MEUBELS AU PAUVRE DI A B L E HOFSTEDEN, GflELlTELT, BECKLAERE M ZONXEBBKE, EEN SCHOON HUIS, KOOPDAG WINKEL-GERIEF VERKOOPING La Ouate anti-rhumatismale o n nous conle une petite tin cdole qui fait admirablement apprécier la moralué des re clamations introduites par nos adversaires. La scène se passé dans une commune de ''arrondissement. Le parli gueux posséde la un meneur trés-alrabilaire et trés-actif. Ce meneur a un neveu qui vienl précisément d'atteindre sa majorilé. Nul doule que ce jeune homme ne suive docilement les voies politiques de son oncle. Celui-ci s'empresse done de le faire inscrire sur la lisle des élec- leurs généraux, dans l'espoir de ca Ier la candidature vacillatile de M. Vandenpeere- boom en 1876. Rien n'étail moins établi que les droits du jeune homme: mais l'illé- galité de l'inscriplion passa, a cette époque, inapercue. Arrive le jour de 1'électiona lort on a raison, l'oncle soupconne son coquin de neveu de se permettre des opinions qui ne sont pas précisément en concordance avec les siennes el d'avoir, en consequence, émis un vote libreet indépendant.Que fait-il? Lors de la révision de 1876, il chercbe a faire rayer le jeune électeur. en se fondant sur rmsudisance du eens, qu'il savait exister antérieurement. Mais sur ces entrefaites, le jeune homme s'était mis en régie. Si bien que, non-seulement il fut maintenu par le Collége de la Dépulalion permanente parmi les électeurs généraux de 1877, mais que son droit triompha même devant la Cour d'appel de Gand, oü la cause avail été défé- rée par d'illuslres et savants jurisconsultes et licenciés, que la ville d'Ypres a l'honneur de posséder. Bientót la jurisprudence de la Cour de Gand elle-mème ne sera plus assez élastique pour accueillir les appels éleclo- raux de nos gueux. rien dans le retard étrange, que subit une nomination, de sa nature urgente. POURQUOI?... On sait, qu'aprés avoir cassé successive- ment deux arrèts en sens contraire, la Cour de cassation, parun arrèl rendu, C/iumbres réunies leb Mai 1876, a décidéceci en ma- tiére électorale: Les contributions person- nelles payées par le propriétaire seul im- posé, ne peuvenl procurer au localaire non inscrit au röle, le droit électoral si ce der- nier, au cours de l'année a laquelle l'im- pót se rapporte, n'a pas réclamé conformé- ment a la loi fiscale. La régie établie par l'article 8 du code électoral, el qui est d'ordre public, n'est pas seulement applicable lorsqu'il s'agit d'une base imposable qui a échappé a l'im- pót, mais encore lorsque cette base, recon- nue par le fisc, est réclamée par un citoyen autre que la personne imposée. Or, il y avait a Ypres, lant libéraux que catholiques, une vingtaine d'inscrils peut- ètre auxquels eet arrêl de la Cour suprème était applicable. Les propriélaires étaient inscrils au róle de la contribution personnels pour leurs I oca ta ires. La Députation permanente, se conformant a la jurisprudence si formellernent établie par la Cour de cassation, raya indistincte- menl des I isles électora les lous ces locataires. L un de ces arrètés de la Députation, con- cernant un libéral bon teint, cela va sans dire, Ie sieur F. M"" fut en dépit de tout, déféré par nos juristes électoraux a la Cour de Gand. Malgré la Cour de Cassation, la Cour de Gand a accueilli I'appel, el le sieur M"\ non imposé au róle, se tronve maintenu sur la liste des électeurs de 1877, alorsque