i§ sil II' HOOFDAGENTEN GEVRAAI pouvez en eonsciencevous faire le complice du libéralisme qui la persécule et qui l'op- prime. Mais a quel litre le magistral civil qui ne juge qu'au for extérieur, viendrait-il, dans I'exercice de ses fonclions, soit infirmer. soit confirmer ce langage Nolez bien, d'ailleurs, que si le pénitent a tenu comple des avertissements du prêlre, c'est parce qu'en conscience, il les a crus fondés. II a done, même en cette hvpothèse, voté suivant sa conscience et ses devoirs Et cependant e'est tout juste celte inter vention legitime du prêlre, accomplissement elle-mème d'un devoir de conscience, que M. Frère-Orban voudrail atteindre par sort nouveau code électoral On le voil: nous nageons en plein dans la contradiction et dans I'arbitraire. C'est le propre du libéralisme. L,c but de M. Frère est assez visible il voudrait paralyser elannihiler loute influen ce, même ptircment morale, capable d'enle- ver un vole au libéralisme. Cela nc peut évi- demment sedire crtTrnenl dans un texte légal; mais il est évident aussi que le moyen de le dire d1 nne facqn délournée n'est pas encore Irouvé. CONSEIL PROVINCIAL DE LA FLANDRE OCCIDENTALE. Séance du 6 juiilet. Présidence de M. De'Cock. CEiroiiitfue B«ea,Se. A QUI LA FAUTE? argent nécessaire a l'achèvemenl nal de la Lys a l'Yperlée, n'est pas celte fois encore dans la loi de travaux pu blics votée par la Cliamhre, la faule n'en est imputable, uvons-nous dit, niuu Gouverne mentni assurémenl d nos deputes. Mais a Si du Cona qui done alors, s'écrie le Progrès?... Et il feint de chercher bien loin: Ce n'est ni d M. Frère-Orban. ni d M. Bara: ds ne sont plus ministres; et ce duit élre moins encore d M. Vundenpeerebuom'. il n'esl plus ni ministreni représentant... Non, Progrès, la part de M. Frére et de M. Vandenpeereboom, nous l'avons faite par deux fois, et vous n'avez rien eu a objecler. Sans doute l'achèvemenl du Canal intéresse l'arrondissement. Toute voie de transport a bon marché est une source de prospérité pour le commerce et pour l'agricullure. Mais ce qui intéresse bien davantage l'arrondis- ement d'Ypres, c'est la reprise des chemins de fer de la Flandre occidentale. Et si oeux-ci n'ont pas été compris dans la convention de 1870, ce qui cüt évilé bien de difficultés et une augmentation de frais considérable, la faule. cette fois, en est imputable a M. Frère et a M. Vandenpeereboom, dont l'un était ministre en 1870, et J'autre, dépulé el ami en crédit du pouvoir. 1870 29 Octobre, route pavée de Lan- gemarck au Vyfweglie. 3») 4°) 5°) 6°) 7°) 8°) 9°) 10°) 12°) faire construire, aux frais de l'Etat. La dé- pense de ces travaux a été estiinée a la b somme de fr. 9§0,000. b Voici, pensons-nous, notre audace justifiée. Un arrèté royal du 4 Juiilet, accorde les subsides suivauts dans l'arrondissement d'Y pres Fr. 221-lbau conseil communal de Zille- beke, pour la resiauration du presbytère de celte loealité Fr. 918 47 au conseil de fabrique de l'é- glisse de Kemmel, poer la sacristie; Fr. 1,666-66 au conseil de fabrique de l'église de Watou, pour l'agrandissemenl de celte église; Fr. 1,133-33 au conseil de fabrique de l'église de Dranoutre, pour la sacristie; Fr. 2.3b6-38 au conseil de fabrique de l'église de Neuve-Eglise pour travaux a celte église; Fr. 1,366-67 au conseil de fabrique de l'église d'Oostvleteren, pour la restauralion de celte église; Fr. 4,000 au conseil de fabriquede l'église deZonnebeke pour Tagrandissement de celte église Fr. bOO au conseil de fabrique de l'église de Dickebusch, pour travaux a cette église; Un arrèté royal du 9 Juiilet. porlant re organisation des commissariats d'arrondisse- menl, est concu comme suit Art. ler. Les employés placés sous les or- dresdes commissairesd'arrondissernent sont nommés par le gouverneur de la province qui peut aussi suspendre ou révoquer ces employés aprés les avoir entendus. Dans tous les cas le commissaire de l'arrondissement est préalablement consullé. La suspension est prononcée pour un ter- me qui ne peul excéder deux moiselle en- traine Tinterdiclion d'exercer les fonclions et la privation du traitement. Art. 2. Le gouverneur determine pour ehaque arrondissement, sur la proposition du commissaire, le nombre des employés. Toutefoisce nombre ne peut excéder le ma ximum établi par le tableau 'ci-après, qui fixe aussi le traitement attribuéa chaque grade ie. 2° classe, 3° classe. 