HUIZEN, 2 MEUBELEN, HUIS DEUX MAISONS M 0 B I L I E R EX TRAIT HE# (i BRIEF EN HÜISRAADSVOORWERPEN. T'YPRE. OPEXBAA RLjJK TE VERKOOPEM. TRÉS-BEAUX ORMES A COMINES, BELLE V01TUBE A 4 ROUES. 139 PEUPUERS DU CANADA, KOORH EN OLIE WINDMOLEN, HOFSTEDEKENS, Nous avons cité exactement elsansrélicences. La population d'Ypres a dimmué. Le Pro grès lui-même doit en convemr. II s'éveriue bien dans son numéro de Jeudi a cacher la réalité des fails. Mais inuli- lenient. A quoi servenl toutes ses dissertations snr la population de fait el sur la population de droit, sur les difficullés de tenir avec exacti tude les registres de population et la nécessilé d'un recensemeDl décennal pour determiner |e chiiTre exact des habitants du pays Pour- quoi se perdre en explications laborieuses sur la négligence des uns ou l'oubli des autres; parler des souffrances de Pindustrie et du commerce pendant les hu it annéesdu gouvernement des cléricaux, comme si de- puis le 11 juin et l'avénement de MM. Frère, bara, Rolin la reprise des affaires avail été brillanle Toules ces considerations a perle de vue ne sont que fantasmagorie. C'est de la poudre aux yeux, et non des preuves. II ne suffil pas d'embrouiller la question, la polémique ré clame autre chose. Quelque soin qu'il prenne de passer les clnllres sous silence, le Progrès se voit oblige d'en produire. II comprend que sans cela son article serail dénué de toule ap- parence probanle. Ne nous préoecupons pas de la po pulation de fait le Progrès n'admel pas celle-ci comme dormant l'état exact de la situation. Prenons la population de droit. Voyons ses chiffres, ils prouvent contre Jui et constalent une diminution. La ville d'Ypres avail en Juinl839, 15,426 habitants. 16,188 16,517, augment. 329 16,444, dim. sur 1856 73 (1846 673 15,515, dim.sur 1856 1002 (1866 929 Done depuis 1856, il y a diminution de population. Au 31 Décembre 1876,Ypres étail relombé, a 89 habitants prés, au chiffre de Juin 1839! Que la diminlion ne soit pas de 2,000 ames, d'aprés les dires du Progrès, peu im- porle; il y a diminution et diminution con stante depuis 20 ans. Si nous voulions comparer celle situation avec celles d'un grand nomhred'autresvilles qui iPavaient que l'importance d'Ypres il y a 20 ou 30 ans, et mèmeavec maint village, nous aurions beau jeu. Ce travail nous le publierons sous peu. On pourra voir alors ce que notre ville devient dans le mouvement général. C'est la décadencc. La diminution de population est un des prtmeipaux signes de Ia décadence. Le Progrès cherche a faire croire que la diminution provient du départ denombreu- ses families pauvres immigrées pendant les années 1843 et suivanles. Telle n'est pas la cause unique. Si les families pauvres nous quiltent c'est qu'elles ne trouvenl pas a Ypres il'industrie qui leur donne du travail, ou le commerce qui leur permei de gagner leur pain. A cóté de ces emigrants d'aulres sont par tis. Toutes les classes de la société ont fourni leur contingent. Les grandes villes ont altiré les uus, les bureaux des administrations ont tenté les aulres. Ypres decline, a quoi serl de le nier? Ypres,pour sou malheur, a été régie par une coterie. Elle est aujourd'hui livrée a des élé- menls qui s'enlre delruiront quand l'habileté et l'intrigue seronl devenues impuissantes a les diriger. 