^ÜNDmT™
B O O M E H
SPARHOUT,
ADJUDICATION
NOUVELLE BANQÜE BE L'ÖNION
BÖQMEN EN LARIXEN.
Dli MOBILIER
B O OMEN,
SCHOONE ÏAILLIE
FA1TS DIVERS.
SOCIÉTÉ ANONYME,
57, rue du Marais, Bruxelles.
Messieurs les aetionnaires sont in-
formés qu'un a compte de fr.
par action, sur le T' dividende de
l'exercice 1878, leur sera payé a dater
du 2 janvier 1879, aux caisses de ia
Banque et chez M. A. Voncr-Clemtnt,
a Ypres, contre remise du coupon
it' pour les actions au porteur, et
contre quittance pour les actions no
minatives.
VERKOOP1NG
VRIJDAG 17 JANUARI 1879.
om 4 uur namiddag, lei' hofstede ge
bruikt door dc weduwe van sieur
Franciscus Acke, te Eilves-daaaglhe,
langs den steenweg naar Ypre, 76
koopen schoone Iepen Boomen en
2 koopen Eiken.
Door het ambt van den Notaris
VAflDERMEERSCH te Ypre.
ft'ÖTAIMS C2IISISTIAEltf.
op Passchendaele, wijk Wallemolen.
DINSDAG 21 JANUARY, ten 10 ure
des morgens, van
op de gronden der hofstede gebruikt
by sieur Jean Degryse en op degene
van Ilenri Calmeyn en andere.
Deze laetste venditie met tusschen-
komst van den Notaris PYCKE te
Ledeghem.
KANTOO II
van den
Ni" SU 'ff A 2$ I S CAPELLE,
TE WATOU.
Op WOENSDAG 22 JANUARI 1879,
om 1 ure precies namiddag,
TE STAVE LE,
Oosthoek, ter hofsteden gebruikt door
sieurs Pieter Coulter, Cltarles Butein
en JDésiré Depeser,
vcnilitic
van
70 koopen B O O M E N
als schoone Popelieren, Wilgen, Ol
men, Abeelen en 2 Noteboomen.
De vergadering in de hofweide van
Pieter Coulter.
Op MAANDAG 27 JANUARI 1879,
om 1 ure namiddag, te Watou, nabij
deVuyleseule langst den gepro-
jctccrden steenweg naar den Abeele,
in een bosch en ter hofstede gebruikt
door sieur Henri De flos,
OPENBARE VERKOOPING
benevens 1800 Plantsoenen
en 70 koopen Boomen,
als: Eiken (kuipers) Abeelen, Esschen,
Hollanders, Wilgen en Popelieren.
Op gewoone voorwaarden en tijd
van betaling, mits voldoende borg
stellende, ten genoegen van den No
taris CAPELLE, te Watou.
Ruchtbaarheid.
Opengas-C verknoping
De Notaris ü'HUVETTERE, te Zon-
nebeke, zal op MAANDAG 27 JANUARI
1879, openbaarlijk te koop aanbieden:
1" Om 12 ure 's middags, bij dc
Zandberg, te Zonncbekc, ter weide
gebruikt door sieur Cordonnierland
bouwer te Zonnebekc, 15 koopen
schoone Populieren.
2' Onmiddelijk daarna, om 1 ure
namiddag, ten verzoeke van den heer
Biebuyck, grondeigenaar te Ypre, op
zijne hofstede te Gheluvelt, gebruikt
door de weduwe Rille en kinderen,
bij de herberg La bonne Espérance»
50 koopen hoogstammigeBeuken Boo-
men van 1 m. tot 1 m. 90 c. omtrek,
4 koopen Larixen.
De nabijheid van den steenweg van
Yper naar Meenen maakt liet vervoer
zeer gemakkelijk.
Tijd van betaling, mits borg ter
aanveerding van genoemden Notaris.
Wentiitie
Busschen en Perssen,
TE OOSTMEIJWKEIIKÉ.
OP WOENSDAG 29 JANUARY 1879,
om 12 ure 's middags fix te beginnen,
zal den Notaris van eegke, te Ypre,
ten verzoeke der heeren Leden van
het Armbestuer van Oostnieuwkerke,
openbaerlyk verkoopen op gewoone
voorwaerden en tyd van betaling, te
Oostnieuwkerke, op het bosch bekend
Veldbosch, nrs 13 en 14, langs de
straet leidende van Oostnieuwkerke
naer Westroosebekeop de partie
zynde op het kadaster sectie D, nr
282a 1° platkapping van circa 60 aren
sparren en 2° verdunning en snoeking
op 2 hectaren, zynde het volgende
goed
1° 5,500 Hom mei perssen,
2° 700 Kepers,
3° 300 Tabakperssen,
4° 60 Staken,
5° 180 Larixperssen,
6° 2,000 Sparrebusschen,
Al t'elks gerieve in koopen verdeeld.
"Wille de IPofterSiiglie.