2,400 1,700 1,200 900 900 2,000 1,400 900 1,800 1,200 Total. 7,100 5,200 3,900 Le grade ne peul être séparé du traite ment. Art. 3. Dans lecas oü le nombre des em ployés n'atteindrait pas le maximum fixé au tableau ci-dessus, par suite soit de l'organi- sation du cadre, soit de vacances d'emploi momentanées, l'économie réalisédeces chefs peut être atlribué'e annuellement, par arrèté royal au commissaire de l'arrondissement, a litre d'indemnités pour frais de bureau ou pour rénuinération d'employés provisoires. L'excédant dont il s'agit pent aussi être réparti annuellement enlre le chef de bureau el les autres employés, par le gouverneur de la province, sur la proposition du commis saire de l'arrondissement. Art. 4. Les nouveauxtraitemenls.accordés en verin du présent arrèté prendront cours a dater dn lcr janvier 1877. Art.b. Nul n'esl admis en qualilé d'etn- ployés'il n'a préalablement subi un examen devant une commission nommée par le gotij verneur et d'après un programme arrèté par lui. Les expédilionnaires pour obtenir un gra de supérieur, doivenl subir un notivel exa men. Sont dispensés de ces examens', les postu lants porleurs d'un diplome délivré confor- rnément aux lois sur l'enseignenient supé rieur. Art. 6. Le commissaire de l'arrondisse ment fixe, par un règlement d'ordre, sous (^approbation du gouverneur de la province, les devoirs des employés et les relations de service, ainsi que toutes les mesures relati ves au travail et a l'organisalion des bureaux. Art. 7. Les derogations nécessaires pour assurer le maintien des positions acquises seront,s'il y a lieu, autorisées sous l'approba- lion de notre ministre de l'intérieur, par le gouverneur de la province. Le gouverneur pourra dispenser de l'exa men requis par Particle b du présent arrèté les employés qui étaient en fonclions avant le lor janvier 1877. L'UHIQN COIVifflERCIALE D'YPSES, siluée prés de la Station a Ypres, a l'honneur d'informer ses clients qu'elle fournit direclement aux mèmes prix el con ditions des Mines, par wagon de b et 10 mille Kilos du beau et bon Charbon de Mons, Fres- ne et autres. Poids garand et facuité pour Pacheteor de refuser la marcbandise si elle ne répond pas a l'allenle. Prix du détail Charbons TOUT-VENAN'T, (Mons) Fr. 2,b0 les 100 Kos. Cbarbons FINS, Fr. 2,20 les 100 Kos. Rendus a domicile. Aux mèmes Magasins Grand assortiment de Carrelages en Grés et en Ciment. Tuiles, Ardoises, Carreaux, Pier. res de Taille, Chaux, Ciment el Tras. Dépot unique de pavés d'Andennes pour trottoirs, cours, porches, écunes, etc. Briques réfraclaires pour fours, tuyauterie en argile et en grés. Etc. Etc. Engrais chimiques, Guanos azolés, Nitrate deSoude, Tourteaux et tout cequi concerne l'agricullure. Pour lescommandess'adresseraux bureaux de l'UNION COMMERCIALE, rue de l'Etoile, 4, Ypres. 5 3-1 I II I I I IIMI I I I I I o c~ N m c o I g I I 1 I a o -S I I SiII s I s 2 I II S I I I I a I I g I I II I I g I g I I I I S I I I SES 32® 22^ *-° a.' O I II I I MMS I I i ii i i i g i Mill I I I §1 1 1 1 1 1 <<m) 35 s §1 I 1 I I DECLARATION DE FAILLITE. Le tribunal de première instance d'Yprt siégeant consulairement, a, par jugement 11 Juiilet courant, déclaréen étal de fail' le sieur CHARLES BOURGEOIS, négocit demeurant a Westoulre. L'otiverlure de la faillite a été provisoir] ment fixée au premier mai dernier. II est ordonné aux créanciers de faire déclaralion de leurs créances avant le juiltelprochain el il sera procédé le 11 al prochain a la