lous les aulres qui se trouvenl idenliquement dans le même cas que lui, demeurent rayés. Pour- quoi?... Si ce n'est pour prouver une fois de plus que le Progrès a eu le plus grand tort de suspecler l'impartialité de la Députation permanente. UNE AFFAIRE QUI NE MARCHE PAS VITE. On nous écrit de Proven, qu'a la date du 30 Septembre 1876. it y a déja plus de septmois! L'administration communale de cette localité se vit obligée de révoquer son garde-champêtre. Cette mesure de rigueur fut prise, aprés une trop longue indulgence peut èlre, de l'assentiment de toutes les autorités consultées, administratives et judicia ires. Or i' parait, que nonobstant la présenlation de candidats, pourvusde toutes les qualilésre- quises par la loi, faile par l'administration locale, dés le mois de Décembre {it y a déjd einq mois), la commune de Proven altend toujours un nouveau garde-champètre. Ainsi xoila une commune qui depuis sept mois en viron est dépourvue de toule police lo cale Qu'en pense le Progrès? Appuyés sur le loxte de l'article 129 de la loi communale, nous l'averlissons charilablemenl, que la Dé putation permannnte ne saurait èlre pour ENCORE JANSON. M. Janson a été élu Date néfasle a inscrire dans nos annales politiques, car le socialisme vienlde faire son entré au Parlement beige! Cette nomination est un soufflet appliqué a nos institutions et a la royauté; un défi lancéau bons sens de la nation toute enliére. La brèche est faile, et le boulet qui vienlde tomberou milieu du palais législatif rend désormais inutile la fermeture de ses portes aux doctrines subversives. Le libéra lisme a été vaineu. Les gueux triomphenl sous l'étendard du socialisme! Aprés le bou let Janson nous aurons les lorpilles Féron Robert el Cic. C'est dans l'ordre. II n'y a que le premier boulet qui coüte, el pour le malheur de la Belgique, il vientd'êlre lancé en plein parlement, car, a dit M. Janson Telleest la devise du nouvel élu; et les libéraux qui ne s'y rallieront pas dans nos assemblées délibérantes stront regardés par les gueux comme des suspects et des traitres. La se trouve le danger prévu par les repré- senlants de Bruxelles qui ont combatlu la candidature de M. Jansonon l'a dit, qui- conqun'abusera pas de savicloire, sera considéré comme ennemi politique ou, tout au moins. comme infecté de cléricalisme. Nous savons bien que M. Janson ne va pas, du jour au lendemain. converlir tous les li béraux. ni même bouleverser les coutumes el les mceurs de nos assemblées; mais il joue ra au sein de la Chambre législalive le róle— de M. Laurent dans la presse. Sa haine contre l'Eglise fera passer l'éponge sur les griefs que lui reprochaienl hier les Oris, les Ans- I pach, les Couvreur, les Van Humbeek et les Jottrandqui deviendront, sans tarder, avec I'Echo du Parlement et le Journal de Liége, ses meilleurs et ses plus fidéles auxiliaires. Cette nouvelle étape du libéralisme n'a rien qui nous surprenne; l'histoire politique de notre pays nous montre ces transformations successives du parti libéral poursuivant sa marche inconscienle vers le radicalisme. MM. Nolhomb et Van de Weyer, les der- niers libéraux de 1830, furent écrasés par MM. Debeau, Devaux et Rogier; ceux-ct se virent débordés par M. Frère Orban qui. a son tour, a dü céder le pas a M. Bara. Ce dernier servira de trail d'union entre la gau- I che et la traction Janson, eonduisanl ainsi le pays