HUIS MEUBELEN, VENDITI MAiSON DE CAMPAGNE, ©OEBESES, HOFSTEDE, BES HEBBES COKES DE GAZ, HEttliËRdfiEHIEP. ESZ. Gemeente IIeninghelst, tusschen de Dorpplaets en't gehucht de Klytte, langs den nieuw le maken steenweg naer Kemmel. TE RËNINGHE A loner UNE MAISON, STUDIËN Notarissen BtiUDEWYfcl, fc Rcninghclst en VcYS, te Vlamerlinghe. INSTEL, inet gewin van 1/2 en W oi'iisihsj; siea-aeïve 88aaaiiB«fi telkens om 3 uren namiddag, in de hierna aangewezen herberg, OVER SLAG van ten dienste van herberg, genaamd DE KltOON, met \k are.) 69 centiaren Erf en Ilof, staande te REN1NGL1ELST, op de plaats, lest bewoond door Calharina Baelde, weduwe van Martinus Dehaese, met aanslag: aan 'thuis, met de geldtel- ling en aan den hof met 1" 8btr 1878. JEia IS. "25©sï4les.'«»nig©€è bFsseïS om een uur namiddag, in de aange wezen herberg, V E N D IT I E van ten 1 ure namiddag, ten verzoeke van Mev. de D™ Cassieiis, door 't ambt van SS. öroolc, Grcffier te Dixmude, van Plantsoenen en Lijsteboomen, Room- kroonen en Toppen van Plantsoenen, Ameloozen, Eiken- en Sparre Rodings- blokken en Spaanders; Alsook de Materialen van een woon huis, staande op liet gehucht liet lloogkwartier. Vergadering bij P. Meersman. Alles bij plakbrief breeder gemeld. Daar is nog te koopen uit er hand bij P. ROSSAERT: Eene partie Schors van Boomcn en plantsoenen, en cencn gevelden Eik van elf meters lang en 3'"77 c. dik, gemeten op d'hoogte van lro50 c-. VENTE PüBLIOUE St-ANDRÉ lez-Bruges, Ie long de la chaussée de Bruges a Ghistelles, a 2 kilomètrcs de ia ville de Bruges, aveó Ecuries, Remises et au tres dépendances, beau Jardin d'a- grément, planté de jolis arbustes, beau Jardin légumier, planfé d'excel- lents arbres ft uitiers et belle Serre, connue au cadastre section C, nus 348, 349 et 350, avec une contenance de 38 ares 14 centiares. Dernicreincnt iiabifée par Madame Annette Berney, veuve de M. Jean Gilliodts. Jouissance immediate. Cette propriélé est a visiter tous les jours, de 9 heures du matin a 5 heui es de relevée. Mise-a-prix seulement 12,000 fr. ADJUDICATION DEFINITIVE Ic iVlrr«-E-e«Si «Jjsssb a 3 heures de relevée, au Café de la Vaciie Uollandaise, Petit Marché-aux- Poissons, a Bruges. Notarissen LAftlBIK en VAfJDERWEERSCH VERKOOPING, in eenen zitdag, tien Wm'nsday: Ef3 eBaciïi ten 2 uren juist, in de Gftlmde Leeu wen, Botermarkt, te Yprc, van dc (INBOEKENDE waervan volgt dc aanwyzirig: Stad Ypre, Korten Meerschstraet. 1" koop. Fen RENTENJERSllUIS, in goeden staet van onderhoudmet deszelfs grond en erve, geteekend N° 13, zynde het sterfhuis van wylen M. den Pastoor Scheemaeker. Irt genottreding mét de geldtelling. 2" koop. Eene party goed ZAEILAND groot by meling 78 "aren, 41 C". 3" koop. Een stuk ZAEILAND groot volgens meting 62 aren, 28 C". Beide deze partyen zvn gebruikt door sieurs Dewickere, vader en zoon, landbouwers dacrby woonende, met regt tot den 1" Ocloher 1887, ten prys van 118 francs. Wyk Brandhoek. 4" KOOP. 30 aren, 64 C". ZAEILAND. Verpacht tot den 1" October 1903, ten prys van 30 francs 'sjaers, acn Calharina Bruneel, wed" Par mealier cigenaerster van het dacropstaende 5" koop. 32 aren, 65 C". goed ZAEI LAND genaemd het Lindestuk. Verpacht acn sieur Capocn-Gouden- hooft, tot den 1" October 1887, ten prys van 37 francs bv jacr. Men stelt, opcnbaerlyk te koop Eene beliuisde en beplante HOF STEDE, groot onder höfplaefs, boom- gaerd en zaeilanden 10 hectaren, 69 aren, 42 centiaren by titel, en 10 hectaren, 34 aren, 60 ccnliaren vol gens cadaster, eenen