te St-Jan by Ypre.
TBAVAÏÏZ
B O O M E N
BOOMEN,
M AISON,
C H ÈN E S
LE TRÉSOR MUSICAL,
ADJUDICATION
UN BON TILBURY,
a Comines (France).
WER
I1ÉTRES CA1ÜAS,
OVERSLAG
ONROERENDE GOEDEREN!
ÉTABLISSEMENT 1NDUSTR1EL
CHARBONS GROS TOUT-YENANT
Par Ordonnance
TE lAKGIIEUIICk,
A VENDUE lmiQDEMEiW
HERBERGGERIEF
Renteniers Woonhuis
Wo onkuis je
Vetteweide,
Vetteweide j
A L O E R
liminaires de paix, lelies qn'elles ont élé
adressées par le prince Goilchakoff an com
mandanten chef de l'arméerusse en Europe,
avant les négocialions pour la conclusion
d'uii armistice. Ces bases se divisenl en cinq
points dont voici la substance
Formation de la Bulgarie en province
autonome tributaire de la Porte el librede
troupes lurques.sauf quelques poinlsa deter
miner ultérieurement.
Extension de cette autonomie a lout le
pays oil la population bulgare est en majori-
té, mais avec celle condition que. dans aucun
cas, leslimites de la Bulgarie ne seront moin-
dres que celles qui furent indiquées par la
conférence de Constantinople.
Indépendance du Montenegro formelle-
ment reconnue par la Porte et rectification
des frontières en faveur de cette principauté
dans le sens d'une augmentation deterri-
toire équivalente a l'état actuel de Vutipos
sidetis militaire,
(La question d'un port de mer pour le
Montenegro n'u pas élé spécifiée par le prince
Gortehakoff, mais el Ie pourrait étresoulevée
dans les discussions ullérieures du régie-
ment définilif.)
Indépendance compléte de la Rouinanie
el de la Scrbie, avec compensation territo
riale pour la première de ces principautés el
rectification de frontières pour la seconde,
l'une el l'autre a déterminer ultérieurement.
End'autres tenues, les bases des prélnninai-
res de paix stipulaient expressérneut un
agrandisseuienl territorial de la Roumanie,
tandis que la question d'agrandissement ter
ritorial restail ouverte pour la Serbie.
Organisation spéciale et réformes pour
la Bosnië et l'Herzégovine avec extension des
réformes aux aulres provinces chrétennes.
indemnité pour la Russie en compensa
tion des sacrifices qu'elle s'esl imposés pen
dant la guerre, cette indemnité payable soit
en argent, soit en terriloire, soit de loule
autre maniére.
Engagement, de la part de la Turquie,
a tenir compte des intéréts de la Russie en
ce qui concerne la navigation dans les dé-
troits.
Les bases qui précédent ne pouvaient
point êlre modifiées, mais les instructions
du prince Gortehakoff conlenaient un sup
plément réservant au grand-due Nicolas le
droit de comprendre dans les négocialions
toutes les stipulations que la situation mili
taire pouvail nécessiler, telles que l'évacua-
lion de certains points fortifiés, etc.
C'esl seulement aprés ('acceptation de
ces bases par les plénipolenliaires litres que
des conventions d'armislice pouvaient èlre
conchies par les armées belligérantes en Asie
et en Europe.
Cliraiiiqise locale.
Nous signalions plus ham l'atlilude gros-
sièrement inconvenanle de la presse gueuse
envers le Pontile que nous pleurons.
A Ypres, en cette ville qui en toules cir-
conslances, et récemment encore, lors du
jubilé episcopal de Sa Saintelé, proclama
avec tant d'éclat son inaltérable atlachement
a l'auguste Pére des fidèles, a 1'immortel
Pie IX, l'organe en litre dti parti libéral per-
sonnifie dans le Pape défunt ce qu'il nomme
la resistance, Cmertie, le préjugé reliyieux
opposés au progrès, a la civilisation, a Ces-
pril moderne. On sail ce que cela veut
dire, et ce qu'on entend en pays libéral par
préjugés religieux opposes au progrès, a la
civilisation el d Cesprit moderne.
Le Progrès lui-rnême énumère quelques-
unsdes actes auxquels il fait allusion.C'esl le
rélabhssemeti! de la hiërarchie culholique en
Anglelerre, en quoi le Souverain Pontife ne
fit qu'user d'un droit incontestable et d'un
devoir impérieux envers les millions de ca-
tholiques que compte l'Angleterre. Cest la
definition formelle du dogme si cheraux
catholiques, si populaire inéme, de llmmu-
culée Conceptione'est la canonisation des
martyrs du Japon (et de beaucotip d'autres,
croyons-nous); e'est la creation d'un collége
de journalistes jésuiles, /undateurs de la
Civilta Cuitolica (collége dont nous igno-
rions l'existence).
