12e annee.
Mercredi 20 Juin 1877.
N° 1,197.
5
2
a Gt'A N
2
3
2^
I e Journal parail Ie Mercredi et le Samedi. Les insertions content 15 centimes la ligne. Les réclames et annonces judiciaires se paient 30 centimes ia ligne. On traile a forfait pour Ie» insertions par année.
On numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes. Les numéros supplémentaires coinmandés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 10 fr. les 100 exemplaires.
C H K M I ar 8 ME V K R. 1 Décejpbre.
L'ÉVOLUTION DU LIBÉRALISME.
Quiconque observe revolution do libéra
lisme, non-seulement en Belgique mais dans
l'Europe entiére, doit se convaincre que cetle
secte tend de plus en plus a se dépouiller des
prétextes qui en voilaient le véritable carac-
tére, pour affirmer son hostilité radicale con
tre la religion chrétienne. Et c'est paree que
l'Eglise catholique est l'expression compléte
et achevée de l'ordre chrétien qu'Elle suscite
partout contre Elle les hostilités libérales.
Supposez ce rempart délruit ou seulement
ébréché, l'ceuvre poursuivie par la Franc-
maconnerie aurait fait tin grand pas et il se
rail possible d'entrevoir une a civilisation
nouvelle si jamais ce mot de civilisation
pouvait s'appliquera l'avénement de la bar-
barie révolutionnaire.
En Aliemagne, oü les diverses écoles poli-
tiques ont coutume de donner a leurs aspira
tions une cerlaine forme dogmatique et géné-
rale. conforme au génie de la nation, ce
programme du libéralisme est nettement
avoué par les promoteurs les plus zélés de
la lulte civilisalrice.
Voici ce qu'écrivait naguère un apologisle
de la politique de M. le prince de Bismark:
L'essence de la civilisation dans l'Etat mo-
derne conduit inévitablemenl d la deslruc-
lion du chrislianisme et finalement a Ia
négalion d'un Dieu personnella tache
du protestantisme consiste uniquement ei
nier, d minera renverser tidée chré-
tienne et a fermer tout a fait Ie cerele de
son développement c'est pourquoi la
guerre contre l'Eglise seule puissance
dont la force peut être comptée pour
quelque chose, doit être une guerre a mort,
une guerre d'extermination (1).
II est facile de suivre l'exéculion de ce
programme par Ie libéralisme dans les di
vers pays européens et parliculièrement dans
le nótre. En dépit des désaveux hypocrites
de quelques habiles ou de quelques altardés,
personne ne peut méconnaitre le caractère
essentiellemenl irréligieux des agressions du
parli libéral contre l'Eglise. La propagande
protestante elle-mêmc que nos Gtieux ont
appelée a leurs secours, bien qu'ils ne croient
pas au protestantisme, répond admirable-
ment au but qu'ils ont en vue: Nier, miner,
renverser l'idée chrétienne et fermer tout-
a-fait le cercle de son développement.
Ce n'est point pour avoir une religion quel -
conque a mettre en place du catholicisme
que nos libéraux ont repris l'ceuvre de Mar-
nix de Ste-Aldegonde, c'est pour exploiter
les principes de négation et de destruction,
propres a la prélendue Réforme.
Malheureusement ce prosélytisme sectaire
produit ses fruits et le scepticisme pratique
fait des progrés effrayanls au sein de nos
sociélés conlemporaines. Combien est vrai
aujourd'hui ce tableau tracé, il y a cinquanle
ans, par un écrivain destine hélas a deve-
nir la sinislre victime deserreurs qu'ilavait
élé le premier a combattre Autrefois,
écrivait Lamennais, la dépravation du cceur
s'élendait raremenl a l'inlelligence les
mots de vice et de verin avaient un sens el
le mème pour tous. II existail un fonds
commun de vérités reconnues, de droits
avoués, un ordre général que nul n'imagi-
riait qu'on put renverser. Lors mème
qu'on le violait partiellement, on en res-
pectait l'cnsemble... Mainlenant tous les
liens sont brisés, l'homme est seul, la foi
sociale a disparu les esprits abandonnés
a eux-mêmes ne savent oii se prendre on
les voit Hotter au hasard dans mille direc-
tions contraires. De la, un désordre univer-
sel, une effrayante instabilité d'opinions et
d'institutions; las de Terreur et de la vérité,
on rejette également 1'une et Tautre; il y a
au fond des cceurs avec un malaise effroya-
ble comme un immense dégout de la vie
et un insatiable besoin de destruction. On
ne rève rien moins que des révolutions
lotales dans chaque Etat et dans le monde
que l'enliére abolition de ce qui est, sans
s'occuper mème d'y rien substituer. (2)
N'esl-ce point la Péloquenle et fidéle pein-
ture de nos sociélés malades? Nous dé-
fions les plus optimistes de s'y Iromper et de
ne point reconnaitre a ces iraits l'anarchie
religieuse, intellectuelle et politique du monde
oü nous vivons.
