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HOFSTEDEN,
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CIIELÜÏELT, BECELAEKE Ei! EOBEEE,
EEN SCHOON HUIS,
La Ouate anti-rhumatismale
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de Kutchi, Ie prinee dit que seul, saus allies,
appuyé sur l'abègalion do ses sujeis. il dé-
fendra jusqu'au déses[)oir, cotnuie autrefois,
son lerritoire, conlre l'altaque de furces
supérieures.
II espére qu'en cas de revers l'Europe
chrétienne sauvera les femrnesel les enfanls.
C;i!iro?3i<|uc locale.
Dans la séance du 24 Avril, la Chambre
des représentanls a adoplé les conclusions
favorables du rapport présenté, au nom de
la Commission des petitions, par notre hono
rable représentant M. Slruye, sur la pélition
d'officiers pensionnés, demandant la révision
dc la loi sur les petitions militaires. Nous
croyons èlre agréables et utiles aux intéres
sés en reproduisanl Ie texle litléral de ce
rapport:
M. Struyf,, rapporteur
Par pélition datée de Namur. Ie 3 Février
1877, des officiers pensionnés, a Namur, de-
mandent la révison de la loi sur les pensions
militaires.
Mème demande d'officiers pensionnés a
Scliaerbeek, Etterbeek, Saint-Josse-len-Noode
et Saint-Gilles.
Messieurs, votre commission des pétitions
a élésaisie d'nn grand nombre de pétitions
émanant d'officiers pensionnés qui deman-
dent que les pensions militaires soient inises
en rapport avec les exigences et les besoins
de leur condition, lis se plaignent générale-
ment de ce que les pensions militaires ne
soient pas aussi élevées ou pas aussi favora-
blement liquidées que les pensions civiles al-
tachées a des positions équivalentes.
Sans se prononcer sur Ie bien-fondé de
celte observation générale qui, pour plu-
sieurs points, est l'objel d'assertions conira-
dicloires émises par des hommes de grande
autorité, votre commission appelle l'attenlion
la plus bieuveillante du gouvernement sur
cette question d'équité.
Rien nesaurait, en effet, justifier une irié-
galité qni porterait préjudice a ceux qui ont
voué leur sang et leur vie a la défense de
l'ordre et de la sécurité publique, de l'hon-
neur et de l'existence de la Belgique.
On peut comprendre cerlains priviléges
assurès a l'élat militaire, en raison méme
de la nature des services que l'armée est np-
peléea rendre et des conditions auxquelles
elle est assnjeltie; on ne saurait comprendre
qu'aucune défaveur puisse légitimement l'at-
teindre.
L'examen anquel Ie rapporteur de voire
commission s'esl livré lui a démonlrè que
cette opinion est parlagée par la majoritédes
diverses commissions successivement appe-
lées a donner leur avis sur cette grave ques
tion des pensions militaires; que la loi de
1871, apporlant urie augmentation de 10
p. c. a la plupart des pensions militaires, a
été proposée el voiée pour rétablir, au moins
jusqu'a un certain point, l'équilibre enlre
les pensions militaires el les pensions civiles,
et que la section centrale exprima alors Ie
voeu de voir Ie gouvernement assiiniler com-
plétement les pensions militaires aux pen
sions civiles.
Enfin, Messieurs, voire commission croit
devoir ici rappeler que depuis 1871 les con
ditions de l'existence, les besoins de la vie et
les convenances sociales, vont toujours en
s'aggravanl. Depuis 1871, les exigences évi-
dentes de la situation ont amené ie gouver
nement a augmenter Ie traitement d'un grand
nombre defonctions civiles et militaires.
Or, cette augmentation des traitemenls a
déterminé pour les fonclionnaires civils une
augmentation correlative de leur pension de
retraite. C'était justice. Mais pour les militai
res, la pension, malgré Ie besoin d'atigmen-
tation légalement reconnu, est reslée la mé-
me. üii est l'équilé?
Votre commission insiste done pour que Ie
ministre de la guerre, d'accord avec le mi-
nistre des finances, propose promplement
aux Chambres la solution que réclame celte
question d'un si grave intérét moral et maté
rie!.
Ces conclusions ont été appuyées par les
honorables Messieurs De Lehaye et Saincle-
lelle, qui se sont exprimés ainsi
M. De Lehaye. Je me joins a la commis
sion des petitions pour demander au gouver
nement qu'il veuille examiner celte pélition
avec la plus grande bienveillance.
Les officiers qui se sont adressés a la
Chambre ont joint a leur pélition un rapport
d'oü il résulte que presque toules les pen
sions civiles, inises en parallèle avec les pen
sions militaires, leur sont infiniment supé
rieures.
