HOFSTEDE, EEi* HOFSTEDEKEN, DE BIENS, Une Belle et Bonne Ferme, Terre a Labour et Pré, Trois Maisons, Une Maison de Campagne, AILEÜÜANIIB BRAADHOIIT, Onroerende Verkoopingen. TWEE WOONHUIZEN, LEd HOfbILüiukËfl HOFSTEDEKEN, Ruchtbaarheid. On lit dans la Neue Zeitung de Mayence: Dans le monde ministériel et dans son entourage, il règne un incroyable méconten- tement contre la haute société. Celle-ci a fermé sa porti aux gueux et aux gueu- seset annonce l'intention de les tenir her- métiquement closes ;i tous ceux qui voteront l'introduction en Belgique de l'école athée. En prenant cette résolution, l'aristocratie bru- xelloise a donné un excellent exemple. Cette attitude ferme et résolue a fait une profonde impression it la Cour. Les hautes sphères qui, sous le ministère catholique, formaient le fa- meux septième ministère, sont très-embar- rassées. Le mouvement catholique contre l'école sans Dieu prend des proportions im- menses. 11 s'étend jusque dans la plus humble chaumière et se soulève avec une énergie indomptable contre le gouvernement. Et ce- pendant nous ne sommes encore qu'au début de la réaction. Jamais, depuis 1830, on n'a vu pared spectacle. Le Hoi est. plein d'an- goisses et d'inquiétude, mais en njême temps trés atlristé de la campagne que ses ministres ont ouverte contre l'ancienne religion catho lique; déja il s'est entretenu de ce sujet a plusieurs reprises avec le président du Sénat, M. le prince de Ligne. France. Destruction de Szegedin. Faits divers. I/fi Slissti'i&l ion Kinropéoui»'. CERCLE CATHOLIQUE D'YPRES. La place de limonadier' sera va cante a partir du 4r Ai ai prochain. Pour les condition's s'adresser a M. L. Biebuy-ck, secrétaire du ccrele. ÉTUDE «2Ëj A M A it Y M©4a3re A. JEU Dl 3 AVRIL '1879, a 5 heures de relevé a la Maison communale de Comines-Belgique, Location puhlique appartcnant au Bureau de Bienfaisan- ce de Comines et. eonsislant en 1° Une belle SKiAiSOlü de rentier avec 17 arcs 64 centiares dc Terre a Co- mines-ten-Brielen, ct 2" Une parlie de terre de 52 arcs 90 centiarcs, située a Wervicq, sec tion D, N° 406. B. LUND1 7 AVRIL 1879, a 4 heures de relevéc, a l'estaminet Godshuis, a Comities, adjudication D'UNE MAISON, avec 17 ares 68 centiares de Fonds et Terre a Comines, occupée par Le- menua 120 fr. par an sans baii. Elude du IV G rr A fi m JK Bft A ES B E c a Ypres. VENTE P UBLIQUE EFJ UiiE SEAfJCE, SAMEDl 5 AVRIL 1879, 1 heure de relevée, au Brasseur,a Ypres, prés de la Station, de: t° d Steenkerke, prés de Furnes, de 21 hectares 50 eentiares occupée par les enfants Markey. S" Trois parcelles de d Middelkerke, le long du pavé de JNieuport a Ostcn- de, de 2 hectares 35 ares 93 centiares, occupees par Cn. Muylle. Su contigues a Ypres, au couchant de la rue der Ghiens IST"S 34, 36, et 38, occupées par les liéri- tiers de AL le Docteur Coppieters, Banckaert etMAiiiEu. c4 4° d Ypres, au nord du pavé vers Gheluvelt, sur 27 ares 25 centiares de Fonds des Hospices CiviIs d'Ypres, occupée par par la familie Coppieters. K A N T OOR A C5 'W A SI S S A B* K g, IL K, le Walou. MAANDAG 7 TpRIL 1879, orn 2 uren juist namiddag, le Watou, nabij de Vuyie Seule, ter hofstede ge bruikt door Désiré Vancayseele, en in den Bilk gebruikt door de weduwe Louwyckbij het Rattekot, OPENBARE VElUvOOPING als Kroonen, Toppen, Fasseel, Ilout- bundels, alsmede kleine Olmen, Wil gen, Abeelen en veel planken. fy. B. De vergadering ter hofweide van sieur Désiré Vancayseele. WOESDAG 9 APRIL 1879, om 2 uren na middag, te Proven, Ier herberg de Landing, bewoond door sieur Carolus Ryon, «leflcillieveii ©verslag samen inhoudende, volgens nieuwe meting 3 hectaren 95 ai en 32 centiaren, GELEGEN Tl' PROVEN, zijnde de hofstede afhangende der ervennissen van sieur Laurentius Vanhoucke en Eugenia Ryon, zijne huisvrouw, alsmede te Proven-plaals. DONDERDAG 10 APRIL 1879, om 3 ure na middag, te Watou, ter herberg en brouwerij van de weduwe De Bruyne, Licitatie Verkooping van*: gemeente Watou, wijk Calecanis, van 2 heet. 1 are 27 centiaren, ge bruikt door den medeverkoöper Louis Briche, en binnen Godewaerlsveldeook bij Catecanes, van 1 hectare '15 aren, gebruikt