HOFSTEDE, Is BOOMEN, M OB I L I E R INSTEL AU PAUYBE BliilaE. HANDELSVËREENIGING PRYZEN DER KOLEN CESSATION DË COMMERCE. MATERIEL DE FERME, KOEREN EN VAN CHEMISCHE GUANO ALLERHANDE MENAGIEGOEDEREN, EEN WOONHUIS, Twee perceelen Maai(jras1 Twee perceelen Maaigras, EESIE SCHOOI ES HOEDE LILLE, keale entreePlace du ThéalreLILLE. EXPOSITION, MISE EN VENTE, Une allaque de tirailleurs et d'artillerie russes contrc Lolemk a élé repoussée sans peries. Chevket-Paoha télégraphie d'Orlianie, en dale du 24: «Une attaque des Russes contre Telicli a élè repoussée. Trois balaillonset de la cava lerie out élé envoyés comme renfoi ts. BIBLIOGRAPHIE. L'édileur Oudin vient de mettre en vente le Tome VIII des OEuvres de Mgr Pie, Evéque de Poitiers. Ce volume complémentaire est le couron- ncment impaliemmeni attendu d'une publi cation qui eomptera parmi les plus impor- tantes de ce siècle el qui embrasse vingt-cinq années d'un fécond et glorieux épiscopat. Les PP. Bénédiclins de Ligugé y ont joint deux tables analyliques, rédigèes avec ce soin minutieux qui est dans les traditions de l'Ordre de Sainl-Benoit. L'une indique tous les lexles de PEcrilure, commentés par Mgr Pie dans ses écrils pastoraux l'aulre est un répertoire qui pêrmet au lecleur de retrou- ver facilement les divers sujets abordés par l'illustre évéque. El les formenl ensemble une sorte de guide et d'ilinèraire de ce grandiose édifice, l'un des plus splendides monuments de la science sacrée a notre époque. Les écrils de l'illustre évéque ont leur pla ce marqtiée dans toules les bibliothèques sérieusement chrétiennes. Nous ne connais- sons pas d'ouvrage plus propre a donner aux calholiques ['intelligence des temps oü nous vivons et la notion nette et pratique des devoirs qui leur incumbent, soit dons Ja vie privée, soit dans la vie publique. L'oeuvre de Mgr Pie répond a ce besoin des ames aiïamees de vérilé. Du sein de la mêlee des opinions, des systèmes et des doc trines qui font trembler notre société malade et ebranlée jusque dans ses iondements, Mgr Pie nous ramène au pied de la Croix oü il nous apprend a pénétrer et a goüler cette grande parole d'un Pére du inoyen-age Sohilio omnium difficulluiurn Christus. Nous n'en dirons pas d'avantage. Le tra vail du P. Longhaye initiera nos lecteurs aux trésors de pieuse erudition contenus dans les ceuvres de Mgr l'évèque de Poitiers. Notre conclusion lend seulemenl a faire sor- lir les calholiques qui liront les écrils de l'illustre prélat, dés limites trop étroiles d'une admiration purement platonique. lis onC mieux a faire que de louer l'éloquent successeur de Saml-Hdaire qu'ils se pénè- trent de sa doctrine el qu'ils en fassenl Ie guide conducteur de leurs intelligences et la base pratique de toute la conduite de leur vie MAGAZYNEN ÏPK1WCHK tegen de Statie van den Yzerenweg (Quartier du Commerce) yenomen in de magazijnen. B2GM5CHE KOLEN. Gailletterie per honderd kilos Fr. 3-35 per hectoliter Toutrvenant per honderd ki los per hectoliter Fync per honderd kilos per hectoliter 2-65 2-40 j-90 2-00 1-60 FREYNE KOLEN. Gailletten per honderd kilos Fr. 2-60 en Fr. 3-30 Gailletterie per honderd kilos Fr. 2-50 en Fr. 3-20 Volgens de kwaliteit. Gailletins of mosseltjes liet 100 kilos Fr. 2-40 Het te huis doen a part betaeld. De leveringen per wagon aen den prys der koolmyncn. De Magazijnen zyn voortdurend voorzien van allereerste soorten van en andere landvelten aen de leegste prijzen mogelijk. Het kantoor der Handelsvereeniging is by M'. Alc. V0NCK-CLEMENT, Sterrestraat, N° 4, te YPEREN. FAITS DIVERS. BURGERSTAND VAN YPEREN van den 19 tot den 26 October 1877. geboorten. Mannelijk geslacht 5. Vrouwelijk id. 3. Lebbe, Josephus, werkmanen