cloture du procés-verbal vérifiealion. Le 24 aoüt auront beu les Débats sur contestations a naitre. Monsieur E. Dusillion est nomme jü commissaire et -Ie soussigné curateur dite faillite. Ypres, te 13 Juiilet 1877. Justin Berghman, Aj Eene solicdc Belgische Maatschal tegen brandverzekering vraagtl ALLE PLA ATSEN der provintie A\J Vlaanderen,degelijke HOOFDAGEN) tegen hooge provisiën. Voor de conditiën zich per te vervoegen bij den Heer W. Aken, hotel de la Tête dl Or Yperen. La séance est ouverto alt 1/2 heures. Apfès la lecture de quelques rapports dont les conclusions seront discutées a une prochaine séance, le conseil passe a la discussion du rap port sur la decision prise par la deputation per manente de créer une place de garae-champètre distincte et séparêë pour la commune de Wen- duyne, réunie au point de vue de la police avec ceïle de Nieuwmuns'ter. La 2° commission re connaissant l'ütilité et la nócessité de la mesure prise par la. députation, prie le conseil de l'ap- prouver. Adopté. Rapport au sujet d'une nouvelle revision du texte de l'art. 80 du règlement sur les chemins vicinaux, modiflé dans la dernière session. La 2" commission propose de rédiger l'art. 80 comme suit Aucune plantation nouvelle ne pourra être effectuée sur un chemin vicinal, si celui-ci n'ex- cède pas d'un metre cinquante centimetres au moins la largeur déterminée par l'art. 5 du pré sent règlement. Les plantations existantes pourront être re- nouvelées moyennant par les propriétaires de se conformer aux formalités prescrites ci-après. On ne pourra effectuer de plantations nou- velles ni renouveler celles existantes dans les chemins oü les plantations seraient nuisibles a la viabilité et au bon etat d'entretien des communi cations. Ces chemins seront désignés par la Dé putation permanente, les conseils communaux et le commissaire-voyer entendus. Les arbres seront plantés a une distance de 10 metres au moins les uns des autres et a cin quante centimetres du bord intérieur du fossé. 11 n'est pas permis de modifier cette limite sans une autorisation préalable de la Députation per manente. M. Syoen demande que la Députation veuille voir s'il n'y a rien faire aux plantations qui ont été mises l'liiver dernier sur la digue du canal d'Ypres. II y a des endroits oü cette digue n'a que 4 1/2 metres de largeur; et pour que les arbres crois- sent bien, on a fortëment défoncé la digue a un mètre de profondeur. Par suite des inondations de eet liiver, le ter rain a été enlevé par l'eau, de manière qu'une grande partie de la digue a disparu. L'honorable membre voudrait encore que la députation examinat la question, et pint des me- sures pour qu'on ne plantat pas d'arbres dans les endroits qui n'ont que 4 ou D metres de largeur. M. Surmont dit que la plus grande partie de la digue du canal d'Ypres a l'Yser atoujoursété plantée, et que les arbres arrivés a maturité, ont eté vendus. l'Adi'iiUiijim. Alors la possession de cc pnvs, tan favorisé par la nature, avec Icquel aucune autret contrée du monde ne peut rivaliser de ferlilité el de richesse du sol, élèvera la Hussie a ce degré de snprriorité qui surpasse tout ce que l'hisloire ra- conle de labulciix de la grandeur des monarchies des temps anciens. M. Poujoiilal, après avoir cité ces paroles, ajoulail Le temps a justitie les previsions que nous venons de reproduire; ce qui ne s'esl pas encore vérifié le sera. La question d'Oricnl commence, ce sera la plus grande question dn siècle. Un em pire russe en Orient, re sera la resurrection de i'ancicn empire bizantin moins le terrible voisi- nage des Turcs et plus les forces incomparables des jeunes nations du Nord... Rien de pareil ne so sera vu dans l'hisloire des dominations liu- maines. Les Grecs se comporleront-ils en vain- (|iieurs modérés? CVsl douteiiN. II est bien pins a eroire que leurs vieilles li lines conlre les catho- liques se donneront libre carrière. Leur foi se posera comme