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LE TRÉSOR MUSICAL,
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ONROERENDE GOEDEREN!
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Openbare Ver hooping
A LOÜER
CHRONIQUE JUDICIAIRE.
Le Courrter de Bruxellesmis en de-
nieure par M. Laurent d'insérer sa réponse
dont un jngernent en date du G Février lui
attribue le droit, subit aujourd'hui cette
violence morale.
Aprés avoir publié le jugement qui le
condame, le conseil d'adminisiration publie
en gros caractère la déclaration suivante:
v Contraints par l'inlerprétalion que ce
jugemenl donne a nos lois, nous deman
doris pardon a Dieu et aux hommes de
l'offense que fail a N.-S. Jésus-Chrisl, a
l'Eglise et a la conscience chrétienne l'écrit
contenu dans la sommation de M. Laurent.
Les membres du Conseil d'administra
tion de laSociété anonyme de Sainl-Pierre:
o Charles Pèrin, président du Conseil.
Comte de Villermont, directeur.
Grégoire Bolle, avocat.
Henri Desclée, propriétaire.
Jules Desclée, propriétaire.
Léon Collinet, avocat.
Alexandre Delmer, rédacteur en chef.
Le Courner de Bruxelles, après avoir
publié les infamies de M. Laureut, cousacre
la plus grande parlie de son numéro de ce
jour a les réfuter.
Dans les circonstances aciuelles il nonsa
paru, dil-il. que nous devions une rèpara-
lion d'honneur a la vérité. A cette fin nous
avons délaché quelques pages d'ouvrages
consacrés a l'exposé et a la defense de nos
dogines el spécialement de celui qui est le
fondement même de la religion.
C'est Samedi a 8 heures du soir que s'esl
termméeau tribunal correctionnel de Bruges
l'affairede Hector Gilliodls. Celui-ci est con-
damné:
Du chef de banqueroute simple a un an de
prison.
Pour escroquerie envers la familie Rotsarl
a un an de prison el 26 fr. d'amende ou
subsidiairement a huil jours de prison.
Pour des fails d'escroquerie envers les
sieurs Lonneville et De Schepper^ a deux
fois trois mois de prison et 26 fr. d'amende.
Pour abus de confiance envers Van Hee,
la vcuveDe Neve Naehtegaele, la veuveDe
Mttynck, Bernard De Vissclier, Jean Strubbe
et De Fraigne, six fois a un inois de prison
et 26 fr. d'amende.
II est acquitté du chef de banqueroute
frauduleuse.
Le fait d'escroquerie n'est pas admis pour
les affaires Van Zuylen et Dehaene.
Gilliodls a été condamné aux frais du pro
cés.
Le ministère public a requis l'arrestation
immédiate, qui est accordée par le tribunal.
NOMINATION ECCLÉSIASTIQUE.
Mgr l'Evèque de Bruges a nommécoadju-
teur de M. le curé de St-Jacques a Ypres, M.
Crevils, prélre au Sémmaire.
religieux et le plus parfait recueillement
n'onl cessé de régner parmi la foule com
pacte des fidéles. Ce n'etaient point lades
curieux assistant a une cérémonie quelcon-
que. Cetaienl des chrétiens qui pleuraient
le veuvage de l'Eglise, qui pnaient pour le
Pére qu'ils venaient de perdre, qui implo-
raient du Trés Haul force et lumiéres pour
le nouveau Pontile que doit proclainer le
Conclave, et qui, le eceur plein d'espérance,
demandaient pour le vaisseau de l'Eglise des
jours plus ca lm es. el plus sereins!
Des services funèbres ont également été
célébrés dans les autres églises paroissiales
de la ville, Mardi deruier a St Pierre, au
jourd'hui a St-Jacques, demain, Jeudi, le
service aura lieu a Si-Nicolas.
Une sinislre nouvelle s'est répandue ce
tnatin en ville et y a cause une pénible im
pression.
Cette nuit, l'hótel du gouvernement, a
Bruges, aurait été la proie des flammes. Au
moment de meltre sous presse les détails el
l'origine du sinislre ne nous sont pas encore
connus. On sail qu'aujourd'hui devait
avoir lieu une grande fète dansante.
