SCHOON HUIS HOUTWAREN, HOFSTEDEKE MEUBELS, A A I G R A S HOFSTEDE DE TEBRE OVERSLAG VRUCHTEN TE VELDE, TE ZONNEBEKE. ALLERHANDE MEUBELS, SCHÖGNE VENDITIE fta,j- 40 HECTAREN ALLERBESTE I,HIGHS, Ü'iNSTRUKNÏS AHATOIRES CHRONIQUE RELIGIELSE. BULLETIN POLITIQUE. AVIS. Caisse des Propriétaires. Agent a Ypres M. A. Vfiiick-t'icuiciit, Banquier, rue de TEtoile, N° 4. Variété:». NECROLOGIE. Deze venditie za gewooue voorwaerden betaling geschieden op en tyd van 0, mits stellende goede en sol vabele rnedekoopers, betaelbaer ten kantoore'van den Notaris ELLEB0UDT, te Langemarck verblyvende. ten 4 uren namiddagter berberg dln Olifant, in de Dixmndestraat binnen Ypre, aan de oostzijde der Rysselstraat N" 159, binnen YPRE; Bewoond door den beer Vanliyhem Maar ingesteld 5,100 francs. Door 't ambt van den Notaris van- DERMEERSCH, te Ypre. Ook inlichtingen bij den Notaris sursan, te Wevelghem. Studie van den Notaris MAHIEU, .Tlaciiilitfs fn July IMS, 2 uren nanoen, OPENBARE VERKOOPING EN BEESTIALEN waeronder eenen zeer goeden Muil met barnassure, zich bevindende op bet grocnselhof gebruikt door de broeder en zuster Vlaeminck te Ypr.e, St-Jacobs, by de Lamezarde. Tyd van betaling, mits borg. Openbare verknoping TE BOESINGHE. ZATERDAG 29 JÜNY 4878, om 2 uren juist namiddag i,c beginnen zal er ter bolstede van den heer Alois, Desegher-Slruyve, te Boesinghe-plaets, openbaerlyk verkocht worden de na volgende iloulwaren, te weten Eene groote hoeveelheid gezaegd Hout; Slakitstakengezaegde Iepen gespannen; Eiken Stukken van 6en4; gewaterde Eiken Langwagens; zware gewaterde Kepers eene groote hoe veelheid Bard; Iepen en Eiken stukken Hout van yerscheide lengten; mitsga ders veel Brand hout en meer andere Houtwaren veel te lang om alhier aen te halen. De vergadering ter hofplaats. Openbare vi-rikoopiiig EN ZAAILAND, De Notaris D'HUVEïTERE, verblij vende ie Zunnebeke, zal op de hierna bepaalde dagen open baarlijk le koop aanbieden 1" Koop. Een schoon Hofstedeke, bekleed met woonhuis, schuur en stalling, gelegen le Zunnebeke, in den Westhoek, cad. L), nus 3ü9, 81U, 312, 313 en 314', groot omtrent G2 A. 2" Koop. Eene goede partij Zaai land, gelegen nevens vuorgaanden koop, cad. D, nü 314'"% groot 51a. telkenmale om 4 ure namiddag, ter herberg de Koekuit, in den Westhoek, te Zunnebeke. 4/2 ■Instelpewiingen le winnen. centiaren, sectie D, N°" 601. 602, 606, 607, 608. 609, 640, 641, 642 en 619. Gebruikt en bewoond door de mede- verkoopster We Ilenri Liefonghetot 4" October naast 4878. B. Op MAANDAG 22 JULI en DINSDAG 23 JULI 4878, telkens om 9 uren 's morgens, te Rousbrugge-Haringheter hofstede en medegaande landen gebruikt door vrouw de weduwe van sieur Angelus Top MERKWEERDIGEN KOOPDAG Akkerallaam, Zool en Wagenar- nascb, drooge Fourragien, Bees- tialenVeldvruchten en meer andere voorwerpen. C. Op WOENSDAG 24 JULI 4878, om een ure namiddag, ter hofstede gebruikt door de weduwe en kinders Henri Lie/'ooghe, te Watot;, wijk de Pauw, fschooüc vniiHtir Akkerallaam, Zool-en WagenarnaSch, Beestialen, Veldvruchten, enz. En D. DONDERDAG 25 JULI 4878, om 4 ure juist namiddag, te Watou, nabij liet RoozendHalter bolstede en medegaande landen gebruikt door de weduwe van Corneille Verwaerde, 3 hectaren Tarwe, 4 hectare 50 aren Roonen, 1 hectare Haver, 45 aren Erwten, 50 aren Vlas, 50 aren Aard- Een tweejaarsch rouaande Peerd alsmede eenen goeden Wagen, twee idem