maitresse et Iriomphante; le czar, emperenr et pape, ne supportera aucune rivalité auioure dr I'Eglise de Phot ins (A). Ainsi la puissance russe sc déploie grande et terrible, rille vient, s'appjiyant a la fois sur I'im- niensilé de sa force et sur le schisme qui représenle prés de la moilié de la population de l'empire ot toman. Apprêlons-nousa voir ce que prépare au calholicisme le triomphe du scbisine pree. A lions nous voir se réalis.er, d'après les proplié- lies el les traditions, d'après la parole de Napoléon 1'a be Hélène, ce grand empire anliclirétien qui doit absorber le vieux monde el présider aux catas trophes des derniers jours 't (4) M. I'oujoidat, passim. Depuis lors, la députation a dü veiller a ce que les replantations se Assent a nouveau, et ce que la province bénéAciat de la croissance des arbres. II a été planté des arbres sur presque toute l'étendue de nos routes et pour amener une ra- pide croissance, il a été decide qu'en executant a l'avenir les plantations, on f'erait un défonce- ment convenanle. II s'est fait que les défoncements n'ont dü être exécutés que vers la An de l'année, et l'inonda- tion de l'hiver a endommagé lés chemins. Depuis lors, la plantation a été faite, et le conducteur qui est chargé des détails de ce service, a eu soin de remettre la digue en état. II peut y avoir eu de nouveaux dégats, mais dans tous les cas, nous n'avons pas éte avertis. M. Syoen est d'avis que, quand la province ordonne aux particuliers de ne pas planter d'ar bres sur les chemins qui n'ont pas la largeur voulue par la loi, elle doit prêcher d'exemple. Quant a la largeur de la digue, il y a beaucoup d'endroits, oü elle n'a pas méme cinq metres de largeur. Le rapport est adopté. Rapport sur la demande de subside de la société protectrice des animaux. La 2s commission estime qu'il n'y a pas lieu d'admettre la demande celle-ci ayant été présentée tardivement. M. de Stuers croit que l'on pourrait supprimer des conclusions le mot tardivement, ot aéeider simplement qu'il n'y a pas lieu d'accorder le subside a la société protectrice des animaux. M. le Gouverneur parle en faveur du subside. La commission adoptant les conclusions de la députation écarté la demande sur le motif de la presentation tardive. C'est une tin de non rece- voir que l'on ne pourrait alléguer en cette cir- constancela société s'étant adressée depuis plusieurs années au Conseil. M. de Stuers dit que le conseil peut maintenir ses décisions antóneures, c'est-a-dire qu'il peut rejeter purement et simplement la demande de cette société. M. le Gouverneur engage le conseil a ne pas adopter les conclusions de la commission et a accorder a la société protectrice des animaux un léger subside. M. VanEeè croit qu'il y a lieu de maintenir les conclusions présentées par la 2e commission parce que la demande est présentée tardivement. Dés lors il est complètement oiseux, inutile, et peut-être illegal, de statuer sur le fond. Les conclusions du rapport de la 2° commission sont adoptées. Rapport sur la demande de la ville de Thourout tendant a bbtenir un subside pour l'ameuble- ment du local de la justice de paix. La 3e com mission propose de ne pas accueillir la demande. M. le baron de Crombrugghe propose de re mettre la discussion de ce rapport jusqu'au mo ment oü le conseil s'oècupera de' l'examen du budget, attendu que la députation permanente declare qu'il n'y a pas de crédit inscrit pour eet objet au budget. M. Surmont croit qu'il n'est pas nécessaire de remettre la discussion, parce que le principe de l'intervention provincialedans I'ameublement des justices de paix, reste toujours debout, soit que l'on discute maintenant, soit que l'on remette 1 affaire jusqu'au moment de l'examen du budget. La discussion de principe peut avoir lieu dés aujourd'hui: elle a du reste été tranchée, l'an dernier, a propos de la même justice de paix de Thourout. M. le baron de Crombrugghe.. Je doisrappeler que Tan