La feuille gueuse rappelle ensuile les tris-
les épreuves de l'Eglise en Allemagne, ou,
eela va sans dire, el le epouse la cause des
oppresseurs conlre les oppriuiés. Puis elle
évoque le spectre noir du Syllabusqui n'esl
rien, comme on sait, qu'un recueil de décrets
de l'Eglise et une révendicaliou généreusede
ce principe, base de li vraie civilisation
source du vérilable progrès en lous les
temps, QUE hE DROIT PRIME LA FORCE, a I'encOD-
tre de eet axiome moderne, chers aux ado-
raleurs du Kuljui karnpfque la force
prune le droit. Le Concile cecumcniquc
de 1869|enfiii a couronné les faules de
Pie IX, et consommé la ruine du pouvoir
lemporel. C'est l'avis du Progrès.
Rendons a l'organe du parti libéral ce té-
moignage de ineltre aujourd'hui plus de
franchise el d'audace dans ses attaques con-
Ire lout ce qui louche de plus prés a la Reli
gion calholique, contre lout ce que la ptes-
que universalilé de nos conciloyens vénère
davantage. Nous aimons bien que Ie confrère
gueux ne vienne plus nous sériner son re
frain d'aulrefois, affirmant son respect envers
ia Religion et ses miiiislres.
II ne s'en cache pas, s'il en vetil a Pie IX,
c'esl que, depuis 1848, sa vie n u élé qdune
longue lutle dans laquelle il u défendu avec
une énergie, un aveuglement inouïs la puis
sance SP1RITUELLE ET TEMPORELLE DE LA PAPAUTÉ.
Cela s'appelle parler net »'t jouer carles
sur table. Le tort de Pie IX c'esl done de
n'avoir pas tralii ses devoirs de Chef de
l'Eglise ct de gardien des droits du Saint-
Siége qu'il avail solennellemenl jure de
maintenir.
Mais nous, catholiques, nous disons:
Honneur an glorieux Pontife qui ne faiblit
jamais dans la défense des intéréts sacrés de
l'Eglise el de l'ordre social!
Honneur au Pontife intrépide qui ne trent-
bla jamais devant les puissants de la terre et
fut toiijours du cóté des faibles el des oppri-
més, en Italië, en Pologne, en Espagne, en
Suisse, en Prusse!
Honneur au doux Pontife qui toujours fut
miséricordieux et prèt a pardonner depuis
le jour ou, inonlani sur le uöne, il appela
a lui tanl d'hommes qui bienlót devaient
indigiieinent le trahir, jusqu'a la veille de
sa mort, alors qu'il accorda un suprème
pardon a ce malheureux Roi, fils dégénéré
d'une lignée de Princes devoués a l'Eglise,
et qui nedevail le précéder que de quelques
jours dans la tombe!
Honneur el reconnaissance au Pontife in-
faillible el suprème qui placa sur lesautels
tant de saints, chers a la pieté catholique;
qui restaura les Eglises d'Angleterre, de
Hollande el d'Ecosse; qui proclama Clintna-
culée Conception-, qui promulgua le Code
civilisateur el émineminenl social du Sylla
bus; qui étabht enfin la Foi calholique sur
une base plus solide que jamais, et plus a
l'abri de lout vent de doctrine, par la con
vocation du Concile du Vatican et la pro
mulgation du dogme de llnfaillibililé!
Honneur au Pontife-Roi! sa mémoire sera
glorieuse et bénie.
A l'occasion du décés de Sa Sainteté le
Pape, les cloches de loutes les églises et de
toutes les communautés religieuses de la
ville ont duranl trois jours, a commencerde
Dimanche, sonné trois fois le jour, pendant
une heure.
On a enfin découvert les restes du mal
heureux Louis Giyinouprez, donl la dispari-
lion depuis ie jour de Fan avail donné lieu
aux suppositious les plus tragiques. Généra-
lemenl 011 le croyait assassiné. Hier seu
lement des ouvriers out trouve son cadavre
dans un large l'ossé a proximité de la ville,
prés du cabaret de Sterre. II a été conslalé
que sa mort n'élait pas la conséquence d'un
crime, mais l'effet d'un accident, el que cel
infortuné voulant renlrer en ville par un
chemin de traverse s'était egaré dans l'ob-
scurité el étail tombé a l'eau. II avail sur lui
sa moiitre et son porie mommie avec quel
ques valeursdont l'appat, a ce qu'ou suppo-
sait, a ti ra it été le mobile d'un crime.
ACTES OFFICIELS.
Par arrèlé royal du 4 Février, M. J.
