AU PAUVRE Dl ABLE Exposition univeusei.ee et internatio nale de paris en 1878. II réstille d'une com munication adressée a la Commission Iielge par le Commissariat général Frangais que les pruduits indnstrieis seront regardés comme apparienant la nationalilé du lieu de fabrication ou de pro duelion, quelle que soit celle de l'Exposant et ne ponrront conséquemmenl êlre exposés que dans le compartiment réservéa celle nation. non pas seulemenl ici, niais parlout oü il y a des cceurs chrétiens. nous professons, nous proclamons notre adhésion complèie, noire croyance, noire ferine croyance aux droils du St-Père.... (De loutes purls Qui! uui!) 2° Que nous croyons a la nécessité du pouvoir iemporei. Eh mon Dieu, qui done pourrait Ie nier aujourd'hui Je dois vous faire ma confession ii y a 20 ans, peut-èlre 30 ans, j'étais un ihéoricien et je croyais que les idéés, que les convictions, que les senti- menls suffisaient dans la vie politique comma ailleurs, dans la vie des peuples, dans la vie des sociélés eomme dans la vie des individus, el je croyais qu'il était inutile, inopporlun d'affirmer le pouvoir temporel du Sainl-Pére. Je voulais mème, je crois, la suppression du pouvoir temporel; mais, aujourd'hui, je I'a- voue, j'étais dans Terreur. II n'y a pasd'in- dépendance possible pour le pouvoir spiri- tuel du Saint-Père sans pouvoir temporel. J'ai élé frappé de ce passage de notre adresse rendue avec l'éloquence qui lui est naturelle par mon honorable ami, M. Henry; mais je voudrais quelque chose de plus, quelque chose qui nous permit d'affirmer de- vant la Belgique, devant Ie monde entier, quoi qu'on fasse aulour de nous, au dessus de nous, que nous sommes reslés calholiques vraiment dévoués a notre foi etavant tout a notre foi. Par conséquent, je vous propose d'ad- hérer d'abord a cette conviction de la néces sité du pouvoir temporel, el enfin je vous demande une adhésion complèie, générale de tous nos cceurs, de loules nos ames, de loutes nos forces aux termes de la' derniére allocution du Saint Père, de notre bien aimé Ponlife, Pie IX. (Appluudiss emails ent hou-) siasles.) La motion de M. de Kerckhove est adop- tée a 1'uDanimité. vers les réflexions suivanles qui méritent d'etre reproduites en Belgique, oü le cours de la loi a l'égard des assassins est suspendu d'une manièrc permanente: Du recours en grace de Billoir, des journaux prennent occasion de risquer des ihéories absolument insaluhres, moralement et juridiquement. La grace supprime la jus tice. Lom d'èlre un droit, el le est l'opposé, presque la negation du droit. La grace ne peut ètre qu'une infiniment rare exception, exception mème n'esi pas le mot; la grace est une anomalie, suspendant le cours natu rel des lois qui régissent le monde moral, quelque chose comme un fait de l'ordre qua- si-miraculeux. On travaille a en faire un droit normal. Le recours en grace devient une procédure usuelle; pas un coupejarret ne se privé d'en user. On écrit a ce propos des choses énormes; un journal qui se pique d'èlre bien pensant insinuail ces jours ci, que le chef de l'Etat, arbitre des graces, assume, en slaluant, une responsabilité redoulable, la responsabilité de la vie et de la mort. C'est simplement monstrueux. Oui, le chef de l'Etat engage moralement sa responsabilité, mais uniquement quand il commue ou qu'il gracie; il défait alors ce que la justice a fait, chose grave. En écarlant le recours en grace d'un individu qui a été dümenl jugé, düment el amplemenl défendu, le chef du pouvoir exécutif laisse simplement les choses en l'é- tat, et a qui de droit la responsabilité du jugemenl et de ses suites. Sa personnelle ir- responsabilité est enliére devanl Dieu el de- varit les hommes. Le Libêral félicite MM. les ministres Del cour et Beernaert d'avoir assisté aux funé- railles civilesde M. Fuück. Nous le prions de rengainer ses félicitations. M. Delcour, quoi qu'eu aienl dit les jour naux, n'a pas assisté a ces funérailles. II s'est borné a faire une visite de courtoisie au fils de M. Funck. il s'est retiré avant la levée du corps. II n'était pas présent a la lecture des discours, et