Or, cela étant, la grande question qui pèse
aujourd'hui sur les sociélés est cellc de savoir
s'il faut les arracher des assises chrétiennes
sur lesquelles elles ont trouvé la grandeur
el la slabilité, et cela, comme le dit Lamen
nais, sans s'occuper mème d'y rien substituer?
Pour des chréliens cetle question n'en est
pas une puisqti'a leurs yeux le chrislia
nisme n'est pas seulement la vérité religieuse
mais la vérité politique, la vérité sociale, la
vérité compléte.
Malheureusement depuis les immorlels
principes de 89, Taposlasie des nations a été
consommée,l'alhéismeaenvahi les institutions
et les lois, el c'est lout juste a son infiltration
continue dans I'esprit public et dans les
inoeurs que nous devons les anxiélés el les
perils de l'heure présente.
Et c'est ainsi que nous nous trouvons en-
gagés dans une voie qui conduit logiquement
et inévilablement «d la destruction du chris-
lianisme el finalement d la négalion d'un
Dieu personnel.
Pour nous empècher d'aboutir a celte issue
ou, pour mieux dire, a cet abime, nous n'a-
vons qu'une seule ancre de salut, le catholi
cisme, ou, comme Ie dit Ie publiciste alle-
mand que nous cilions tantót, l'Eglise
seule puissance dont la force peul être comp
tée pour quelgue chose.
On a maintenant le secret des attaques
prodiguées a la religion catholique par le
libéralisme contemporain; mais on découvre
du mème coup toute Timporlance du róle
que joue l'Eglise au point de vue de la con
servation sociale el de la defense de la vraie
civilisation.
II est impossible en effet de se ledissimu-
ler si Ie libéralisme réussissait dans l'ceuvre
de destruction morale qu'il poursuil avec
tant d'acharnement, il ne recueillerait point
les fruits de son enlreprise, il aurail simple-
ment préparé les voies au socialisme, e'est-a
dire a l'anarchie continue. Précisérnent par
ee qu'il n'a point de principes, le libéralisme
ne saurait fournir une solution. II n'a qu'une
puissance de négation el il est par la mème
frappé de stérililé.
C'est pourquoi, en dépit des apparences
contraires dn moment et de la prépondérance
politique du libéralisme dans la plupart des
gouvernements européens, il est aisé de pré-
diresa prochaine décadence. 11 prépare lui-
même, a coup sur, sa défaite et peut-être son
chaliment. Si le libéralisme est seulement
vaincti, cesera par le catholicisme, sauveur
des sociélés qui allaient se perdre s'il est
lout a la fois vaincu et chatié, ce sera pat' le
socialisme qui le flagellera par les principes
libéraux transformés en verges vengeresses.
Dans tous les cas, les lutles décisives de
Tavenir se livreront entre le catholicisme et
le socialisme: le libéralismenecomplera plus.
II dépend encore des nations modernes de
s'épargner de terribles catastrophes si elles
veulent écouter la voix malernelle de celte
Eglise qui les a enfantées a la civilisation.