dernier, il ne s'agissait pas de 1 ameu blement mais bien de la construction d'un local de justice de paix a Thouroutcette ville s'était adressée au conseil pourobtenir un subside. Le conseil décida de ne pas intervenir par voie de subside dans cette construction. M. Surmont avait soutenu que jamais la pro vince n'était intervenue dans les subsides a ac corder aux justices de paix; mais on lui a dit que la province avait dérogé dans le temps a ce prin cipe, qu'elle était intervenue au moyen d'un sub side assez large, en faveur de la justice de paix de Ghistelles. Cette régie n'est done pas sans aucune espèce de derogation et la province pourrait très-bien encore accorder la legére in tervention demandée pour I'ameublement du local en question. M. Surmont dit qu'il serait peu rationnel d'in- tervenir, même par un léger subside, dans l'ac- quisition d'un ameublement que la province ne ctoit nullement subsidier et qui constitue une charge exclusivement locale. Si le principe de l'intervention de la province, dans le cas actuel devait être admis, on devrait l'étendre bientót a toutes les justices de paix de la province et le chiffre qu'il faudrait inscrire de ce chef au bud get ne serait pas aussi minime que l'honorable Baron de Crombrugghe veut bien le croire. Les conclusions du rapport sont adoptées. Rapport sur la demande dü président du tri bunal de le instance, a Courtrai, tendant a obte- nir une majoration d'aliocation de 1,000 l'r. pour menuos dépenses et un subside extraordinaire de l'r. 992/17 pour payer les dépenses arriérées. La commission propose: 1° d'accorder le subside extraordinaire de fr. 992,17 nour dépenses arrié rées; 2° de nepas accueillir la demande en majo ration du subside de 3,000 fr. alloué pourmenües dépenses. Adopté. Rapport tendant a faire autoriser la députation permanente a traiter avec l'administration com munale d'Ostende a l'eff'et d'arriver a la cession de la caserne de gendarmerie actuelle moyen nant pour la ville d'en construire une nouvelle.— La 3" commission estime qu'il y a lieu d'autoriser la députation permanente a traiter a toutes tins l'échange proposé par la ville d'Ostende, sous la réserve que la question de propriété du batiment dont il s'agit, soit préalablement élucidée. Adopté. Ra]>port sur la demande du Sr Blanckaert éclusier a Houthemtendant a obtenir une majoration de traitement. La 3" commission propose d'accorder la majoration demandée, qui prendrait cours a dater du lr juiilet de cette année. Adopté. Rapport au sujet des dépenses d'intervention dans los travaux d'amélioration du régime de l'Yser. La 4« commission propose d'intervenir pour fr. 33,333,33, payables en 5 annuités, a par- tir de 1878. M. Surmont demande a M. l'Ingénieur en chef de la province quelques indications sur le coüt déflnitif des travaux de l'Yser, dans lesquels la province doit intervenir. M. l'Ingénieur en chef ne pourrait répondre dès aujourd'hui a cette demande. Cependant, il peut dire dès a présent, que les travaux sont très-avancésil examinera la question et ré- pondra. Les conclusions du rapport sont adoptées. Rapport sur une demande de subside pour pouvoir opérer le racliat de la concession do péage au pont d'Escanaflies. La 4e commission propose d'allouer un subside de 2,400 fr. en fa veur du racliat. Adopté. La séance est levée a midi et demi. Mais enfin, grace a ('énergie de nos dépu- tés, la faule de 1870 est sur le point d'etre réparée: le Ministre, nous le répétons, a dé- claré que l'examen des conditions de la reprise de nos chemins de fer est terminé y> que ce sont les fonclionnaires les plus cu- pables el les plus éminents du déparle- ment des travaux pubtics el de celui des finances qui en ont été chargés. Le Gou- vernemenl consacrera l'inlervalle qui sé- pdrera les deux sessionsaux négociations QUI SONT DÉJA ENTAMÉES. Voila la déclaraiion du ministre, la plus formellc, la plus precise que nous ayons encore oblenue. Quant