Tallieu, Blon- dina, kantenwerkster. Landerwyn, Isidorus, metselaar en Wullems, Stepbania, dienstmeid. Leuridon, Amandus, wever en Decamp, Elodia, dienstmeid. Gilles, Augustinus, muzikant bij liet ï'Regiment-linië en Speybrouck, Lucia, naaister, A anzandyeke, Maria, 8-1 jaren, zonder beroep ongehuwd, Gasselstraat. Van Eyde, Joannes 89 jaren, zonder beroep weduwenaar van The- resta Delaruwiere Lange Thouroutstraat. Gapelle, Paulina, 73 jaren, zonder beroep onge huwd, Bollingstraat. Kestelyn. Emilius, 8la ren Grpotemarkt, Tibaux,' Silvia, 74 iaren, zonder beroep, ongehuwd, Rijsselstraat. Van- de Brouke, Carolus, 82 jaren, gepensionneerde vrederechter, echtgenoot van Eugenia Raman, Llverdinghestraat. Notre Daente, Sophia, 74 jaren, zonder beroep, eclitgenoote van Joannes Desmedt, Boterstraat. 1-_T.-DT- CHEZ TKKMfiKlt - Si SS ASEMT, RUE DE LA BOUGHE, HUITRES ANGLAISES, HOMARDS, et loutes sorles de Poisson de mer. öceasiou cxcepGuimelle. MAiSQiN LEhiOiR SEüRS, RUE DE ÜIXMUDE, YPRES, Vente au prix de facture et en dessous, d'étoffe pour robes, toile Blan che et bleue, linge de table, Orleans, mérinos, étoffe a pantalon, cotonette, etc., etc. La MAISON EST A LOUER OU A VENDRE ainsi que les comptoirs et rayons. Pour les person nes qui dési- rent continuer les mèmes articles on les mettra au courant. HOMMELftlARKT. POPERINGHE, 26' Oct. fr. EG a 57 de 50 kilogr. MARKTEN. SUCRI0EN VEURNE, 17 Oct. - Oct. fr. 21,00 tot 25,50 de 145 liters. BERGEN (Frankrijk). 8 Oct. fr. 22 Oct. t'r. 16.15. 15,74. KzSr-z5 Ho I I §51 I 1 II a 5 MIMI I 1 I I M o- I I 5 c 5 I I M 1 M I J I. I 1 II M II M I II II I s I 11 I l I -*°° L o-M s? 9 11 M II I i I I og a cn I I I I I I I li il li I SIMMS I K M I M M M I o S I I eg a 11 1 II I Merkweerdigen Koopdag van juist AOfl lotcu Popeliere, Abeele, Esschen, Iepen Hollanders en Eiken op de hofstede gebruikt door Sr Devloo-Butaye zuid-oosthoek TE STAVEIzE. OP DINSDAG 30 OCTOBER 1877, om 1 ure fix, en niet later, te beginnen, te Stavele in de zuid oosthoek, ter bolstede en medegaende grassingen en zaeilanden, gebruikt door sieur Carolus Devloo-Bulaye, zal er overgegaen worden door de No taris CAPELLE, te Watou tot de openbare verkooping van juist 1U1 koopen Popeliere, Abeele, Esschen, Iepen, Hollanders en Eiken, onder welke vele groote en zware, hebbende in omtrek meer dan 2 me ters 75 centimetersdienstig voor Timmer- Kuip- Molen- Scheep- Brug- en andere groote werken. Vergadering ter hofplaets om fix ten 1 ure te beginnen. Opgewoone voorwaerden en tvd van betaling, mits borg stellende ten genoegen van genoemden Notaris CAPELLE, te Watou. Men make het rnchtbaer. M ETUDE DE LANNOY, NOTAIRE a C'oauincs. VENTE TüBUQÜe de B0IS O'ÜURDAGE, 400 KILOS DE POMME DE TERRE et 2 SSeMcs Tacises. A la petite ferme occupce par J.-B'° Pattyn, d Comines Ten-Brielen, prés la Nouvelle Voorstraete. LUNDI 29 0CT0BRE 1877, a une heure précise de relevée. A crédit moyennant caution. Recette de Me Ta.^riüy, Notaire a Comines. KANTOOR van den MOTAIESW €AS*.EEiEE, le Watou. OP MAANDAG 5 NOVEMBER 1877, om 4 ure fix namiddag, te Stavele- plaats, ten sterfliuize van de weduwe Louis Joseph Devloo. fkoogsiiasf vaas EN DEN ZELVEN DAG, om 5 uren namiddag, ter herberg be woond door den medeverkooper van sieur Serdphin Devloo, ook te Stavcle- p laats, ojieiiBare verkoupiiig van: a. TE STA VELE zijnde den sterfliuize. B. te zelve Stavele, Sectie A. nummers 213 en 222, samen inhoudende 1 hektarc 37 aren 40 centiaren. En c. te Oostvletcren, niet verre noord van 't gebuebte Elsendamme, Sectie A. nummers 55'° en 497, samen inhoudende 4 hektare 83 aren 70 centiaren. Alles breedloopig bij uithangende plakbrieven beschreven. Voor alle inlichtingen zich te be geven ten kantoore van voornoem