door den medeverkooper Benjamin Bri che. DONDERDAG 17 APRIL 1879, om 3 uren namiddag, le Proven, ter herberg de Blokke, bewoond door Uenri Fossaert, openbare per hooping Tc PRÖV£tL langs den gravier naar Watou, in- houdende 2 hektaren, 3Ü aren, 69 centiaren, afhangende der erfnissen van Carolus Deryckeen vrouw. Om alle verdere inlichtingen ge lieve men zich le begeven bij voor noemden notaris DAP ELLE. conseil, ministre de la justice et des affaires étrangères. Ce haut fonctionnaire a annoncé officielle- raent a la magistrature que j'étais appelé a un autre poste, et il m'a en offet offert un emploi plus lucratif que celui de chef du parquet. - Mais des raisons de convenance m'ont déter- ininé a ne pas contracter de nouvel engagement et a opter pour la retraite a l'expiration de l'an- née courante. S. A- Ie Khédive n'a nullement approuvé la conduite de Nubar-pacha a mon égard et n'a pas tardé a accepter, voire méme a exiger la démis- sion de ce ministre impopulaire. je compte done rester a la disposition du nouveau ministre de la justice jusqu'au 1OT Jan vier prochain: et puisque vous avez bien voulu vous occuper de moi, je tiens a en aviser vos lecteurs. Les perséeutions continuent. A Rians (Var), les frères maristes viennent d'etre expulsés de l'école qu'ils dirigeaient de puis 2S ans. Jusqu'ici, les manoeuvres radicales n'avaient point abouti. En vain, depuis ces dernières an- uées, de grands efforts furent faits par les répu- blicains pour diminuer le nombre des élèves des frères, de graudes faveurs accordées a l'école laïque. Le succes ne couronna pas de si labo- fieux efforts... Les péres de familie de Rians, ;rès-conservateurs et très-catholiques, conti- luèrent d'envoyer leurs enfants a l'école cliré- iienne. La nouvelle municipality résolut de ter- niner la lutte. Elle vota simplement la suppres sion des frères et requit leur expulsion du local iommunal. Enfin. Ie28 Janvier, atrois heures du soir, le sous-préfet de Brignolles et le maire de Rians se présentèrent cliez les frères pour leur ntimer l'ordre de vider immédiatement les lieux. -es bons religieux demandérent l'autorisation le rester jusqu'au lendemain; il faisait un temps spouvantable, l'heure ótaitavancée, on s'empres- ia de ne point déférer a leur demande. On leur léfenclitmême d'emporter quoi que ce soit. Eton- 'és de tant de rigueur, les dignes frères récla- uèrent alors la notification de la dólibération 'fficielle, et, comme elle ne leur fut pas presen ce, ils déclarèrent que, dans ces conditions, ils le pensaient pas devoir quitter l'école. Le sous- iréfet les meuaca alors d'envoyer cliercher ia endarmerie, et le juge de paix demanda s'il fal- a't envoyer chercher la brigade tout entière. ■es gendarmes vinrent en etïet. Les frères du- ent céder. Ils se retirèrent, n'emportant que les Rots strictement nécessaires pour passer la nuit. Joutons que des voisins charitables s'empres- órent de leur offrir un abri. oici, a l'honneur des Marseillais, un beau trait de rapporte le Citoyen en lui donnant comme tre cette devise: Pour Lieu, pour la Patrie, °ur la Liberté. Hier, a la bourse de Marseille, s'est produit spontanément un mouvement qui aura, croyons- nous, les plus graves consequences. Dominés par un sentiment d'indignation qui est bien légitime contre le projet de loi-Ferry, les chefs et les représentants de notre com merce, auxquels se sont joints les hommes de travail, ont signé une protestation qui a recueilli 500 signatures dans l'espace d'une heure. Ah! c'est qu'il ne s'agit pas ici seulement d'une opi nion politique, mais encore des droits de la con science et de ceux de la familie. C'est la servitude des siècles païens, c'est l'es- clavage antique, c'est le césarisme, c'ost-a-dire l'oppression de la familie par l'Etat, qu'onveut rótablir. Marseille qui, en aucun temps, n'a voulu courber la tête devant la tyrannie, se réveille et montre son antique amour pour la liberté. L'empereur Francois-Joseph a visité il y a quelques jours ce qui reste de la vilie de Szege din, et a la vue de cette immense destruction il s'est écrió Oh que c'est horriblecela dé- passe tout