au Canal, si la part d'intervention du Gouvernement, part gratuitement con- cédee en principe, ne figure pas au pro jet. la faule, nous l'avons dit et le Pro grès a soin de le dissimuler, la faule en est toute enlière au concessionnaire ou d ceux qui, chargés de faire des proposi tions en son nor/i, ont formulé ces propo sitions tardivement et sans les enlourer de garanties FiNANCiÈRES SÉiuEUSES, telles que le Gouvernement avail le devoir de les exiger avant d'engager d nouveau le trésor dans cette enlreprise. Le Progrès entendra-t-il cette fois? DATES ET CHIFFRES. Le Progrès conleste cette assertion: que douze routes pavées nouvelles aienl été a subsidier par le Gouvernement depuis 1870, dans notre arrondissement.Depuis 1870, dit-il, il rt en apus été construil la moilié de ce nombre. Comme il n'y a rien qui rétablisse bruta- lement la vérite comme les chitïres et les dales, nous a I Ions reproduire un tableau que nous avons déja publié le 13 Mai 187G, de toutes les adjudications de routes nouvel les qui ont eu lieu dans l'arrondissement de puis la chute des amis du Progrès. Le public appréciera de quel cöté se trouve la vérité: 24 Décembre, route pavée du hameau desTrois Rois par Watou vers Steen voorde. 1871 4 Juiilet, gravier du Gheer au gravier de Warnêton a Neuve-E- glise avec embranchement vers ie hameau deSt-Yvon. 9 Décembre, gravier de Ploeg- steert par le Rizet, vers la slation du Touquet, avec embranchement vers la Chapelle rompue. 1872 20 Juiilet,pavéde Gheluwe a Da- dizeele (2e et 3e sections.) 1874 7 Avril,pavé de Walou vers Hout- kerque. 187b 28 Juin, pavé de Watou vers Winnezeele. 4 Décembre, pavé de Crotnbeke a Proven. 9°) 1876 9 Mai, pavé de Reninghe a Loo. 3 Juin, pavé de Ras-Warnèton au hameau de la Garde de Dieu. 2b Novembre, pavé destiné a re- lier l'agglomération de Comities au hameau de Ten Brieion. De plus, pendant la même pé riode d'années, \'Elat a pris a sa charge et mis en adjudication par sections 187b-1877. La route de Dranoutre a Netive-Eglise. Les travaux adjugés en 187b, achevés en 1876, ont occasionné une dépense de fr. Ceux adjugés en 1877, seront achevés au cours de l'année el coüleronl fr. 'JJ.JOO. (Rapport sur I'administration dans la Flandre occidentale, page 136). 13°) 1876 1877. La route de Poperinghe a Elverdinghe. Les deux sections achevées ont donné lieu a une dé pense de fr. 150,830. Le tra vail d'achèvement adjugé en 1877. coütera fr. 5<5,43K£ (même Rap port page 136). 14°) Quant a la route de Rening helst d Kemmelqui existe d peine, dit le Pro grès, sur le papier, voici comment s'ex- prime le Rapport page 137: On proeëdera, dans le courant de 1877, d la raise en adjudication des travaux d é- tablissement de cette route, que le dépar- tement des travaux publics a decide de 1°) 2°) Ho) lc Grades. J» Chef de bureau. t,r commis 2mccouimis itionnaire ld. pog mzn Som °OZ; C-l c MtÜO H hj pi o ca>- we - q: O O 03 O 30 2 a> CT3 -3 CO O co i-» ■O -c 3 05 ft) CD O O O O O a~ O o o G KS o o I I 3" CO V2. KS I co co co co CO I CO fcO C3 co I I I a CD O O O G o o o OO 00 co o co o OO 00 O CO O IT" K O* O O O G O O O cr. Pr* <1 C5 CO <1 OC O OO OO I I I I I r* N rr3 O W 2 "O CD O cx CO O bO <1 oc oo oo <1 ex cx hij cx O cx N fo C5 M a -i o ei PI c - I co p"? aq ^2 O PT O CO co co CO j I co co SS <J SS 00 SS SS so ce 2 (jq c co O C-M W p - "O CD PT PT co SS SS SS S3 co co co co cx I SS SS SS co CO <1 I CX cx cx c:0 3 C M CO c-t 2 P SS cx PT PT PT PT PT PT SS SS I SS SS I SS SS SS O SS cx pr pr pr Pr pr SS SS SS NS SS ss C5 SS SS SS so SS GO CC "-3 Z- J V. co PT :Z. SS c co P3 co Z pt" C/3. CO PT co CC T B» CO SS I co OO I QO CO I I SS <1 I I O P g W I aq CC z ZF p P .3 P- CD ZZ 2-pc O.E] O PT PT SS p C P-O CO GO O frj TS O CD 2o 5" i-O oq c:: 'Z 3-C=3 3 r- - i co co 1 n Z e-2 SS l I SS SS SS SS co CO SS ->4 CO <1 CS2 p r-r s Ö.-0 en 35 tarmnrMWBiOB—a—bmb—a—ihbb—mi

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 2