31 Déc.1846, 31 Déc.1856, 31 Déc.1866, 31 Déc.1876, .Nous apprenons que Monsieur Eugène Struye, qui a été violemmeiH attaqué dans les derniers numérosdu Progrès, vient d'a- dresser au Progrès une réponse a ces atta ques injustes et déloyales. Variétés. Par jugemont en date du 6 novcm- bre dernier, le tribunal de le instance d'Ypres, siégeant commercialement, a déclaré en état de faillite le sieur Henri Vancollie, colporteur a Vlamer- tinghe, fixant l'ouverture provisoire au 45 septembre dernier. Le mëme jugement no mme M. Messiaen juge commissaire et Me. Gravet, avocat curateur a cette failliteordonne aux créanciers de faire au Greffe dudit tribunal, la déclaration de leurs créances avant le 22 courant; dési- gne le 6 décembre procbain, a neuf heures du matin, pour procéder, au palais de justice, a la cloture du pro* cès-verbal de véritication des créan ces; fixe le 20 décembre suivant pour les débats sur les contestations Pour extrait conforme GRAVET, Av'. BURGERSTAND VAN YPEREN, HOMIWELiYIARKT. SUCRI0EN MARKT. rga Sis S z g I I S II i I I i II I 1 I I I I I I I Sfl I 111(11 I I III) o I I .1 a o p 5 I li II II' i I I I c z s I I i I g I «MIMI I I S II II I I |P r=pc. EF-Ke' - 0 S3 I I I I KANTOOR Viiii den Notaris Feys, te Proven. MAANDAG 11 NOVEMBER 1878, ten 1 ure namiddag, te Westvleteren-dorpplaats, ten sterf- huize van de weduwe Demerre, sohoone koopdag van Tijd van betaling mits borg. BY STERFGEVAL. Oiiciibtii'c ^erkoopini INSTEL mei premie, DONDERDAG 14 NOVEMBER 1878, ten 2 1/2 uren, in 't Brouwershuis, t'Ypre, van Doorgangstraet. 1" koop. Een HUIS met Peerden-, Koeien- en Zwynenstallengrooten Haelput, verdere gerieflykheden en medegaende Erve, geteekend n° 7. Verpacht aen sieur Charles Segers, ten pryze van 264 fr. 's jaers. 2n koop. Een HUIS en Erve getee kend n° 5. Bewoond door Moerman, aen 81/2 francs te maende. Neêrstraet. 3" koop. Een onlangs herbouwd HUIS met Erve, n° 5. Gebruikt door Cherchié, aen 17 fr. te maende. Langs den steenweg leidende van de stad naer den Kalfvaerd. Dry nieuwgebouwde HUIZEN, zeer kloek en wel gemaekt, met mede gaende Erve, geteekend nos 33, 31 en 30, bewoond door Henri Ameloot, aen 12 francs, Adolf Tourlouse en zusters, aen 13 francs en Henri Hoste, ook aen 13 francs, al te maende. Verdeeld in 3 koopen, De Notaris LAMBIN is gelast met de veiling. STUDIE van den Notaris VEYS, te Vlamertinghe. Genaamden Notaris zal overgaan op DONDERDAG 14 NOVEMBER 1878, om 12 ure 's middags, ter hofstede gebruikt door Léonard Wittouck, ge legen te Vlamertinghe, bij de plaats, tot de verkooping van flö koopen zicare Iepen, Abeelen, Eiken, Esschen en Popidieren B00MEN. ten dienste van BAKKERIJ, Een HUIS, ten dienste van bakkerij, aan de oostzijde der Hondstraat, n°53, binnen Ypre. Bewoond door sieur Vandewynckel- Duyck, met recht van pacht tot ln Januari 1880, aan 462 fr. bij de jare, boven de belasiingen. Ingesteld 8,125 francs. HEW «VESSSEAG WOENSDAG 20 NOVEMBER 1878, om 3 uren namiddag, ter estaminet de Getemde Leeuwen, op de Botermarkt, binnen Ypre, door het ambt van de Notarissen VAMDERIVJEERSCH en LAM BI N te Ypre resideerende. WEIDE, ZAAILAND E W HUIZK9T, TE VERK00PEN BINNEN YPRE, in ééne BEVEREN, by Rousbrugge. le" Koop. Een schoon en goede WEIDE, groot 97 aren 90 centiaren, te Beveren, bij het Dorp van Rous brugge, langs de S' Thomas of Clytte- straat. Gebruikt, zonder pacht, door de weduwe van sieur Charles Desmedt, aan 140 francs bij jare boven de belastingen. ROUSBRUGGE-HARINGHE. 2" Koop. Eene par tie ZAAILAND, groot 63 aren 90 centiaren, te Ila- ringhe, oost van het dorp van Rous brugge, langs de hooidreve. Gebruikt door sieur Marinus Lief- ooghe, tot 1" October 1882, aan 100 francs bij jare, boven de belastingen. POPERINGHE. .3» Koop. Een HOFSTEDEKEN, groot 2 hectaren 5 aren 79 centiaren, te Poperinghe, in den Hamhoek, weinig oost van de S' Sixstraat. Gebruikt door sieur OzeeCBuseyne, tot 1" October 1882, aan 225 francs bij jare, boven de belastingen. 