Berghman, docteur en droit, avoué, juge
suppléaul a la justice de paix du premier
canton d'Ypres, est nommé juge de paix du
canton de Wervicq, en remplacement de
M. Christiaen, démissionnaire.
Par arrèlé royal du 7 février la démission
de M. A. Sanly, de ses foncliuns d'huissier
prés le tribunal de première instance séanl a
Ypres, est acceptée.
CHRONIQUE RELIGIEUSE.
Variétés
COMMUNE DE N E U V E - G LI S E
de terrassement et d'empierrement
d'une route de Neuve - Eglise au
hameau Le Rqmaiun.
Le Collége des Bourgmestre et Eche-
vins de la commune de Neuve-Eglise
fait savoir que le 23 FÉVRIER 1878,
a midi, il sera procédé a l'IJótel-de-
Ville, a Ypres, et sous réserve d'ap-
probation ultérieure, a l'Adjudication
publique des'l'ravaux de construction
d'une route communale empierrée,
de Neuve-Eglise au hameau Le Ro-
Cette route a une longueur de 2,717-00
mètres et le devis estimatif des tra-
vaux s'élève a 4t francs,
non compris les frats d'emprises.
L'adjudication aura lieu par sou
mission et aux enchères.
Neuve-Eglise, le 26 Janvier 4878.
T II E R R Y
TRIOEN.
A VENDUE
avcc Hariiaiü*
PRESQUE NEUFS.
S'adresser au Bureau du Journal.
KANTOOR
van «leii Notaris t'APEIXE,
Op DONDERDAG 14 FEBRUARI 4878,
om 2 uren juist namiddag, te Watou,
wijk de Pauw, op de hofsteden
gebruikt door sieurs Cheroutre-Maer-
ten, Jacques Delteegher en Corneille
Veyer
SCHOOiNE VENDITIE
70 KOOPEN
als Popelieren, Abeelen, Iepen, Esschen
Olmen en Eiken van 2,n tot 2n,50c dikte
en dienstig voor alle groote werken.
De vergadering op het hofstedeken
Cheroutre.
Op gewone voorwaarden en tijd
van betaling, mits voldoende borg
stellende ten genoegen van den No
taris CAPELLE, voornoemd.
Ruchtbaarheid.
VERKOOPING
95
schoon e en hoogstammige Olmen,
AbeelenPopelieren en Eiken
VRIJDAG 45 FEBRUARI 4878,
om 4 uur namiddag, ter hofstede ge
bruikt door sieur Carolus-Ludovicus
Matten, bij de lier berg den Keirzelaar
langs den steenweg van Poelcapelle
naar Ypre.
Door het ambt van den Nolaris
VANDEP.MEERSCH. te Ypre.
ETUDE
IWL «El lULLOY. üotaiir
HOUTHEM, (Belgique),
prés de Ia Place,
a la rue menant vers Wytschaete,
UNE JOLIE
occupée en dernier lieu par les époux
Sigier-Desmarets, et actuel lenient va
cante,
LE LUNDI 48 FÉVRIER 4878,
a 5 heuresdu soir,
en la Mairie de Comines-France.
prés de 1'A.mérique,
dans un bois situé prés la ferme
Nollet-Vanraes,
VENTE PUBLIQUE
LUNDI 48 FÉVRIER 4878, a midi.
Ges arbres conviennent aux tonne-
liers, charpentiers, sabotiers et tour-
neurs.
Le transport en sera facile par le
pavé de Wervicq a Cruyseecke.
Me LAWNOY, Notaire a Comines, est
chargé de cette vente et de la recette.
Door verandering van woonst
en andere voorwerpen,
Dfiis«!a$ 19 February
om 2 uren juist namiddag te begin
nen, zal CH. COSTENOBLE, Deurwaer-
der te Ypre, openbaerlyk verkoopen
te Sl. Jan by Ypre, ter herberg ge-
riaemd den welgekomen bewoond
door sieur Charles-Louis Boudry, de
volgende goederen
Met gereed geld en verhoog van
40
liantoor
NOTARIS SYOEN,
Zaturdag 2 Maart 1878,
om 3 ure namiddag, ter herberg St-
Sebastiaenshof, binnen Loo.
Een zeer schoon
met 1 are 40 centiaren Erf, aan de
noordzijde der Ooststraat, te Loo,
laatst gebruikt door de weduwe Car-
dinael.
Handslag met de geldtelling.
Een ander
oost aan het voorgaande, met 78 cent.
Erf, bewoond door Ch. Loones, zonder
pachtrecht.
Bij verzameling maar ingesteld fr. 6,'700
1 hektare 92 aren 46 centiaren
in Nieucappelle, sektie A, Nr245.
Maar ingesteld fr. 8,000
Eene andere
in Nieucappelle, sektie A,N° 437,groot
4 hectare 79 aren 50 centiaren.