Karren, Ploegs, Renooten, Eg gen, Kortewagen, llaalkarteel, enz. gf'T»-- N. 11. De 3koeien, jaarling, kalf, 3 groote en 3 kleine zw ijiis met, al bet, kuip-, keern- en akkerallaam en verdere menagiegoederen zullen latei' verkocht worden. Op gewoone voorwaarden en tijd van betaling, mits voldoende borg stellende, ten genoegen van den No taris CAPELLE, le Watou. V E R K O O I' I G hectaren N G om Studie van den VOTAIIBW VAtLUMK, te Dixmude. Op WOENSDAG, 3 JULI 4878, 3 uren namiddag, ter herberg de Dankbaarheid, OP ftlERCKEM - DORPPLAATS, KOOPDAG VAN op stam, binnen Merckem en Wonmen, verdeeld in 72 kodoen. KANTOOIl van tien Notaris C1A B*E<98iSiK, TE EL VEll DINGHE €9p Woensdag LS 'IW98, ten 4 ure namiddag, in de Warande en meei'ssehcu van M. tien Markgraaf d'Ennetières d'llustle Elverdinghe. Door het ambt van den Deurwaar der B3EYME, t'Ypre. Ktude de Me A. Op VRIJDAG 42 JULI 4878, om 3 uren namiddag, te Watou, Ier herberg het Ruozendaal bewoond door sieur Leopold benauwt, LICITATÏE VERKOOPING ten overstaan en bijwezen van be voegden heer Vrederechter, van Gemeente Watou inhoudende 3 hectaren, 32 aren, 60 4° JEU Dl 4 JU1LLET 1878, a 4 heures de relevée, uu cabaret le Boeuf, a Bas-Warnêton, ADJUDICATION A LABOUR, section A, numéro 373, occujiée par les frères Casier, au ferruage annuel de 240 IV. outre les contributions, avec droit jusqu'au 4' Oetobre 4884. Mise-a-Prix d 7,200 [r. 2Ü LUNDl 45 J UIL LET 4878, a 2 heures de relevée it la ferme J-H c Vandelannoitte, a Zan tvoorde, VENTE PUBLIQUE ET RECüLTES, eonsistant en Blé, Seigle, Avoine, Fèves, Puis, Foin, Lin, etc., etc. --- mal commis, un désaboiinmnent a une feuil- |e impie. On ne réfuie pas pareiUes billeve- sées, inais il peut éire utile de menner que ceux des ennemis les plus ardents de l'E^lise, qui se piquenl un peu de logique et de bon sens, se sèparenl sur ee point de leurs eoni- pumgs, et ri fonnaissenl Ie droit strict du eonfesseur. Voici, par exeinple, ee que re- pond M. Francisquc Sarcey, a un ami (|uise plaignait d avoir vu refuser ['absolution a un mouranl entèlé a ne se se point repenlir Mon correspondant, qui a de sa personne as- sistó a la cérémonie, exhale son indignation en plaintes amères. A quoi servent ces recrimina tions Le prêtre n'est-il pas seul juge du sacre- ment a conférer doit-il conipte de sa resolution it d'autres qu'a ses supérieurs et a Dieuf Je ne chicane point sur les eirconstances du récit; je le tiens pour vrai en tous ses détails, bien qu il cönvienue de se détier quelquefois un peu de 1 i- jnagination ardente des méi'idionaux. Ce curé a refuse de se rendre a la prière d'un rnourant. Que youlez-vous que j'y fasse? Du moment que sa conscience le lui défendait, il était dans son dioit strict; car pour ces sortes de choses, il ne relève absolument que de sa conscience, saul approba tion de son óvèque. La sociótc laique reste désarmée contre ces scrupules. Ce serait du dernier ridicule a elle de dire au prêtre: Vous allez m'absoudre eet hom- rue-la, et me l'envoyer au ciel, siuon, gare a vous!.... Tout ce qui est d'ordre purement reli- gieux lui échappe lorcément. File ue saurait ré - gier que les rapports cpii unissent la religion a Ta société laique. (h File s'arrète au seuil trois fois sacré du domainë de la conscience. Pnére a tons les libéraux, si vertueuse- ineut nidigtiés de se voir refuser une abso lution, qu'ils réelamenl sans conditions