Si. (Tautreparl, c'est aux vceux religieux que M. Van FJumbeeck compte s'en prendre, en les déclarant incoinpalibles avec la pro fession de maiire d ecole, alors une admi nistration communale a le droit de prendre la rnéme mesure a l'égard d'an insliluleur membre d'une loge ou d'une association li bérale. Ou le droit pour lous ou le droit pour personne. INSTRUCTION LAIQUE. Toute la presse fait remarquer I'inulilité des nouvelles écoles moyennes que M. Van IJumbeeck compte créer dans tous lescbefs- lieux de cantons, en nous soutirant dans ce but une somme de 20 millions. On se demande en vain a quoi pourront bien servir ces établissemenls, dont le be- soin nese fait nullement sentir. Par tout le pays, les écoles moyennes voient se fondre leur population. Nous u'a- vons pas sous les yeux les chiffres officiels, mais I 'Echo de Dlamur publie ceux de sa province, et ils soul loin d'étre brillants. La diminution en 1877 a élé de 15 élèves sur l'exercice précédent a l'école moyenne de Namur, de 13 a celle de Dinant, de 5 a celle de Philippeville, de G a celle de Fosses, de 4 a celle de Couvin, de 35 a celle de Roche- fort, de 1 a celle d'Andenne; partoul en un mot il y a eu décroissance [dus ou moins forte. II y a done dès aujonrd'hui trop d'écoles pour la population, et c'est dans celle situa tion que M. Van llumbceek rève de les mul tiplier encore On voit bien dans tout cela l'esprit de secte mais l'espril de prudence administrative nécessaire a un ministre, nous le eberebons en vain. Par la création de nouvelles écoles moyen nes, M. Van Humbeeck réussira peul-êlre a gagner quelques élèves, mais ce qu'd fera surtout, ce sera d'aceenluer la depopulation de ces établissement?. La population des 50 écoles moyennes existantes se réparlira dans les 154 autres que le cabinet se propose de construire, et ce serail manquer de sens coin mini que de supposer dans le nombre des élèves une augmentation suffisaute, nous ne dirons pas pour compenser ces pertes, mais supplement pour cmpècher les nou velles écoles moyennes. ainsi bien que les anciennes, de sombrer dans le ridicule. MILITARISME. Lv Journal de Brugesorgane ministè- riel, annonce pour le mois de Novembre-pro- chain, la présentalion d'un projet de loi créanl, a cólé de Tarmée, une réserve de 30,000 hommes. Les hommes appelés a former cette réser ve seront, dil-on, les gardes civiques ayant de 21 a 31 ans. On dit aussi qu'il y aura pour la garde civique un budget spécial. Un autre journal ministériel, et le plus oRicieux des organes ministériels, ÏEtoile, s'applique de son cólé a préparer l'opinion publiqne au service personnel obligatoire, comme en Prusse. Dans ce but, ÏEtoile cher- che a faire croire que ce beau régime que les bbéraux veulent nous imposer. a toujours existé. Le service personnel, dit elle, qu'on voit réintroduire partoul depuis les guerres de 186G et 1870, est-il une innovation ou sim plement un retour au systèrne primitif de recrutement? Pour la feuille olïicieuse, la réponse n'est point douteuse: Un écrivain militaire a constaté réeem- menl que le service personnel obligatoire florissait dans notre pays a l'époque des communes, et les partisans de ce systémede recrutement onl trouvé la un argument a l'appui de sa réintroduction en Belgique. L Elotle, non-seulement approuve l'argti- ment, mais elle le corrobore. Elle a dé- couvert en ilfet que le service personnel remonte bien plus haut, aux Carlovingiens, aux Mérovingiens; aux Visigoths. II y aurait beaucoup a dire sur la nature du service militaire a ces époques reculées, et ce n'est pas le lieu d'en parler ici. Ce qu'il nous sullil de constater, c'est que nous pa ie rons cher la lolie d'avotr rappelé les bbé raux au pouvoir. A moins qu'une opposition formidable et irrésistible n'éclate de touies parts, tous les Beiges seront soldnts, depuis 20 ans jusque 50, c'est a dire pendant