4» Koop. Een HOFSTEDEKEN, groot 2 hectaren 87 aren 56 centiaren, te Poperinghe, in den llelhoek, weinig noord van den steenweg naar den Abeele, langs de Casseldreve, Gebruikt door sieur Pieter Ler- mijtte, tot lu October 1882, aan 275 francs bij jare, boven de belastingen. STAD YPRE. 5" Koop. Een HUIS, ten dienste van Winkel, aan de zuidzijde der Groote Markt, n° 31. Bewoond door sieur Alphonse.De- hem-Weeksteen, met recht tot ln Fc- bruarij 1885, aan 400 francs bij jare, boven de belastingen. 6n Koop, Een HUIS aan de noord zijde der Lentemarkt, n° 53. Bewoond door de dochter Mortier, zonder pacht, aan 18 francs te maan de, vrij van grondlasten. ZITTING. Deze verkooping zal geschieden in ééne Zitting, vastgesteld op MAANDAG 25 NOVEMBER 1878, om 1 uur na middag, ter estaminet de Getemde Leeuwenop de Botermarkt, binnen Ypre, ingevolge de voorwaarden be rustende ten kantoore van den No taris vandermeersch, te Ypre resi deerende. ÉTUDE de Me L A N N O Y Notaire A. LUNDI 2 DÉCEMBRE 1878, a midi, a la ferme occupée par M. Emile Glorieux, a la Haute Croix, a Wervicq, Yentc ;mliliqtie propres a la charpcnte et au charronnage. B. JEUDI 5 DÉCEMBRE 1878, a 3 heures de relevée, au cabaret la Station, a Comines, ADJUDICATION DE FONDS ET TERRE occupées par la veuve Vandeioalle et Léon Demeyere, a 22 francs par mois. C. LUNDI 9 DÉCEMBRE 4878, a 9 heures du matin, a ia maison Moreau-Leroy, a Comines, Vcnte publlqjiie Etude du Notaire DE VOS, Ventc imMitjHC 3 Ormes ET 5 BOIS-BLANCS LE LUNDI 2 DÉCEMBRE 1878, a 1 heure précisc de relevée, A COMINES - TENBRIELEN, 1° Sur une pat ure occupée par Jean-Ble Mahieu- Verstraetesection de la Chapelle d'Epines, tout prés du chemin de Gheluvelt. Et 2° Sur un pré exploité par ledit Mahieu-Ver- straete, a proximité du chemin de Kruiseecke. 6 mois de crédit moyennant caution. Uit de hand te pachten EENEN geiegen te NLuk'ii, zich te begeven bij Ambrosius Packet, wijk Cortemarck - elle. lilUuntratioH Ëurojiéciuie. Gravures. Une belle occasion, d'aprés M. David. Col. Salon de Bruxelles de 1878. ffecueillemcnt el distraction, d'aprés M. L. Passini. La princesse Emma de Wal- deck-Pyrmont, future reine des Pays-Bas. Le cralère du vésuve dans son état actuel. Un chemin de fer étonnanl. Texte. Notre prime. Nos gravures. Chronique littéraire: France. Poésies pa- trioliques. Causerie. Tu, Toi. Quinze mille francs de rente. Nouvelle. Chasseurs dignes d'encouragemenl. Eléonore de Ronge-Cloiire. Roman. La boile aux jeux d'esprit. Enigme. Rebus N° 1. LA CLOTURE DE L'EXPOSITION. Nou'S ne parltrons pas du pnvoisemeril et des lanternes vénitiennes. Excepté dans quelques quartiers populaires oü le gouvernement césarien de M. Gamhetla avail chauffé I enthousiasme, les drapeaux sorlaient difficilement de leur gaine et n'apparaissaient que de loin. II était visible que .les boutiqoiers n'éuient pas contents du résullat de (Exposition. Excepté les cochers, lesaubergrs et les cafés chanlanlspersonne n'avait fait d'affaires.» Caisse vide, enthousiasme au-dessous de zéro. Quant a la masse de la population, elle éfait plus disposée, au fond. a murmurer et a p|,»!irer qu'a chanter. Les républicains en goguette et fumaut le cigare exquis le nierunt maïs qui cotinait bur amour de la vérilé. prendra leur negation pour une affirmation. Malgré le beau temps, il en a été de l'illumiuation comme du pavjisement elle a