ce qui a étórapporté paries journaux. En effet, a part un groupe /I'environ deux cents maisons situées sur une colline nommée la Palanka, a l'entrée de la ville, du cóté de Sheiss, tout Szegedin est sous les eaux, et les quatre cinquièmes des maisons sont écroulées, fondues dans l'eau, changées en monticules de boue, car, comme je vous l'ai écrit dans ma précédente lettre, elles étaient baties en bnques séchées au soleil. Le petit nombre de celles qui étaient con- struites en briques cuites et qui ont résisté a l'ac- tion de l'eau sont inondées jusqu'a la hauteur du premier étage. par endroit jusqu'au toit. Ce qu'il y a de plus singulier, c'ést que le pavé même de la viile a été enlevé etflotte a la surface de l'eau. 11 ètait en bois. Avec ce pavé flottent aussi des débris de planchers, de portes, de meu- bies, d'ustensiles, et tout cela ensemble forme par ci, par la, des barres que les barques de sau- vetage ont toutes les peines du monde a franchir, car les pontonniers, les soldats et des centaines de serviteurs volontaires circulent encore en bateaux au milieu des ruines de la ville pour emmenor les habitants réiugiós sur les hauteurs de la Palanka ou sur lesdigues. Autour de la ville l'inondation a l'aspect d'une 'mer sans rivage. Triste mer, qui a englouti une quantité de villages, de petites villes et en me nace encore d'autres. En somme, c'est un coup terrible qui vient de trapper la fiére Hongrió et dont les suites peuvent ètre graves. Le Courrier du Limbourg annonce que l'Association libérale de Tongres va se réunir pour procéder a la nomination d un gouverneur. C'est a cela sans doute qu'a tenu jusqu'ici le re tard que subit la nomination du successeur de M. Bovy. On sait que l'organe de l'Association en question a declare qxPaucune nomination ne serait faite dans la province sans que I'Asso ciation n'en ait fait la proposition. La Gazette assure que M. Monville a le plus de chances. Cela caractérise les nominations de M. Rolin. A Ypres, l'Association libérale est personnilióe enM. Carton, et les nominations sont faites sur ses indications. Chaeun sait ca. Quelques notes toutes d'actualitó, relative- ment a la reine Victoria et a sa tille, la princesse Béatrice Depuis le 14 Décembre 1861, la reine n'a jamais quitté le noii', mêmo dans les circonstances les plus solennelies. Avec les seules économiques ï'éalisées sur sa toilette, elle a pu fonder un hó- pital. La vie de la reine est réglée avec un soin mathématique. Sa Majesté mange seule avec sa mie, la princesse Béatrice, dont lajeunesse est le seul rayon de soleil qui anime ia demeure royale. Uya une heure pour la promenade, une autre pour la lecture, uue autre encore pour la musique. Rien n'est laissé a l'imprévu, a l'humeur du moment. Cependaut, se départis- sant de sa sévérité ordinaire, la reine Victoria, qui porte a sa dernière entant une affection in commensurable, entreprend ce voyage en Italic pour ameuer une diversion a l'existence de sa tille et donner un aliment aux gouts artistiques de la jeune princesse. Si elle a été l'ópouseaccomplie, la Reine Victo ria est aussi la mére parl'aite. C'est elle qui disait au roi Louis-Philippe a Eu: La ricbesse des souverains ce sont les enfants; nous sommes, Sire, aussi riches, l'un que l'autre. 9° AN'NÉE d'EXISTENCE. 10.50 fr. franco par an. 2.65 francs franco par trimestre. La seule publication illustrée beige parais- sant toutes les semaines en 8 pages de texte avec 4 ou 5 gravures sur bois. SOMMAIRE DU N°. 21. Gravures Souvenirs de Jeunesse, d'aprés M. E. Salome. Le Retour du Chasseur, d'aprés M. F. Defregger. Le Verglas. L'Héritière de Duivenvoorde. Dans la Bruyère. Texte Nos Gravures. Chronique. La Question Sociale au Japon. Connaissanees usuelles de la Semaine. Anciens Archers et Arbalétriers Beiges. L'Histoire du More de Venise. Les deux Mélancolies. Eléonore de Rouge-Cloitre. Roman. L'Héritière de Duiven voorde. Episode de la Lutte entre les Hamecons et les Cabillauds. ON S'ARONNE AU BUREAU DU JOURNAL. A COMINES. van den van van ëene NABIJ HET RAAMTJE, van een

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1879 | | pagina 3