la moitiéde leur vie. Et que dargent il faudra pour eiitrelenir une pareille armée! [Anti de CQrdro CA ET LA. Le ministère vient de poser un acte d'in- humamlé. li exclut le prèlre de la colonie des aliénés de Gheel el enléve aux malheu- reux les secours religieux qu'ils recevaient a l'infirmerie et en ville. C'est ia en outre une atleinte aux droits de l'aulorité communale. Ce fait d'intolérance paraitra d'autanl plus odieux que depuis 12 sièeles environ c'est le clergé, qui après avoir fondé l'établissement l'a fait prospérer d'une mauiére éclatante. Le cabinet marche vite sous le fouet des Loges. Les gueux veulent eiripècher les enfants d'appreodre les commundeinents de Dieu. Cela, disent-ils, doit être remplacé par la morale de lu raison. Eh bien, veut-on savoir oü méne la mora le indêpendante Un jeune gueux a étéarrèté pour avoir assassiné son aïeul et son aïeule dans le bul de les voler. Le crime a été commis dans des circonslances épouvantables. Le meurtriera avoué avec une jactance el une effronlerie incroyables. Et quand le juge qui l'inlerro- geait s'est essayé a lui faire compretidre l'horreur de ce double parricide: de la moraledit le brigand, c est très-joti! muis, tuut ca, royez vous, ca ne vuut pas une bonne c/iopine de vin! Les gueux deFurnes enlendenl d'une sin - guhére facon ïenseignernent obligatoire, lis avaienl invité M. Ilevard, procureur de la province, a faire sa joyeuse entrée a Furnes. O la Grand'Plaee ressemblail a une prairie: il fallait nettoycr cela. Aussi al on vu les élèves de l'école pri maire sous la surveillance d'un policier, in vité a arrachcr les mauvaises herbes qui avaienl envahi les rues el les places publi- ques. C'est la Putrie qui i ous apprend ce détail. Cette purification des places et des rues n'a pas empiété la joyeuse-entrée dn procu reur de lourner en un triste el mélancolique fiasco. Preuve: tretile-lrois maisons out illumine en l'honneur de M. Benard!!! II ne sera plus permis désormais aux gueux de compter sur le silence charitable des victimes de leurs calomnies préméditées. Si les gueux se soul enhardis au point de diffamer de la maniére la plus honteuse, c'est paree qu'ils se croyaienl sürs de l'impumté. Le Zondagblad de Grammont nous ap prend que les dignes rebgieuses de N'-der- brakei et de Rooborst inlenlent un procés en diffamation au journal bleu, Onpartij dige. Puisse le clergé, les rebgieuses el les re ligieux imiter a l'occasion eet exemple. C'est l'unique tnoyen de couper lé sifilet venimeux «aux bètes d'encreet autres inalfaisants du parli du progrés. Les giieux ne respeclanl pas la vérité, ne respectcnl naturellement pas la justice. Un agent de ('association bleue d'Anvers avail calomnié un honorable avocal d'An vers. Le calomniateur fut condamné a 4000 fr. de dommages-inlérèts. Les libéraux, qui s'imaginent avoir droit a l'impunité, se répandirent en recriminations conlre le tribunal et le condamné se pourvut en appel. Mal lui en a pris; car la Courd'ap- pel a majoré de 500 fr. les dommages-inlé réis prononcés en première instance. Par suite une iage ignoble dont le Pré- curseur se fait l'écho en ces tenues: Au dessus du tribunal et de la Cour, il y a le tribunal de I'opimox publque, et c'est a lui que nous en appelons. On connait ce tribunal-la: l'émeute qui casse les arrèts de la légalité; les pavés, les pillages, les coups de pöigrtard, les insulles des rues; les dilTamations des torchons; les Ongediertles A bus Malou! Eh bien! on doit étre fier d'etre condamné par ce tribunal-la, qui salit et déshonore lout ce qu d applaudil, soutient et encense. Une société ou tl serail permis d'accuser impunément la magistrature de se rendre coupable d'iniquités révoltantes mérite- rait detre adminislrée, jugée et réglée par les voleurs el les assassins. Les gueux voudraient imposer a tous la lecture de leurs journaux. Ils se fachenl en voyant