I KMIiffll wllMc H v(0^S4SL£- Plli Mercredi 11 Juillet 1877. 12e année. N° 1,203. kSh X %>-■?%* ®teü O ?r!: DL_»jj| rwr> >- ligne. Les réclames et annonces judiciaires se paient 30 centimes la ligne. On traite d forfait pour los insertions par année. Un numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes Les numéros supplémentaires commandos pour articles. Réclames Ou Annonces, coütent 10 fr. les 100 exemplaires. I.e Journal parait le Mercredi et le Samedi. Les insertions coütent 15 centimes la CHEMiafS Bi K F F IS. 1er Juillet. LE PROGRAMME DE L'AVENIR. On lil dans la Chroniqueorgane avancé des avancés les plus avancés, qui font leur possible pour arriver et qai arriveront si on continue a les laisser faire: Une nouvelle idéé a propos de la fameu- se loi Malou vient d'êlre publiée dans la Re vue de BelgiqueM. Vanderkindere en est l'auteur; son article est inlilulé: Les Fraudes electorates... M.Vanderkindere, comme la Chronique est persuadé que la nouvelle loi, mème en abandonnant Partiele 46 dans quelque ou bliette d'occasion, ne produira aucun résul- tat dont l'opinion libérale puisse èlresatis- faite. La nouvelle loi electorale n'empèchera ni fraudes ni corruptions, pour la bonne raison que le corps électoral restera corrom- pu. Cela me parait absolument vrai. Que faire alors? Quels moyens em ployer pour empêcher que l'ignorance con tinue a nous gouverner? devote, dit M. Vanderkindere. Ce sont lou- jours les villes qui ont gouverné le monde, paree que c'est dans les villes que VmteM- gencela scienceVan. la philosophicle commerce sont groupés en un faisceau puis sant, incapable en effet de donner aux na tions le principe ie vie sociale, la force mo tnee, I1 organisation politique et legislative. Cette idéé est exprimée avec beaucoup de clarté, de science et de logique. Cette idéé est-elle pratique? Mi Vander kindere I'afSrme. Qui la réalisera? II faudrait l'appui de la Legislature actuelle, qui existe par la corruption. C'est un cercle vicieux. Et cependant, nous ferons bien d'examiner ce moyen nouveauce moijen radical de nous tirer des mains des pay sans et des prélres.» La Chronique s'imagine que l'idée de nouvelle. Elle sail bien le contraire. De tout temps le libéralisme depuis le plus modé- ré, c'esl-a-dire le plus hypocrite jusqu'au plus radical, c'est-a-dire le plus cynique, le libéralisme a professé le plus profond mé pris pour les deux tiers du code électoral coupable de ne point habiler les grands cen tres de Tintelligence, de l'art, de la philoso phic, de la vie sociale, etc., etc. De tout temps, les citoyens beiges résidant dans les petiles villes, les bourgs, les hameaux, les villages, les paysans, les ruraux enfin ne sontaux yeux des libéraux des grandes vil les que des gens bons a ètre rossés, que des brutes inconscientes, des valets de ferme, des charrues croyanten Dieu, des idiots, des crétinsetc., etc. De tout temps, Ie bourgeois doctrinaire a regardé du haul desa grandeur ridicule, de son ineptie incurable et de sa prétentieuse civilisation ces populations rurales dont le sang riche et pur, la conduite chrélienne et austére, le jugement droit et sain, l'esprit d'ordrc el de familie, le profond sens moral, la fermeté conservatrice et Ia carrure des épaules font un si vivant contrasle avec le peuplc libre-penseur, rabougri, pourri, civi lise el. sylphilisé des grandes villes; avec sa morale indépendante el ses innombrables batards, un quart des naissances a Bru xelles sont illégilnnes; avec son jugement faux et faussaire; avec son esprit de désor- dre, d'émeute, de tapage et de revolution; avec son mépris pour Ia familie, le mariage et lout ce qui géne ses libres-appétils el ses libres-pensées: avec son