dans labime du socialisme ou, comme ie nouvel élu le déclare lui-même. au vole universel et a la souverameté nationale M. Orlsdisait, il y a quelques joursM. Janson est un drapeau et il restera! un drapeau, ajoutait-il, ne signifie que par la main qui le porie. Mais qui soulienl la can- didature de M. Janson Des hommes qui ont été de tout temps les champions du so- cialisme, de l'inlernalionalisme Si M. Janson triomphe, c'est l'opinion du socia- lisme ei non lui qui Iriomphera. Si ce triomphe vous effraie, comme il m'effraie, monlrons qu'il y a une résistance. M. Anspach est plus calégorique encore Nousalions, disait-il IuIter contre lesocia- hsme international el répubheaincon- tre un parti qui a causé des ruines en France et qui léve la tète chez nous pour la première fois... On veut jeter un bou let dans le sein du cléricalisme, c'est un boulet explosible qui frappera également le libéralisme. Vous verrez en province le résulial de l'élection de M. Janson. les pourront dire sans calomnier le parli libé- ral, que celui-ci contienl dans ses flancs le socialisme cl la république. Oui, Messieurs, vous avez dans les flancs le socialisme et la république! C'est pour- quoi les catholiques, fidéles au Roi, parti sans de la monarchie beige, défenseurs du pays et des institutions qu'il s'est données en 1830, sauront s'unir contre l'ennemi el prouver que la prophétie de M. Anspach n'est pas un vain mot. Les catholiques reléveront la tète et ra- masseront Ie ganl que le libéralisme de la co pi la le vient de jeter dans l'arène! Ils com- battront vaillamment, car l'avenirde la Bel gique est a ce prix, aussi bien que leurs liberies religieuses. Si I arrivée de M. Janson la Chambre effraie M Orts et ses scissionnaires; si M. Anspach et beaucoup de ses amis en sont atlerrès; s'ils avouent que le nouvel élu est un boulet explosible qui frappera non- seulement le cléricalisme mais le libéralisme lui-même, nous devons a plus forte raison èlre en garde. Réunissons done nos forces éparses; ré- veillons celles qui s'endorment par l'absence de toute lutle; rallions-nous sous la même banniére pour marcher a la défense de nos liberies religieuses que les gueux s'apprèlent a nous ravir. Lulloris parlout oü il y a un scrutin ouvert, relevons hardiment la tète; a ce prix seulement, nous conserverons nos droits, et nous empècherons le libéralisme de ruiner nos institutions les plus chéres! Le lr Mai a eu lieu a l'hólel de la Tète dior, en cette ville, l'assemblée annuelle des No- tairesde l'arrondissemerit. Des 29 membres en exercice, chose rare. aucun n'a fait dé- faut. Aprés avoir épuisé l'ordre du jour, l'as- semblée s'est réunie a un Banquet. Au des sert, le notaire Christ iaënqui présidait, a porté le toast au Roi el a la Familie Royale, en termes empreints d'un ardent palriolisme Ce toast a élésahié pas des applaudissements enthousiasles.Les convives garderonl de cei- le féte, qui a été aussi animée que cordiale et fraternelle, un heureux souvenir. Par arrèté royal du 27 avril, sont nommés receveurs des contributions direcles et des acc i ses A Ghistelles, le sieur A. Doorme, actuelle- ment receveur des mêmes impóts a Corte- naeken. A Cortenaeken, le sieur H. Coen- raels, acluellement receveur des mémes im póts a Pervyse. A Ooslvleleren, le sieur J. Moulaerl, acluellement receveurdes mèmi s impóts a Hoogstaede. cc: I i i I I I I g I i I I llllll