P.S. D'après les renseignements qui
nous sont parvenus, l'ineendie aurait détruit
les salons du gouvernement. Ou n'a pas eu
d autres malheurs a déplorer. La féte a
du ét re contremandée.
FAITS DIVERS.
Gliez VANDFJtGniNSTE-FossÉ,Imprimeur,
rue au Beurre, 66, a Ypres.
ON PEUT SE PROCURER
des
de Sa Sainteté
PIE IX,
a des prix très-modérés.
Cbi'oniqiie Saesilc.
Dimanche dernier, conformément au désir
exprimé par l'autorité ecclésiastique, un
nombre considerable de fidéles s'est appro-
ché de la Table Sainte, a St-Martin et dans les
autres églises de la ville, pour le repos de
l'ime de Pie IX, de sainte mémoire. L'afiluen-
ce, principalemenl a la cathédrale, égalait
cello des plus grandos fétes de l'anuée.
Les hommes y étaient en grand nombre.
Luudi, a 10 heures, a été célébré en la
mème église le Service solennel pour l'au-
guste defunt. Une foule immense el profon-
déinent recueillie remplissail le vaisseau de
la vaste basilique, les nefs et lepourlourdu
chceur. A l'entrée du chceur avaient pris
place les membres du Cercle calholique et
de la Sociélé de Sl-Vincent de Paul. Les
Dames des diverses oeuvres charitables et
pieuses avaient leur place au transept.
Plus en avant el dans le chceur, élail dres-
sè le catafalque surmonté de la liare et des
enseignes pontificaux, et enlouré d'un bril
lanl lurninaire. Chaque chandelier, chaque
candelabre portaierit l'écusson ou le chilïre
du P'ape décédé. M. le Chanoine Boone, curé-
doyen, olficiait assislé d'un nombreux clergé.
La inesse fut exéculée en plain-chant par
les éléves du Collége episcopal, avec beau-
coup de précision et une entente parfaile.
Toute la durée du service, c'esl-a-dire
pendant cinq quarts d'heure, un silence
Variétés
COMMUNE DE N E U V E - G L I S E
de terrassement et cCempierrement
d'une route de Neuve- Eglise au
hameau Le Romarin.
Le Collége des Bourgmestre et Eche-
vins de la commune de Neuve-Eglise
fait savoir que le 2*3 FÉVRIER '1878,
a midi, il sera procédé a l'Mötel-de-
Vilie, a Ypres, et sous réserve d'ap-
probation ultérieure, a l'Adjudication
publique desTravaux de construction
d'une route communale empierrée,
de Neuve-Eglise au hameau Le Ro
marin.
Cette route a une longueur de 2,747-00
mètres et le devis estimatif des tra-
vaux s'élève ,a 4l.3?»-§4 francs,
non compris les frais d'emprises.
L'adjudication aura lieu par sou
mission et aux enchères.
Neuve-Eglise, le 26 Janvier 1878.
Par le Collége
THERRY.
Par Ordonnance
TRIOEN.
Kantoor
NOTARIS SYOEN,
Zaturdag 2 Maart 1878,
om 3 ure namiddag, ter herberg St-
Sebastiaensfwfj binnen Loo,
Een zeer schoon
met 1 are 40 centiaren Erf, aan de
noordzijde der Ooststraat, te Loo,
laatst gebruikt door de weduwe Car-
dinael.
Handslag met de geldtelling.
Een ander
oost aan het voorgaande, met 78 cent.
Erf, bewoond door Ch. Loones, zonder
pachtrecht.
Bij verzameling maar ingesteld fr.Qfl00
1 hekiare 92 aren 16 centiaren
Vette weide,
in Nieucappclle, sektie A, N' 215.
Maar ingesteld fr. 8,000
Eene andere
in Nieucappclle, sektie A,N" 137, groot
I hectare 79 aren 50 centiaren.
Ingesteld fr. 10,400
Deze 2 weiden zijn gebruikt door
Désiré Ameloot, aan 300 fr. ieder, tot
II November 1883.
op 6 MAART 1878, Asschen -Woensdag
ten 1 1/2 ure namiddag,
te Houthulst, onder Oreken,
in de bosscben van Mevr. Gassiers,
door 't, ambt van r. de GR00TE, Gref-
fier te Dixmude, van
75 koopen zware Taille van 10 jaar.