les cathohqucs unis pour s'opposer a la lecture de ces produits malsains; ils lon- nent paree que le clergé prohibe celle lectu re: c'est, s'écrient-ils, un attentat a la liber- té! Eh, non, pas du tout! [.'attentat, c'est l'a- bus de la liberlé de la presse. La presse gueuse ne vit que de calomnies quolidiennes et, a son rez-de-chaussée, elle sert en pature des feuilletons immoraux qui tuent l'honneur dans Fame, qui flétrissent la société et les individus, qui conduisenl tanl de malheureux au suicide el a l'hópilal. Et l'on n'aurait pas le droit dejelerces ordures au fnmier et de prémunir les honnê- tes genscontre cel empoisonnement infame? On connait des gueux qui ont fail lire a leurs fils et a leurs filles cette littérature nan- séabonde. Et a cette heure ils pleurent amè- rement, lentement tnés par l'inconduile de ceux auxquels ils ont donné le pain de l'ir- rébgion el de l'immoralilé. Mais c'est trop lard. Le cceur est gangréné, les passions sont laehées en toule liberté. Le mal est accompli. Peut-il en èlre antreinent? C'est pour nous, c'est pour les calholiques un devoir impérieux de conscience, de prè cber la croisade contre la lecture des jour naux gueux. Mais c'est en mèrne temps pour nous un devoir aussi impérieux de travailler a la pro paganda de la bonne presse qui doit dire aux masses la vérité el leur faire eounaitre ce que cache le sacerdoce du journalisme gueux dans les colonnes quotidiennement éeriles pour corrompre et pour avibr. EDUCATION LAIQUE. Toute vérité n'est pa? bonne a dire. C'est possible, mais esl-ce toujours bien exact? En nachtuil certaines verités, ne fait-on pas [>ar- l'ois plus de mal que de bien? Ainsi débule une feuille gueuse qui dit au libéralisme les fort dures vérilés que voici: On aurait beau vouloir le cacher, si dans nos Athénées, nos Colléges, rios Uóiver- siles nous donuons une instruction plus solide que ne la donnent les jésuites, il fa ut avouer que, par contre malheureuse- ment, nous ne donnons pas aulunl de soins a Cédueution. L instruction, c'est lort bien: mais ce n'est pas tout. II faut y jomdre l'éducation si vous voulcz lairö des hommes complets, nou-settlement utiles, mais aussi agréables a leurs concitoyens; or c'est Id an cólé trop négligé duns nos écoles, je le dissans l'ard. Avec une mauvaise education, on fait aussi diCheilement sou chemiu dans ia vie que si on n'avail pas d'mslruclion du tout. Je dirai plus: sans education, quelque instruction qu'on ail recue, on [leut étre trés bien enlrainea ceque celle ci non-seulement devienne inutile, mais irième nmsible, a ce qu'eile aide a dégrmgoler de l'échelle au beu d'aider a la monter. L'éducation manquant, ori fréquentera des milieux dont elle est naturellement ban- nie; on se laissera aller a la vie sans géne; 1 is allures, le langage, biemöl les idéés, tout s'eri ressenlira, et l'on se trouvera fort éton- nè un jour si l'on n'echoue pas dans quel- ques cabarets borgnes de ne pouvoir, malgrè une instruction trés-solide, trouver accésaupiés des geus bien elevés; de voir sa carrière entravëe; de resteren route el de grossir la masse des meContents qui se plai- gnenl de tout, qui declarenl que tout va mal, sans se rendre compte qu'ils devraienl commencer par s'en prendre souvent a eux- mèmes. C'est ce que les pères de familie savent fort bien. Tel père hbéral se dira: Envoyons nos fils chez les jésuites. Ils en sortiront peut-èlre moins instruils, mais du moins, ils auront recu une education qui leur per metjr a de faire figure duns le monde. Quant aux idéés lausses qu'on leur aura donnees, je me charge de les modifier! Quoi qu'il en soit, le défaul que nous signato/is est êoident. En général il y a exception, les professenrs de nos grands établissemeiils sont souvent plus préoccupes de donner leurs cours scolaires ou scientifi ques que de soigner l'èducution des mar mots ou des jeunes