c o r- O llllll 1 1 1 1 1 g S I I I I II StS I I I I I I I |c m I I EO 'p-c 5^ 5 I I I o I cc II S I g II I I g I II I I gI SI I I II II I g - -cor* w r- O os' II i I II I I II I I I I I I I I I I I I I IMM IIIM a S" I p.p I I I 'co E cc i cT - - :o I I I BURGERSTAND VAN YPEREN sterfgevallen. SUCRIOF.fi! KURKTEN. HQR/IMELMAF1KT. OPENBARE VERKOOPING ZAAILANDEN, MEERSCHEN, BOSSCHEN, CHEINS- GRONDEN EN HUIZEN, te zanten inhoudende, 60 hectaren, 40 aren, 64 centiaren. met Hof, Stalling, Remise en Koets poort, in de IJondstraat, N° 23, bin nen Ypre. Verdeeld in 51 loten ingesteld af zonderlijk en in eenige rr.assen, te zamen ter geringe som van fr. 142,725 boven den boom prijs. Den OVERS A G, WOENSDAG 9" MEI 1877, om 9 uren 's morgens, ter estaminet den Gouden Arend, op de Groote Markt, binnen Ypre, ingevol ge de voorwaarden, berustende ten kantore van den Notaris va&DER- IV1EERSCH, te Ypre residerende. KANTOOR van den ITotfaris CAPELIGI. TE WATOU. van allerschoonste en ISiiisieiD Yjier. MAENDAG 14 MEI 1877, om 10 uren fix voormiddag, ten sterf- huize van de vrouw weduwe Deseure- Jolyt, in de Meenenstraet, binnen de stad Ypre, zullen er openbaerlyk ver kocht worden al de Meubelen, Mena- giegoederen, Win kei gerief en verdere meubilaire voorwerpen zich aldaer bevindendeen bestaende namentlyk in Keirselaren Secretaire, Kassen, Com- moden, Pupiter, ronde Tafels, andere Tafels, geboureerde Zetel, andere Ze tels. Stoelen, extra scboone Shouw- Garniture in Al bat re, Pendulen, schoone Schilderyen, groote en kleine Spiegels, Kaders," Vazen, Posturen, Kandelabers, Kandelaers, Quinquets, Vloer- en Tafeltapytten, Ledekanten en nachttafel in Acajou, andere Lede kanten en Nachttafels, Lavabos Hand- doekstaensels, Matrassen,Hoofdeinden, Sargiën, Spreijen, Bedbehangsels, Ta- feidwalen, Servietten, Handdoeken, Stoors, Gordvnen;porceleinen Soepe kommen, Saladieren, Groenselkom- men, Dejeuner Tellooren; allerhande Gleis- en Acrdewerk; Bier en Likeur karaffen, Huillière, Wyn-, Bier- en Likeur-Glazen; Messen, Lepels en Fourchetten, Vleeschvork; allerhande Stoven, yzeren Kommen, Potten- en Pannen; koperen Casserollen, Mooren en Marmitten en al ander Keuken- gerief. Schoon kinder Rvtuig op drie wie len. Toog, Vitrienen, Sfaensels, Doozen en verder Winkelgerief. Al met gereed geld en verboog van den 10" penning. Door het ambt van den Deurwaer- der VERHAEGHï, te Yper OP MAANDAG 14llen MEI 1877. om 3 ure namiddag te Reveren, ter herberg de Zwaan, bewoond door den heer Joseph Top. OPENBARE VERKOOPING van GEMEENTE LEYSELE, naby de Flassche. De hoeveelheid van 1 hektare 44 aren 40 centiaren ZAAILAND. S. D. nummers 593 en 594, palende aan de Gemeene- en de Groenestraat en ver deeld in 3 koopen. Deze met tusschenkomst van den Notaris DEB00, te Oostvleteren. OP DINSDAG 22en MEI 1877. om 2 uren precies namiddag, te Be- veren-Plaats, ter herbergde Zwaan», bewoond door d'heer Joseph Top\ OPENBARE VERKOOPING van Schoone en Goede X A A 1 A TK It E V gelegen te Beveren, dicht bij den steenweg van Rousbrugge, naar Ber gen, samen inhoudende 11 hektaren, 88 aren, 39 centiaren,bij uithangende plakbrieven verdeeld in 16 koopen. Gebruikt door verscheide. Voor alle inlichtingen gelieve men zich te begeven ten kantoore van den Notaris CAPELLE, te Waton. Ruchtbaarheid. STUDIE Notaris SIES6€ÏO, TEOOSTVLETEREN, WOENSDAG 16 MEI, 1877, om 4 ure ter herberg van Pieter De- ramoudt, te Oostvleteren, van 1° Een Boom-Plantsoen en Tail lie Bosch te Beninghe, bij de Pypetjade, groot 52 aren 50 centiaren, onver- pacht. 