VENDITIE LE TRÉSOR MUSICAL Venditie te Oostvleteren, DINSDAG 29 JANUARY 1878: A. om 2 ure, in liet Klein Rambosch, en op eene party daeraen, van 12 koo- pen Eiken, Populieren, Wilgen en Iepen. Tailieen 216 Plantsoenen, ÉCOLE COMMUNALE. faits, admelira jamais que Vielqr-Eiiirnanuel et son royaume d'Italie soul ballus en brèche par la Papauté? Mais comment done s'esl formé ce royau me, celle llalie une, doni on necbanlela gloire que parce qu'elle a enfermé ie Pape pnsounier dans le Valican el sesjardms, par ce qu'elle a délruil les institutions de l'Egli- se el les monasléres, confisqué lous leurs biens, étouffe, auianl qu'd elail possible, la parole de Dieu, el dans les ecoles, et dans les églises et eherche mème a l'interdire au Vi- caire de Jésus-Christ? Celte lialie est I'ceuvre de la Revolution, e'est-a-dire de la ha ine; les violences et les trahisons de loules sorles out élé les moyens rnoraux employés. Jamais ni Cavour, ni Ga ribaldi, ni Liborio Romano, celte rare figure de traitre, ni tant d'autres ne seronl oubliés. L'hisloire enregrstrera el le guet-apens de Castelfidardo, el ('expedition de Sicile, el le siége de Gaële.el surtoutla bréchede la porie Pia. Tons ces fails imprimenl sur le nom de Victor-Emmanuel tine marque funeste, et avant pen son règne, aujourd'hui lotié ei cbanté sur lous les ions, sera maudit par les lialiens comme la source des malheurs de leur palrie. II laisse a son fits tin pays écrasèsous les inipóts de tool genre, avec des finances obérées, des populalions Iravaillées par les loges el les sociélés secrétes, une artnèe mal organisée. Heritage dangereux et qui sera difficile a sauver au milieu des complications oü enire l'Europe. La Papauté n'auia pas a recourir a la guerre civile pour délruire ce royaume. II se disloquera de lui-mème. Au dessus des vives agitations humaines, régne la Provi dence divine. Nul ne peut prédire ce qui sortira des événements actuels, mais ce que nous savons, nous calholiques, c'est que la parolede Dieu est infaillible. L'Eglise, bat ie sur le roe inébranlable, sortira resplendissanle des épreuves présen- tes. Lorsque les nations perverseset les pou- voirs prévaricaleurs atironl passé. El le sera la, loujpurs ferme, offranl au monde les tnoyens de sa Inlet les peuples accourront vers elle pour renaitre sous ses lois. Le correspondanl XX a un passage splen- dide qu'il fa ut reprodnire pour saisir plus complétement l'aveuglement de cerlaines geus: Pie IX voit chaqucjour tomber on a un ses ennemis, mais, aussilöt remplacés, la lutte continue plus vive que jamais. Le Ciel réserve au Pape un sort humi- liant; il lui accorde une longévité exlraor- dinaire, pour le rendre témoin encore de la chute de l'Eglise ullramonlaine, causée par ses prétenlions criminelles. La chute de l'Eglise! Quelle aberration d'esprit entraine les patrons du Progress Néron et les persécuteurs, Julien l'Aposlat el les hypocrites, Luther et les hérésiarques étaienl d'autres hommes, et cependant l'E glise demeure, Pie IX vit, après lui un Pape vivra. Vrai! que de cercueils encore a clouer par le fils du charpenlier! Dans ce mème numéro, le Progrès public avec amour un extrail de la Ilépubhque fr an pat se. La presse cléricale, malgré l'invi- tation qui lui est faite, n'y fera guère atten tion, el si nous en parions c'est pour monlrer une fois de plus la transformation que subit le parti libèral. D'après le journal francais, le St-Père a 11 rail tenu, lors de la mort de Viclor-Em- manuel, un langage si grossier qu'on ne le prêterait