gensqui leur soul coufies. Hts we considèrent pas que ce soit leur mission, el ils out lort. La laehe est rude, je le sais bien, mais elle mérite qu'on Centre- prenne. II fant bien le dire, elle est d'autanl plus rude que l'éducation en général laisse beau coup a désirer partoul en Belgique et qu'il y aurait une réforme générale a faire. Mais enfin, si rude que soil la besogne, tien n'empèche de la leuter. Et si l'eïïet né se lait pas ressentir immédiaietnent, prépa tons y du moins les généraliops futures. S'gnalé aux meditations de M. P. Van Humbeeck, ministre de instruction, publt- que. Encore un pas en avant. L'Etoile annonce que le ministère a décidè de proposer aux Chambres la revision de la loi de 1842. L'enseignement religieux sera exclu du programme, mais il pourra étre donné en dehors des heures de classe. La seule diflicullé qui arrète encore le gouver nement serail le point de savoir si l'ensigne- menl religieux pourra èlre donné au local de l'école. Ce qu'on demande surtout, dit ÏEtoile, c'est que la religion soit exclue de l'enseigne- ment. C'est-a-dire, pour employer une expression de l'élégant monileur anversois dé MM. Van Humbeeck el Van Camp, que les enfants se ront élevés comme des pourceaux. Cela peut en faire d'excellenls bbéraux, mais en lout cas de mauvais cttoyens. UN SCANDALE INOUI. Jusqu'ici nous avions eu des minislres gueux violanl la loi par omission: aujour- d'hui voila M. Rolin qui, non content de re- lever les gouverneurs, reléve même les lois par simple arrèté. C'est trop d'outrecuidauce. Un arrèté royal casse la délibération par laquelle le Conseil communal de Jette Sainl- Pierre s'é:au cónformé au décret de prairial, concernant la division des cimebéres par cubes,' el impose a cëtle commune calholi- que la promtscuilè des cadavres. Jusqu'ici un des grands arguments de nos gueux pour jusbfier les abus du pouvoir des fonctionnatres communaux en manère de cimetiéres, était que le bourginestre, ayant la police du champ des morls, décidait sou- verainemenl les questions de ce genre. Voila qu'aujourd'hui ce syslème est ren- versé par M. Rolin. A moins toutefois que le ministère n'en- tende faire prévaloir administrativemeht ce corollaire nouveau de Partiele 6 de la Con stitution décrétanl l'égalité des Beiges devant la loi: Les bourgmestres gueux sont omnipo- teuts; les bourgmestres cléricaux n'exer- cent leur pouvoir que sous le bon plaisir des gueux. Voici comment la Pa/rie apprécie l'arrêlé royal [lublié parle Monileur el cassant une decision de la députation permanente de la Flandre occidentale, blessante pour M. Hey- vaerl Après avoir élé violent, Ie ministère de- vient ridicule. Comme ou l'a vu, il fail inlervenir l'au- tori té royale pour apposer un emplatre sur l'amour-propte blessé du procureur de la province. Celui-ci ayant élé annoncé a grand iracas comme devant surveiller la députa tion permanente, elle n'a pas voulu ètre présenlée par lui au Roi et lors du voyage de S. M. a Bruges, ses membres se sont joints au conseil provincial, dont ils font parlie. C était leur droit; ils sont conseillers pro- vinciaux avant d'ètre membres de la députa tion permanente; aucnne loi, aucun arrèté, aucun réglement ne peut les empècher de parailre, dans une cérémonie publique, en cetteprem érequabté plutótqu'en la seconde. Que l'amour-propre de M. Ilevard en ait eté fioissé, nous le comprenons; mats qu'il se soil rendu ridicule, en exigeant que la députation permanente se blatnai elle-mè- ine, voila ce qui n'est pas a démontrer; et le ministère en épousant la querelle de sol amour propre du procureur provincial, a fail voir qu'il ne recule pas rnéme devant le grotesque, car nous le demandons en quoi l'inlérét général invoqué par le ministè re, est-il lesé dans celle affaire risible? El quelle sanction peut obtenir l'arrète royal qui ordorine a la deputation permanente de