manque de sens mo ral; avec sa manie de destruction el de chan gement continue!, décorée du nom de pro- grès; avec son ignorance incroyable des choses principales, élevées, des choses de l'ame et du coeur, des choses de Dieu; avec son alhéisme bestial, sa demi-science des choses accessoires et fuliles; avec ses en- gouemenls stupides pour les sallimbanques doctrinaires, les monlreurs de bêtes radica- les et les hommes-obus du socialisme; avec ses mceurs cent fois plus grossiéres que cel les des ruraux les plus arriérés naguère encore la Chronique clie mêmegé- missait sur les mceurs de la voyoucratie bruxeiloise; avec son insupportable arro gance, sa platitude d'esprit, son incapacilé intellectuelle Bruxelles ne produit pas de grands hommes; sa bassesse morale, ses preoccupations eonlinuelles de jouissance animale et de plaisir; ses adullères et ses suicides; avec sa stérililé et son indiffe rence dans les ceuvres de vie, sa fécondité et son acharnement dans les ceuvres de mort; avec sa prostitution organisée, écceu- rante, épouvantable et qui e soir couvre nos rues de sa boue infecle; avec cette vermine purulenle et pullulante qui s'appelle les fem- ines et les feuilles de trottoir! Peuple des campagnes, voila done les ci- vilisés qui prétendent te mettre hors la loi, t'óler les droits de citoyen, les droits électo- raux, comme indigne, incapable; faire de toi un peuple de parias, d'iloles et te trailer comme les blancs des Etals-Unis trailaienl jadis les noirs avant Tabolition de Tesclavage! Peuple des campagnes, voila ceux qui di sent: Un peuple prévenu en vaul deux. Prenez done vos precautions, ruraux, paysans el prêlres doublez vos efforts el vos forces; n'épargnez rien pour empêcher le pays de tomber sous le joug des révoluiionnaires des grandes villes, c'est-a-dire des republicains rouges, des athées, des socialistes, des inter- nationalistes, des solidaires, des libres-pen- seurs, des francs-macons d'en haut et d'en bas, de ces barbares en un mot, que Léopold Pa si bien flétris un jour. II faut, a tout prix, que les grandes villes soient muselées comme on musèle des bêtes dangereuses. II faut, a tout prix, que l'im- mense majorité du corps électoral ne se laisse pas faire la loi par un ramassis de gens sans principes, sans foi, ni loi, ni mceurs. C'est aux populations rurales a lesécarler absolument du pouvoir, car le jour oü ces prétendus intelligents seraient les mailres, les populations rurales seraient esclaves. Je connais trop le bon sens, la fermeté et l'énergie des ruraux pourcraindre même un instant qu'ils se laissent désormais écra- ser par la voyoucratie libérale des grandes villes. La Revue de Belgique, la Chronique, M. Vanderkinderen et les inventeurs des moyens légaux peuvent se donner le luxe de dire: Arrivés au pouvoir que fe- rons-nous? et de répondre: Nous mellrons les campagnes hors la loi! Les campagnes ne se laisseront pas faire et ne les laisseront pas faire! Et précisément paree que les grandes vil les comme Paris, Berlin, Bruxelles sont de- venues des nids de socialistes, d'inlernatio- nalistes, de parlageux, de gueux et de révo- lutionnaires, les campagnes lutlerool avec une nouvelle vigueuret une nouvelle persé- vérance pour empêcher cette tourbe immon- de et infame d'escalader le pouvoir et de dire: l'Elal, c'est nous! Le salut du pays est a ce prix. [Cloche.) UNE PENTE LOGIQUE. La prudence libérale est une belle chose. Pendant que le socialisme étend ses ravages cl menace de plus en plus prés l'ordre social, les doctrinaires cachent obslinément la têle sous l'aile dn Kulturkampf et rendent d'avan- ce anx catholiques les coups que IInterna tionale se prépare a porter aux caisses libé- rales. En