pas mème a certains sous-préfets a poigne, lorsqu'ils s'adressent a leurs subor- donnés. C'est le comble de l'absurde, rnais Ie Pro grès s'en réjouil. Cela satisfail ses instincts. Qu'esl devenu ce respect pour la Religion CONCLUSION PRATIQUE. Le correspondanl XX, ie Progrès et ses patrons out - i Is fait accepter leurs espérances et leurs désirs par celui qui sera leur candi dal au muis de Juin? Alphonse le niotléré, lel autre de la familie donl s'occupe le public, admel-il ce pro- gramme? Nous posons la question ct les calholiques avec nous. A quand la réponse? SESSIONS DU CONSE1L DE MILICE. 5 J 5 5 S S 3 00 sï 5 s 5 5 2-g - a 2 FA ITS DIVERS. Lundi matin, un violent, incendiea délrnit en grande parlie le cabaret du Cerf blanc a Poperinghe; on a réussi, grace aux efforts du Corps des Sapeurs-Pompiers, a préserver une parlie du cabaret ainsi que la maison y atlenanle. Qualre mille' livres de houblon, apparlenant a Hipp. Sausen, et le principal mobilier ont pu êlre sauvés. Le baliment, apparlenant a la familie Onraet et occupé par Verfaillie, étail assuré. CHRONIQUE RELIGIEUSE. SOCIETE DE LA CONCORDE. Programme ces morceaux qui seronl. exécu- lés le Jeudi, 24 Janvier 1877, a 7 1/2 h. du sou-, par la musique du corps des Sapenrs-Pompiers, sous la direction de M. J. Wittebrood!. Concordia, marche, Les cloches de Corneville. ouverture, (arr. par J. Witte brood!). La Traviata, caprice, (Verdi). Bal philanihropique, polka, (Strauss). Grand finale d'Ardéle. (Bach). Flora, polka-Mazurka, (J. Wutebroodl). Variétés. UNE PERLE DANS LE FUMIER. Ou lil dans la Chronique LKS VILLES FLAM ANDES. V. Studie van den NOTARIS DE BOO, En B. om 3 ure, in de herberg van Francies Lobelle, Kortenkeer, van de Taillie met 349 Plantsoenen en 9 Krullaers, op 5 dissche bosschen groot 1 hectare 95 aren in Oostvle teren. ETUDE de Tf Ba A IO IVotairc A COMINES. LUNDI 4 FÉVRIER 1878, a midi précis. Dans un bois nommé Bbaembosch prés de la Place de Zantvoorde. Un hectare IB E SS E A SJ A S Si EIS, 20 gros Bois-Blancs, et 40 magnifiques Canaclas, a vendre publiquement. STUDIE van den NOTARIS MAHIEU, Ie Aju-e. C*eiiieenlc lïrlcle». ZATURDAG 2 FEBRUARY 1878, 3 uren na noen, te herberg Sint Lau- reins te Ypre, openbare ver hooping van staende op 1 hectare 60 aren 20 centiaren, genaemd Peerdebosch, verdeeld in 2 koopen. TE BföEJTSIlJIiST, op Zaturdag 2 Februari 1878, (0. L. Vrouw Lichtmis), ten 1 ure na middag, ten verzoeke van Mev. de D,e Gassiebs, door 't ambt van r. de GROüïE, Greffier te Dixmu- de, van Zware Taillie, gevelde Wilgen Boo- men, Eiken Plantsoenen, Snoekbus- schen en Kroon-Ameloozen, Roding- blokken, Stop- en Hageperssen. Vergadering bij O. Abeele- 'S morgens Zitting ter herberg van P. Meersman. Alles bij plakbrieven breeder ge meld. Studie van den NOTARIS VEYS, te Vlamerlinghe. Genaamden Notaris zal overgaan op M VANDAG, 4 FEBRUARI 1878, om 2 ure 's middags, ter herberg de Zwaan, gelegen ter plaats van Vla- mertinghe, met de tusschenkomst van den Notaris €A£nESiïiE. te Watou, tot de Definitieve Verkooping in eene zitting der volgende onroe rende goederen Gemeente Vla?nertinghe. A. 11 A. 76 C. bebouwde Grond en Land, gebruikt door de weduwe Room en anderen aan 47 fr. 's jaars. B. 8 A. bebouwde Grond vercheinsd aan P. Bienvenu, mits 38 fr. bij de jare. C. Twee Huizen en 8 A. IOC. Grond en Hof, gebruikt door Fr, Barroo en J. Pluym, aan 126 fr. 's jaars. D. 54 A. 80 C. Zaailand, verdeeld in twee koopen, gebruikt djor II. Lebbe en anderen, aan 177 fr. 28 c. 