BOOMEN
TL4E
ZAAILANDEN.
BOOMEN,
BOOMEN,
BOOMEN,
BOOMEN,
BOOMEN,
CARTES DE VISITE
UN
PATURE, TERRE ET PRÉ,
BON JARDINIER,
K00RN- M OLIE WINDMOLEN.
Notre musique, tléja si avanlngeusemenl
o internrélé avec un gout irrépro-
a inlerpreie
•I'abie ét une précision vraiment remarqua
'allegro militaire de Stappen, auisi que
cofinue,
cha
1,13 "cbarmanles polkas, intilulées Ursula
lie Bonjour. Le bouquet de la Iele a été
eeanS conlredit la msgnifique ouverture de
Kliekenoeuvre hérissée de trës-grandes
I ffieultés. Son execution a valu a notre imi-
■ique une ovation des plus méritées.
S Aussi, est ce avec une bien legitime satis-
f 'lion que nous saisisons cetle circonstance
adresser nos plus sincéres felicitations
pour
el" not re plus vive reconnaissance a rinlelli-
(jl (jirecleur, appelé a la direction <le notre
,/iusigue depuis quelques mois seulement.
pu reste, M. Stappen est connu, son talent
lui a assigné sa place parmi les meilleurs
directeurs de noire époque.
Sous sa direction I'excellenle musique de
fourcoing a délie el vaincu les premières
inusiques de France. Aussi, prédisons-nous
j noire musique uu brillant avenir.
II n'y avail qu'urie voix pour conslatcr
les immenses progrés réalisés.
plusijeurs amateurs de noire ville avaient
également bien voulu prêter leur concours a
noire fête. Messieurs Samain el Six promel-
lent beaucoup. Four leur début. nous ne
pouvons assez les féliciter; l'un el I'autre sont
ijoués d'une voix très-agréable; I'accueil
synipatbique qui leur a été fail esl de nature
a lesencourager. i
Monsieur I'avocat Courouble a chanlé avec
beaucoup de methode el de gout la belle
romance dc la Juice-, il s'esl fait entendre el
applaudir une seconde fois, et cela avec non
moms de savoir, dans Ie charmant duo de
la Muelle.
Monsieur Masselis, dans ses deux chan-
sonnetles coimques, a eu le plus grand suc-
cés. Monsieur Masselis posséde d'excellentes
qualités; d'un jeu vif el piquant il a, dés son
début, su conquérir la sympathie du public.
Le Carnaval de Venue, pour saxophone,
a valu a son intelligent inlerpreie ie plus
grand succés. Se jouanl des plus grandes
'difficullés, il a rendu ce morceau des plus
diffictles avec un véritable talent d'artisle.
Monsieur Hervent a également droit a nos
éloges, dans Ie röle effacé d'accompagnateur
il a fait preuve de talent. Quant a la commis
sion directrice, nous ne pouvons que lui lé-
inoigner notre vive reconnaissance pour les
lieures agréables qu'elle nous a ménagées.
Nous apprenons avec satisfaction qu'uh se
cond concert aura encore lieu au courant de
1'hiver.
A MONSIEUR LE RÉDACTEUR DU
JOURNAL DY PRES.
Druxelles, 13 Décemhre 1878.
Monsieur le Rédacteur,
J'ai de nouveau recours a votre obligeance
en vous priant de vouloir bien accueillir dans
vos colonnes la lettre ci-après, donl l'mser-
tion nTest refusée par I'Elode beige.
D'avance je vous remercie en vous renou-
velant l'expression de mes sentiments distin-
gués,
DARTELS.
ACTES OFFICIELS.
Un arrèlé royal du 12 Décembre décerne
la decoration ctvique (croix de lrc classe a la
datne Caroline Van den Berghe (steur Ber
nardino) sceur hospilalière, sous directrice
a l'hópital St Jean, a Furnes, pour services
rend us, depurs 1823, dans la bienfaisance
publique.
Par arrèté royal esl nomine recevcur
des contributions directes et des accises
A Poperingbe, M. des Loges, actuelle-
ment receveur des iriénies impöts a Rams-
cappelle, lez Bruges.
SOCIÉTÉ DE LA CONCORDE.
Programme des niorceaux qui seront exécti-
tes le Jeudi, 19 Décembre 1878, a 7
heitres et demie du soir, par la musique
du ler régiment de ligne, sous la direc
tion de M. Ch. Simar.