Chacun de nous d'ailleurs a pu conslater
cefait. Voici on exemple qui est saisissant.
Je suppose un colonel, directeur au départe
ment de la guerre, ayant sous ses ordres un
chef de division civil. Si ces deux fonction-
naires demandent leur pension en mème
lernps et dans les mèmes conditions, il se
li'ouvera que le chef de division civil rece-
Vra une pension plus élevée que celle qui se
ra atiribuée a son supérieur militaire.
Cefait est incontestable et j'espère qu'il
démontrera a tous que cette situation exige
"npérieusement qu'il y soit mis un lerme.
Je demande done que Ie gouvernement
examine la pélition avec la plus grande bien
veillance; j'éinets le voeu que dans la présen
te session il nous soumeile des propositions
faisanl c sser celte anomalie.
M. Sainctelette. J'appuie de toutes mes
forces la proposition qui vienl d'etre faile
par l'honorable M De Lehaye. II est incon
testable que les pensions militaires ne sont
plus du lout en relation avec les nécessilés
de la vie contemporaine. Le tarif qui établit
les pensions militaires remonte a plus de
quaranteans, et ce serait un acte d'humani-
lé el d'équité, en mème temps que de digni-
té et de justice, de la part du gouvernement,
que de reviser les pensions militaires sur les
bases les plus larges.
A la suite de ces observations, les conclu
sions de l'honorable rapporteur ont été
adoptées, comine nous l'avons dit.
UNE ROULETTE.
le Progrès trouve le citoyen Janson dur
a avaler et il fait la grimace. Nous trouvons
le Progrès bien naïf. Le citoyen peut èlre
gênant, mais il est dans la logiquedu parli
gueux el il vient a son heure: après Gam-
betta, Naquet, c'esl parlotil mème hisloire.
Mais, gemit le Progrès, la candidature
Janson aura pour résullat d'affuiblir Co-
pinion libérale en province. Tam pis
pour vous, Progrès, mais tant mieux pour
le pays, s'il continue de s'iostruirea la lecon
des évènemenls. A l'heure qu'il est, le ci
toyen Janson, I'iniernationalisle, le répu-
blicain-socialiste est d'ailleurs mieux qu'un
candidal, c'est l'élu de CAssociation libérale,
par 630 suffrages sur 778 volants; il a été
acceplé par les Anspach, les Jottrand. les
Couvreur, qui l'avaient combattu d'abord:
autant dire qu'il est désa présent le repré
sentant élu de Bruxfclles. Demain cel inter-
nationaliste sera le chef de la grande majo-
rité du parti libéral; il I'entraiDera a sa suite
et d'ailleurs celui-ci penche depuis longtemps
sur la mème pente.
L'élection de Janson, c'est le triomphe du
socialisme.
Ce n'esl pas nous qui le constalons, c'est
M. Orts.
Ceux qui portent Janson ont été, a dit
l'honorable président de la scission, de tout
temps les champions du socialisme et de l'in-
ternationalisme!
Or, nous le répélons, le citoyen Janson,
est le candidal de CAssociation libérale de
Bruxcltes, le collègue acceplé aujourd'hui
des députés de Bruxelles, qui hier essayaienl
de le repousser, comine le Progrès.
Un autre scissionnairc, M. E. Anspach l'a
déclaré: désormais les cléricaux pourront
Fort bien, M. E. Anspach, le Pays, la
Royauté, tous ceux qui out quelque chose a
perdre, en prennent acte!
ENTRE LES DEUX....
Le Progrès préférail au citoyen Janson le
gueux Goblet. L'un et l'aulre se sont décla-
rés les adversaires de la Constitution, dans
cerlaines de ses dispositions. Pour eux, la
Constitution est un edifice gothigue, dont il
fa ut remplacer les pierres vermoulues, tout
en conservanl pour les badauds, le style gé-
néral du monument.
Dc quel front désormais le Progrès el ses
congénéres viendront ils nous parler de leur
respect, de leur inalterable dévouemenl a
nos libres institutions?
LES PATENTES DE COMMIS.
Le rapport de la section centrale, chargée
d'examiner le projet de loi sur le secret du
vote et sur les fraudes electorates, vienl de
parailre. A ce document sont annexés des
tableaux stalistiques, fort intéressants. Tel
est entre aulres le tableau IX indiquanl les
patentes de commis prises dans la ville
d'Anvers de 1870 a 1876.
Voici comment le rapport de la section
centrale apprécie ce tableau
Le tableau N° IX donne par année. de
1870 a 1876, et par classes, de la 9e a la 17e,
le nombre de patentes de commis demandées
a Anvers, en distinguant celles qui ont été
comprises dans les röles psimitifs, ou du
moms du premier irimestre de l'année, de
celles qui ont été prises pour Cannée entière
pendant les trois derniers trimestres.