ité trés maigre, malgré les incitations des allumeurs patriotés. Devant ie tra vail qui baisse, devant la nusère qui monle, a la vei lie de- l'hiver, les illusions que Irs charlatans de la république out si longtemps enlretemies com- mencenceiii a s'évanoinr. Non, nous ne iioiis anêterons pas a ces chnses, bien qu'on pinsse y découviir des signes d une grande lassitude. Nous préférons trailer un autre point. Ce peuple répandu dans les grandes artèies qui aboutissent de tous cótés au Cbamp-de-Jlars étail morne, silencienx, et signer d'une profonde altération de notre caraclèrc national rauet. Les tlots de la multitude allaient, venaientse croisaient dans toutes les sens, sans raison, sans motif, sans savoir pourquoi, subissant line sorte d'impulsion machinale et inconsciente. Sur les physionomies, t'enniii, un ennui terne et gris comme un jour de piuie, avail reinplacé tout autre sentiment. II y avail comme une éclipse de la pensee sur ces fronts sans expression; ce qui était non moins facile a observer, c'est que ce pauvre peuple. déraciné par la Revolution, cherchait une distraction, demandait a être amusé par n'importe qui et n'importe quoi. II eül applaudi a oulrance un discours de Naquet on de Floquet. Au jardin des Tuileries on entend dans le loin- tain quelque chose comme un bruit de tambour; aussilöt une masse énorme se précipite de ce cöté. Le quai, la galerie du bord de l'eau, les ponts, lout est envahi en un clin d'oeil. Tous les regards scrutent l'espace dans la direction du Trocadéro. On va done enfin voir quelque chose: quatresol- dats et un caporat? Eh bien, non rieu ne parait. Il n'y avait ni tambour ni trompetles. Alors le peuple-roi du citoyen Gamheltase reprend errer par groupes, toujours muet. tonjonrs cherchant a voir quelque cho«e, et ne voyant que lui-même, ce qui parait ne pas l'amuser beaucoup. M. de Bismarck aurait dit de la France qu'elle a l'ago- nie joviale. II faut disiinguer. Si par Fiance M. le chaneelier entend les républicains casés et repus, il a quelque raison: maïs, s'il a entendu parler du peuple, il s'est trompé. Un Gavrocbe rencontre un collègue et lui dit avec eet accent el ce geste que M. Gambetta peut seul rendre au naturel Qu'èque til fais ici, toi Moi Je m'embêle. C'est le mot de la situation. En présence de celle irisle monolonie, de ce mutisme, de celte absence de ton le idéé, de eet effacement funèbre, le souvenir des fêtes populai res d'autrefois, dont nous avions lu les naïves descriptions dans nos vieilles annales, nous reve- nait a la mémoirc. El nous comparions le spectacle animé, vivanl, pittoresque qu'elles préseulaient, a cette mort, a celte stérilité, a celle tristesse funèbre. Nous nous représentions les corporations avec leurs riches coslumes, leurs aimes, leurs bannières, leurs chefs-d'oeuvre, défilant rayon- nanles de joie el d'espérance. A travers l'espace le vent nous apportait les gais éelals de rire de nos pères, leurs bons mois, leurs provei bes, fleurs délicales et pleines du plus suave parfum, et nous assistions a ces scènes et repas de familie qui, le soir, termiuaienl les fêles publiques. Et nous trouvions qu'entre cette fraiche et vigoureuse jeunesse que la religion entretenait et renouvelail incessamment, et celle décrépilude idiote dont la Révolution a afiligé notre belle race, il y a un abime. Ce tableau que nous venons d'esqtiisser s'appli- que plus spécialement ii la bourgeoisie. Quant aux nouvelles couches, aux bandes républicaines, el les se sont répandues dans les cabarets, d'ofi elles sont sorties