Zampa, ouverture, (arr. Cti. Simar).
Duo de l'opéra Ie Trouvére, exéculé par
MM. Gabriel et Sonneville, (Verdi). Danse
macabre, demaudée, (SaintSaëns). Le
cheval de bronze, fantaisie, (arr. Goffin).
Le carillon d'Ypres, polka.
FA1TS DIVERS.
CHEZ VAN DER GHINSTE-FOSSÉ,
Imp rime ur-L it hog raphe
Hue au Beurre, 66, Ypres.
STUDIE
Notaris SfiMi' K 3L A EK ÉE,
TE A L VE RING HE M.
VERKOOPING
Op MAANDAG 23 DECEMBER 1878,
om 2 ure namiddag, ter herberg van
Emile Grimmelprez, te Alveringhem
1° 8 hectaren 75 aren ZAAILANDEN
gelegen bij de dorpplaats van Alve
ringhem,verdeeld in verscheide loten.
Aanslag met 1" October 1879.
2" Eene partie ZAAILAND, gelegen
weinig zuid van de plaats te Alverin
ghem langs de Uoilinchovestraat
groot 2 hectaren 46 aren 50 centiaren
in gebruike van Enc-el Lomniee, tot
1" October 1879.
En 3° Eene partie ZAAILAND, te
St-Ricquiersbij den Burgmolen
groot 4 hectaren 38 aren 70 centia
ren, gebruikt door de wed. Luyssen,
tot 1" October 1879.
OPENBARE VERKOOPING
juist §8 ikoopess
schoonezware en langstammige
POPULIEREN en ABEELEN
TE LANGEMABCK,
naby de plaets.
Op MAENDAG 23 DECEMBER 1878,
12 uren juist 's middags, zal de Nota
ris ELLEBQUDï, te Langemark, op de
hofstedelanden gebruikt door Engel
Deturck, openbaerlyk verkoopen de
bovengemelde boomen, dienstig tot
alle slag van werken.
Zeer gemakkelyk voor den trans
port by middel der digt aengelegen
steenweg.
Tyd van betaling.
ETUDE
de Me L ANNOY, Notaire
A. MARDI 24 DÉCEMBRE 1878,
a midi precies,
A la ferme occupée par la Ve Accou,
aux 4 Rois, a Wytschaete,
Ventc gB«i8i>Si«ptie
par le ministère de Me VICTOOR,
a Warnêton, de:
130 Ormes, Canadas et Frênes,
d'une beauté et d'une qualité rares et
trés-bien situés pour le transport.
B. JEU Dl 26 DÉCEMBRE 1878,
all lieures du matin, dans les bois
nommés Passcbendaele Veld, a Zille-
beke piés de la Cantine et au bois
prés de la place a Gheluvelt,
ïfide sinbliqtie
100 marches de beaux Sapins,
propres aux char pen tiers, planteurs
de houblon et tabac.
STUDIE
IV T A K S S I® E 13 O
TE OOSTVLETEREN.
DONDERDAG 26 DECEMBER 1878,
(2cn Kersdag), om 11 ure te beginnen,
31érkiceerdigen Koopdag
van 448 koopen
lange, zuivere en zeer zware Iepen
en Abeelen
op de Schaephofstede gebruikt door
Pieter Devloo, gelegen te Poperinghe
en Elverdinghe.
STUDIE
van den Notaris MA III Et,
KERSMISDAG 26 DECEMBER 1878,
10 uren 's morgens,
OPENBARE VERKOOPING
van
eerst:
10,000 B Y KEN,
geschikt in koopen
zeer schoone Popelieren, harde Iepen,
Abeelen, Esschen, Keirzelaer,
Hollanders, Erabeis en Wilgen
ten moesten deele van 1 m. 50 c. tot
2 m. 50 c. dienstig voor kloefkappers,
wagenmakers en timmerlieden, op het
hofstedeken van P.-J. Goddyn, te Zuid-
schote, gehucht Luzern, en't overig
te Bixschote, bij Steenstrate, hofstede
Karel Vallaeys, tusschen de vaert en
de calchiede van Ypre naer Dixmude.
Tyd van betaling, mits borg.
AesasBïtie
wassende in den Boomgaard en op
de Landen der hofstede in gebruike
bij Petrus Vermeulen-Van Peteghem,
TE STADEN,
wijk de Vijfwegen
POPULIEREN, IEPEN, 1 ESCII EN
6 EIKEN,
waaronder een dienende voor mo
lenas.