attendant, on s'effraie a la cour et ailleurs des progrés du soc alisme, qui, a Anvers, a Bruxelles, a Verviers, dans le Bo- rmage et dans le pays de Charleroi, est de- venu une puissance politique, et qui s'apprète a le devenir a Gand el a Liége. Mais que fail- on pour s'y opposer? On se croit très-habile en faisant du Bismarckisme, en frappant 1'Internationale noire pour alteindre la rouge el on se refuse a voir ce qu'a produit cede politique chez nos voisins de I'Esi. Les progrés que le parti socialiste fait en Allemagne sont inconlestables. II a la majorité a Berlin; il l'aura bien tót dans loules les grandes villes. Cette situation inquiéte natu- rellement le parti conservateur allemand, et non-seulement les féodaux, mais les natio- naux libéraux el les progiessisles eux-mèmes. Les candidats socialistesdisposentde500,000 voix; ils sont 14 au Parlement; un déplace- ment de 30,000 voix, chiffre minime, si I'on considére la situation de I'Allemagne, pent porter leur nombre a 70 et au-dela. Un Congrès socialiste vient d'avoir lieu a Gotha. Un autre doit s'ouvrir le 2 septembre a Gand. Voici I'appel fait par les organisa- teurs du congrès aux socialistes de l'Europe: Ciloye?is associés de tous les pays, Plus que jamais il est nécessaire que nos idéés et uos principes soient connus; plus que jamais, l'humanité a besoin de la propagande socialiste, de l'union et du con cours de tous ses adhérents. L'esprit du siècle et la corruption capilalisle livrent une puis- sante balaille conlre nos intéréts, qu'ils me- nacenl de briser achaque instant. La misère de la classe ouvrière est connue de tous, notre situation deviendra de plus en plus malheureuse, et sous les plus sombres cou- leurs, se présente a ('horizon l'économie bourgeoise. Le génie du socialisme est appelé a por ter la lumiére dans les tènèbres el a délivrer rhumanilé du tourbillon dans lequel Taction des prètres et des capitalistes Ta précipitée. Partout les Iravailleurs aspirenl a un meil- leur sort; partout on entend des cris de dé- tresse partout lenrs angoisses se möntrent, et ils cherchent du secours pour sortir de leur prison. Socialistes de loules les classes et de lous les pays, membres des diverses frac tions, oublions en ce moment ce qui nous sépare pour rester unis. Allons courageuse- ment a Tceuvre, cherchons ensemble ioyale- ment a nous entendre et montrons au vieux monde que le parli de Thumanilé inlrépide est irrésistible a la délivrance. Associés de tous les peuples el de tous les pays, enlendez notre voix et prètez at tention, que de lous cötés des délégués soient choisis pour donner au congrès un imposant el puissant caraclére. Le congrès doil durer hu it jours, el le programme est ainsi concu 1° Réalisaiion de la solidarilé enlre les diverses associations socialistes de Iravailleurs; 2° Organisation des corporations indus trielies; cliambres syndicales; 3° Place du prolétariat dans les divers événements politiques; 4° Les tendances de la production mo derne au point de vue de la propriélé; 5° La proposition des socialistes daiiois au dernier congrès de Berne, au sujet de fonder dans une ville de TEurope un bureau central pour la statislique du travail (salaires, vivres, heure de travail, régime des fabri- ques). On voit que c'est ['organisation sociale que le parti socialiste veut délruire. La question de la propriélé sera abordée au congrès de Gand. Avant-hier même, le socialisme s'est affir- mé a la Chambre des représenlants beige, Chambre de censitaires élus pardescensi- laires. Des grèvesont éclatéréceinment aSeraing, les grévistes ont maltraité et assommé les ouvriers honnètes qui entendaient conlinuer leur travail. La force armée a heureusement réussi a