C'est l'averlissement que leur donnent les
actes réitérés du Saint-Siége. Les Encycliques
et le Syllabus ne sont autre chose que des
signaux prodigués du haut du phare de la
vérité a un navire en détresse. II n'est pas
un écueil qui ne soit éclairé d'une vive lu-
mière, pas un banc de sable au-dessus du-
quel ne flotlent des bonées préservatrices,
pas un courant fatal dont les abords ne soient
marqués avec soin. La voie du port est loiile
tracée el il ne dépend que des navigaleurs
d'y trouver la sécurilé et la paix. Bien aveu-
gles seraient-ils de préférer la haute mer sous
prétexte qu'ils s'y sentent plus libresCom
me si la lempète était la liberté Et comme
si le naufrage certain valail mieux que le
tranquille abri du havre Assez d'e.xpérien-
ces ont été faites pour avoir détruit les illu
sions les plus obstinées et pour montrer enfin
oü se trotive la vraie civilisation Ce que
l'Eglise proclame, Thistoire etl'histoire d'hier
Talleste par les fails les plus irrécusables. Si
les hommes savaient se dépouiller des pré-
jugés révolulionnaires el être sincères, ne
füt-ce qu'avec eu.x-mèmes, ils diraient avec
i'illuslre évèque de Poitiers Plus je con-
sidère l'état des sociétés, en particulier
depuis 1789 jusqu'au régime actuel, plus
je me persuade qu'il n'y a pour la liberté
et la dignité de la race humaine comme
pour la solution des grandes questions reli-
gieuses posées devant nous, d'autre issue
favorable que celle-ci La liberté de l'E-
glise et la liberté du pays placées sous la
garantie loyale du droit chrétien (3).
LA FLANDRE LIBERALE.
Les jacobins de la Flandre libérale essaient
tant bien que mal, de répondre au solide
discours par lequel M. le ministre Beernaert
a fait justice Je Tamendement-Janson contre
les membres des congrégalions religieuses.
Examinons leurs arguments, ou plütot
leurs sophismes, car il ne s'agit, en somme,
que de quelques loiles d'araignée lendues
sur le chemin du bon sens ét du bon droit.
L'obstacle est bien léger et on eüt pu s'al-
tendrea mieux des législes de la tribu-Lau-
rent. II sufiira de passer la grosse brosse a
travers leurs misérables arguties.
Voici d'abord comment ils essaient de ré
pondre a celte considération décisive de M.
Beernaert la main-morte est une créalion
de la loi, done elle ne peut dériver du fait
de quelques particuliers.
L'argument est vraiment admirable et
bien digne d'un avocatdes jésuites! II est
défendu deereer une main-morte, done il
est impossible d'en créerune! On pourrait
dire de même le Code pénal punit l'assa-
sinat.doncil est impossible d'assassiner;
le Code pénal défend Tescroquerie done
Tescroquerie est impossible!
La Flandre qui parle d'escroquerie aurait
bien envie, croyons-nous de subtiliser l'ar
gument deM. le ministre des travaux pu
blics. Fort heureusemenl, il ne faut pas beau-
coup de perspicacité pour découvrir le truc
des jongleurs de la tribu-Laurent. Ils attri-
buent a M. Beernaert ce qu'il n'a pas dit et se
ménagent ainsi un facile triompbe contre
des moulins a vents.
L'honorable ministre, en effet, n'a pas
même songéa soutenir qu'un acte défendu
par la loi est impossible a accomplir par des
particuliers ce qui est tout bonnement une
grosse soltise; mais il a dit que des particu
liers ne peuvent exercer des droits ni pro-
duiredeseffets juridiques qui sont dudomaine
propre de la puissance législative ce qui
est une vérité incontestable.
Ainsi il peut tres-bien se rencontrer des
assasins et il s'en rencontre, bien que la loi
défende l'assassinatmais il ne peul pas se
rencontrer demains-morlessansTintervenlion
de la loi paree que la main-morte est préci
sérnent uno fiction auquel Ie législaleur seul
confére et peut conférer les allributs de
['existence juridique.
[I en est done de la main-morte qui doit
résuller de la loi, comme de Tarrèté royal
qui doit être revêtu de la signature du sou-
verain, comme de Thypothéque qui doit ètre
constituée par acte authentique, comme du
jugement qui doit ètre rendu par des magis-
trats compétents. Hors de ces conditions, il
n'y a ni main-morte, ni arrèté royal, ni hy-
polhèque, ui jugement. En d'autres lermes
tous les religieux de Belgique réunis sont
aussi impuissants a constituer une main-mor
te que la tribu Laurent a prononcer un juge
ment exécutoire.
Voila pour la question de droit.
En fait, nous l'avons inontré il y a deux
jours, par des chiffres«t Tabsorption du sol
par les couvenls est un véritable mythe.
M. de Kerckhove-Delimon, bourgmeslre de
la ville de Gand, posséde a lui seul plus
d'hectares que tous les religieux de Belgi
que.
II n'est pas sérieux de dire que la main-
morte existe au moins ficlivemenl pour les
propriélés des religieux pnisque leurs biens,
a raison de la slabilité des instituls échappent
a Timpöt.C'est précisérnent le contraire qui
est vrai.