10 Wilgen- Esschen en Elzen.
Rodingsblokken, Spaanders, Eiken
Snoekbusschcn, Sparre-Ameloozen en
Sparresnoei.
'5 morgens Zitting bij P. Meersman
voor de betalingen.
TE POPERliUGHE,
ten verzoeke der Burgerlyke Gods
huizen aldaer,
Woensdag- ufo Maert
(asscden-woensdag,)
A. Om 12 uren middag,
Langs de Vyfwegdrecf, naby bet
gehuchte den Abeelevan
Omtrent 2000 geharpte Sparren.
En B. Om 2 uren namiddag,
ln d'herberg «df. Sternen Biujg»,
langs den keiweg van den Abeele
nacr Boeschepe, van
49 hoopen schoone zware Iepen
en andere Bootnen,
staende op eene weide, gelegen te
Boeschepe, in de nabyheid van deze
herberg, gebruikt door Henri Deseure-
Porreye.
Door het ambt van den Notaris
LAVA, te Poperinghe.
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et dépendances, érigé au centre de
COMINES, sur un fonds et terrain de
1550 mètres carrés tenant a laLvs.
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plus une prime.
Demandez le catalogue de cette belle publication d M. F. HENDER1CKX,
éditeur de Musique, d Mons.
II rèsulte d'une lettre publiée dans le Réveil
par detix de ses rédacteurs! MM. Etnile Gautier
et Robert Charlie, que ces deux personnages,
ayant été chargés par le citoyen Roehefort de
proposer uti duel a 11. de 31 tin, se soul rendus
a Versailles dans ce luit. 31. de 31 un leur a simple-
ment fait saroir tpi'il n'avait rien a répondre a
31. Henri Roehefort, et c'élail en eflet, tont ee
qu'il y avail ii dire. Les émissaires dn citoyen
Roehefort. qui étaient partis en capitaines Fra-
casse, sont done revenus légèrcment penatids. lis
marquent leur surprise d'avoir eu a conslater
qu'uu député calholique refusail de se bailee pour
avoir fait son devoir, et surtoul qu'il refusait d'ac-
cepter pour adversaire un forcat. Peul-ètre lini-
ront-ils par ctunprendre qu'a la place de M. de
31un, nous ne disons pas lont calholique, mais
tont honnêle hointne en aurait fait aulanl.
Le üramk d'An/in.--Lecoupable, hom-
mé Monier, est Agé de 74 anstl est originaire de
BrafTe. A la suite de iiombreux volscommisa RratTe
et autres lieux, il viut a Anzin, chercher du tra-
rail, avec sa familie. Mais, d'un caractère emporlé
et ayant coritraclé de déplorables habitudes, ses
violences a l'égard de sa femme et de ses enfanls
étaient si conlinuelles que ceiix-ci dureiil se plain -
die a ['autorité locale, qui engagea Monier, a
5'éloigner.
II qiiilta Anzin, einportaiit les écouomies de Ia
maisou, mais revinl, après les avoir entièremeiil
dissipées.
L'absenee el le voyage ne l'avaient nullemeni
corrigé, au contraire. Il se remit a maltraiter de
plus belle sa uialheureiise femme et ses eufants
chaque fois qu il reveuait du travail, les battant a
tour de róle et les menagant de leur faire mal
heur.
Lundt malm, Monier, après une longue soilie,
centra dans un état de surexcilalion tel que ses
gens eu fiirenl effravés. A la suite d'une alterca
tion plus vive encore que d'habitude, ils duient
prendre la fuite et vinrent prier M. le commissai-
re de police et le brigadier Ltusicz de venir ineltre
ce forcené a la raison.
Les deux agents se rendireut done au domicile
de Monier.
Ici commence la scène de carnage.
On frappe a la porie de la maison: personne ne
répond. On réilère l'invilation d'ouvrir, au noin
de la loi loujoul's même silence.
