocèses. Vous avez ac-
eordé a ces commissaires des pouvoirs que
la loi leur refuse et qu'il vous serait impos
sible de justifier surlout en malière pé
nale si vous ne recouriez pour tous les
conflils a ce tribunal d'exception que vous
vous ètes inféodé. Très-vrai
Le Kulturkampf s'est attaqué aussi a la
vie civile... II a produit uu corps de déla-
teurs, les fonclionnaires el tous vos amis sont
devenus des sycophantes, et la bonte de la
nation Très-vrai Le Kulturkampf est
devenu le mot d'ordre de tous ceux qui tien-
neut a faire du zéle il a pénétré dans la
magistrature. 11 infiue sur les décisions des
tribunaux el il a anéanli la confiance qu'on
avail dans la justice Grand tumulle. Très-
vrai uu centre).
Ne vous récriez pas, MM., sonvenez-vous
de ee que ces messieurs de la gauche ont dit
sur le mème sujet, sans avoir a subir vos cris
de colóre, sans mème ètre admonestés par le
président. M, le député Twesteu a dit: Le
peuple ne croil plus u i'indépendance des
juge's Nous ne devons pas vous nourrir
dans les illusions nous au moins ne verse-
rons jamais dans l'tiypocrisie (Ecoulez
écoutez M. Twesten a d.t que M. le minis-
tre de la justice de l'èpoque corrompait sys-
tématiquemeni la cour suprème. II ajoutail:
Linjustice et la partiatité ont lué la pu
deur. II disait encore: Les ministres
réussironl d abaïsser la magistrature d un
lei point qu'elle ne rougira plus de sa degra
dation. Et M. le dépulé Gneist déclarait
Je reconnais que le jugemenl prononcê
sur la magistrature du roi de Prusse par
M. Twesten est absolumenl fondó. (Hilarité).
Je fats miennes ses paroles sans la moindre
restriction. Vous voyez bien, MM., que la
délicatesse ne vous sied pas Très-vrai
(/t conlinuer).
LE LIBÉRALISME ET LE POUVOIR.
Un parti qui aspire a gouverner l'Etat doit
ètre conservateur. C'est la une vérilé de sens
common qui n'a jamais souffert de contesta
tion pour un esprit sérieux, et quand on la
considére' bien, cette vérilé élémentaire est
la condamnation immédiate dc l'opinion
libérale. Sur ce point, el malgré toutes ses
hypocrisies, le libéralisme est en aveu, sans
s'en douter. II s'appellera lui-même progrés,
civilisation, liberie, indépendanee de l'esprit
et du cceur; mais, a part quelques cas excep
tioneels oü il sent le besoin d'avoir nom
république conservatrice ourépublique aima-
ble, il nc s'avance guère dans cc dernier
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Poperinghe-Ypres, 5-15,7-00,9-28,tl-00,2-15,5-05,9-20. Ypres-Poperinghe, 6-30,9-07,12-07,3-87,6-30,8-43,9-50.
peringhe-Hazebrouck, 6 S3, 12-25,7-10. Hazebrouck-Poperinghe-Ypres, 8-23, 4-10, 8-25.
Ypres-Routers, 7-50, 12-25, 6-45. Roulers- Ypres, 9-25, 1-50, 7-50.
Rolders-Bruges, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-36, (9-55. Lichlerv.) Lichterv.-Thouroul, 4-25 m. vers Oslende. Bruges Hau
lers 8-25, 12-45, 5-05, 6-42. Lichterv.-Cour tr Ai, 5-25 m.
Ypres-Cöurfrai 5-34, 9-46, 1 1-20, 2-35, 5-25, Courtrai- Ypres, 8-08, 11-05, 2-56, 5-40, 8-49.
Ypves-Thourout, 7-18, 12 06, 6 -20, (le Samedi a 5-50 du matin jusqu'it Langhemarck). Tboaröul- Ypres, 9-00, 1-25, 7-45,
(le Samedi a 6-20 du matin de Langliemarck a Ypres).
