pip! SiOOilGLlI VOOR HOPPE, ENZ. li MAISON, 1 Dl I AU PAÜVES X9XAB3.E. li MENU! EG GE DEREN, Timmermans - All a am, EXPOSITION ET IVIiSE EN VENTE YPERSCHE HANDELSVEREENiGING, CHEVAL HONGRE BAI, s 1 VEEL SCHM' lltllil k WtANDHÖljï, BI ENS IM MEU BLES HOFSTEDEKENS CESSATION DE COIiERCE. CHARBONS FRÊSNE TOUT GROS LILLE, settle entréePlace da TheatreLILLE. KWALITEIT EN MAAT GEWAARBORGD. fatil, dit-iif|ue fart qtiiue les sentiers da paganisme pour suivre la voie ehrélienne. Uiie des objections que fon fait le plus souvent valoir conlre celle rénovation est le manque de modèles. On dit qu'il est impos sible de se procurer d'auires modèles que ceox qui sonl empruntés a I'art pa'ien. C'est une grave erreur. Cette difficulté s'esl presentee a Gand quand nous y avons orgamsé fécole St-Luc, ei nous favons vaineue. Nous avons aujour- d'hui de beaux modèles en abondance. La direction de fécole St Luc serail d'ailleurs heurcuse de venir en aide a I'academie de Ni velles elle consent, ra it volontiers a la reproduction de ses modèles. Peut-ètre mème pourraii-on faire échange de procédés. L'é- cole St-Luc fournirait a l'académie de Ni velles des moulages d'objets d'art flamands, etcelle- ci |ni rendrait en échange des moulages pris sur les ceuvres les mieux conservées du Brabant. J'ai pensé longtemps, comine la plupart des personnes, que l'étude de l'art païen est indispensable. Je suis complélement revenu de cette erreur. Cette nécessité n'existe que pour ceux qui ne tiennent aucun comple ou ue font aucun cas des productions artistiques du moyen age. Beaucoup de personnes ce- pendant soni frappées par la splendeur de nos antiques cathédrales, mais elles ne veu- lent pas inlroduire dans fenseignement les principes et les méthodes auxquels nous de- vons ces sublimes créations. C'est la une singuIière inconséquence, que nous devons absolument faire disparailre non-seulement dans finlérèl de l'art, mais encore dans finlérèl de la morale. Au moment ou l'enfant est confié aux écoles de dessin, il a généralement conservé sa candeur et sou innocence. Or. a peine y est-il entrc, que ses yeux sont forcés de s'ar- rêter sur les plus révoltantes nudilés. Au sein de sa familie ehrélienne on lui a toujours recommandé la déceuce.la chasleté, et voici que fécole a laquelle 011 fenvoie lui apparait comme le temple de la chair, la glorification de l'indécence. Cependant le pauvre éléve doit étudier le dessin pour se faire une carrière. Renoncer a la fréquentalion de l'académie, ce serait briser son avenir. II va done a fécole, il su- bit finfluence de ce milieu tout imprégnè de voluplé, et le plus souvent il y perd son in nocence. Si l'étude du nu élail d'une absolue né cessité, on comprendrait quelques conces sions en ces délicates matières, mais il est impossible d'admettre que le bon Dien, qui appelle certaines ames a la vocation artisli- que, ait voulu, pour leur faire accomplir Sa sainte voloulé, les faire passer dans la fange de l'art païen. Un jour je recus la visite d'un artiste an glais qui croyail également a la nécessité de l'étude du nu. Je lui demandai s'il aurait consenti a faire poser ses propres enfants comine modèles dans une académie. Nalurel- lemenl cette idéé souleva chez lui la [dus vive répulsion. Et cependant, lui dis-je, vous consentez a ce que d'auires creatures, qui ont également leur honneur a sauve- garder et leur ame a sauver, soient expo- sées tous les jours au mème supplier. N'est ce pas lecomble de l'inconséquence Cel artiste avoua qu'il n'avait jamais envisagé la question a ce point de vue, que je soulenais une thèse juste. Cependant il élait protestant, Mais nous, qui sommes catho- liques, ne devrions nous pas avoir des senti ments