Le brigadier se dtrige alors vers une petite cour
oil on lui dit que i'mdividu peut s'êlre reliré. Blais
a peine a t il fail qiialre pas qu'une détonalion se
fail entendre el le tnalheureux Lussiez tombe fou-
droyé. II avail été allrint ii la lempe par un coup
de révolver.
M. le cominissaire de police Dcmonchy, qui
suivait de prés son agent, n'a qu'une pensée en le
voyant lombere est d'enlrer de force dans la mai
son et de s'emparer au plus vite de l'assassin.
II se précipite done vers la porie d'entrée qu'il
parvient a ouvrir.
La femme Blonier, qui l'accoinpagnait, s'écrie
«i N'avancez pas, le misérab e est enrore armé.»
Ces paroles n'étaient pas achevées, que M. De-
monchy tombaita sou tour sous un nouveau coup
de révolver.
La balie tirée i bout portanl, par la porte entte-
bóillée, l'avail alteint en pleitte poitnne, un pen
au dessus du sein gauche.
Ce double forfait accompli, le meurtrier ne per-
dit nullemeul son sang-froid mais il s'oecnpaa se
barricader dans le logis, proférant des menaces de
mort eontre quiconque oserait approcher.
Cependant la gendarmerie appelée en toute hate
ptait arrivée t l eernait la maison.
Blouier lira un troisième coup de feu sur Irs
gendarmes, qu'heureusement il n'alteiguit pas.
Puis, voyant qu'il lui élait impossible de fuir, et
plus que jamais au combie de la rage, il nut le feu
aux meubies de la chambre. Enfin, un instant plus
lard, une dernière détonatiou retenlit. C'élail le
misérable qui venail de se faire sauler la cervelle.
On ne peut d'éerire l'émolion qu'a causée a An
zin ee triple forfait. La foule n'a cessé d'environner,
duranl toute la journée d'bier, la maison oil a été
perpétré un crime qui dépasse en horreur ceux
dont! les vicillards ont gardé le souvenir. Ou mau-
dissait l'assassin; inais on plaignait surtout les
deux loforlunés, victunes de leur dévouemeut el de
leur (idélité au devoir.
41. Demonchy, ancien maréchal-de-logis de la
gendarmerie, chevalier de la Légion-d ilouueur,
élaitinané saus enfants.
Le brigadier Lussiez, laisse une veuve et cinq
eufants en bas-age.
Tout le moude connait Ia prophétie de Mala -
cbie. Cette prophétie, relative a l'ordre de succes
sion des papes allnbuée a un saiul irlandats du
douzième siècle et, d'atlleurs, mamfestemenl apo-
cryplte, est un eenion de devises éeriles eu nu latin
uiacaroiiique, appliquées a cent douze papes de
pths Célestin 11.
lléjh cent un noms, v compris celui de Pie IX,
out leurs devises dans la prophétie. II ne resle que
dix devises de vacanles d'oü le catholicisme ro-
tnain conclut qu'il n'y aura que dix Papes après
Pie IX; sous le dixième qui, d'après la prophétie
s'appeilera Pierre II, aura lieu le jugemenl der-
uier.
Quant aux devises, cites donnent sur chaque
Pape un tndice asiez difficile a préciser par avan
ce. La devise de Pie IX était Crux dkcruce, ce
qu'on expliquait en rappelant la croix placée dans
les amies de la maison de Savoie el en disanl que
'i le prisonnier du Vatican avail été mis en croix
par la Savoie.
Pour le successeui de Pie IX, la devise est
Lumen un coelo, ce qui, par un rapprochement
bizarre entre le pain eucharisliqne et la lumière
céleste, a fait considérer comine étanl le successeur
désigné le cardinal Panebianco.
Une lelt re de S. Em. le cardinal Blathieu
archevéque de liesancon, ayant été publiée par
fUnivers, Mgr Besson, évêqtie de Nimes, confirme
les assertions conlenues dans ce document par ses
souvenirs personnels. II s'agit de la part que la
franc-maconnerie pril a la mort de Louis XVI et
de Giistare III, en les condamnant par avance, dés
1785, dans l'assernblée générale des loges convo-
quée en Allemagne. La convention qui prononca
la mort du Rot de trance el le sectaire furieux
qui tua le Roi de Suède, n'ont fait qu'exéeuter la
sentence des loges.