se meltre a la reuiorque d'un huinme qui n'a pas sa confiance? L'hommage a rendre au au Roi par les corps consumes, est une af faire de pure convenance, qu'on peul retn- plir, maisdont on peut aussi s'abstenir. Or, l'arrêlé royal, contresigné par l'absurde mi nistro de l'inlérieur, tend a rendre eet hom mage non-seulement obligatoire, mais a dé. terminer dans quelle forme il sera r^idu. Qu'arnvcra-l d a la suite ce ridicule arreie. Ou la deputation permanente ne pa- rattra plus aux receptions royales, ou elles'y présentera avec leconseil provincial, et dans les deux cas, l'urrèié restera nul el inopé- rant. Ce qui est certain, c'est qu'elle ne su- bira point les exigences par trop abracada- branles du procureur de la province, et mieux que personne, il sail dëja a quoi s'en lenir a cel egard. Si led11 arrèté n'étail pas ridicule au possi ble, nous disculerions la parfaite légnlité du [irocédé de la deputation permanente, qui n est présidée par Ie gouverneur que pen dant les séances, mais cette demonstration est inutile: le pays se moqueru du ministère ainsi que deM, Hevurd,et tout sera dn. Voici le texte d'une circulaire que M. ministre de la justice vient de faire adres aux administrations communales par les g verneurs de province. Elle révèle l'inte'nti de mèler la main de l'Etat aux choses plussacrées de la conscience el d'opérer vérilable retour aux pratiques inquisiloria de l'orangisme et du joséphisme A MM. les chefs des administrations cominu les de la province. Messieurs, Je vous prie de la part de M. le ministre justice, d'inviter les t'abriques des églises de communes a me renvoyer par la voie ordina de la correspondance reinpli et avec toute l'ex titude possible, l'état ci-joint destine a recav divers renseignements sur le nornbre et la na redes services religieux instituésau profit ces établissements. Je désire, Messieurs, que eet état me parvi ne dans un bref délai. Recevez, etc. Le Gouverneur g. ~-l I clo- §IS S'g a On voit, dit le Courrier de Bruxelle; que M. J. Bira donne suite a sa derniére cii culaire sur les honoraires de messes et qn ne recule pas devant les empiétements 1 plus absurdes pour traeasser le clergé. L lauriers de l'empereur-sacristain le privei de sommeil et l'ex-enfant de choeur de Tou nai nesera content que lorsqu'il ai',ra emp ché absolument les fondatioo^ de messi funébres. C'est pour lui un hesoin de disp ter aux morls les prières rpj'ils se sont assi rees. Le correspondant bruxellois de la Patr annonce que la placede rédaeleur du compt rendu analytique des séances parlementairt sera donnée a un journaliste gueux bie cotmu et agrcmenlée de 6,000 fr. d'appoint rnenls au minimum. L Association conservatrice de Bruges e assemblee du 14, a acclamé comme candida aux éleclious communales du 29 MM. Marlier, conseiller sorlant Van den Abeele, idem J. Fonteine, idem Chevalier Ruzelte, ancien gouverneur Ad. De Clercq, avocat P. Demonie, idem R. Fraeys, notaire C. Muuis, ancien tresorier de la ville; G. Kervyn Belvaux, propriétaire J. Strubbe, négociant exportatcur E« Van Steenkisle, docteur Oscar Van Houtryve, brasseur C. Verschelde, architecte et litléraleur T. Goethals, avocat. II serail difficile de dire l enthousiastv avec lequel ces diverses candidatures fure accueillies: celles des membres sorlnnVs de M. Ruzelte surtout furent l'ofijel (jt'ovi nous qui durèrent des minutes el qui témf gnenl des sympathies que nos honorabli conseillers et ceux qui s'offrent a partagi leurs travaux, rencontrent parmi la clast bourgeoise et travailleuse. {Patrie.) FRANCE. 1. election qui a en lieu dimanche a Paris, jwn le Conseil municipal, défrale la poléniique dctoi les journaux francais et élrangcrs. o s; o n o W H o 73 S O c cr 55 a> >3 3 o j 2 CD G> w Cb w Co CD CN. ot) "5h;2 CD, O 3" g 3 <D O 55 H W O K O ra ra a ra co

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 2