's jaars. E. 42 A. 20 C. Zaailand, verdeeld in twee koopen verpacht aan Gh. Beele en anderen, aan 123 fr. bij de jare. F. Een Huis ten dienste van bakkerij en winkel en 5 A. 69 G. Grond en Hof, gebruikt door Fred. Dehaene, aan 175 fr. bij de jare. G. Een Huis ten dienste van boer derij met koetspoort, magazijn, wagen huis, hopnekeete, koei- en peerdenstal en 12 A. 66 G. bebouwde grond, cour en hof, tiians ledig. H. Een Huis met 8 A. 28 C. bebouw de Grond en Hof, gebruikt doord'heer D. Melon, aan 225 fr. bij de jare. I. Een Huis van twee verdiepingen en 5 A. 15 C. bebouwde Grond en Hof gebruikt door d'heer J. Del mote, aan 275 fr. bij de jare. J. Een Huis slaande op grond der Kerkfabriek van Vlamertinghebe woond door de wed. J. Loones, aan 90 fr. bij de jare. K. Een Huis staande op grond der gemelde Kerkfabriek, bewoond door L. Meulepas, aan 90 fr. bij de jare. L. Een Huis in twee woonsten met 20 A. 65 C. Grond en Hof, gebruikt door IL Desloovere en anderen, aan 142 fr. bij de jare. M. Eene partie Zaailand groot 42 A. 30 C. gebruikt door Servaes Casier en anderen aan 60 fr. bij de jare. N. Een Huis in drie woonsten met 15 A. 10 G. bebouwde Grond en Land, gebruikt door II. Buseyne en anderen aan 132 fr. bij de jare. O. Een perceel Meersch groot 74 A. 70 C. jaarlijks ontbloot door de eige naars. P. Eene partie Zaailand groot 43 A. 50 C., gebruikt door J. Lambaere, aan 65 fr. bij de jare, Q. Eene partie Zaailand groot 66 A. 10 C., gebruikt door P. Vancayseele, aan 100 fr. bij de jare. ^raSle «Se aao|9ea,Iang,'B»e. CONSTRUCTION d'une nouvelle Le collége des Bourgmestre et Echej vins de Poperinghe, informe le public qu'il sera procédé MARDI12 FÉVRIER prochain en l'une des salles de l'Hötel de Ville, audit Poperinghe, a ('adju dication publique de la construction d'une nouvelle école communale avec habitation dinsliluteur, dont le devis s'élève a la somme de 56,704 francs 35 centimes (ameublement non com- pris Les plans, devis et cahier des char ges sont déposés au secrétariat de l'administration communale, a Pope ringhe, oü on peut en prendre com munication tous les jours, lesDimau- ches exceptés. Les Bourgmestre et Echevins, E. üSeï-f.ïïBB. Par ordonnance: le Secrétaire, Jeune Dllc, familie honorable, cinq ans pension, conn, le piano, désire place de dame de compagnie ou gou- vern. pour instruire jeunes enfants. S'adress. bur. du journal, init. E. M. Ü*oiu' "3 francs, francs die MMKiijsse. paraissant tous les 15 jours, donne 28 morceaux de musique par an, plus une prime. Demandez le catalogue de cette belle publication a M. F. HENDERICKX, édileur de Musique, d Mons. - DE NOS PÈRES? K ooooooooo co iooscatttonoa G-tQUSUsuS-lGUGUGSGU i T3 "C "O "O OOOOOOOOO O O O SU GS SU 00 00 CO C3 O C3 o-o o'O'ü'ü'O'O o a O O O O O O -c O ooooooooo - *C> 1 -OSUkJ, CM GO «-H - rj»i T <D r» Or.»» ►2 5® 9 ^=5 r&A t—9 "d -o -3 •-« r- 0> o co "3d 5® a O CJS C O QI3-— F* O O C2 o zz O - C* O Co A O >-3" L"" c o>vo O 4J O ÉGLISE DE ST-MARTIN. Apostolat de la piière en l'honneiir de N. 1). de Lourdes pour la conversion de« péclieiirs. Saiuedi 2 Ferrier, Messe basse ii 8 hetires. Depnis qnelqne temps divers bureaux de posle parilissen I avoir élé exploilés par d'audacieux laussaires, qui seraienl parvenus aalléreret falsi fier des iiiandals-posle. L'uu des faussaires pré- siiniés vieul d'etre arrêlé ii Biuxelles par la police de la capitate, el I'ori parle d'une autre arreslation opérée dans les environs au sujet de la inême af faire. Le Hainaut fait do vifs roproches a ('admi nistration communale de