a différentes heures de la nuit en hurlanl la Marseillaise. Inutile de dire que la police avait recu ordre de ne point troubler eet état-inajor de la république dans ses exercices nocturnes. LE CURATEUR, van den 25 October tot den 8 November 1878, GEBOORTEN. Mannelijk geslacht II. Vrouwelijk id. 13. HUWELIJKEN. Dekoker, Gustaaf, metser en Bucquoye, Sido- nia, kantwerkster. Vanbecelaere, Desiderius, marktkramer en Gillioen, Lucia, dagloonster. Aernout, Hendrik, bakkersgast en Yanclevporde, Rosalia, dienstmeid. Vandaele, Hendrik, dag- looner en Vandaele, Amelia, kantwerkster. Leenard, Hendrik, barbier en Deck, Joanna, herbergierster. Pauwels, Hendrik, klakken- maker en Verheyde, Paulina, kantwerkster. Casier, Karei, landbouwers werkman en Van Acker, Amelia, kantwerkster. STERFGEVALLEN. Dehem, Aehje}, ?6 jaren, pasteibakker, onge huwd, Boterstraat. Dnrnez, Ame|ia, 77 jaren, zonder beroep, weduwe van Joannes Verbeke, Grimminckstraat.—Verbeke, Catharina, 78 jaren, zonder beroepweduwe van Joannes Filips St-Jansstraat. Fertinel, Martinus, 77 jaren, zonder beroep, weduwaar van Justina Leleu, St-Jacobsstraat. Rouma, Rosalia, 69 jaren, zonder beroep, echtgenoote van Karei Costeur, Nieuwe Houtmarkt. Dethoor, Maria, 22 jaren, kantwerkster, ongehuwd, Rysselstraat. Van Peteghem, Petrus, 61 jaren, daglooner, echtge noot van Adela Deconinck, Recollettenstraat. Plet, Isabella, 59 jaren, zonder beroep, weduwe van Joannes Derolez, Lange Thouroutstraat. Kinderen beneden de 7 jaren. Mannelijk geslacht 4. Vrouwelijk id. 1. POPERINGHE, 30 Oct. fr. 70,00 a 00,00. 8 Nov. fr. 63 a 68 de 50 kilogr. VEURNE, 30 Oct. fr. 19,00 tot 22,00. 6 Nov. fr. 18,00 tot 22.50 de 145 liters. •-< S3 w wzn O "7 MS* Z' o n>~k! ■ZO& og.4, 5! o -<t 1 a S -, g O K n O r D* t - o* ft cp et O ro 0_ 0_ pr •f* CO hi> Cï -a CD o O O OC oc O -*VOO tO V I -J. h» hS CO CO I O O CS S" co >S zz 1 crq Cj K) O o' <3 CP CP O O CP o o o Q, O O w l 1 O co. pr pr K£> 4^ O r hS I co co co co co I o o to o c~ CS O co co co o co a CP O O o o o O o o pr r" O O co O JU JU p 2 O - O pr O CO «q CC <1 <1 OO oc er. o <1 o. to I I O CP O O O O O O o Slpt zn zr. oi c. <1 O O CO 4»s 05 <1 C O n: W co o C5 co O SU w X P-X 1 1 CfQ a rf»- w z: M O - <3 r- z N w O O r; 5 "O a o -1 O CO oo o I CO OO cc er. KS to O tO OO <1 °o I cz: CU P Cfu CO c fj P-P: Z! pa OS O O I I 14) hS 1>S to bS bS bf CO O 4*^ 00 co co O w p. c; O O O O O O bO O o O CX O o rr pr ?r pr ?r O O r- fs PI P5 bfi co co co o l I I I I P P- Ct) l3 -1 *rs O O O bO o O O O O er. O O Ps" pr pr pr Pr (Sj bO b£> bS b£» bO C5 O to co p: p: Z ^4 CC CC O p- c CD K »-s y Ph «4 pr] Zi O c #<3 pr: 03^ C/3 C3 Rn W 5T U) M O-, fr 0 o goof* -- C. QO O c S ST CO k. o «- co o <1 I -O 2 I er co I O <i tz 2.0 P PI aq Zi o o :z P3 bS bD CO CO bi- OO CS Ju •s ^2 P3 aq O JT3 o <3 Ksrrs VAN Stad YPRE. Hondstraat. A COMINES. DE DE avec 19 ares 85 centiares PRÉS DE LA GARE, DE ET' D'UNE A WERVICQ. O DE WIJK DE VIJFWEGEN, TE CORTEMARCK, 9e ANNÉE D'eXISTENCE. 2.65 francs franco par trimestre. o— La seule publication illustrée beige parais- sant toutes les semaines en 8 pages de texte avec 4 uu 5 gravures sur bois. o— Texte. Romans du plus grand intérêt. Nou velles. Causeries scientiliques. Chroniques diverses. Art. Industrie. Découvertes, etc. Gravures. Portraits des hommes marquants du jour. Actualitós. Monuments. Paysa- ges. Sites pittoresques du pavs. Reproduc tion des tableaux modernes les plusremarquables SOMMAIRE UU N°. 1. ON S'ABONNG AU BUREAU PU JOURNAL.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3