ni repentance, de inediier ces paroles de leur bon aiui Sarcey. habillés et instruits moyennant une modeste retribution. II a doté le même établissement de plusieurs propriétés qui donnent un revenu de 1,000 a 2,000 liv. par an. Enfin, on estime la for tune qu'il a laissèe it plus de cent mille livres, qui doivent ótre employées en bonnes ceuvres. C'est par son travail qu'il a réservé toute cette ortune. Le secret de sa richesse est done le tra vail et 1 économie. Mgr Agabios aiinait l'industrie des vers a soie il laisait travailier de norubreu- ses families de sa nation et partageait le produit avec elles. Avec ses bénéticos il a jeté les fonde- ments d'un des meilleurs diocèses de l'Orient. II laisse 30,000 piastres aux pauvres, plus l'éta- blissement de Bekfaya pour l'iustruction gratuite de ceux d'entre eux qui seraient disposés a cul- tiver leur esprit. II ne lègue rien a ses parents: tout pour ses ouailles, pour son diocese, pour les niouastères et pour les paroisses. ÉGLISE DE SAIXT MARTIN. Apostolat de la prière en l'honneur de Notre- Dame de Lourdes pour la conversion des pé- cheurs. Messe basse le Samedi 29 Juin, féte des saints Apötres Pierre et Paul, a 111/2 heures. Le congres a tenu sa cinquième séance et, d'après toutes les nouvelles reques, elle a raffermi l'entente. En attendant que les renseignements soient plus complets, lesjournaux de Berlin nous don- neut des détails sur les arrangements qui out été convenus relativement a la .situation militaire dans la nouvelle province qui va ëtre constitute entre la région des Balkans et la mer Egée. Comme la principautó de Bulgarie, cette pro vince aura sa milice nationale, indépendante de l'armóe ottomane, cette milice ne conservera d'autre lien avec celle-ci que ses officiers, qui seront nommés directernent par le Sultan. Celui- ci aura toutefois a tenir compte, dans ces nomi nations, de la religion de la majorité des habi tants formant la milice. Les troupes turques sont exclues de tout l'in- térieur, et ue pourront séjourner que dans les lorteresses des frontières, sauf, bieu entendu, en cas de guerre ou d'insurrectiondans ces cas, la souveraineté militaire de la Turquie redevien- dra entière. Telles seraient les conditions raises par la Russie a son acceptation des prbpositions du cabinet britannique. C'est assêz dire que si l'en tente est faite en principe sur la question bul- gare, il reste encore bien des points délicats a régler qui pourraient, a un moment donué, susciter d'assez sérieuses difficultés. C'est ainsi, par exemple, que sur la question des lorteresses do Schoumla et de Varna 011 n'est toujours point parvenu k s'accorder, la Turquie 11e voulant pas se résigner a les évacuer pure ment et simplement. Elle insiste pour obtenir, tout au moius le droit de tenir garnison a Schoumla. Sur ce point, les plénipotentiaires russes opposent une resistance énergique, et il est, en sornmefort douteux que le congres accorde a la Turquie ce qu'eile demande. La Caisse des Propriétaires érnel des obligations aux conditions suivaiitcs Obligations a 5 aiis, intérét 1|2 id. 10 u 4 ii|4 id. a prunes 4 1|2 éipnvalanl ii 5"|. avec la prime de remboiirsement. Pour obtenir les litres 011 avoir des renseigne ments s'adresser ii Jl. VONCK CLLMLNT, seul ayent de la Sociéle ii 1 pres. Les obligations de la Caisse des Propriétaires out 1111 double gage les hypothèques qui ga ra 