POUR LA NOUVELLE ÉC0LE COMMUNALE
Le Collége des Bourgmestre et
Échevins de la ville de Poperinghe,
procédera,
MERCREDI 29 JANVIER 1879,
a 10 heures du matin, en l'une des
salles de l'llotel de Ville au dit Pope
ringhe, a l'Adjudication, par soumis-
sions cachetées, du Mobilier et Objets
nécessaires a la nouvelle École com
munale, consistant en:
lor Lot. 175 Pupitres a deux
places pour les élèves évalués a
5,250 fr5.
2n,e Lot. 5 Pupitres pour pro-
fesseurs, Fauteuils, Tableaux, Cadres,
Stores, Poëles en fonte, Cartes, Us-
sensiles de pesage, mesurage, physi
que chimie et gymnastique,et
portanee au point de vue éleetoral. Elle a déeidé
par un premier arrét que le quintuple de la va-
leur localive ne eonstitue pas un maximum. Le
contribuable a le choix pour la cotisation de son
mobilier entre l'expertisc et le quintuplenient,
i. ais s'il adopte l'expertise il en accepte toutes
les chances, etil doit l'impót sur toute la valeur
du mobilier alors même que cette valeur excé-
derait cinq fois la valeur locative.
Cet arrêt, contraire a la jurisprudence admi
nistrative, a été rendu contrairement aux con
clusions de M. le premier avocat général Mes-
dach de Ter Kiele, etdéclare invraisemblable
l'interprótation que M. le ministre des limances
n'avalt pas hésité a imposer par circulaire a tous
ses subordonnés.
L'arrêt admet ensuite le moyen déduit de la
tardivité de la reclamation adressée par les dé-
f'endeurs a la deputation permanente, juge fiscal
et prononce de ce chef la cassation sans renvoi.
MAriage dd Roi des Pays-Bas. La prin-
•cesseAdélaïde-Emma-Wilhelmine-Thérèse reine
des Pays-Bas de puis le 7 Janvier 1879, est la
troisième tille du prince Georges de Waldeck.
Née le 2 Aoüt 1858, elle s'est fait remarquer,
dés son jeune age, par sa gentillesse, sa bonne
grace, la finesse de son esprit et la bonté de son
cceur.
XJne correspondance du Cap. adressée a
Yhidépendance et datée du 6 décembre, dit qu on
a appris en cette ville par le dernier steamer de
Zanzibar, que quatre cararanes, parmi lesquelles
l'expédition beige, sont détenues par un chef a
Mwarougogo.
Nous espérons que cette nouvelle ne se confir-
mera pas.
C'ËST ONE BIJ5N BONNE BLAGUE. VOUS
savez que tous les journaux répètent a l'envi de-
puis une sernaine, que tous les compartiments
des chemins de fer seront chauffés a partir du 15
courant. On vamême jusqu'a désigner lesystöme,
celui de M. l'ingénieur Sum et tout le monde
s'empresse de remercier M. Sainctelette, qui a
soin d'accepter les •compliments sans riendire...-
Eh bienC'est une bjen bonne blague dont
voici les origines
Le Hainaut lanca la nouvelle suivante, qui
-visait spirituellement Timpitoyable ministre qui
I laisse mounr de froid les voyageurs des secon
des et des troisièmes classes
4 On anuonce que tous les wagons de l'Etat
f seront chanffés a partir du 15 Juillet, par le sys-
f tème Sun.
Le premier journal qui reproduisit lefait, crut
a une erreur de mois et mit JANVIER a la place
de JUILLET. Le second journal lit une coquille
et publia Suji au lieu de Sun, et cela fit ainsi le
tour de la presse beige...
Eh bien le premier texte seul est le bon, par
ee que Sun est un mot anglais qui veut dire
Soleil, ce qui explique comment tous les wagons
de l'Etat seront chauffés a partir du 15 Juillet...
N'est ce pas, qu'elle est bien bonne
LA PESTE.
On communique officiellement de St-Péters-
bourg, en date du 3 janvier, la relation suivante
sur l'apparition de la peste dans le gouvernement
d'Astrakan
Le 16 (28) décembre 1878 le gouverneur d'As
trakan communique télégraphiquement au mi
nistre de l'intérieur la nouvelle que dans le cercle
cle Jenotajewsk, dans la Stanitza Weltjankades
cosaques, une maladie contagieuse revêtant le
caractère épidémique s'était déclarée parmi les
habitants et causait une grande mortalité. La.
maladie commencait par une fiévre intermittente
mais plus tard lofsqu'a ces perturbations s'ajou-
tèrent les symptömes du typhus pétéchial, quel-
ques médeêins déclarèrent que Ton se trouvait
en présence de la peste.
A la suite de ces eonstations, les chefs des
détachemeuts de cosaques firent aussitót isoler
la localité, la quarantaine fut proclamée et les
malades furent séparés des autres habitants.
En même temps, le ministre de l'intérieur
prenait toutes les'mesures nécessaires, tant pour
localiser Tépidémie que pour renforcer le per
sonnel médical, pratiquant dans le gouvernement
d'Astrakan.