personne ne Fa vu dans le cortégc. Quant a M. Beernaert, s'il assistait aux fu nérailles, c'élaita litre de proche parent dn défunt. Gazette de Louvain.) Nous lisons dans une brochure inlitulée: l1 Internationale el fOuvrierpar Félix Le- quien, avocat, les lignes suivanles: Chaque membre de 1' Inter nationale ver se en entrant une somme de SO centimes dans la caisse de l'association. Ensuite il donne 10 centimes par an pour le conseil général; plus 50 centimes par mois ou 6 francs par an. II y a 7,000,000 d'associés; leurs coli- sations produisent,chaque année.42,070,000 francs. Ce Irésor de guerre immense amassé par la cupidité des communistes est l'expression visible el palpable des ravages produits dans les masses par les doctrines libérales. Ainsi que l'observe M. Félix Lequien, Vlnterna- tionale laisse en paix les protestants, n'ayant pas a redouter ces esprits divisés entre eux de toutes les manières; toute sa haine se tournecontre la religion calholique. Cetle haine explique l'alliance conclue a Bruxelles, a Anvers, a Charleroi et ailleurs entre Y Internationale et le libéralisme. Ce- lui-ci n'est pas de taille a lutter contre la première et finira par ètre absorbé par elle. Une autre observation est celle ci: les Gueux deGand, de Bruxelles el d'Anvers, de Tournai, s'appliquent a meltre des enlraves a la charité calholique. tandis qu'ils favori- sent les quètes de I'Internationale en faveur des fusilleurs de l'avenir. Ce qui est permis a la Commune ne l'esl plus a l'Eglise! Le libéralisme devrait bien se souvenir cependanl que IInternationale une fois dé- chainée ne s'arréle pas devant la patte blan che que peuvent produire les doctrinaires et les Gueux. Parmi les otages de 1871 on compte Mgr Darboy et les Pères Jésuiles de la Roquette, mais aussi le président Bonjean, un doctrinaire et un journaliste radical, Chaudney! L'ex-pére Hyacinlhe, M. Loyson, a donné sa première conférence a Paris, devant un audiloire ad hoeoü figuraient au premier rang bon nombre de ministres protestants, voire quelques rabbins juifs. C'est un lamen table spectacle que celui de eet homme qui a annoncé la doctrine du Christ du haul de la chaire de Notre Dame el qui maintenant, infidéle a ses voeux monastiques. fait recette dans une salie de cirque, devant un auditoi- re banal el sans croyance, en péroranl a lort et a travers sur la presse, le suffrage universel et l'infaillibilité, sur la morale et sur le darwinisme, sans oublier surtout sa trisle personnalilé. Mais le scandale mème a ses lecons: il fait trembler en pensant oü peut descendre celui qui s'éloigne volontairement de la vérité et de Dieu. L abus du droit de grace inspire a YUm PERSÉCUTION RELIGIEUSE EN RUSSIE. Les journaux anglais nous rapportent un recueil nontenant les rapports recus au Foreign-Office de Londres pendant ces der- niéres années sur les trailemenls infligés au grecs-unis en Russie Ce document parle mentaire, imprimé par commandement de Sa Majesté aprés une adresse de la Chambre des communes du 5 mars 1877, votée croyons-nous, sur la proposition de M. Owen Lewis, député d'Irlande, est intéressant a plus d'un litre. Cerles nos lecleurs n'en sont pas encore a ignorer les inoyens employés par le gouver nement du czar pour russifier la Pologne, mais rien ne donne une si navrante idéé de ces moyens et de leurs odieuses conséquen- ces que le style froid, sec, des officiers de Ia couronne brilannique rapportant a leur gou vernement ce qu'ils voient, ce qu'ils enten- dent, ce qui se passe sous leurs yeux, avec le mème calme que s'il s'agissail d'un pays in- connu oü la voix de l'Europe ne peut se faire entendre au nom de la justice et du droit. L'un de ces représentanls de l'Angleterre est iord Loftus, l'ambassadeur a Saint Péters, bourg. L'honorable lord n'est pas en Pologne il ne peut parler que de ce qu'il voit et de ce qu'il lit. Ce qu'd lil ce sonl les articles agréa- bles du Golos, du Messager officiel de l'em- pire, raconlaut avec enthousiasme le retour progressif et spontané des populations polo naises a l'orthudoxie russe. Une fois c'est 50,000 grecs-unis converlis d'un