0- lisseul les préls el ie capital he la Soeiété. Ee conseil provincial de la Flandre occidentale et la deputation des cantons de Bruges en parti culier si durement éprouvée depuis quelques années viennent de subir une bien grande perte par la mort de M. I'avocat IJ. Boutens, membre de la députation permanente. At. Boutens a rendu de grands et réels services a l'administration provinciale de la Flandre occi dentale; doué d'une grande facilité de travail, il aimait a s'occuper de toutes les questions qui présentaient un caractère contentieux et s'ac- quittait de sa besogne avec talent et avec zèie. On écrit de Beyrouth, 2" mai, au Courtier d'Orient que la eommunautó grecque-catholique a perdu, le 22 mai, son archevéque, Mgr Agabios Riachi, qui était agé de quatre-vingt-neuf ans; il avait cinquante ans d'épiscopat. La mort de Mgr Agabios est regrettée dans touto la Syrië et le mout Liban, paree qu'il répandait partout des bienfaits. Rustem-Pacha, gouverneur du Liban, et Raïf-Effendi, gouverneur de Beyrouth, étaient présents aux obsèques, ainsi que tous les consuls des grandes puissances. Pendant la cérémonie, des soldats et des gendarmes du Liban, des dra gons et des zaptiés se tenaient rangés devant l'église et dans l'intérieur, oü plus de dix mille personnes se pressaieut. Mgr Agabios fut élu en 1828 archevéque de Beyrouth; son évêché avait 20,000 piastres de dettes il les paya immédiateaent. Dans les cinquante ans de son épiscopat, il est parvenu a fonder la cathédrale et le palais de l'archevêehó de Beyrouth,qui lui ontcoüté plus de 15,000 livres turques. llafondó 48 paroisses au Liban, pour chacune desquelles il a fait batir une église et un presbytère il payait en outre les cures. Mgr Agabios laisse a son successeureu maisons magasins, jardins et moulins, une rente de 400 livres turques. II a fondé dans le village de Bakfaya uu séminaire et un collége pouvant contenir 25 élêves ecclésiasiiques et 100 é'èves séculiers de sa nation qui seront logés, nourris, Le Bulletin de VAcadémie nous apporte des rapports sur une note de M. Van Rysselbergbe, relative aux oscillations du littoral beige: Les oscillations de notre littoral n'avaient pas encore été vóritiées M. Dupont avait inénie affirmé dans la Patriu BeUjica la stabilité du sol de notre cóte. M. Van Rysselbergbe est arrivé a une conclusion opposée., D'après lts cotes de l'inondation du 2 janvier 1707 iudiquées dans uu mémoire de l'abbé Mann sur l'ancien Etat de la Flandre maritime, M. Van Rysselbergbe estime que le sol de la ville d'Os- tende s'est alfaissé depuis uu siècle de 1,06 mètre. II croit avoir décoüvert d'auires preuves de eet atl'aissemeut. Les cotes des basses mers aux vives eaux étaient avant 1830 de l"1,48, puis de 1"', 65, de 1"', 74. En 1866 on a pris lm, 88. Entiii un ni- vellernent de precision, opóré par ordre de l'ad ministration du Waterstaat, a fait voir, en rac- cordant directernent le zéro d'Ostende au Peil d'Amsterdam rapportó a Flessitigue, que le susdit zéro n'était plus a l1", 74, ni a 1% 88, mais a 2m,44 au-dessous du Peil. Ce dernier nombre, véritlé par le dépót de la guerre, peut étre considéré comme exact pour 1«72. M. Van Rysselbergbe, quittant la ville d'Os tende, est frappé surtout de l'inégalité de l'éro- siou le long de notre littoral. Tandis qu'en cer tains points comme Nieuport, Knocke, les dunes augmentent d'année en année, ou tout