De 1870 a la fin du premier Irimestre
d« 1876, on n'apercoit aucun fait anormal;
mais il n'en est plus de mème des autres
triinestres de cette dernière année.
Le nombre des declarations suppléinen-
laires des neuf mois, qui avait été de 101 en
1875, s'éléve a 1.018 en 1876.
L'augmentalion porie presque exclusive-
irient sur deux classes la 10e (traitement de
3,392 a 4,200 francs) ne comptait en 1875
que 43 déclara lions; il y en a 561 en 1876;
elleconfére l'éleclorat général: la 15e (traite
ment de 848 a 1,060 francs) passé de 212 a
533; elle donne l'électorat pour la commune.
Les sepl autres classes n'offrent ensemble
que 532 inscrits: la 10een a 561: la 15e en
a 533.
IL EXISTERA1T DONC A ANVERS 7 1/2
FOIS PLUS DE COMMIS DE BUREAU AYANT
DE 3.392 A 4.200 FRANCS QU IL N'EN
EXISTE AYANT 1,500 A 1,900 FRANCS DE
TRAITEMENT.
Les fails, quant aux décla rations supplé-
menlaires, sont d'autanl plus dignes d'alten-
tion, que les décla ra nts étaient libres de ne
payer l'impót que pour une partie de l'année;
bien rarement, en effel, Padminislration re
cherche, en pared cas, la date a laquelle le
patentable a commencé a exercer sa profes
sion.
Dénonciations. Le directeur des con
tributions, comine ses instructions le pres-
crivent, a déféré a la deputation permanente
1,931 declarations en 1876; il n'en avait
signalé comme suspecles que 190 en 1874,
et 29 en 1875.»
Voila done le langage des chiffres officiels,
et ce langage élève conlre la gueuserie el ses
manoeuvres infames une accusation acca-
blante. En mème temps, il dit a MM. les mi-
nistres et a la droite que des mesures éner-
giques doivent èlre prises non seulement
ponr rejeler des lisles électorales d'Anvers
tous les faux élecleurs, mais aussi pour em-
pècher de semblables abusdans l'a ven i r
C'esl leur devoir, et ils ne peuvent pas ne
pas Ie remplir.
FA ITS DIVERS.
BURGERSTAND VAN YPEREN
SUCRIOEfJ MARKTEN.
HOMIHELMARKT.
Le Commandant du Génie procédera
le 2 Mai prochain, a midi, dans ses
bureaux, a l'adjudication publique des
travauxde construction d'un pavilion,
rue d'Elverdinghe, a Ypres.
Montant du détail estimatif.
fr. 44,710.
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KANTOOR
van den
Notaris CAPEÏiliK.
TE WATOU.
OP DONDERDAG 3dcn MEI 4877,
om 2 uren namiddag, te Watou, kleine
markt, ter herberg«de Cantineal
waar sieur Edouard Delautre.onlangs
overleden is;
VEN DIT IE
van allerhande
MEUBELS,
II E S& BEUG G E II 3 E F
en
KLEERMAKERSALLAAM.
OP MAANDAG 44'lc» MEI 4877.
om 3 ure namiddag te Beveren, ter
herbergde Zwaan, bewoond door den
beer Joseph Top.
OPENBARE VEBKOOPING
van
GEMEENTE LEYSELE, naby
de Flassche.
De hoeveelheid van 1 hektare 44
aren 40 centiaren ZAAILAND. S. D.
nummers 593 en 594, palende aan de
Gemeene- en de Groenestraat en ver
deeld in 3 koopen.
Deze met tusschenkomst van den
Notaris DEB0Q, te Oostvlcteren.
OP DINSDAG 22- MEI 4877.
om 2 uren precies namiddag, te Be-
veren-Plaats, ter herbergde Zwaan
bewoond door d'heer Joseph Top;
OPENBARE VEBKOOPING
van
Schoone en Goede
ZAAILAIUKIV,
gelegen te Beveren, dicht bij deo
steenweg van Rousbrugge, naar Ber
gen, samen inhoudende llhektaren,
88 aren, 39 centiaren,bij uithangende
plakbrieven verdeeld in 40 koopen.
Gebruikt door verscheide.
Voor alle inlichtingen gelieve men
zich te begeven ten kantoore van den
Notaris capelle, te Waton.
Ruchtbaarheid.
OPENBARE VEBKOOPING
ZAAILANDEN,
MEERSCHEN, BOSSCHEN, CHEINS-
GRONDEN EN HUIZEN,
te zamen inhoudende, 60 hectaren,
40 aren, 64 centiaren.
met Hof, Stalling, Remise en Koets
poort, in de Hondstraat, N° 23, bin
nen Ypre.