blok uitmakende gelegen bv den eigendom genaemd de 100 Gemeten, langs den voordezen Masselis weg en de Nieuwe straet uit komende op den steenweg van Ypre naer Veurne, Gebruikt door sieur Henri Birlouet, met regt tot den 1" Oktober 1879. De veiling zal geschieden IN EENEN ZITDAG bepaeld op Onder dc voorwaerden berustende ter studie van den Notaris LAIYïBIW, le Ypre verblyvende. ÉTUDE «3e M° JVotnii-c Cor/HPJES ET WARriÊTOM-BAS de 6 hectares 54arcs 98 centiares' de prairies de Lys et de Becque, A V E IM D R E LE JEU Dl 20 JUIN 1878, a 6 heures du soir, en la Mairie dc Comines-Erance. ayant 2 salons, 2 caves et cuisine, jardin, remises, 8 belles cbambres en haut, etc. ia fr. B-SG l'laeehnlita'e, chez E, Peirsefjar;(e} d Ypres, nement donné par I'Etat fasse parlout ane concurrence ruineuse aux élalilissemeuts pri- vés? Ponrquoi detnander la suppression du budget des cultes, la main mise de l'Etat sur les biens des religieux? Pourquoi Disons le comme Ie dil Ie libé ralisme lui mème: Paree que Ie caibolicisme est fennemi qu'il fuut anéantir. I'arce que conire lui on peul user de tons les moyens, la violence comme lAistuce, la calomnie com me l'injure, paree qu'il faul chercber mème a rélouffer dans la boue. Pourquoi empècher l'Eglise de faire con- naiire la véritéet la loi divines? Paree qu'il faut arracher les ames a l'Egli>e. Voila Ie bul du libéralisme. li est la Hbre pensée ou il niest rien.» Libre peuseur, libre viveur. Ceia se tient. Voila ce qu'il aurait dil a TAssocialiou libérale si on élait banc et sincere. Mais en temps electoral il faut se couvrir du mas que de la modéralion el montrer du respect pour la religion de ses péres. On parle beaucoup dos droits de l'bomme, assures a la sociélé par les immorlels princi pes de 89. Mais on perd de vue qu'a cóté des droits, riiomme a des devoirs envers Dieu et envers son procbain. Or il est une chose qui sera èternellement vraie, un écrivain l'a dit en termes un peu rudes quand l'liomme oublie ses devoirs, la brute reprend ses droits. Maintenant parlez de la main sacrilege qui cherche a vous ravir ces liberies que vous refusez a-t.x eatboliques. Cel te main saerilége, c'est Ie libéralisme lui mème devenu persé- cuteur el qui, comme tous les persécuteurs, succombera sous Ie poids des ruines qu'il aura accumulées. B LA SITUATION DU PAYS, La situation dn pays a élé examinée par M. Ie Président de l'Associalion libérale. Ce passage est traité d'une main legére. M. Car ton.a l'exemple de M. Bira dont il est un des aides de camp, a parlé des nominations jtidiciaires. II a oublié de lire l'accablante réponse faite par M. Ie ministre de la justice au clief de la fédération libérale. C'est la seule excuse qu'il pmsse produire en présence d'un mensonge flagrant. II a parlé du gaspillage des deniers pu blics Allons done, M. Ie Président rappelez vous les prophéttes ridicules de M. Frère. Ou est la banqueronte Cela manque de franchise. Les impöts augmentés El la suppression des débils de boissons, ou de centimes addi tioneels et la suppression des droits d'en- trée sur les grains et farines qui rapporlaierit plus de Irois millions au trésor, et bien d'aulres dégrèvements, Ie Président n'en dit rien il est inuet. Est-ce équilable Balance faite. les impöts ont élé diminués de plus de 2,000,000. Les charges tnililaires. La loi de milice date de 1870, M. Ie Président. Un peu de mémoire vous siérait bien et a cóté de voire petit compliment aux militaristes vous auriez bien fait de rappelcr que Ie