au moins se couserventen d'autrescomme Albertus, elles ne cessent de dépérir. Ce phénomène s'explique très-bien, en admettant que eertaines régions s'abaissent, tandis que d'autres s'élèvent ou restent flxes. Les transports de sable, deter mines par les courants, les vents et les vagues, ne sont pas assez aboudants pour maintenir la dune, si celle-ci descend lentement dans la mer. M. Van Rysselberghe a dressé une carte du littoral et de l'Escaut, sur laquelle il a tracé la limite des allusions marines d'après Dumout, et la courbe de niveau de 5 metres, d'après le dépot de la guerre. La première marque jusqu'oü les Hots inondèrent jadis nos provinces maritirnes; la seconde indique jusqu'oü les tlots viendraient de nos jours, si la mer rompait ses digues. Les deux lignes coincident dans les environs de Dixmude et de Furnes a partir de la, elles s'écartent de plus en plus, et a l'est de Bruges l'écart dépasse 7,000 metres en distance horizon tale et 2 metres en hauteur. L'allure générale de ces lignes fortilie la pré- somption que nos rivages subissent un affaisse- ment, qui va en augmentant depuis Dunkerque jusqu'en Hollande, pour atteindre son maximum vers l'embouchure de l'Escaut. Get atfaissement. du reste, est loin d'etre régulier. La classe des sciences de l'Académie royale de Belgique a contesté quelques-uns des chifl'res donnés par M. Van Rysselberghe, surtout ceux qui nous viennent du siècle dernier, et n'a pas déeidé si les arguments donnés étaient probants. elle a fait remarquer, en outre, que la courbe dë cinq mètres n'a pas été fournie par l'observation directe. Co n'est, dit le rapport de M. Liagre, qu'une courbe d interpolation, qui peut-ótre ne renferme pas un seul point appurtenant au róseau du nivellement topographique de notre pays. Or, dans une région aussi plate que l'est celle de notre littoral, une difference de niveau de quel ques décimètres peut déplacer la courbe de plu sieurs kilometres. La classe a done dócidé qu'il y avait lieu de faire un grand travail de nivelle ment organise d'après un plan tout spécial. L'N l'ARALLÈLE. Ii n rsl pas rat e d entendre les libéraux exalter en guise d'arguineiil Ie devoueinent des iiiédrciu, libres-penseiirs el de les représcntei' comme des types d'abliégalion el d'héroEuie. l.a Gazette iie France s'est l'aiiguée de voir sans L-esse employer cetlc rettgaiue, el elle vteul de se dunner la saiisluctiou de rauieiiei ii ses jusies proportions le zcle inédical. Puur y arriver, la leiinie parisieiine met eu paranéie le niédecin maleitJu.de cl la sueur ile eharué. Ou lira avec nileiêl ee parallèle spirilueUemenl trace el d une grande upporluiiilé chrz nuns aussi bleu qu en France A Dien ne plaise, dil nulre conlrère. que nous méeunnatssious ie devourment de messieurs les docteurs, uièiiie de ceux qui sunt maléi ialisles, maïs lis nous perinetfrout bien de du e que leur désuuenient n'est pas absulumeul gratuit. Savants, ils siuleresscnl au progrès de la science, ee qui est tui admirable slliiiulaul; du reste, ia peine qu'lls se donnent el les dangers qu'lls peuveiU courir les aident ii se laire uu uoin, et un médecin qui s'est fait un uom n'est pas un homilie ii plaindre Un l'adinire dans les juiirnaux cl on le glorifie dans les lainilles. Ou l'atlend comme un Messte, 011 I'écoute comme 1111 oracle. II est choyé, félé, euguiiJandé, coniit, bérii, deinandé, coinblé de bons