Verdeeld in 54 loten ingesteld af
zonderlijk en in eenige n.assen, te
zamen ter geringe som van fr. 142,7 25
boven den boomprijs.
Den OVERSL A G, WOENSDAG
9" MEI 4877, om 9 uren 's morgens,
ter estaminet dun Gouden Arend, op de
Groote Markt, binnen Ypre, ingevol
ge de voorwaarden, berustende ten
kantore van den Notaris VAiaöER-
MEERSCH, te Ypre residerende.
STUDIE
van
Meester AIiCBLE,
Notaris te Dixmude, Noordstraat.
N° 38.
OP DONDENDAG, 17 MEI 4877,
om 4 ure namiddag, ten verzoeke van
den heer Maes-Vandamme, grondeige
naar te Iseghem.
KOOPDAG
te Merckem, aan de Melane,
van
40 KOOPEN Kepers van 30 tot 50
centimeters dik.
20 KOOPEN Haag- en Stoppcrssen.
40 KOOPEN Sparresnoei.
30 KOOPEN Sparrebusschen.
20 KOOPEN Larixen.
du D' Patisson
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Si M. Janson triomphe, c'est le socialisme
qui trtomphera!
DIRE SANS CALOMNIER LE PARTI LIBERAL, QUE CE
LUI Cl CONTIENT DANS SES FLANCS LE SOCIALISME ET
LA RÉPUBLIQUE.
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Une belle conversion. M. de Dachrceden,
grand-maitre de la Loge nationale prussienne,
vient dr sc convertir au catholicisme. Celte con
version a produit une piofonde impression a la
Cour de Berlin el dans les cercles de la franc-ma-
connerie. Puisse celle impression être salulaireet
enlrainer un grand noinbre de conversions seni-
biablrs ii celle qu'elle a fail nailrc.
Bismarck viendra. parail il. dès le 15 Mai,
prendre des bains de mer a Ostende.
Plus d un fléau. La peste noire sévit a
Bagdad, le cholera règnc a ilédine, la guerre
menace d'envahiran moms line parlie de l'Europe.
Ie socialisme gaugrène le corps social. Vimpiilè
et iiinmorulite corrompent Ie siècle, ie libéralisme
centralise ionics les hérésies et assaiile l'Eglise,
['indifferentisme énerve le monde.
Une excellente mesuke.L'aulorilé de
police de I.angenllial (Suisse) a publié une circu
laire interdisanl auxjeunes garcons de fumer et
de fréquenter les aubcrgesel rappelant éneigique-
ment aux parents el lutein's leur devoir d'exercer
a cel égard sur la jeunesse une salutaire vigilance.
Ub.e triste industrie se pratique ii Mar
seille et ailleurs encore bes malfaiteurs enlévent
de pelits enl'ants pour en trafiquer soil dans les
foiressoit auprès des families raiiQonnées; ils sont
largement payés lorsqu'ils relrouvent el reslituenl
leurs jeunes victimes.
van den 20 tot den 27 April 1877.
GEBOORTEN.
Mannelijk geslacht 3. Vrouwelfjk id. 2.
HUWELIJKEN.
Meidier, Gentil, zonder beroep en Verhack,
Barbara, herbergierster.
STERFGEVALLEN.
NolietTheresia G9 jarenzonder beroep,
weduwe van Petrus Wyckhuyse, Boterstraat.
Blomme, Emerentia, 30 jaren, kantenwerkster,
echtgenoote van Carolus Dumon, Sint Nicolaus
nevens Ypre. Vanzuyt, Hortentia, 70 jaren,
zonder beroep, weduwe van Ludovicus Flamant,
Boterstraat. Marecau, Eugenia, 69 jaren, we
duwe van Petrus Debruyne, Minnaarsplein.
Debeul', Amelia, 56 jaren, dagloonster, weduwe
van Engel Vienne, Meenenstraat.
Kinderen beneden de 7 jaren.
Mannelijk geslacht 3. vrouwelijk id. 2.
VEURNE, 11 April, fr. 20, tot 21,
18 April. fr. 21,00 tot 00,00 de 145 liters.
BERGEN (Frankrijk). 16 April. fr. 14,04
29 April. fr. 14,44 per hectoliter.
POPERINGHE, 27 April. fr. 80 a 85 de
50 lulogr.
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rou'lage inslanbjiiémenl et guérit radicalement
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de loule i-oi lc, ma! aux dents, lombagos, irrita
tions de poitrine tl maux do george.
En rouleaux a fr. 1 50 et demi rouleaux a 80e.
chez Becuwe, pharmacien.
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