Den DONDERDAG 26 DECEMBER,
(2'" Kerstdag1878.
Deze boomen zeer dienstig voor
molen- wagenmakers- en kloefkap
pers, zijn verdeeld in koopen t'elks
gerieve.
De Notaris VUYLSTEKE, verblijven
de te Staden is met deze boomven-
ditie gelast,
VERKOOPING
Iepen-, Eiken-, Esschen-, Popelieren-
en Wilgen
TE VOORMEZEELE,
VRIJDAG, 27" DECEMBER 1878,
om 12 uren 's middags, op bet ge
bruik van sieur Ilenri Desmaretz,
herbergier in S'-Eloien in eenen
bosch daarbij.
Door liet ambt van den Notaris
VANDERfilEERSCHte Ypre residee-
rende.
©peiiifisarc TcrSt»opliig
60 KOOPEN
zware en langstammige Olmen en
Populieren
TE CR05IBEKE,
op de hofstede bewoond en gebruikt
door S' Arsène Debacker,
DE MAENDAG 30 DECEMBER 1878,
ten 1 ure namiddag, zal er op voor
noemde hofstede overgegaen worden
tot dc openbare verkooping der voor
melde Boomen, waarvan verscheide
van 2 meters omtrek en daerboven.
Deze verkooping zal plaets hebben
door de tusschenkomst van den heer
Deurwaerder DE CRA te Rousbrugge.
Langen tyd van betaling, mits goede
medekoopers testellen.
ETUDE
ïVotalrc lïeiss, it Wervic<j
fllameau Chapelle-ten-RrielenJ
prés du chemin de Gheluvelt.
1° Une belle et bonne PATURE,
contenant 50 arcs 50 centiares, tenant
a MM. Louis Mahieu, Jacques Lema-
liieu et Ernest Van Elslande:
Chemin du petit Bois (dit Kruys-
eeckestraat.)
2° Une exellente partie de LABOUR,
contenant 48 ares 16 centiares, te
nant a MM. César Van Elslande, Du-
bosquel et Hynderickx.
Prés des chemins du Kruyseeckc
et de Zandvoorde.
3° 43 ares de PRÉ, tenant a MM.
Syx-Paret et Hynderickx.
Le tout occupé par Jean-Baptisle
Mahieu-Verstraete, avec droit de bail
jusqti'au 1 Octobre 1879.
A VENDRE PUBLIQUEMENT,
en une seule séance,
Le MARDI, 31 DÉCEMBRE 1878, a
3 lieures de relevée, a Ullötel le
Lion Blanc, a Wervicq.
COMINES,
habitant avec sa sceur,
DÉSIRE TROUVER PLACE.
S'adresser au Bureau du Journal.
gclcKcti te bladen,
uit de hand te pachten ofte koopen.
zich te begeven
bij den Notaris VUYLSTEKE, te Staden.
li'liljistratioiii Eui'oiiéeusie.
Graveues: Un vieux Beau. (Dessin de
M. J.-B. Madou.) Départ pour le Canada
du Marquis de Lome et de la Princesse
Louise d'Anglelerre. Le Phonomoteur.
Le Mégaphone. L'Electro-moteur. Le
Bhéostal. Le Rheostat coupé verticale-
ment.Le Mégaphone coupé verlicalement.
Texte: Notre Prime. Avis a nos
Abonnés. Nos Gravures. Cbrouique
deca dela. Connaissances usuelles de la
Setnaine.L'emprisonnement d'une grande
Actrice. Mon Modéle. Souvenir de Blan-
kenberghe. Eléonore de Bottge-Cloilre. Ro
man. Rébus N° 2.
Sjü Muïsée du «Scusie Age.
(4.25 fr». franco par an).
Gravures: Le Chat. La Place de
l'Académie a Bruges. El mainlenant,
Courage! Le Chateau de Way-Barsan.
Texte: Une Causerie sur le Chat. Un
Voyage en Imagination. Et mainlenant.
Courage! Le Chateau de Way-Barsan.
l'Enfant adoptif. Une visite de l'Ane de
St. Nicolas au Musée du Jeune Age. Pen
see. Le Gui. Son histoire.