coup a la religion du czar blanc une autre fois c'est le gouverneur du Lublin qui d'un seul coup de filet enrégimenle 250,000 prosélyles. A la vérité, l'honorable lord nesemble pas absolument convaincu de ces conversions. En face des récils officiels et officieux, il pose les réclamations qui lui parviennent, entre autres les courageuses prolestations du comte Plater, que connaissant tous nos lecleurs. II fait mème un brin de dissertation théo- logique et historiquemais sans prendre parti pour les Uniales contre les Russes ou contre ceux-ci pour les persécutés. II faut enregistrer et analyser. Sa Seigneurie analyse et enregislre. Les Communications dn lieutenant-colonel Mansfield out un tout aulre caractère. Le lieutenant-colonel est a Varsovie, au centre du réseau oü s'ourdissenl ces conversions a reehelle russe. II est bien obligé de dire qu'il entend des plainles, qu'il voit des irialheureux qu'on torture et qu'on persecute, des apos- lats qu'on encourage et qu'on recompense, des martyrs qu'on knoute, qu'on violente ou qu'on jelle en exil. Néanmoins, et c'est ce qui lui donne une sorte d'autorilé plus don- loureuse, le colonel se garde d'employer des expressions vives contre les persécuteurs. En une seule occasion, devant des milliers de pauvres gens ruines, chassés du toil pa ternel, mourant sous le knout et le sabr il s'écrie que ces horreurs lui rappellent l'lnqui- silion. Cri d'une belle ame Nous ne pouvons mieux faire que de re produce quelques passages d'une des der- nières communications du colonel Mansfield. Ou remarquera l'atticisme des expressions. II s'agil de 50,000 convertis en bloc a La conve sion de ces 50,000 grecs-unis a élé effecluéepur differents moyens, parmi lesquels les mauvais trailemenls physiques n'onl pas formé un élément peu considerable. Dans quelques paroisses, les plus obstines ayant éte envoyés dans l'mlèrieur de ['em pire ou en Siberië, le reste, trouvanl sa nour- nture dévorée par les cosaques, céda a la pression des subordonnés officiels et signa des petitions pour élre admis dans l'Eglise russe. Dans d'autres districts on a distribuè de 1'argent quand on a vu que la résistance saffaiblissait. Dans d'autres on a en recours aux mau vais trailemenls; a la fin les paysans ont cédé, mais en déclarant qu'ils ne cedaient qu'a la force. Et l'honorable colonel cite le fait suivanl, arrivé dans un village qu'il ne nomine pas Les paysans furent assemblés et batlus par les cosaques jusqu'a jla déclaration faite par un chirurgien que plus de coups mel- traienl leur vie en danger; on leur fit tra verser un cours d'eau a moitié gelé, on les poussa dans l'église de la paroisse a travers les rangs des soldats; une fois la, on enregis- tra leurs noms sur les pétitionset on les fit sorlir par une autre porie. Et pendant tout ce temps les paysans criaient Vous pouvez nous appeler orlhodoxes mais nous resterons dans la foi de nos pères. Lespéliiions ayant été ainsi dressées lant bien que mal, on pril une poignée de pay sans; par la force, par l'argenl, on en fit des délégués qui allèrent faire leur soumission aux autorités et a l'archevèque schismatique En face de pa rei Is fails, observe froide- rnent le colonel, j'ai lu dans le Golos et dans d'autres journaux que le mouvement est spontanés cl s'est opéié avec un profond en thousiasme de foi el de loyauté. Quel homme de bonne foi croira jamais que de pa rei I les horreurs peuvent se com- mettre dans l'empire russe sans que le czar le sache el qu'il en assume, aux yeux de l'Europe et dc l'hisloire, la responsabilité? II n'est pas en Pologne, il n'entend pas les gémissemenls des victimes, le sang polonais ne coule pas sous ses yeux, soil lily a pour- tant dans la presse, il y a dans les livres, assez de lumiére pour i'éclairer sur l'oeuvre barbare que ses cosaques poursuivent sans relache contre les populations chréliennes de Pologne. Aussi la Russie peut bien ameuter l'indi- gnalion de l'Europe contre la Turquie. Les gémissementsde la Pologne marlyriséedisenl combien les cosaques de S. M. le czar ont peu de chose a reprocher aux bachi-bouzouks du sultan. El, dans le