II résulle des stalistiques dressées au mi
nistère dés finances que Thectare religieux
si Ton vent nous permetlre celte expression
paie frênle-sept fois plus que Thectare com
munal, seize fois plus que Thectare de main-
morte, cing fois plus que Thectare du parti
culier.
Et puis les religieux paient comme tous
les citoyens la patente, le foncier, le person
nel, et, s'ils rëcueilfènt dans la succession de
leurs oollêguès une part de propriété, ils
paient jusqu'a 13 au fisc, du chef de cetle
transmission.
Oü est le privilége? Oü est l'envahisse-
menl? Oü est Tabus? En fait, comme en
droit, oü est la main-morte? Nous sommes
en plein dans le régime voulu et eonsacré
mème par les membres de la minorité du
Congrès de 1830 les religieux jouissanl des
droits des citoyens, mais soumis aux obliga
tions des citoyens, spécialement en ce qui
regarde Timpöt.
La Flandre libérale n'est pas mieux inspi-
rée lorsqu'elle oppose a la capacité civile des
religieux Tobjection aujourd'hui banale du
vceu de pauvrelé.
Comme nous le disions hier, les vceux re
ligieux sont, dans la legislation moderne,
des fails de conscience qui échappent au
controle de la loi et aux investigations de la
justice. Alors mème qu'il sera11 vrai qu'au
for intérieur, le vceu de pauvrelé füt, tou-
jours et dans tous les cas, un obstacle a la
capacité de posséder propriétairemenl,
la loi ne reconnait pas cet obstacle. Tout
individu, religieux ou laïque, qui se dit
propriétaire et qui Ie prouve par un litre
légal, doit voir sa propriété non-seulement
reconnue, mais prolégée et garantie par les
pouvoirs publics.
Ce qui prouve d'ailleurs combien cette
objection déduile du vceu de pauvrelé est
juridiquement pitoyable et fragile, ce sont
les inconséquences de nos adversaires eu.x-
mèmes.
Aussi longlemps que le religieux tiendra
compte de ses vceux, dit Ia Flandreon les
lui opposeramais du moment qu'il les
violera on ne les lui opposera plus.
Voila, s'il en füt jamais une grossiére péli-
tion de principes
Comment! vous prétendez que le religieux
propriétaire viole sou vceu de pauvrelé
mais alors soyez logique et ne venez plus Ie
Tui opposer!
Au fond, il est vrai, la Flandre veut dire
le religieux apostat peut être propriétaire;
le religieux' fidéle ne peut l'ètre.
Mais ici encore la feuille gueuse patauge
en plein dans Tincohérence et dans Tabstir-
dilé.
Supposons qu'un religieux fidéle et exem-
plaire acquiére régulièrement par devant
nolaire un arpent de terrain.
Acquisition nulle comme faite par un
incapable, s'écrie la tribu-Laurent
Cd
/C
O
cc
-*!
to
5T.
O
«1
'Jf
O
CO
as
c-
O O
U3
cC
3
ua
CQ
-fl
<ÖbB»S^
m
2
i
-a
H
2
r=5
C/2
H
O
C/2
CK
O
1
m •/--
cfi
H
H
O
3»
CO
o
<o
rn
C/>
mum
Po-
Poperinghe- Ypres, 5-13,7-00,9-28,11-00,2-18,5-08,9-20. Ypres-Poperinghe, 6-30,9-07,12-07,3-87,6-80,8-48,9-30.
peringhe-Hazebrouck, 6 53, 12-25,7-10. Hazebrouck-Poperinghe-Ypres, 8-25, 4-10, 8-25.
Y-pres-/louters, 7-50, 12-25, 6-45. Roulers-Ypm, 9-23, 1-30, 7-80.
üou\ëvs-Brug es, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-3.6, (9-55. Lichierv.) Lichterv.-Thouroul, 4-25 tn. vers (Jslende. 1
Iers 8-25, 12-<45, 5-05, 6-42. Lichterv..-Courtrai, 5-25 m.
Ypres-Courtrai 5-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-25, Courtrai- Ypres, 8-08, 11-05, 2-56, 5-40, 8-49.