bien plus ardenls encore'? Ne devons nons pas avoir encore un respet plus grand pour le cceur et pour fame de nos enfants? Je félicite les habitants de Ni velles des bons sentiments qu'ils viennent d'exprimer par l'ordre de M. Lagasse, et au nom de loute la Gilde je forme des vceux pour que l'Acadé- mte de dessin de cette ville puisse bientöt ètre considérée comme un modéle rion-seulement au point de vuede la chastelé el de la décen- ce, mais au pomt de vue des progrès de ses élèves dans la carriere artistique (Applaudis sements enthousiasles.) Permettez-moi, Messieurs d'ajouter quel ques mots encore au sujet de cedernier point. Dernièrement fécole St Luc recut la visite du directeur el d'un professeur de I'une des grandes Académies de dessin de notre pays. I's exprimérent leur élonnement au sujet de la rapidtlé des progrès de nos élèves, et reconnurent que dans l'élablissemenl auquel ils sont attachés, il fuut beaucoup plus d temps pour arriver a des résullats cornpara- bles a ceux de l'Académie St-Luc. lis demau- dèrent en mème temps a quelles causes j'at- tribuais cette remarquabledifference. Je leur répondis qu'a mon avis, ces beaux résullats devaienl ètre attribues non-seulement au talent et au dévouemenl des chers Frères directeurs et au bon esprit qui régne parmi les élèves. mais encore el surloul a l'accord parfait qui exisleenlre l'atmosphére de fécole et celle de la familie. Les modèles que l'élève doit reproduire sont coformes aux sentiments qui lui ont été inculqués par 1'éducalion ehrélienne qu'il a recue. En passant de sa familie a fécole, l'enfant ne change pas de milieu, et ce sont ses propres pensées qu'il Irouve reproduiles dans les cbjets qui frap- pent ses regards et qu'on luidemande d imi- ler. Je ne dome pas que le mème fait puis%e ètre constaté a l'Académie de Ni vel les, si elle organise son enseignement dans le sens chré- tieu. [Applaudissements prolonyés.) M. Lagasseivmercie M. le président de ses bons avis. II fait remarquer cependant que l'Académie de Ni velles est dans une situation plus difficile que fécole St Loc de Gand, paree qu'elle recoil ses modèles du gouvernement. M. le président. II faul neutraliser l'effet des mauvais modèles envoyés par le gou vernement en introduisant de bons modèles. Que l'envahissement par le bien réponde a fenvahissemenl par le mal. Au surplus j'in- vite nos amis de Nivelles a venir nous voir a Gand ils pourronl ainsi se convamcre de la facilité de la réforme que nous leur propo sons. M. Weale, arehèologue a Bruges. L'artiste doit, comme le prêtre, ètre l'apötre de la vérité el du bien. Autrefois la mission de fartiste était considérée comme la plus samte aprés celle du prédicaleur. Les artistes sonl en effel des prédicaleurs popnlaires qui parient aux yeux et au cceur de tous. Souvent leur parole est mieux comprise et a plus d'ef- fel que celle du prètre. Aujourd'hui fartiste a perdu toute con- sidéralion. Le public le regarde avec indif- férence, voire mème avec dédain. Ce n'est qu'un artiste, dil-on de lui en haussanl les épaules. C'est la un des résullats de l'ingérence olficielle en matiére d'art. Or, c'est l'Eghse et non l'Etnt qui doit diriger le mouvement artistique. Aussi avons nous protesté avec toute I'indignation de nos consciences chrè- liennes quand le gouvernement vienl souiller nosjennes générations par sesnudités païen- nes. Malheur a fartiste qui fait une oeuvre immorale, mais malheur aussi a ceux qui lui ont appris ou 1'ont encouragé a le faire. Soyons done de vigilantes sentinelles pour défendre les droits sacrés de l'art chrélien. (Vifs applaudissements.) FA1TS DIVERS. BURGERSTAND VAN YPEREN HOfVHHELMABKÏ. SUCRIQEN MARKTEN. Sj r* -< ■2§!S~' c I "S 5 5 i I