ministère catbo- lique a promulgué la loi de rénuméralion des miliciens, si appréciée par les families. Dans le nlénage d'un ouvrter 10 francs par mois c'est quelque chose. Ce sont la des roueries Irop usées pour tromper encore. En loule justice on pent vous appliquer celle parole la fin justifie les moyens. B LE CANDIDAT LIBÉRAL. II trouve natureflement sa place dans la harangue du Président. La scène revèt ici un caractére de tristesse indicible le découra- gementcoule a pleius bords;le Président lui- mème perd le fil de ses idéés el au lieu de continuer avec aplomb lesyslèmecommencé, il dévoile le fond de sa pensee. Enlrainè par la fotce de la vérité el les diflicultés de la situation, il avone naïvemenl la certitude de l'échec qui attend l'opinion libérale. Notons cel aveu M. Hyndorick n'a pas voulu que l'arrondissement pul perdre, saus luile, un siége dont il était en posses- sion depuis plus de 20 ans. II est done certain de le perdre avec lultc, M. Ie Président? Eucourageanl pour le parti liberal Le candidal lui-mème parlage cetle opi nion el ne s'en cache pas. Eeoutez l'ab- stenlion eüt élé une lacbelé, je dirai plus c'eül élé la suïcide de l'opinion libérale. Plulöt mourir en combattant. Ma is mou- rir il lefaut. Allons y gaiement. Avant de présenter M. Hyndericka l'Asso cialion liberale, le Président trouve conve- nable de verser un pleur discret sur M. le Baron Mazeman, a qui son élat de santé ne permei pas d'accepler un nouveau mandal. Malade et d'un Apiés M. Mazeman, M. Alpbonse. Malade encore, et de deux. La Gazelle disail vraitmaladcs MM. Boyaval el Vandeu Peereboom maïs plus malade encore le parti liberal! Aprés M. Alpbonseque samaladie empê- cbe de recevoir la deputation chargée d'une suprème démarche, on dirail un embau mement. M. Guslave de Stoers, M. le Président l'a oublié, mais le public pretend avec quelque raison que cel honorable cx-éciievin a oppose-aux sollicitations du comité un refus qui écarlail loule demarche nouvelle. Enfin M. ilynderick. Aprés quelques jours de reflexion, eet autre ex-échevin a consenti a faire le hévre du civet ou le lapin de la gibelolte. Maintenant l'élogedu candidal. M. Hyn- b derick n'est pas un bomme nouveau.... un inconnu. Président, vous avez raison. Ni a la ville, in a la campagne, M. n'est pas un inconnu. Demandez cela aux fei miers surloul ils en savent quelque chose. «II a fait parlie des administrations de Vlamerlinghe et b d'YpresII a fait preuve de zéle et de dévouement et de grandes capacilés admi- b nistralives. b C'est pour cela qu'en 1875 une coterie bien connue lui a signifié un congé en régie. Nous savons cette histoire. Continuous. Le candidal a la parole. Un mot d'éloge a M. Vandenpeereboom, l'hoin- me éminent, qui.... que.... dont.... Malade hélas! Puis il n'a pas ambitionué la candida- b turc; il ne l'a acceptée que par dévouement b pour le parti liberal, b Question de calaplasmc délersif et emol lient appliqué sur.... les diflicultés de la situation b. La profession de foi n'est pas nécessaire, aussi silence complet. C'est plus sur et cela ne compromet pas. On peul alors, dans ses courses-électora- les, faire visite aux curés et leur demander leur hpui Notre candidal, M. le Baron Surmonl, n'a pas caché ses opinions. II a dit ouverlemenl ce qu'il était. Ent re cetle franchise el ce silence le corps électora'. n'bésitera pas. LE BOUQUET. M. Ferdinand de Stuers, Qu'on ne s'attendait guère A voir surgir en cette affaire, s'est chargé de Ie fournir. Ses paroles