Comines-Warnêton-Le Touquet-Houplines-4rme»tóères, 6-00, 12-00, 3-35, Armentières-flouplines-Le Touquet-vV arneton-
Comines 7-25, 2,00, 4-45. Comines- Warnêton 8-45, m. 9-30s. (le Lundi 6-30,) Warneton-Coniiwei 5-30, 11-10, (le
Courtrai-Zinzoes 8-05,11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6-55. 9-00 s. (Lichterv.) Bruges-CowZm, 8-25, 12-45,5-05,6-42.
Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-25, 11-08, 2-50, 7-35. (bassin) 7-31, 11-14, 2-56, 7.41, fleyst, Blankenb, Biuges,
5-4Ö 8 25 11-25, 5-30.
IngelmunsterDeynze-Gawü, 5-00, 9-41, 2-15. lngelmunster-ZDejmze, 0-10 7-15. Gand-Dayme-Ingelmunster, 0-58, 11-20,
4-41 7-21. Y)eyne-Ingelmunster, 1-00.
Ineelmu'nstèr-Awseo/rew, 6-05, 12-55, 6-13. Knsu^hem-Ingelmuns ter7-42, 2-20, 7-45.
Lichtervelde-Dixmude-Furnes et Dunkerke6 30, 9-08, 1-35, 8-00. Dtz?i/rer/ce-Furnes-Dixmude et Lichlervel.de, 6-35, 11-10,
3-40, 5-00.
Dixmude-iViewpor'Z,9-50,2-20,8-45. Nieup-Ztom, 7-30,12 00,4-20.
Thourout-Ostewde, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. Ostende-7%<mr<w<, 7-55, 10-10, 12 25, 6-15.
Selzaeie-Z?ec/oo, 9-05, 1-25, 8-25. Eecloo-Se/jaefe,5-35, 10-15. 4-22.
Gand-Temeuzen, (station) 8-I7, 12-25, 7,30. (porie d'Anvers) 8-30, 12-40. 7-45. Terneuzen-GW, 6-00, 10-30, 4.0,
Sehseio-Lokeren, 9-04, 1-30, 8-30. (le Merer. 5 10 m.) Lokeren-Selzaele, 6 00, 10-25, 4 45. (le Mardi, 9,30.)
COURTRAI, BRUXELLES.
BRUXELI.ES, COURTRAI.
Courtrai dép.
Bruxelles arr.
6,37
8,50
10,53
1,35
12,33
2,25
3,42
6,10
6,35.
8,54.
Bruxelles dep.
Courtrai arr.
5,22
8,00
8,28
10,40
12,21
2,44
5,35
7,50
0,47.
8,44.
COURTRAI, TOURNAI, LII.L1Ï.
Courtrai dép.
Tournai arr.
Lille a
0,37
7,28
7,38
10,56 2,54
11,47 3,48
12,08 4,00
COURTRAI, GAND.
Courtrai dep. 6,42 9,49 12,31
Gand arr. 8,01 11,08 1,51
BRUGES, GAND, BRUXELLES.
5,34 8,47.
0,39 9,41.
0,35 10,00.
LIÏlLÈ, TOUItNAI, COURTRAI.
Lille dép. 5,15 8,22 11,05 2,22 4,45
Tournai 5,42 8,56 11,29 2,40 5,39
Courtrai arr. 6,34 9.47 12,26 3,38 6,33
GANO, COURTRAI.
3,44
5,04
6,40.
7,50.
Gand dép.
Courtrai arr.
5,15
6,37
9,38
10,56
1,28
2,54
4,24
5,34
7,21.
8,47
BRUXELLES, GAND, BRUGES.
Bruges d. Ö,49ex. 7,04 9,39 12,34, 2-52,ex. 6,43.
Gand a. 7,34 8,19 10,54 1,49 4,07, 7,58. 9,31.
Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4-00,7,15, 9-31.10,40.
Bruxelles dép. 7,20 8,14 11,06 1,35 3,02 ex. 4,59 ex.
Gin t arr. 0,00 8,38 9,41 1.23 3',59 4,11 0,29
Bruges 7,15 9,23 10,34 2,38 5,01 7,22
5.55
7,73
8,81
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