grand conflil qui va com- mencer, il se pourrait que le sang innocent qui crie devant Dieu contre la Russie lui por. tut malheur. Eu attendant, quel sujet de ré flexions que celle guerre épouvantable qui jette l'un contre l'aulre deux persécuteurs. mariage a la maisori commune et procédé a cette cérémonie dans le chateau de M. le ba ron Dellafa ille. Lundi, 16 Avril, ont commencé devant la Cour d'assises, séant a Bruges, lesdebatsde l'allaire a charge de 1° Désiré Delooze, agé de 25 aus, ouvrier. a Aeltre, 2" Augusle Vanwassenhoue, 34 ans, ouvrier, a Aeltre, et 3° Ivon Verhoye, agé de 34 ans, fils de cultivaleur, demeuranl a Ruysselede, accu ses d'assassinat volontaire et de tentative d'assassinal commis dans la nuit du 19 au 20 Avril 1875, sur la personne de M. Charles Van der Bruggen, propriélaire et bourgmes- tre a Wyngene. Nous avons dans le temps rapporlé tous les détails de cette trisle et déplorable affaire. Pendant cette nuit, M. le baron Ch. Van der Bruggen s'élait fait éveiller a une heure afin de lacher les faisans qu'il élevait dans s:n chateau. II était accompagné de trois gardes chasse. Soudain des coups de fusil sont tirés par des braconniers; le baron, blessé mortellemenl, est transporté dans une ferme voisine. Malgré les soins assidus dont l'entoura sa familie. M. le baron Van der Bruggen rendit le dernier soupir le 26 Avril suivanl, aprés avoir enduré pendant sept jours les plus cruelles souffrances. Les débats de cette affaire ont occupé trois jours. Dans son audience de Mercredi.la Cour a rendu son arrèt par lequel Delooze est con- damnéaux travaux forcés a perpetuilé. Van Wassenhove el Verhoye, déclarés non coti- pables, ont été immédiatemenl mis en liber- té. FAITS DIVERS. do Statie le Yperen, een magazijn komt in te richten dat, gelijk zijne magazijnen van !elle(Noorde.rdepartement), gedurigzal voor- ien zijn van gewaarborgde Koeken, Nitrale de Soudeen Pern Guano. Daar M. Savoye, als Koopman in Hoppe, aanhoudende betrekking is melde heeron /andbouwers, hij is overluigd dal de hoe- anigheid en den goeden koop zijner Vellen tem zullen loelaien van langs om meer zijne nering uil le breiden. lv A N TOÖlt van den A' «taris CIA Sa IJL15. TE WATOU, OP DONDERDAG 26slc" APRIL 1877 om 2 ure namiddag te Watou-Abeele- en sterfhuize der weduwe Vita, Ruckebusch. I KOOPDAG van allerhande IWL £5 U BB Bi S STROOI HOPPE- en BOONPERSSEN. En om 5 ure namiddag ter herberg de Leeuw, te Watou-Abeele, bewoond door den medegerechtigden Vital Ruckebusch. VERKOOPING van W €5 69 A II BJ 2 SZ B5 UT SCHUUR, STALLINGEN, OVENKOT MET GROND, ERVE cn HWYËA'IESSENT, al gestaan en gelegen te Watou, west van liet, gehucht den Abeele. Aanslag met de geldtelling. OP MAANDAG<*14de" MEI 1877. om 3 ure namiddag te Beveren, Ier herbergde Zwaan,bewoond door den heer Joseph Top. OPENBARE VERKOOPING van GEMEENTE LEYSELE, nahy de Flassche. De hoeveelheid van 1 hektare 44 aren 40 centiaren ZAAILAND, in twee rekken, hekend hij kadaster sectie D. nummers 593 en 594, palende aan de Getneene- en dc Gi oenestraat. Voor alie inlichtingen zich te bege ven ten kantoore van voornoemden Notaris CAPELL.E. Men make liet ruchtbaar. S TUD IE van Meester l.lïl'MIE, Notaris te Dixmude, Noordstraat. N° 38. OP DO NOEN!) AG, 17 MEI 1877, om 1 ure namiddag, ten verzoeke van den heer Maes-Vandamme, naar te Iseghem. grondeige- te KOOPDAG Merckem, aan de Melane, van 40 KOOPEN Kepers van 30 lot 50 centimeters dik. 20 KOOPEN Haag- en Stoppcrssen. 40 KOOPEN Sparresnoei. 30 KOOPEN Sparrebusschen. 