méri- tent les honneurs de la reproduction. Messieurs, dit il vous savez que les b Associations 11 bora les deFurnes et d'O.sten- b dem'ont choisi pour leur candidal. Soyez b persuades que ce n'est qu'après bien des b hesitations quej'ai pu me décider d accep- b Ier un mundat législalif(petit fat qui croit déja le tenir,) dans un autre ar- b rundisseineni que le voire. b Cette repugnance je n'ai pu la faire lai- b re, que lorsqu'on m'a démontré que ma b candidature pouvail conlribuer au tripin- b pbe de l'opinion libérale, b Notons en passant que c'est un ancien as pirant catholique au commissariat d'Ypres qui parle! Permellez inoi done, (out en faisanl des b ihvux pour Ie candidal syrnpatliiqhe que b vous venez dacclamer (trés-flaneur pour M. Ilynderick d'étre traité avec cetle désinvollure toute diplomatique) de b vous declarer que je me souviendrai en b louies circoiislances de mes amis poliliques b d'Ypres, et que, si je suis élu (il a rai son d'en douler) l'arrondissement b d'Ypres comptera deux sénaleurs au lieu b d'un. b Qu'en diront les élecleurs de Furnes el d'Ostende de se voir reuiés dés aujourd'hui par celui qui leur demande un siége au Sénat? Diplomatie et mystére. «De plus. Messieurs, comme j'cxerce a b Ypros mes droits élecloraux, je viendrai le b 11 Juin donner moti suffrage a M. le cbe- b valier Ilynderick. b Diplomate vous avez raison. Le chevalier en aura besoin. M. le Président s'est liaté d'expédier M. de Stuers avec accompagnement de vceux et promesses d'appui. Bon voyage. Ajiiés cela on a fait un essai du nouveau mode de votation. Le l'rogrès n'en fait pas connaiire le lésultal. M. Ferdinand Merghelynck s'est tu malgré les papiers in-folio dont il était porteer, et M. Désiré Vanden Bogaerde, un oraleur lo- quace des années précédentes, a gardé le silence. l.a séance était levée a Gfieures. N'ous croyons que cela manquinl de mu- siqui'. SITUATION ELECTORALE DE L'ARRONDISSEMENT. De tous les points de l'arrondissement nous reccvons les meilleures nouvelles. Jamais election n'a été préparée avec cel entrain cl cetle unamité d'aclion. L'ardeur. mème l'e'nthousiasWve se rencon- trenl parloul. Jetidi, tont le canton de Wervicq élait ac- couru a un meeting préside par M. Vander- meersch Traneel. La parole y a été succes- sivement porlée par M. le Bourgmeslre, par M. le baron Surmonl et par M. Siruye, repré sentant. L'espace nous manque pour rendre coinp- te de cette séance ou le patriolisme el I'esprit religieux de nos populations sesont mamfes- les de la mamère la plus énergique. On y comptait plus de deux een s élècteurs, [larmi lesquels un lies grand nombre de notables des villes et des communes dn canton. Uier, Y'endredi, une réunion encore plus importante, des cantons de Poperinghe et de Rouabrugge, a eu lieu au nouveau local du Cercle catholique de Poperinghe. Lu fou- le des élecleurs iemplissait tous les salons et le vestibule, elle débordait jusque dansles jirdms. M. Cli. Devos, conseiller provincial, présidail l'assemblée qui ne complail guère moins de 400 membres. On y remarquait les hommes les plus influents et les mieux posés des deux cantons. M. le Président, M. le ba ron Surmonl, M. Siruye, représentant, M. Benen, représentant et M. l'a vocal Collaert y prirent tour a tour la parole, lis l'urenl a tous moments interrompus par les applau- dissements enthousiasies de l'assemblée. Ja mais pareille réunion electorale n'eut beu dans l'arrondissement d'Ypres. Courage, persévérance, saus relache jus- qu'a