Ingesteld fr. 40,400
Deze 2 weiden zijn gebruikt door
Désiré Ameloot, aan 300 fr. ieder, tot
11 November 4883.
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COMINES, sur un fonds et terrain de
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paraissant tous les 45 jours, donne 28 morceaux de musique par an.
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édileur de Musique, d Mons.
Va, crapaud, chanter quand In soleil se couche.
(Due de Richelieu. Anecd.)
ÉGLISE DE SAINT MARTIN.
Apostolat de la prière en l'honneur de N.-D.
de Lourdes pour la conversion des peeheurs.
Samedi 16 Février Messe solennelle a 7 lieures.
1L Y A UNE POLOGNE.
Lors du siége de Plewna, t'empereur Alexandre,
visitant une ambulance, dit a un soldat affreuse-
manl bicssé: Je tedonne la croix de St-Georges.
Le soldat lui répondit A quoi bon, Sire, je
■i inourrai dans cjuelques beures.
Que puis-je I aire pour la familie?» ajouta
l'Empereur.
La réponse fut Sire, je n'ai pas vendu mon
sang je suis Polouais
Au cours de cetle niême campagne dont les
succes, inélés de tant de revers ont conduit ses
armées sous les inurs de Constantinople, l'empe-
reur Alexandre dit a un soldat qui s'était distingué
par son courage: J'espère que tu seras toujours
i un brave soldat et un bon patriote.
Et le soldalSire, je remplirai toujours mon
devoir de soldat, mais je ne n'ai pas de patrie:
je suis l'olonais
Ces réponses sont belles elles donnent ii réflé-
chir, elles furtiüeut singulièrement le coeur.
Tombées de lèrres inconnues, elles surgissent
comme une liimière consolanle au milieu des
épaisses léuèbres morales du XIX* siècleelles
altestent l'éternelle noblesse de l'ame hnmaine
elles dévoileul la profondeur, l'inlensilé du senti
ment national polonais.
Je n'ai pas de patrie!... Au fond, cela veut
dire la pairie que voos pensez m'avoir arrachée,
je la porie tuut riilièrr en mui.
Nulle jaclance, rien de théülral de simples
affirmations empruutant aux eirconstances, an
monde qui sépare les inlerlocutrurs, one force et
uue grandeur admirables.
La question polonaise, sur laquelle les publiciste!
se taisent obstiiicinent, pour laquelle les habiles
n'ont que du dédain, se trouve ainsi posée d'une
manière trés-naturelle et trés sotiveraine enlre la
conscience des opprimésct celles des oppresseurs.
II v a évidemment une Pologne; car, s'il n'y en
avail pas, des hommes obscurs, de pannes soldats,
ne sacbant peut-être ui lire ni écrire, ne parleraient
point de la sorte; et le jour viendra oit les erobas-
sadeurs, les minisires, les grand» cbanceliers, les
journalistes en renom, seront bien obiigés de la
discuter. (monde).
Province de la Flandre-Occidentale.
DES
MARIN.
Les soiuiiissions rédigées sur papier timbre,
conlormémtul au mudéle annexé au devis et
cahier des charges, signées par deux cautious
solvabies et solidaire», seront remise» sous enve
loppe carlietée et portant pour suscription
Soummion pour l'eidreprise des Travaux de
construction de la route empierrée de Neuve-
Eglise au hameau Le Huiiaiun.
Chaqite soumission devra ëtre accompagnée
d un re^u eonslataiit le versemenl, enlre les mains
de M. le Commissaire de l'arrondissemenl d'Ypres,
d une som me de huis mille francs en numéraire
ou eu fonds publics.
Des exemplaires du cahier des charges et du
devis estimatif sont deposes en I hótel du gouver
nement provincial, aux Commissariats d'arron-
dissemeul, au Secretariat de la <0111mtine de Neuve-
Eglise, el h celui des principale» villes de la pro
vince.
Des exemplaires seronl en oulre adressés a cenx
qui en feront la demande au Commissariat de
I ariondissemeut d'Ypres.
Pak ie Collége
le Bourgmestre,
le Secrétaire
TE WaTOU.
van
ALLERHANDE
van
•le
DE TRÈS-DEAUX
van
7 tafcis, 27 stoelen, toog, scbuone stoof met
colonne, banken met leuning, -40 andere ban
ken, 12 tafelbladen met 80 schragen, machine oin
tabak le kerven, draaibank, karretje. 2 groote
koperen petiole quinquels, een idem in glas,
tinnen sloop en 0 kannen, killen, 2-4 koperen
pinthullen met étagère, 2 koperen lampen, spoel
bak in koper, cabarets.
Marrnile. moor, koffikan, tuinen trekpot, stoors
en gordyncn.
Verders eene hoeveelheid comeinslroo eri menig
vuldige andere voorwerpen.
van den
TE LOO.
van cle volgende
un vaste et magnifique
COMPRENANT