I If i I F' S ■e. t i c~i >1 5§I aI is g I ï*our causé «Ie depart. A YE ND RE DE SUITE, un bon et fort de ln,64, portant l'age en bouche. Ce cheval conviendrait parfaite- ment pour un service mixte: pour ragrieulture, ie camionnage, ou le service d'un brasseur. A voir tous les jours: s'adresser au Commissariat d'arrondissement, 73, rue de Lille, a Ypres. I II I I m -r I I I I 12 I I s' g-^! I g I I I l g 111(11 I I I II I II I I II I g I I g I I 3 g I 1 I I I I II I I tl I I I I I I I II o s: I I I I I I o! - w I I 'I I o I I II I 1 I I I S I 3 I SE I Si I ,51-151 wSl «5 §1 I 1 I (gg ^5 AVIS. LA PLACE DE SOUS-INSTITEUR a l'é- cole communale de Wytschaete est vacante. Le traitement attaché a cette place est de 1150 francs. ETUDE de M" L A N N 0 Y YoCairc a Homines. A. .Teuili 4 Oclttbre, a 5 heures de relevée, au cabaret le Corentje a Gomines. ABJUDICATION d'une avec dépendances et 36 ares 10 cent, de fonds et terre section C. 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KANTOOR van den Notaris CAPELLE TE W A T 0 U Hdoudlei'tiag Si SBH olie a* om 2 uren namiddagte Watou Pauw, ten huize alwaar Loais Paulus onlangs overleden is, SA <39 S9 r SS A hoeveelheid Tarwe, Haver en Boonen, alsmede 2 Zwijns en meer andere voorwerpen. Op gewone voorwaarden en tijd van betaling. Ruchtbaarheid. BS. «Bcutli il Octobi'c i§?3, a 2 heures de relevée a la maison occupée par Madc veuve Casier-Rey naert a Wervicq. VENTE PUBLIQUE de MOBILIER,INSTRUMENTS ARATOIRES ET BOIS D'OURDAGE. C. Lc iiicme jour, a 5 heures de relevée a l'hótel Macole prés de la Station a Wervicq, par le Ministère deMc delefortrie, Notaire a Gheluwe. ABJUDICATION de 1° Un hel ÉTABLISSEMENT GOM- 59 G. te Vladsloo, aan het gescheid met Couckclaere, langs den ouden Ghistelweg. Gebruikt, zonder pacht, door sleur Joseph Depoorter. Gcmeeiite Xamïvoorde. Een HOFSTEDEKEN groot 5 H. 65 A. 10 C. te Zandvoorde, wijk Kranen burg, aan liet gescheid met Hollebeke. Gebruikt door sieur Bartholomeus Pannelcoucke. Gemeente XHlebeke. Een HOFSTEDEKEN met drie an dere WOONSTEN daarmedegaande, groot 2 II. 93 A. 96 C. te Zillebckc. Gebruikt door sieur Livinus Donse en andere. Stad "ïfpre. Een RENTENIERSHUIS met Hof, aan de zuidzijde der Onze Lieve Vrouw straat, N' 11. Laatst bewoond door d'heer Edouard Devarver. Een HUIS en Erve aan de oostzijde der Mondstraat, N1 43. Bewoond, zonder pacht, door sieur Simon Tallon. Een HUIS en Erve, ten dienste van winkel, aan de oostzijde der Hond- straat, Nr 49. Bewoond, zonder pacht, door de weduwe Fockenier. Den ÏÏWSTI5.SL. .mi:t gewin van premien, ZATERDAG 13 OCTOBER 1877, om 2 uren namiddag, ter esta- minet Café de Unionop de groote Markt, binnen Yprcingevolge de voorwaarden berustende ten kantore van den Notaris VAR!DERiïlEERSCH te Ypre residecrende. K'ldUK du Notaire YUYLSTEKE, A WERVICQ. ie «Bctatii IS ilctobre tSat. a 2 heures de relevée, dans la salie de délibération de l'hospice civil de Wervicq, Maitre VUYLSTEKE, Notaire a Wervicq, procédera a la LOCATION PUBLIQUE de WERVICQ, et situés dans les communes de Wer vicq, Menin, Gheluwe, Zonnebeke, Ledeghem, Gbeluvelt, Gomines, Wer vicq (France) et Gomines (France). SCHOONE en ai i" s 'ffi openbaarlijk te verkoopen BINNEN YPRE. Gemeente ^'Satiütiou. Een HOFSTEDEKEN groot 2 H. 53 A. Occasion exeeptim» snelle. MAISOSti LEfJOlff SfEURS, RUE DE DIXMUDE, YPRES. Vente au prix de facture et cu dessous, d'étoffepour robes, toile blan che et bleue, linge de table, orléans, mérinos, étoffe a pantalon, cotonette, etc., etc. La MAISON EST A LOUER OU A VENDRE ainsi que les comptoirs et rayons. Pour les personnes qui dési- rent continuer les mémes articles on les mettra au courant. t'c QUALITÉ. Tout venant a fr. 2-40, Fines a