A A 1 8
J'ai l'honneur d'informer le public, que je
viens de recevoir, eu quanlité, uu assorti
ment complet de
Terrines Foies gras (Hummel),
Patés de gibier truffés,
Sardines,
Thon mariné,
Pelits pois extra fins,
Marrons de Lucques (véritables),
Fruits glacés de Nice
Et toutes espèces dc Comestibles, marque
(Philippe el Canaud),
Le tout garantie et lout de lrc qualité.
LECLERCQ-ROHDE
Grand'place, 35,
YPRES.
PEINTÜRE ET VITRAUX,
%aloir cette seconde aspiration. En troisième
lieu, et pour en revenir a Rozsa Sandor. il est
également parfaitement compris et antendu que
tous les malheureux occis par le brigand Hon-
grois eet aimable auteur de 105 crimes
après sa première condamnation a mort non
suivie d'exócution, ont été victirnes de la non
application de la peine de mort... coinme l'ont
été tous ceux tombés, sous les coups d'assassins
récidivistes, et comme le seronthélas tant
dautres encore, jusqu'A ce qu'un retour aw sim
ple bon sens ait fait justice de cette funeste et
antisociale aberration l'abolition de la peine
de mort.
Agréez, etc.
LH GÉNÉRAI.-MAJOR A LA RETRAITR,
(signé) BARTELS,
l'endroit de cette institution patriotique a
laquelle le ministère libóral voudrait joindre les
appendices que l'on sait.
LE GÉNÉRAL-MAJOR A LA RETRAITE,
A Monsieur le Rédacteur de XEtoile beige:
Bruxelles, 11 décembre 1878.
Monsieur le Rédacteur,
Dans votre numéro de samedi dernier je lis:
Si la première fois que Rozsa Sandor a été
condamnó A mort ou avait commuó cette peine
en celle d'une detention perpétuelle et qu'on
l'eüt tenu sous clé jusqu'a son dernier soupir,
il n'eüt pas eu l'occasion de recommencer ses
•-> exploits.
Nous répétons que l'exécution capitale est
inutile, a la condition qu'on mette les condara-
nés a mort dans l'impossibilitó de nuire, sur-
tout en Belgique, oü le régime cellulaire ne
laisse rien a désirer.
Cette these est celle de tous las abolitionnistes,
mais l'argument a toujours été et restera sans
valeur aucune, a moins de faire prévaloir la pos-
sibilité de cette mi se a perpétuité, hors d'état
de nuire des assassins laquelle ne saurait co-
exister avec le droit de grace.
Mais les graces octroyées et les évasions ne
sout pas les seules causes qui, rendant a la liberté
les mallaiteursleur permettent d'infester de
nouveau la société; il y a encore l'émeute popu
laire: A Cadix, iors de l'une des dernières revo
lutions espagnoles, le bagne entier fut délivré et
ses pensionuaires purent tous prendre la clé des
champs. En ürèce, des voleurs de grand chemin,
des assassins furent extraits des prisons et mis
en libertó pour combattre dans l'ile de Créte, etc.
D'ailleurs cette raise dans l'impossibilité abso-
lue de nuire n'existe même pas, alors que les
assassins commuós sont terms sous les verrous.
Malgró toute la surveillance exercóe dans les
prisons, les gardiens sont si peu a l'abri des ten-
tatives d'assassinat, qu'elles sont même trés fró-
quentes en France; mais la les condamnations k
mort qui s'on suivent sont toujours exécutées,
tandis que nos malheureux gardiens doivent
rester exposés aux entreprises de récidivistes
sachant déja par expérience qu'ils n'ont nulle-
ment a se gèner et peuvent en toute quiétude se
passer la fantaisie de nouveaux assassinats au
sujet desquels l'impunité absolue leur est d'avan
ce acquise.
11 est parfaitement compris et entendu. Mon
sieur le Rédacteur, que si vous voulez l'abolition
ée la peine capitale, vousréclamez aussi lamise
perpétuité hors d'état de nuire des assassins.
Mais il n'est pas moins permettez-moi de vous
le faire remarquer parfaitement compris et
entendu qu'il lie dépend ui de vous, pi de vos
Screligionnaires en abplRionisrae <je faire pré-
On lit dans le Journal de Courtrai
Les anciens élèves du collége de notre ville
viennent de fonder urn: nouvelle sociéte sous le
nom de Société de SLAmand. Getto société a
pour but de maintenir et resserror les liens qui
unissent les élèves a leur sortie du collége. Cette
société est sans aucun doute destinóe a prodüire
le plus grand bien.