maintenir l'ordre parmi les Iravail leurs qui, armés de fusils a baïonnetle, el poussés par les meneurs de VInternationale, prélendaient praliquer les nouvelles Ihéories sociales mises a la mode par certains admi- raleurs des procédés sommaires de Raoul Rigault. Le citoyen Jourde, ministro des finances de la Commune de Paris, qui annonce la publication d'une apologie de Tinsurrection de 1871, a élé expulsé du pays, comme élant un homme dangereux pour i'ordre en Bel gique. Un des principaux organes libéraux du pays, la Chronique, s'est empressée de se conslituer son avocal el d'allaquer violem- ment a ce sujet Tadminislraleur de la sürelé publiqae, et le citoyen Janson lui a fait écho en pleine Chambre. A Gand mème {Internationalea récemmenl suscité des gréves partielles, elle profile de la crise industrielle pour multiplier les meetings tumullueux et les appels a la révolution so ciale. Elle s'organise militairemenl dans le Borinage el dans lesarrondissements de Char leroi, de Liége et de Verviers, el elle s'efforce de grouper en un noyau de résistance armée ses sections dispersees dans lout le pays vvallon. La Libre-pensée el les Solidaires, deux sociétés que le libéralisme ne reniera pas, sont a elle. Elle compte parmi ses affiliés plusieurs chefs marquanls du parti gueux d'Anvers, et elle y est représentée dans tous les corps électifs el politiques oü les Gueux parviennent a s'introduire. Et cependant que font les libéraux Ils tremblent, mais ils s'obslinent. Ainsi que l'a jusiement dit il y a trois mois un publiciste communard, le doctrinaire mange régu- y lièrement du prêtre ou du petit frére, et il n'y a guére de jours qu'il n'en dévore plusieurs pour sauver Ia société, car le péril social pour un doctrinaire, c'est une robe noire. Mais du sein du doctrinarisme se délache une branche, les progressistes, qui conlinent aux républicains modérés, lesquels touchentaux radicaux pour abou- tir aux socialistes. Ajoutons que, de mème qu'en France MM. Léon Say et Thiers ont adoplé, [iar haine du cléricalisme, le pro- gramme de Louis Blanc, de Naquet et de la Marseillaise, de même en Belgique les Jan son, les Robert, les Huysmans, les Lynen et consorts viennent fralernellement serrer la main a MM. le comle de Kerchove, De Bos schaert et Warocqué. A la Cliambre, des 45 libéraux qui assis- taient a la séance, qualorze seulement ont osé émeltre un blame platonique a Tadresse du citoyen Jourde, qui avait usé d'une si élrange facon de Thospitalité belgeen faveur de la Commune de Paris. Dix-sept n'ont pas osé se prononcer enlre la logique libérale qui les lie a Jourde et les intéréts de leur caisse qui les font trembler. Quatorze enfin ont blamé Facte de preservation sociale ac compli par Ie gouvernement. Bien plus, M. Guillery a déclaré qu'a ses yeux le citoyen Jourde représenlait la vérilé et la justice et n'était qu' une victime étrangére des passions politiques. Les doctrinaires ont beau prolester el équi- voquer: nous n'avons jamais appris qu'ils aienl sérieusement elpratiquemenlcondamné et combatlu TInternationaleni repoussé son alliance. El cela s'explique Bebel l'a dit fort bien Nous antres, socialistes, nous som- mes les logiciens du libéralisme. En effet, le principe est ie mème: seulement les socia listes sont logiques et francs, les doctrinaires ne sont ni Tun ni l'autre. Nous ne nous étonnons done pas de voir la bourgeoisie libérale el sceptique fairecause commune avec i'Internationale contre leca- tholicisme. Mais nous n'avons cessé de l'aver- tir qu'elle joue le röle des Girondins. Elle sacrifie a sa propre haine et a cel le de ses allies le catholicisme, la seule digue qui arrète encore le débordemenl socialiste. Elle se verra plutót qu'elle ne le croit en présence des Jacobins de la Commune, et, quand il sera trop tard, elle éprouvera la vérité de la parole de Ilasselmann: Chaque coup porté a Tullramontanisrne est une bataille gagnée pour le socialisme LA CHAMBRE. Deux incidents plus ou moins tumullueux Sd iC O fel co co O cq E- co u ea CO CO Ï5 5 Ss *s£ 2. 