fr. 2-10 lc qualité a 3-20; 2" qualité a 2-80 le tout par cent kilos pris en magasin chcx I»EHl«SlïGAKIiIl, A YPRES (Station). DES NOUVEAUTÉS D' AUTO M NE ET D'III VER, k imrtir cfisa 8 49Gfff1858.15 jn-ocHsaÊB». AYIS IMPORTANT. Lc NOUVEL ALBUM IL LUST RÉ, des Magasins du PAUVRE DIA RLE, contenant une foule de gravures de Modes, réprésentant les modèles les plus nouveaux en costumes et confections, pour Dames et Enfants, est envoyé franco a toute personnc qui vcut bien lc demander, a Messieurs les ADMINISTRATEURS DU PAUVRE DIABLE, settle entrée, Place du Théatre, a LILLE. lsle Klas. Fr. 33 T per 1000 Kilos. 2de 32 Freinen^ aan Fr. 28 Monsche Kolen, 24 N DE MAGAZIJNEN DER GELEGEN BIJ BE STATIE. On lit dans la L.vkterxe Le convent de la fiane-maconnerie frangaise s'est terminé par line resolution importante. On sait (pie la magonnerie était divisée depuis longtemps sur la fameuse question de savoir si, ooi ou non, la croyance-" au grand Arehiteete de l'univers «devait être un dogme maconniqne. Avec une grande rnajorité. la réponse dn con vent a été Non Sur le rapport de M. Desmonts, mrnabre du conseil de l'ordre, le deuxième paragraphe de la Constitution, qui était ainsi concu La franc- magonnerie a pour principes l'exis- lencede Dien et l'imtuorlalilé de l'ame. A été reinplacé ainsi «La francmagonnerie a pour principes la liberté absolue de conscience et la solidarilé hu- maine. lille n'e.xclut personnc pour ses croyan- ces. i' On se rappelle l'odieuse niesure par laquelle les gueux d'Ostende cbassaient dernièrement de leur établissement les Soeurs de Si-Joseph qui avaient pendant quarante ans donné gratmtenient l'instruclion aux jeunes Giles du people. Nous apprenons avec plaisir que mardi dernier ces religieuses dévouées ont rouvert leur école gra tuite libre cette fois dans. le nouveau local de leur Congrégalion, rue Saint-Sébastien. van den 21 tot den 28 September 1877. GEBOORTEN. Mannelijk geslacht 5. Vrouwelijk id. 3. STERFGEVALLEN. Dely, Justinus, 08 jaren, zonder beroep, wedu wenaar van Isabella Lejeune, Boterstraat. VandenbrouckeEuphrasia, 42 jaren, zonder beroep, ongehuwd, Meenenstraat. Mispelaere, Augustinus, 68 jaren, winkelier, echtgenoot van Natalia Desodt, Sterrestraat. Kinderen heneden de 7 jaren. Mannelijk geslacht 1. Vrouwelijk id. 1. POPERINGHE, 28 Sept. fr. 55 a 65 do 50 kilogr. VEURNE, 19 Sept. fr. 20,00 tot 22,00. 26 Sept. fr. 18,00 tot 22,00 de i45 liters. BERGEN (Frankrijk). 17 Sept. fr. 10,10. 24 Sept. fr. 15,50. c Kj kj O* m Ui ^U) "O zr zr 3* 3* t o c g Ci O O O c c O 5 c t -- 3 O 2. O J3 -r 29 f5 t? -z ft -» O T hS CO ml C i ks zo co 1 <o l-S 2 05 a OQ 0 CD CD CD C O o o o-d 2. 2 S rr; co co cj w c*> OJ C CO lO o w I I lO I cd '~x os os hi) to -1 ST aq co d 4-. ui 71 CD - fcO CO 4^ rO O cr sr I to OS tO O I <1 O O O o O O o O O O C K CO CD CD CD CD O O d CSJ| to I to co co o I O <1 j vlo I O C! I to 00 I V. aq c~ CD h». O co CD TZ O O o O o O Kj vj vj <1 vl ao CO Of. lO CO CO O 2 ts Cj O O O o to O o O O o <OC O o TT 7r 7? TT TT 71 O O I to to co CO I CD to Gü NS tO NS CO CO GO I tO CO CD CO tO tO 4^ I O CC OO OS O CO CO NS bi) O cc w C. Q 3 r=< J75 D W aq F2 NO C~ O' Ui 71 CD UW O 2 p-a NO ui^ a> Ki NS NO Ctv fO NS NS NO w I a 05 2 co O NS CD CD I 0 3 no a ui CD O O CD NO O O O O O or. O O NS NO NS NS NS tO Oi{s,^aOOi(N I CC a a C/3 CC "-3 n Opq~ c co - a TT co 2 c/J^co 7T oo^^: TT - F oo a "*CD os» C5 CO O O Togo Q> I NS j -»• NO CO cd I NS I o co CO O NS ZX -4 D O "3 p a oq NO vy os NS GO I I I NS CO csj p- a NS NS tO NS CO CO O i?* tO O' iN CO l c. I u a o I o i I o o van allerhande 9;üvC APPARTENANT A L'HOSPICE CIVIL ET AU BUREAU ÜE BIENFAISANCE DE

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 3