20 KOOPEN Larixen. CHRONIQUE JUDICIAIRE. La Cour de cassation, rejetant un pourvoi de M. le procureur du Roia Liége, a décidé que le cabaretier qui prète son local pour un combat de coqs ne peut élre poursuivi de ce chef, qui ne tombe pas sous l'application du Code pénal, puisqu'en matière deconlraven- tions il n'exisle point de cotnplicilé légale. Dans l'espèce, le défendeur avait été con- damné en simple police a un jour de prison, comme complice d'un combat de coqs, or- ganisé dans son cabaret. Sur appel, le tribu nal correctionnel de Liége avait acquitlé le prétendu complice par les motifs que la Cour suprème vient de sanctioneer. Le tribunal correclionnel de Gand a pro- noncé line condamnation a 26 fr. d'arnende conlre le bourgmestre de Deurle et contre M. et M",e de T'Seroiaes-Dellafaille, pour avoir enfreint la loi qui ordonne la célébration du Ypres, le 15 Avril 1877 HI. .J. A V O Y a l'honneur de prévenir MM. les cullivateurs qu'outre ses dépots d'engrais qu'il a élablis a Dickebusch chez Henri Adriaen, a Reningbelsl uhez Liévin Brutsaert et a Poperinghe chez Pierre Deibaere, il vient d'étabiir a Ypres, prés de la gare.tin magasin qui, comme ses magasins de Baillenl (Nord), sera conslammept appro- visionné de loutes sortes de Tourleaux, de Nitrate de Sonde et Guano du Pèrou garanlis, Comme Marchand de Houblon M. Savoye ayant avec MM. les cullivateurs des rapports trés snivis, est enliérement convaincu que la qualité et le bon marché de ses engrais lui permeltront d'étendresa clienlèle de plus en plus. Yperen, den 15 April 1877. NI. .1. S A A Y E heeft de eer de heeren Landbouwers kenbaar te maken dal, behalvens de depots van vellen die hij te Dickebusch bij Henri Adriaen, te Renin- ghelsl bij Livinns Brutsaert en te Poperinghe bij Pieter Deibaere gevestigd heeft, hij bij A¥IN. La maison BERDEN croit devoir désabuser le public des insinuations malveillantes répandues sur son compte depuis la retraite de l'un de ses fondateurs. Rien n'est changé ni dans la direction, ni dans la partie technique de sou industrie. Les gé rants actuels (neveux de M. Franpois Berden) étant les mèmes depuis 10 ans. Des mesures sont prises pour rechercher ies auteurs deces mécitan- cetés provoquées, sans doute, par une concurence déioyale, et leur faire porter judiciairernent la respon sabilité de leur mauvaise action. En outre, une recompense de fr. 500 est allouée a la personne qui pourra découvrir ces auteurs. Dépot des pianos Berden: a Ypres cliez MM. Heylbroeck, frères. a Courtrai Van Eeckhoudt. (7,124.) Seule entree place du Theatre, k L1LLE ACTUELLEMENT Exposition et Mise en Vente des NOUYEAUTES de PRMTEMPS Très-Belles OCCASIONS ASNaÏ"Ö'1ITAAT Toute personne qui n'a pas recu le magnifique Album illustré de cette mise en vente, qui contient ia nomenclature des BUDBMSBsu-azsrs Occasions que la Maison du ï'.MT'lïiR bbiaibEjë offre actueilementa sa clientèle, et prié de le réclamer a MM. les Administrateurs du gaaBBVB-e SHable, qui s'empresseront de le lui expédier franco. (6,748.) o M. LE VIC0MTE EuGÈNE DE KeRCKHOVE,... paree que les droils du Sami-Pére, en défi- nilive, ce sonl nos droils a nous, les droils qui nous font vivre dans nos antes, dans nos convictions, dans loul ce que nous avons de plus précieux, de plus cher. Les riuicui.es. Le correspondant de la Men se tronve plaisant de représenler ipielques depu tes calholiques roinme des êtres absolumenl ridi cules. A l'un. il reproche sa perruque, a 1'aiitre un cou trés-long, au troisième un nez niontimen- tal. Ledil correspondant fcrait hien de regarder cliez lui-uiëme. li verrail Ie citoven Demeur, étend 11 sur la basane parlementaire comme sur un lit d'höpital. L'élégant Van Isegbeiu, passant el repassanl ses doigts noueux dans une chevelu- rc aussi embrouillée que ses idees; le majestueus MF rère Orban, se ueltoyanl ies ongles avec son cauif... M. tiara ayant souvent besoin d'en faire autant: l'illustre M. Allard. plongé dans les dou ceurs du sommeil de l'enfanre; Bricourt et Pater nostre, égarés au Parlement comirie des 3nes dans un salon. Et enfin en remontant dans ces souvenirs, le correspondant de la Meuse se verrail lui-même au bon temps oil il avait un siége a la Chambre, passant la moitié des séances 'a se grader ies dents avec une plume d'oie, Aprés cela, esl-il permis, de Iron ver ses adver- saires ridicules? II n'en est pas de mème pour les produits artis- tiqnes. tels que les tableaux ou les statues; it est essentiellement convent! que l'artiste produeleur doil exposer dans la section nationale a laquelle il appartient parson lieu de naissanee. «a»cgfg;wrvT<'y:tv=;yz»r»-y uaLlBOOi I i III III II lillfl ■IBIII

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 3