den Notaris CAPELLE. Alle inlichtingen zijn ook te beko men ten kantoore van den notaris FEYS, te Proven. Ruchtbaarheid. van den NOTARIS VEIS, ZATURDAG 40" NOVEMBER 4877, om 2 ure'snamiddags, in de cstiminet Hotel des Pays-Bas, Elverdinghcstraat te Ypre, van van welke de gebouwen onlangs nieuw gesticht, zijn geweest, groot 48 hectaren 49 aren 70 centiaren, gelegen te KE&lfflEL, bij liet gehucht: de Vierstraat, zicli bevindende langs den steenweg leidende van Ypre naar Kern mei. Gebruikt door Jean-Baptistc Des- camps en EngelVyon,aan 2.500 franks bij de jare, boven de lasten. Premie van Distel: 4/2 p. GRANDS MAGASINS DE NOUVEAUTÉS. DES NOUVEAUTÉS DA UT OMNE Hifi 1. M I» €9 li T A 'B' Le NOUVEAU CATALOGUE ILLUSTRÉ contenant une foule de Gravures de Modes de cette importante mise en vente est envoyé franco a toute pcr- sonne qui veut bien le demander a Messieurs les Administrateurs des Grands Magasins du Pauyre Diable, seulc entrée, Place du Théatre, a Lille. DER GELEGEN BANKIER, Le MoniUur pubtie nn tab eau indupianl Ie i-en dement approximutif de la léeoltc de 187 7 en Belgique. Ce tableau résumé tous les renseignements re- cueillis dans les différents districts agricoles de chaque province. II en résulte que la récolte n'a pas enlièrement répomlu aux espéFancrs que t'on avail concurs au commencement du printénips. Des ptuies n op fréquentes et une chaleur insufti sanle en juiilel ont relardé ia maturation des grains et altéré leur qualilé. Toulefois la récolte du fro- inent est assez bonne et son rendement moyen dé. passé celui des années 187b et 1876, saus altein. dre celui de 187-4- La récolte dn seigle u'esl que médiocre et le rendement inférieur a celui de l'année dernière. L'épeautre, dont la culture a une eertaine im portance dans cinq de uos provinces, a donné une bonne récolte dont le produit dépasse de plus de S hectolitres par hectare celui de 1876. La récolte du sarrasin, des févc-ioles el des pois est bonne. Ci-lle de l'orge est satisfaisante, mais il n'en est pas de même de l'avoine, qui laisse beau- coup ;i désirer. Son rendement n'équivaut pas a celui d'une année ordinaire. Les résultats de la récolic du lin som variables. Iions dans la land re oriëntale, ils sont inauvais dans la Ftandre occidentale, médiocres dans le Brabant et assez bons dans les an tres provinces. Les pommes de terre se pi ésentaient générale- ment bien, mais la inaladie a rrparti et, favorisée par des.pliiies chaudes et trop abondantes, elle a fait de grands ravages, surlout dans les variétés hatives. La récolte est maiivaise et le rendemen1 inférieur a ceux des trois dernières années. (.es piairies el les trëfles ont rétissi ail dela de toute attente el ont donné des produils trés abun dants. Le rendement des betteraves fourragères est salisfaisanl. II en est de même des betteraves ii sucre. La campagne sucrière est commencéc dans tous nos établissements, et l'on n'a qu'a se louer de la qualilé de la rucine comme aussi de sa ri- chesse. Quant aux navels et aux carottes, la récolte pro- met d'en êlre également bonne. Désastre épouvantabl.e dans une mine en Ecosse. 200 morls. Yoiciles correspondan- ces que nous trouvons d.ms les journaux anglais, sur la catastrophe dont une dépêche de la der nière heme nous a porté avant-hierla nouvelle: Glascow, Lundi, 8 heures du matin. Le petit village houill'er de Blantyre, prés d'Hamiltqn, a élé anjoiird'hui le theatre de la plus terrible catastrophe minière que l'on puisse imagniner. C'est un événement qui n'a pas de paralièie dans les annales de l'Ecosse. On évalueii 200 au moins les hommes qui out péri dans cette circonstance. Ce matin, vers six heures, les ouvriers em ployés aux charhonnages de MM. Dinon, High Blantyre parlirent pour leur travail usiiel. 