Mons, qui inontre la plus prbfonde incurie a l'égard de la niagnilique collégiale de Sainle-VVaudrii. Voila bien des au- nées, dit la feuille iBOntoise, que la question des subsides est réglée. et jiuqu'ici oil ne met pas la main a I'oeuvre. Pourquoi ce retard si prolongs a commenci r des liavatix reconnus urgents? La faute incombe ati conseil communal, et bien Umrde srra la lesponsabiiité ipi'il aura ii encoiu ir de ce chef dans Tinston e poor avoir fail tout son possible pour entraver la restaura lion d un mo nument qui fail l'orgtieil de Slons. Verrons-noiis enlin commence!- eetle aunée les travaux décidés se demaude le Hainaut. On bien nos administra teurs préféreronl-ils pousser leur h line anli-catho- lique jnsqn'a laisser tomber <-n mine le temple elevc ii I hoDtieur1 de la sainte I illustre fondalrice de noire ville On éeril de Loudees. que le mariage du cointe de Rosebery avee miss Hannah de Itotshsc- bild, liile de feu le baron et de feu la baronne Meyer de Rolshschild est, après bien des atermoie- ments, définiiivetnent arrêlé. L'apport de Miss Hannah de Rothschild, dans Ie ménage est de 73 millions. Fille unique, elle gère avec une habileté eonspmmée la grande fortune que lui a laissée son père Rien n a été change depius ia mort do baron Meyer au train de niaisoii. File a lout conservé les rhasses, les ferities el ie célèbre haras de Ment- inore. f/atiriiversaire-du '11 Janvier a élé rélébré aujotinl'hui ii la chapelle cxpialoire de la rue d'Anjou. Comme les années précédentes, des messes ont élé célébrées de huil heures du mali» a une heure de Taprès-midi a l'autel élevé sur Templacement oü fut tnseveb Louis XVI. I.a première messe a élé dite par I honorable abbé Gambol, atimóuicr de la chapelle. M. le due de Nemours a assisié a la messe de neuf heures. A dix heures. la Reine Marguerite de Bourbon s'esl renduea la ehapeile expialoire. A onze hemes est arrivée la Reine douairière dona Isabelle d'Lspagne. Nous avons remarqué également la presence du prince Philippe de Bourbon. La fonlc étail lort nombreuse. Tont s'est passé dans le plus profond recueillement et dans un ordre parfait. Nous ne ferons pas ie dénombre- ment des visiteurs qui ont accompli le pieux pè- Icrinagc du 21 Janvier; les lisles de toules les signatures recueillies doivent être publiées par I'un de nos confrères, el les origiuaux seronl adressés au comle de Chambord. ti Des villes flamandes, nous en avons en il y a longtemps de cela. Bruges a conservé quelque chose de sa physionomie; el on peut encore trou- ver qa el la, a Anvers, ii Gand, ii Ypres. ii Courlrai, des coins hontcux oil les maisoils et ('archi tecture de nos pères ont résisté aux démolisseurs modernes. Mais le caractère vraiment national. Tart du nord, si piltoiesque dans les nies serpentines de nos anciennes cités. disparail avec une rapidité qui lieni du pliénomène. II ne faul pas aller bien loin pour voir le résul- tat produit par eetle rage de moderniser le pays en lui ótant sa physionomie Malines et Louvain après Bruxelles. donnent Texemple de cc vandalisme.... Allcz. voir de la gare de Malines, comme de la gare de Louvain, part une grande héle de rue loote droilt', au long de laquelle sont alljgnées des maisons plètrée.v, a ornements ioduslrielse) qui ne sont pas plus flamandes qu'un temple grec on un aqueduc rom.nn. La i ue l on le droile. est béte paree qu'elle ouvre une perspective monotone, d'oit le pitloresque est absent. Si le long de celte ligne ori conslruit des mai sons toules plates, on obtienl