Mon lémoignage, écril Mgr Besson, n'ajoutera
rteu a I autorité du grand prélat, mats je puis eon-
firmer sa lettre par des détails qui ne soul pas sans
inlérét, et qui mout été racottlés souvent ii liesan-
?on, non -settlement par 31. le président Bourgon,
tnais par BI. VVetss, bibliothecaire de la ville,
membre de l'instiliit, el le pi incipal auteur de la
/iwgrupliie universelle, publiée sous le uotn de
MidlandM. Bourgon et 31. Weiss étaient des
gens de bien dans toute la force du mol. L'un
avail plus de courage dans ses opinions, l'autre
plus d'indillgence pour les faules de l'hutuanilé.
Tons deux avaient counii les francs-masons et les
convenlionnels du deruier siècle; lis pensaicnt tons
deux sur I attentat du 21 janvier cumme doit le
(aire tout honnéte homme tls mourureiil tons
deux en chrétiens.
La franc-maconnerie avail été inlrodnite a
Besangon vers le milieu du dix hmtième siècle par
l'inteudanl de la province, 31. de Lacoré. Il s'eta-
blit trois loges qui se recrutèrenl dans le rneilleur
monde. La noblesse, Ie parlement, Ie barreau,
plusieiirs membres du chapitre métropolitain
laissérenl leur noni sur les lislesdeccs loges pri
mitives oit l'on cé.ébi-ait la nature, saus se douter
que l'ou marehait ii grands pas vers la ruine, l'exil
et l'échafaud. II n'est pas douteux que la bonne loi
de la plupart de ces honiiêtes geus n'ail été sur
prise. Témoin l'avetilure des trots délégués ii l'as-
sembiée de 1785. Ces trois délégués étaient M. de
Bouligney, président du Parlement de la Franche-
Comté; 31. Rougnon, médecin éminent, profes-
seur ii l'Universilé, et 31. de Raymond, employé
des posies.
Après avoir entendu jtirer la mort de Louis
XVI el de Guslave III, les franc macons bisontins
jnrèrent entre eux de ne plus remellre le pied
dans une loge. lis linrent parole. 31. de Bouligney
moiirut en emigration, 41. Rougnon, dans sa
ville natale, et 31. de Raymond, beaueoup plus
jeune que les deux autres, leur survécut jtisqu'en
1887. II élail membre de I académie des sciences,
belles-lettres et arts de Besangon, lournait facile-
ment les vers, et vivait dans une agréable intiinité
avec les magistrals et les litterateurs de la pro
vince. Ge lut lui qui leur révéla le secret des loges
sur la condemnation de Louis XVI, ii un age oh
l'ou ne doit plus au monde que la vérité.
Province de la Flandre-Occidentale.
HON ER pére el ftls, ii Nancy, (Bieurthe et 3Io-
selle) I'ranee. Recompense aux expositions
Londres 1862 et Paris 1867. Cette matsou fondée
eu 1847 se recominaude par la beauté el la sotidi-
té de l'exéeuliou ainsi que par ses prix modérés.
Vitraux o'Eglises et d'Appartements. (7,678.)
DES
Les soumissions rédigées sur papier litnbié,
conformément au modèle annexé au devis el
cahier des charges, signées par deux cautions
solvables et solidaires, seront remises sous enve
loppe cachetée et portanl pour suscription
Soumission pour l'entreprise des Travaux de
construction de la route empierrée de Neuve-
Eglise au hameau Le Romarin.
Chaque soumission devra êlre accompagnée
d'un recu constatant le versement, entre les mains
de 31. le Commissaire de l'arrondissement d'Ypres,
d'une soumie de trois mille francs en numéraire
ou en fonds publics.
Des exemplaires du cahier des charges et du
devis estimatif sont déposés en l'hótel du gouver
nement provincial, aux Commissariats d'arron-
dissement, au Secrélariat de la commune de Neuve-
Eglise, et a celui des principals villes de la pro
vince.
Des exemplaires set onl en oulre adressés a ceux
qui en feront la demande au Commissariat de
l'arrondissement d'Ypres.
le Bourgmestre,
le Secrétaire
van den
TE LOO.
van de volgende
un vaste et magnifique