Toutefois les premiers jours qui suivirent la
constatation de Tépidémie, alors que Weltjanka
n'était pas encore isolé et les communications par
le Volga et la grand'route n'étaient pas encore
interrompues, quelques individus parvinrent a
fuir dans la staniza voisine de Prischib, d'autres
traverseren! le Volga. De ceux qui gagnèrent
Prischib quatre devinrent malades et ces quatre
moururent.
Le gouverneur d'Astrakan mande, en date
du 20 décembre, que, d'après le rapport de l'ins-
pecteur médical et de Vispraionih de l'endroit, la
maladie a diminué d'inteusité avec les premières
gelées et que depuis le 15 décembre aucune per-
sonne n'est devenue malade a Weltjanka, aucune
de celles qui étaient malades n'a përi.
Toutefois dans le village de Prischib oü la
maladie avait été propagèe par les liseurs des
psaumes au cercueil des morts, tous les malades
sont morts.
Quoique les médeeins militaires aient déclaré
qua Weltjanka, ne règne que le typhus, qui n'a
rien de commun avec la peste, les mesures de
quarantaine les plus strides continnent a être
observées et la separation des malades d'avec les
gens sains est rigoureusement prescrite.
On mande encore de St-Pétersbourg, en date
du*7 janvier
Un supplément au Moniteur cle VEmpire
annonce que, par suite du dégel, Tépidémie, qui
diminuait, reprend avec violence. En consequen
ce, les mesures les plus rigoureuses ont été pri
ses dans le gouvernement "de Saratof, pour pré-
venir Textension du mal.
Demain, se tiendrasous la prósidence du
ministre de l'intérieur, une conférence des chefs
du département de la módecine et d'autres dé-
partements, pour arrêter les mesures propres a
faire disparaitre Tépidémie.
Voila done la Peste qui menace d'envahir
l'Europe! La guerre de 1870 n'est pas oubliée.
La guerre d'Orient n'est pas finie et les évène-
ments semblent annoncer une catastrophe géné
rale.
La famine désole encore une grande partie de
TAsie et enlève les hommes par millions. Quel
avenir de misères et de ruines.
L'Eglise catholique offrait un remède préven-
tif contre tant de maux. Dans les prières arden-
tes qu'elle adressait avec tous les peuples fidèles
au Souverain Maitre de toutes choses, elle disait:
A peste, bello et fame libera nos, JDoraine.
De la peste, de la guerre et de la famine, déli-
vrez-nous, Seigneur.
Et Dieu ne restait pas sourd a ces supplica
tions. Sa misóricorde infinie suspendait le cours
de sa terrible justice.
Aujourd'hui qu'arrive.ra-t-il
L'Eglise prie encore mais elle est persécutée
partout et traitée en ennemie par les puissants
du jour et leur parti est nombreux. Dieu est
renié.
L'homme dans son orgueil se croit maitre de
tout; la science lui fournit dos armes contre tous
les dangers et des remèdes pour toutes les misè
res.
Si Dieu cependant, qu'on veut chasser de la
société, prenait au mot la prévarication humai-
ne et arrêtait Taction de la Providenc la peste
s'arrêterait-elle devant les progrès de la méde-
cine ou les quarantaines preserites par les gou-
vernements; la famine pnlèverait-t-elle moins
d'hommes en attendant que la culture intensive
ait fait lever une nouvelle récolte; et la paix
serait-t-elle mieux assurée par ceux qui rejet-
tënt les bases de la paix véritable?
Dans des temps troublés comme ceux que nous
traversons, il peut étre utile de soulever ces
questions. Ceux qui ont des yeux pour voir et
des oreilles pour entendre ne seront pas embar-
rassés de trouver la vraie solution.
MARCIIÉ AU BÉTAIL.
Gand, 10 janvier. Taureaux, 105; vachës a
lait, 68 bceufs, 174 génisses, 210 veaux, 115
moutons, 11; pores, 210; vaches grasses, 190;
bêtes maigres, 77; ag'neaux, 00; cochons de lait,
240; pores maigres, 49.
Peaux: Bceufs, vaches, génisses et veaux, 66 a
0-70; taureaux, 0-52 a 0-58, par kil.
Süif: On a traité dans les prix de 0-56 a 0,60, le
kilo.
CURONIQUE DES HOUBLONS.
Alost, 9 janvier. Transactions fort limitées
prix a fr. 40, 50 kil.
Du li. Vendu 6 sacs houblon 1878, trés-ordi
naire, 35 a 38, par 50 kilos.
Poperinglie, 9 janvier. La situation ne s'est
point modiliée. Toujours même absence d'affaires
et de prix. Le houblon de bon aloi a été goütó.
Le houblon de Poperinghe-village est absolu-
ment délaissé. Cette semaine les planteurs com
me les marchands se sont assez vivement émus
de Taugmentation des droits d'entrée en France
pour les houblons de la Belgique.
Du 10. On a traité le houblon de 1878 a fr. 50
les 50 kilos.
van
door den
©0 l4ö®pesi
Eiken, Iepen, Esscnen, Abcelen,
Wilgen en Popelieren
van
van
VAN