M. I'avocat Charles Claeys, de notre ville,
dans une conférence qu'il a donnée Dimanche
passé au collége, a développé le but et les ten
dances de la société St-Amand. Comme on n'en
doutait pas, les anciens élèves du collége y ont
assisté en foule.
On lit dans le Journal de Courtrai
Nos lecteurs se rappelleront encore que, peu
de jours avant les élections communales dn 29
Octobre dernier, le R. P. Desmet, de notre ville,
fut gravement insulté par uu individu, Marché-
au-Bois, au moment oü il se rendait de 1 eglise
des RR. PP. Carmes k la demeure de sa sreur, k
l'Esplanade. Vendredi6 courant, le nommé Sette
a été condamné de ce chef a 3 jours de prison,
20 francs d'amende et aux frais du procés, récu-
pérables par la voie de la contrainte par corps.
Entro Courtrai et Bendelede, un nommé
Henri Malisse, écangueur a Cuerne, malgré dé-
fense formelle, circulant sur la voie ferrée, a été
atteint par le train exprès de 7 heures du soir,
non loin de la station de Lendelede, et lancé a
plus de 300 mötres de distance. Son corps était
borriblement meurtri. Malisse était accompagné
de son petit garcon, qui heureusement n'a pas
été atteint.
II laisse une veuve et des enfants en bas age.
A Harelbeke, un individu s'était livré Samedi
a des violences graves sur son épouse. Dans sa
fureur, il prit son enfant, agé de deux mois, du
berceau oü il dormait tranquillement et le frap-
pait contre le pavé de manière a mettre sa vie
en danger. La police a transféré eet individu a
la prison cellulaire de Courtrai, oü il attend la
punition que la justice lui réserve.
On écrit d'Anvers
Samedi dernier, deux jeunes filles de ia rue
des Souris demandèrent a leur mère la permis
sion de se rendre au bal. Elles obtinrent l'autori-
sation.
Tu laisseras la porte ouverte, mère, disaiest-
elles, pour que tu ne doives pas te lever par le
froid qu'il feit.
On partit et Ton dansa. L'heure se passait. La
mère de nos deux danseuses s'était mise au lit.
Mais les möres dorment difficilement quand les
enfants sont loin du toit et celle-ci se mit k son-
ger a ses chères absentes. Soudain elle se rap-
pela qu'elle avait fermé la porte. La brave femme
se hata de deseendre pour réparer son oubli.
Hélas, dans Tobscurité la pauvre mère fait un
faux pas, glisse, trébuche au moment oü elle va
ouvrir la porte et tombe, la tempe battant le mur,
tuóe sur le coup.
Le bal continuait encore..Enfin, il feut partir.
Nos jeunes lilies arrivent a la niaison. II est
quatre heures du matin. La porte est fermée;
on sonno, on frappe... On sonne encore. Rien.
Force est de recourir a un serrurier. La porte
est forcée et alors... la cruelle vérité frappe
impitoyablement les pauvres filles au premier
regard qu'elles jettent dans le corridor.
Quel retour de bal
Savez-vous ce qui fait en ee moment le sujet
de toutes les plaisanteries a Charleroi Les con
damnations, aussi nombreuses que les grains de
sable de la mer, subies devant le tribunal par
les gardes civiques rócalcitrauts. Six cents
membres de notre milice citoyenne, dit 1'Union,
six cents défenseurs do la patrie et de nos libres
institutions sunt assignés. Le cbill're est joll! II
témoigne des sympathies que les populations
«(es plus éminemment libérales» professent
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diverses. Art. Industrie. Dócouvertes, etc.
Gravures. Portraits des hommes marquants
du jour. Actualités. Monuments. Paysa-
ges. Sites pittoresques du pays. Reproduc
tion des tableaux modernes les plus remarqaables
SOMMAIRE DU N°.
SOMMAIRE DU N°. 21.
ON S'ABONNE AU BUREAU DU JOURNAL.
PATISSIER.
HONER père et fils k Nancy (Meurthe et
Moselle.) Réeompenses aux expositions, Lon-
dres 1862, Paris 1867, Paris 1878. Cette mai-
son fondée en 1847 se reeommande par la
beauté et la solidité de l'exécution ainsi quo
par ses prix modérós.
Vitraux d'Lglise et d'appartements. La
maiso.i demande un représentant pour la Bel
gique, (8466.)
■nssa