sinipleinent une muraille percée de irons. C'est l irisipidité mème. Enlin ii Louvairi au bout de cette arlère donl il est probable que l'udministration commu nale est bien fiëre, s'élève un monument exquis,- qui devient un joujou en carton dans cel encadre- inent nouveau. C'est done une véntable barbaric de tracer ces rues modernes, sans art ct saus beauté, dans de virilles villes, ayanl en leur carac tère special el leur beauté selon les lois de la nature et des mceurs.... J ai vu i Louvain, ces jours derniers, dans je ne siis quelle rue, line construction loutr neuve, ravissante c'est une inaison de style gothique, qui n'a guère plus de six metres de largeur, et qui est d'une éléganee et d un goüt charmants. Les bicoques modernes qui Trntonrenl, si bien peintes qu'eiles soient, soul absurdes dans leur médiocrité. Mais, sur cent inaisons i|iie Ton conslruit. il y en a qualre vingl-dix-huil qui sont ab.-olument banales. Ellcs donnent envir de baiiler mêine aux passanls qui n'ont aucune idéé d'arl. Comment est il possible que des Flamands, si tenaces dans leurs idéés, el qui avaient destnoeurs et on esprit particutiers, se soient ainsi pen a pen laissés aller a élever des eonstructions qui doriuent a leurs villes un caractère étranger N'cst-ce pas In abdiquer sa naiionalilé comnte si on adoptait les mueurs chinoises oil les costu mes japonais Tout se tient. On n'esl soi-inêmeque quand on conserve ses facultés el son caractère personnels. Si Ie vandalisme act net continue a faire des mines, sans que I 'esprit national proleste. avant pen nos vieilles villes flamandes seront It peu prés aussi flamandes ijne Berlin est cspagnol el Botter dam asialiqiie. Nous sommes envahis par l'esprit étranger: avant peu. nous tie serous plus nous et nous lie serons pas les autres. Notre caractère et noli earl seront hy brides, un produil neutre. médiocre et répulsif, saus charme, saus beauté, sans finesse et saus grandeur C'est aux artistes ii réagir; c'est aux vrais Fla mands it se souvenir du XI Vc. du XVC et du XM" siècle, alors que nos villes élaienl aussi belles que les villes ilalieunes, mais autrement belles. II n'est que temp-s dan» dix ans, il sera trop tard. Jacques. Nous pon voos' ajouter, dit le Bien Public, a Gand, il est déja trop tard. Les constructions de toute espèee, inais avant tout celles qu'élèvent lis vkais flamands de I Hotel-de-Ville, revêtent, depuis longlcmps le cachet, neutre, médiocre ct répulsif. sans char me sans beauté, sans finesse el sans grandeur que flétrit la Chronique. Sous ce rapport, une vraie réussite, nous la signalons a Jacques est Ie nouveau Marcué au Poissox, élévé sur l'emplacetnenl de la chapelle et de l'hospice Wene- maer, en notre ville. Le point de vue le plus pit loresque de la vitle de Gand est délrnit pour tou- jours...; mais, pour se consoler, quel amas de piitre, de zinc, de poutrelles, de pierre francaise, n'a-t-on pas la joie de contempler, au lieu de ces témoins inuels de la superstition ct du fanatisme, qu'on appelait la chapelle et l'hospice Wrnemaer! Un mot encore a la Chronique la joüe maison qu'elle a adtnirée a Louvain est I'ceuvre de M. Helleputte, professeur ii l'université catholique el ancien élève de I'Ecoi.e St-Luc ii Gand, école conire laquelle la susdite Chronique ne cesse de délacher des injures de choix. Aujourd hui, elle peul juger I'Ecole St-Luc par ses ceuvres. Renoncera-t-elle a ses diatribes Nullemenl. TE OOSTYLETEREN. SB- r ONZE VROUW LICHTMIS,

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3