Ypres-Thouroul, 7-18, 12 06, 6 -20, (le Samedi a 5-50 du matin jusqu.'è Lahgjieqnarpk). Tbpuroul- Ypres, J-i -
(le Satoedi a..G-2Q,du matin de Langhemarck a Ypres). Wir,i«imi
Comines-Warnêtond.e Töuquet-no'uprmég-Amenftem, 0-00, 12-00, 3-35, Armtmtières-HoupltmjS'Le louquel-vv arncton
Comines 7 -25, 2,00, 4-45. Comines- Warnêlon 8-45, m. 9-30 s. (le Lundi 6-30,) Warnbion-Comines 5-3.,
Courtrai-Bruges, 8-05,11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6-55. 9-00 s. (Lichterv.) Bruges-Courtm, 8-25, 12-45/S-,05,13*42-
Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-25, 11-08,2-50, 7-35.— (bassin 7,31,11-14,2-56, 7.41, Heyst, Blankenb, Bruges,
5-45,8,25,11-25, 5,30.
Ingel munster-Deynze-Gawrf, 5-00, 9-41, 2-15. lngelmunsier-.De?/?i2e, 0:10 7-1!>. Cand-Uaynze- Ingelmunsterbt|S3,
4-41, 7-21. Deynze-IngelMunster, 1-00.
lngelmunster-/l«e<//tm, 6-05, 12-55, 6-13. b.nse%hem-Ingelmunster, 7-42, 2-20,7-45.
Lichtervclde-Dixmode-Furnes et Dunkerke, 6 30, 9-08, 1-35, 8-00. Dunkerte-hurnes-Dumude.et Lichtervtlde, 6-35, IMU,
3-40, 5-00.
l)ixmude-Arteupor'L9-50,2-20,8-45. Nieup-Ditcw, 7-30,12:00,4-20.
'l'hovroul-Ostende, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. Ostende-1hourout, 7-55, 10-10, 12 -25, 6-Ï5.
Selzaete-jE'ec/öo, 9-05, 1-25, 8-25. Eecloo-8rt2arte,5-35, 10-15,4-22.
Gand-.Terneuzen, (stplion) 8-17, 12-25, 7,30. (pórte d'Anvers) 8-30, 12-40. 7-45. Terrieuzen-Gand, 6 00, 10-30, 440
Selzaete-LoAenw», 9-04, 1-30, 8-30.,(Ie Merer. 5 10 m.) Lokorcn-Se/jaetó, 8-00,10-25', 4-45. (Ie Mar.li, 9,30.)
coHB.üai'oiriïJi.w ces
COURTRAI, BRUXBLLES.
Courtrai dep. 6,37 10,53 12,33 3,42 6,35.
Bruxelles arr. 8,50 1,35 2,25 6,10 8,54
BRUXELI.ESCOURTRAI.
Bruxelles dep.
Courtrai arr.
5,22
8,00
8,28
10,46
12,21
2,44
5,35
7,-56
6,47.
8,44
COURTRAI, T0URNAILILLE.
Courtrai dép.
Tournai arr.
Lille
0,37
7,28
7,38
10,56
11,47
12,08
2,54
3,48
4,00
6.34 3,47.
6,39 9,41
6.35 10,00.
LILLE, TOURNAI, COURTRAI.
Lille dép. S-,18 8,22 11,03 2,22 4,43
Tournai 3,42 8,56 11,29 2,40 3,39
Courtrai arr. 6,34 9.47 12,26 3,38 6,33
COURTRAI, GAND.
Courtrai dép. 6,42 9,49 12,31
Gand qrr. 8,01 l'l,08 1,31
BRUGES, GAND BRUXELLES.
GANDCOURTRAI.
5,04
6,40.
7,50.
Gand dép.
Courtrai arr.
5,15
6,37
9,38
10,56
1,28
2,54
4,24
3,84
7,21.
8,47.
BRUXELLES, GAND, BRUGES,
Bruges d. Ü,49ex.7,04 9,39 12,34, 2-52,ex. 6,43.
Gand ft. 7,34 8,19 10,34 1,49 4,07, 7,38. 9,31.
Bruxelles 8,30 10,35 12,39 4-00,7,13, 9-31.10,40.
Bruxelles dep. 7,20 8,14 11,06 1,35 3,02 ex. 4,59 ex.
'Gand arr. 6,00 8,38 9,41 1,23 3,39 4,11 6,29
Bruges 7,18 9,23 10,34 2,38 3,01 7,22
3.50
7,87
5,18
(1) Hartmann. La decomposition du christia-
nismecité par Mgr Ketteler Kulturkampf
n°lll, p. 21.
(2) Essai sur l'indifférence, T. II, p. 8 et 9.
(3) CEuvres. Tome v. p. 358.
L