procédés et de confitures, mis dans du colon et placé sur 1111 piédestal on le caresse avec des intonations cauties el un le gronde avec de char mants sourires; on l'appclle «diermin» 011 «vilain docteur, el s'il dotl péuétrer dans quelques affh- geanls mystères, ii couibteli de frtauds secrets ue sera l-il pas inilié!Lhumauité qu'u unit paree quelle a de plus cher, sa santé, dismie pen le prix des services qu'il reud uu qu'il seinble rendre. II bénéticie (cela soit dit sans une ombre de reprochv) de tons les. mailleiirs des pauvres mor- leis. Une plitisic galopante iui a valu celle magui- fique pa lie de pui saug; une Üèvre typlioide lui a valu ce landan bleu de ciel. Cette garniture de ckeuiiiiée, c'est une péruontle aiguë. Ce service de vieux Japon, c'est uue gaslnle. Cellé tenture des Gobelins, c ol une névralgir, etc. Kt i hetiieux docteur tröiie a I Académie, porie des brochettes de decorations, mange de, n ulles el marche ii la gjotre maïs les pauvres süeurs de chartié ne mireut ru n dés uu ères humaines qu'un grand mérite aux yeux de Uien Elles sont un peu mollis Inni nourr.es que les pauvres ouvners, porleui des véleinnits qui sont coiuiue des clliees, allroiitenl tous les dégotils, surinoulciii loules les lépugiiauceset cela graluilemnil, saus uu sou He reeuinpcusc. T'rou- vera-t uil des iiiiiriiuères laïques ii ces comiilions- ia Le conseil de siirveiuauce de l Assi-lauce publique n'est pas de cel avis. Con-iiile sur ce potui, il a chargé plusieurs de ses membres d'élti dier la question et de présenter un rapport. Ce rapport conclnt dans les termes les puis lormels, au inaintien des religieuses cl ii l'excliiMoli des infirmières laïques. D'après les personnes compélentes, les infirmiè res laïques pourraient être obliyutoiresmats yra ta ites, non. L on pense qu'elles coiïteraieiit cher. Au surplus, ou les a vues li l'ceuvre sous la lorme de garde inatade, ii taut la joiirnee. Deux grands ousel vateurs de l'huiaauile Henri Jlonuier et Charles Dickens, nous en out tracé de cocasses el lugubres portraits, l'uii dans la Garde mulude, l'aulre dans le meilleur chapitre de son Martin Cltuzzlewilt. Ou s'accorde assez généralenienl ii plaindre les pauvres diables de malades qui lombcut entre les mams des infirinièies laïques: encore nc sont elles pas ubliyuluiren D'atlleurs, toutes ne soul pas libres pensrusts. Nous avous vu des libres- pt-nseuses oruées d'inimoiTelles rouges, aux enter- Icuienls ctvils. Le ci-devatil üieu uous préserve de ces luilsolalrices itlieux vaudrait uiuiirir lont seul dans uu coin du moius I on pourrail prier Dieu saus rtsquer d'entendre ces cuistres femelles msulter la prière. ]Tlami<ta^ 1" *D 111 i IS?8, van een scastsgaCTTHMM rui' TruBtfcaM TE YPRE. VCVYl L.VNDBOU WERS WEUKTlilGEPi VAN eene zeer groote hoeveelheid (St-PlETERSDAG), VAN EEN INSTEL, Dinsdag 2 Juli i,o7o TOEWIJZING, Dinsdag 16 Juli j1lö/b' van VAN van van TE WATOU. NoTAIRE a CoMIiNES Wijk de Pauw, langs de Cappellestraat, EENE d'uu heet. 05 A. 84 C. SITLÉE A BaS-WaKNÊTON% ATTENTION!!! L Alliance horlogère 'a lianx de Fonds (Suisse) demande des agents dans tons les pays pour des articles d une vente lellemeiit facile que toule per sonne intelligente, li.uume ou dame. poui ra dans ses luisirs se gréer un revenu qui peul dépasser 1000 francs. Affraucliir avec timbre cl? 25 centimes I»,

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3