2° Een Idem, te Westvletcrcn, bij de Rustplaets, groot 1 H. 31 A. 60 G. onverpacht. En 3" 39 aren bebouwd Land, ook te Westvleteren, bij de Rustplaats, gebruiker Deroo-Laesen. STUDIE van Uleestea* 1 AM'ME, Notaris te Dixmude, Noordstraat. N° 38. OP DONDENDAG, 17 MEI 1877, om 1 ure namiddag, ten verzoeke van den heer Maes-Vandamme, grondeige naar te Iseghem. KOOPDAG te Merckem, aan de Melane, van 40 KOOPEN Kepers van 30 tot 50 centimeters dik. 20 KOOPEN Haag- en Stopperssen. 40 KOOPEN Sparresnoei. 30 KOOPEN Sparrebusschen. 20 KOOPEN Larixen. A LOUER TOUT OU EN PARTIES SJNE FERME a Poperinghe. - Eduard Hoek, occupée par Victoria Delplace, conte- nance 9 hectares, 21 ares,95 centiares. 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O o O O O O o TT TT O N 3C C O 1 OO 00 KS o 1 00 Cl O o TT cco C o rr. o DC <1 v] v] k] C. v] DC DC CO h£> C7. i 5 2 2? "2 KS CO K9 CO Cl 00 NS CO hS tO I CO CO O o- aq CZ bo O 00 C k' F3 B9 P CO »T! O) D. CO O "O O O Kf) to O O I FO I CO CO O I p P- TZ p I 2: CO C O O TT I bO bO CO CO I CO CC Ci Ci I hS KS KT CO CO hS •?- Ci <1 I cr. cc o O I O O M C/3 P P3 CfQ r* 2 2 O O o bO O O O O O CC O o TT TT pr ?r cc cc I I ooi I IC <1 O O O CO O O O O O CC O O PT ?r pr TT TT hS bO bO NS bsD Ci GO 4** bO bO I CO KD Ml co cc I o o co CS >-3 C/3 cc r=2 zz w ^-3 ze cr: <ct -*• 02 W o-o'-»r <i P' CD I CO -»■ bS I CO I o cc OO I oo I I CO CO I 4^ I bo <i o I o O S re S-c o? o co I »>s I O O I tsS KS I O co I M bO 1 C'. oc O Ky P- ^o CO co GO O p- f p i aq 5! b CZ OO O CO O <1 M M> CO CC I oc ZX I O o bsD I hS IsS CO CO M) 00 I GO <1 CC N p p ^3 p-c p t oq Cl g; CD van den 27 April tot den 4 Mei 1877. GEBOORTEN. Mannelijk geslacht 2. Vrouwelijk id. 9. huwelijken. Craeye, Henricus, baardscheerder en D'hellem Emma, kantenwerkster. Casier, Polydorus, hovenier en Van Elslander, Amelia, dienstmeid. Verbanck, Jacobus, serjant van policie en Spotbeen, Victorina, zonder beroep. Belley, Willem, agent van policie en Daens, Maria, naaister. Robaey, Coleta, 75 jaren, zonder beroep, onge huwd, Bollingstraat. Mortier, Maria, 37 jaren, naaister, ongehuwd, Lentemarkt. Oreel, Petrus 90 jaren, zonder beroep, weduwenaar van Maria Hollebeke, Dixmudestraat. Abeele, Idonia, 71 jaren, zonder beroep, weduwe van Franciscus Delahaye, St-Jacobs nevens Ypre. Blomme, Leonia', 28 jaren, zonder beroep, ongehuwd, Korte Thouroutstraat. Debaene, Florimondus, 33 jaren, zonder beroep, ongehuwd, Meenen- straat. Nosdy, Hermanns, 72 jaren, werkman, echtgenoot van Natalia Vandaele, Meenenstraat. Vandoorne, Desiderius, 37 jaren, voerman, weduwenaar van Theresia Comte, Meenenstraat. Thyberghein, Rosalia, 58 jaren, zonder beroep, ongehuwd, Bollingstraat. Kinderen beneden de 7 jaren. Mannelijk geslacht 3. vrouwelijk.id. 2. VEURNE, 11 April, fr. 20,00 tot 21,00, 18 April. fr. 21,00 tot 00,00 de 145 liters, BERGEN (Frankrijk), 16 April. ft'. 14,04 29 April. fr. 14,44 per hectoliter. POPERINGHE, 4 Mei. fr. 78 a 80 de 50 lulogr. van gelegen te en van van den rontajjK instanL'inémen! et guérit raaicaleraent de toute sorli-, mal aux dents, lomhagos, irrita tions de poitrine et niaux de george. En roideaux ii fr. 1 SO el di mi rouleaux a 80e. clitz Bkcuwe. pharniacieii.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 3