126 hommes descendirenl dans la fosse de la hoinüère connüe sous le n« 2, landis que 107 autres descendaient daris le n*3. Des communications établies par le reglement des mines existent entre ces deux fosses, el d parelt qo avanl le moment du désastre un certain nombre d'ouvriers étaient occupés ii resUracljoH en voute dans les Clous de la veine inférieure du n° 2. Cette operation est toujours ronsidérée romtne dangerettst' pf |l parait qu avrc one negligence coupabie les iravailleurs s'étaiénl sei vis de lampes découverles. Tandis qu'ils faisaient sauterdes portions de char- bondansun lilon du puits n" 2. vers 9 heures, une explosion époiivanlable de grisou retenlit et la colonne de gaz enfhunmé pénétra jusque dans Li veine du puits n° 8. L'explosion fut accom- pagiiée d'une detonation égalanl leclat le plus bruyant du lonqerre, des Hammes s'élaneèrenl de la veine n° 8, et d'épajs volumes de fumée se condensèrent a rouverture dela fdssji n°2. Des fragments de mmerais, et des nuages de pous- sière, furenl t-nsuiie projetés aulour de i'enlrée des looses et de graudes quantilés de debris furenl lancés a line liauteur considerable dans les airs. Le brijit assoui'dissanl de l'explosion attira immédiatcment une fnnle nombrense sur le théalre du désastre, et avec toute la célérité pos sible des brigades de sanvelage furenl organisées; les premiers efforts lendent a retahlir la ventilation dans les mines. Toulefois une hem e s'écotila avanl que l a ir pul pénétrer dans les fosses et les tenta- tives pom- descendre dans la fosse 11° 3 furenl reeoti nu es iinpi aticables. Quatre hommes ten- tèrenl alors de pénétrer dans le puits n" 8, mais ils ne pineut avancer le long du lilou de veine a cause de la vapeur délélère qui y étail condensée, et, après avoir poussé au péri! de leur vie assez join pour lumber saus coritiaissance, ils furent retires dans nu tnsteétat a ia surface. On craiht même que le nominé Thomas Laidlaw soit gra- vement atteiut. Malgré eet échee, une autre bri gade de sanvelage fut immédiatcment orgauisée et les noiivaux sauveteurfe, après s'être avancés non loin du pied de la fosse, dccouvrirent les cadavres de six hommes hornblement carbónisés et défiyu- rés. Uu les rclira immédiatemenl a la surface. Quoique fon vers/it cnuljnugllement de l'eau dans la fosse pour calmer les effets du gaz méphiliqiie, les sauveteurs furent linalement forces de renoncer a leur mission périlfeiise el quelques mis ét.ueiii si grayemenl ajteinls par l'atmosphère inoftellê qu'ils avaiénl respiré qu'a leur iirrivéea la sm-faée on dm les cotivrir de terre pour les denveer de l'tntkienr.e du gaz délélère. De nouvel- les handes de volontaires descendirenl encore pour continue!- fexplófaüou dansles travaiix, et plnsieurs autj-es corps, la plupart mutilés au point de les rendre méconnaissables, furent retire» de la houiilère. Le image noir de fumée qui avait plané quelqoe temps atl-dessiis do theatre de la catas trophe se dissipa et comme la nouvelle du désastre se répandait dans les districts voisins avec la rapidité de la flamme, un concours immense de peuple se rassembla autour de l'entrée des fosses, les femmeset les enfants des houiileurs qui sc trouvaient dans les puits donnent lieu ii des scènes de désespoir atroces. On n'entrelient que peu d'espoir que quelques-tins des ouvriers aient pu échapper a la mort, el Ie gaz délélère a élé si compact un moment que l'on craint que les 233 hommes qui étaient descendus Ie matin aienl péri. Glascöw, mardi matin. La foule qui stationnait, surlout a I'enlrée de la fosse N* 3 oü les efforts des sauveteurs s'étaient le plus portés, s'est transportée maintenant au N°2. En