2 2 C! C/3 •H rc •n re 5! n =i O e 6-50, 8-45, 9-50. Pope- jne- pres, 8-25,4-00, 8-25. Rimlers-Bruges, 8-45, 11-34, 1-13, 5-16, 7-36 (9-55 Liclitervelde.) Lichtervelde-Thourout, 4-25 mat. vers Ostende. Bruges- Routers, 8-25, 12-45, 5-05, 6-42. Lichtervelde-Courtrai, 5-25 mat. Ypres-Courtrai, 5-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-25. Gourtrai-Ypres, 8-08, 11-05, 2-56, 5-40, 8-49. Ypres-Thourout, 7-18, 12-06, 6-20, (le Samedi a 5-50 du matin jusqu'a Lailgemarck.) Thourout-Yprés, 9-00, 1-25, 7-45 (le Samedi a 6-20 du matin de Langemarck a Ypres). Comines-Warnêton-Le Touquet-Houplines-Armentières, 6-00, 12-00, 3-35. Armentières-Houplines-Le Touquet- Warnêton- Comines, 7-25, 2-00, 4-45. Comines-Warnèton, 8-45 mat. 9-30 soir, (le Lundi 6-30.) Warnóton-Gomines, 5-30, 11-10 (Ie Lundi 6-50.) Courtrai-Bruges, 8-05, 11-00, 12-35, 4-40 6-55, 9-00 soir. (Liclitervelde.)— Bruges-Courtrai, 8-25, 12-45, 5-05, 6-42 Bruges-Blankenberglie-Heyst (Station) 7-25, 9-20, 11-25, 2-50, 5-35, 7-35. 8-55. (Bassin) 7-31, 9-26, 11-31, 2-56, 5-41, 7-41. 9-01. Heyst-BlankenBerghe-Bruges, 5-45, 8-25, 11-25, 2-45, 5-30, 7-25. Ingelmunster-Deynze-Gand, 5-00,9-41,2-15. Ingelmunster-Deynze, 6-10,7-15. Gand-Deynze-Ingelmunster, 6-58, 11-20, 4-41. 7-21. Deynze-Irjgelmuiister, 1-00. Ïngelmunster-Anseghem, 6-05, 12-55, 6-13. Ansegkem-Ingelmunster, 7-42,2-20,7-45. Lichtervelde-Dixmude-Furnes et Dunkerque, 6-30, 9-08, 1-35, 8-00. Dunkerque-Furnes-Dixmude et Liclitervelde, 6-35, 11-10, 3-40, 5-00. Dixmude-Nieuport, 9-50, 2-20, 8-45. Nieuport-Dixmude, 7-30, 12-00, 4-20. Thourout-Ostende, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. Ostende-Thou'rout, 7-55, 10-10, 12-25,6-15. Selzaete-Eecloo, 9-05,1,25, 8-25. Eecloo-Selzaete, 5-35, 10-15, 4-22. Gand-Terneuzen (station), 8-17, 12-25, 7-30. (Porte d'Anvers) 8-30, 12-40, 7-45. Terneuzen-Gand, 6-00, 10-30, 4-40 Selzaete-Lokeren, 9-04. 1,30, 8-30 (le Mercredi, 5-10 matin). I.okeren-Selzaete, 6-00, 10-25, 4-45 (le Mardi, 9-30). COB-RESFOUIriAIVCES. COURTRAI, BRUXELLES. Courtrai dép. 6,37 10,53 12,33 3,42 6,35. BruXelles arr. 8,50 1,35 2,25 6,10 8,54. BRUXELLES, COURTRAI. Bruxelles dép. 5,22 8,28 12,21 5,35 6,47. Courtrai arr. 8,00 10,46 2,55 7,56 8,44. COURTRAI, TOURNAI, LILLE. LILLE, TOURNAI, COURTRAI' Courtrai dép. Tournai arr. Lille 0,37 7,28 7,42 9-37 10,15 10-42 10,56 11,47 12,08 2,54 3,48 4,00 5,34 8,47. 6,39 9,41. 6,37 10,04. Lille dép. Tournai Courtrai air. 5,15 5,42 6,42 8,12 8,56 9,49 11,05 2,21 11,32 2,40 12,31 3,44 4,10. 5.39. 6.40. COURTRAI, GAND. GAND, COURTRAI. Courtrai dép. Gand arr. 6,32 7,51 6-42 8,01 9,49 11,08 12,31, 1,51, 3,44 5,04 6,40 7,56 9-32. 10,20. Gancl dép. Courtrai arr. 5,15 6,37 8,45 9,37 9.24 10,41 9,38 10,56 1,28 2,54 4,24 5,34 7,21. 8,47. BRUGES, GAND, BRUXELLES. BRUXELLES, GAND, BRUGES. Bruges d. 6,49 7,04 9,39 12,34 2,52 6,43 8,43. Gand a. 7,34 8,19 10,54 1,49 4,07 7,58 9,26. Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4,00 7,15 9,31 10,40. Bruxelles dép.5,22 7,20 7,25 9,00 11,06 1,35 3,02 4,53 5,55 5,01 8,00 8,20. Gand arr. 6,00 8,38 9,36 10,27 1,23 3,59 4,11 6,01 7.17 7,02 9,09 10,26. Bruges 7,15 9,23 10,51 11,20 2;38 5,01 6,58 8,16 8,50 li, FACT DONNER AUX VILLES SEIILES LE DROIT DONKER AUX VILLES SEÜLES LE DROIT DE VOTE est II FAUT DONNER AUX VILLES SEULES LE DROIT DE VOTE.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1