la derniére heme. Vive M. SUR MONT DE VOLSBERGI1E SOCIÉTÉ DE LA CONCORDE. EXTRA-MOROS. Programme des morceaux qui seront exécu- tes le Dimancbe, 2 Juin 1878, a 0 h. du soir, par la musique du 2U Reg1 de bgne, sous la direction de M. Ed. Siniar. Le petit due, marche militaire, (Lecocq). Ouverture de l'op. la Siréne, (Auber). Rosina, bolero, (Labory). Fanlaisie de concert, (Vanperck). La filleule du Roi, fanlaisie, (Vogel). Die tnnzlustigen, valse, Labilski. (En cas de mauvais temps,, ee programme ser- vira pour le concert du 23 courant.) Carte de la Belgique Politique D'APRÈS I..V NOUVELLE LUI ELECTORALE, DRESSEE FAR ARTHUR LAURENT, Góomètre et Ingénieur Civil (Rozez, Editeur a Rruxelles). Nous recevons uu exemplaire spécial, dédié a la Presse Beige, d'une Carte de la belgique, d'une actualité marquante; en effet, cette Carte divisée en 41 arrondissements, renseigne trés-clairement dans cbacun d'eux, les norns des membres des deux Cliainbreslesquels noms sont imprimés en 3 couleurs, suivant l'opinion politique a la- quelle ils appartiennent. Un plan d'une nouvelle salie électorale (dito couloir), ainsi qu'un fac-simile du nouveau bulle tin de vote, soint joints a cette carte. Un tableau spécial indiquant Ia composition des Cbambres avant et aprés les élections du 11 juin 1878, l'ait voir immédiatement quels sont les membres des deux Cbambres soumis a réélec- tion en 187S-18S0-1882. A cóté de ce tableau flgu- rent 2 colonnes destinées a étre rempiies par les porteurs de cette carte, au fur et a mesure qu'ils auront connaissance des résultats du scrutin du 11 juin, de manière a connaitre sur le champ la composition future des nouvelles Cbambres. Les personnes qui s'occupent peu de politique, comme celles qui Tont a coeur, y trouveront des enseignements intuitifs qui lie manqueront pas d'intei'resser tous les Beiges et méme les étran- gers. Le prix (50 centimes) rend cette carte tout-a- fait populaire. En vente chez M. Vanderghinste-Fossé, Libraire, rue au Beurre, 66, Ypres, BIBLIOGRAPHIE. (10,50 fr«. franco par an). SOJIMAIRE DU N°. 30. Gravures Le Palais du Trocadéro. Temps pluvieux, d'aprés Miss Edwards. Monaco. Le Viaduc. Un Coin de Jardin de Monte Carlo. Un Drame sur i'Eau. Texte Nos gravures. Une Partie de Campagne. Voyage d'un Prince allemand en Belgique en 1613. La Mode a Jerusalem. Toilet te dés Dames Israelites. Le Temps, la Peine et le Plaisir. Le Crime de Tolumont, par un Magistrat liégeois. Trois Vautours pour une Colombe, Roman. ILe JSIsaséc cEas «St-assse: Age. (4.25 frs. franco par an). SommairÈ du N°. 9. Gravures Une Orgueilleuse. L'Hóritage d'une Mère. Ainsi, ma iille, c'est vous qui êtes la ménagére actuellement... Une Esca pade qui li uit bien. Jeune Homme, tout est done décidélLucile et sou Favori. Texte: L'Orguéilleuse. L'Héritage d'une Mère. Une Escapade qui fluit bien. 'Pour lés jeunes Observateurs. Quelques détails sur les Horloges. Les Gourmaudes. ON S'ADONNE au BUREAU DU JOURNAL. van de A. W 6ïe3ESS^51lg' .13 EEN GROOT EN GERIEVELI.JK mm TE HOUTHULST-GLERCKEW, op 10 JUNI 1878, zijnde 2C Sinxendag, Bilmie Asstais-** C© li A BRUGES. d'une belle et vaste de construction récente, AGRÉABLEMENT S1TUÉE EN LA COMMUNE DE S t tï «3 i e ai VAN DE TE YPRE. cx>C{gooo Gemeente lamertingiie, Wyk Krommen Eist. TE VERKOOPEN IN EENE ZITTING. -SS «ScaiEa 1en 2 uren, in d'herberg Sl Laurens, te Ypre, A COMINES. (Belgique), LES DEUX COUPES E.N 13 PARTIES, s'sie «ie JLilBe,

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3