effet on a appris qu'une parlie des mi neurs employés au sauvetagès étail parveime a éla. blir une eonimunication entre les deux galeries. Ils étaient partis du fond du puits N° 3 et sont ar rivés enfin au N* 2. lis ont travaillé durant -4 heu res pour chasser les vapeurs délétères et pour éla- blir des états afin de prévenir les éboulements. La nouvelle du succes de leur entreprise a élé salnée avec ailégresse. Le 1)' Grand est descendu dans le puits N*2. avec des cordiaux et des forlifiants. Bien tót on apprit ii la surface qu'on allait pouvoir rendre un homme et un jeune"gargon a la lumière, 3ers minuit Ie premier fut rarnené a la surface. II présenlait un aspect désolant, son corps étant complétement noirci et brülé même en quelques parties. A line heure quatre vivanls avaient été retires; les noms des hommes sont Thomas Macdonald, Gharles Gaineset William Gemnel. Le gareon fut, retiré en même temps que les liommes, mais i| était mort avant d'avoir élé rarnené a In surface. Gaines était sans connaissance, mais il s'est rani- mé a l'air. Tous sont grièvements alleints, mais on entretient IVspoir de leur rétablissemcnt. L'étaj de Gaines seul est désespéré. Le sanvelage conti nue, mais on ne croit gnère retii-er encore beau- conp de vivants de la fosse. L insperleiir du gou vernement et ['ingénieur des minesainsi qu'un certain nombre de maitres de hotiillières, sont de- meurés la unit sur le théalre de la catastrophe. Midi. II faut ajonler quatre cadavres aux quatre hommes qui ont élé retires vivanls dela mine et dont l'un est mort depuis. Ce matin 31. Moore, l'inspecleur. a preside une consultation de docteurs el d'ingéoieii.rs dans laquelle il a élé de cide qu'h cause des vapeurs mepbitiques qui satu- rent encore les fosses, les travaux /era ie ut mo- mentanément interrompus. Ces messieurs veulent vter que les sauveteurs paienl leur dévouement de leur ie, et qu'au risque de ne plus relirer que des cadavres on livre des vivanls aux atteintes du grisou. Un des médecins a affiriné qn'aüciirt êlre Ivumain ne saurait encore respirer a cette heure dans les fosses. Les hommes engagés dans le puits ri° 3 marcbeul vers le n" 2. lis ont entendo des cris. On croit que les deux brigades d'explorateurs pourrout se rejoindre au n° 2. I 1/2 heures. On a retiré encore de trenle a quarante cadavres depuis ma dernière dépêche. Lil meeting prélitninaire sera réuni cetle après- midi, a Hamilton, afin d'organiser une souscrip- tion nationale en faveur des veuves et desorphelins des victimes. HUXVELIJ TEN. STERFGEVALLEN. A YI'RES, fr. 22,00 tot 25,00. 24 co 0 -3 - IK GS )ZC cs o r -O® O o to O o C3> o -« zz o o - g" O OQ 3 2 te 2 cr et 3- =r IX, Cfc O O m to to OO I <1 <J o oc O 0\ is) c1: PC co 39 O O O J to co os co cc co coto «r. o co O co o co O >9) g p co to to to >-< »o O to co CO CO co co O <1 TT co cri co (Z. tO O C3" -i. a c o - O o o sr- O zx 2_ <1 M M M co co OC co. to co CJC OC I I <1 ooi I I C7C O O O tO O O O O o OC O rr TT to to I CO I tO to 00 O O O to O O O O O cr. O O ?r ?r 7" KD tO tO tO tO tO o Oi GO cr I CDH> 1 L p-M"3 Z- v CO i O tS OrrjC- r-- R3 c C5 co Z 03' to Q3' ZA CO O Q3' - cr. co co 00 k. kil. cr C5 f— 03 OO O <1 KS to Z~> CO O CO CO O <1 U3 g O O 1 <1 O to co "O a> o -o CD D-B o I to to to co tO 00 I C7C rO to CO O to co co co Ui W P- w I OQ I I to to to CO I I co a o ca o I I W -*■ CO to I to <s o o o p-a •^•1 to to to o I to I OO 00 P- Z2 -i ZZ Z- to r; O o to c© I CO I ts? O <1 I to I I I I CO I Q- P3 tO fri - K CO o 1 GO I I tO 9,1 I to OO gt - P- n C*3 03 g to 05 is. o o to 00 OO Q I I to to CO I I OC CO cx CS3 p r-K 5 p- p t C13 to tre cs--. TF, VLA.MERTINGHE. w

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 3