2 FERM ES, FERME A MQUTONS, ZAAILAND 5 TT 1 1 s s s s s D'UN SUPERBE MOBILIER, wr.t asas vyIjSteba e. EN EENEN MEERSCH, Emprunt de Bruxelles 1879. Com me la dit, très-bien M. Kervyn en ierminant cct.te irréfutable démorïstration Coniparez ce rapport tout pénétré des idéés Congrès avec celui de M. Olin, (lont il oriiie 1 antithése; et demandez-vous, Mes sieurs, selon l'expression dont s'est servi 'onorable M. Olin lui-même, s'il est resté 'e a In pensée qui animait les fondateurs e organisation politique. Emission dc^.OOO ohligiUloii» (Jo 400 IV. rapportant 3 a fr. 96,50 |)ayal>los com me suil IV. 6,50 en souscrivant 20 a la répartilion 40 da 40 au 25 Janvier 4880 30 40 au 25 4884 Les deux derniers verscmenls se- TOnt augmentés des intéréts a 5 l'an depuis le 45 Mai 1879. Les souscriplions sout, recues dès cc jour saus frais a la Banque, ¥oitck - t'lciiiriit. rue de ÏEtoile, 4, Ypres. I 1 1 8 I 3 I I S I li f I f g •9 s B 5 8 II I I I I O 2 V; 'zi «I V X g I II II I Sj' 1 I II I I Elections provi nciales Par suite de l'élection de M. le baron Sur- mont de Volsberghe, comme membre du Sé- nat, de Ja nomination deM. F. Merghelynck aux fonctions de commissaire de l'arrondis- sement d'Ypres et du dccès de MM. P. Hou tens et A. De Coninck, quatre places de con- seiller provincial sont devenues vacantes, respectivement dans les cantons de Justice de paix d Ypres, Bruges et Harelbeke. Les colléges électoraux des cantons de justice de paix d'Ypres, Bruges et Harelbeke sont convoqués extraordinairement pour le Lundi 26 Mai 1879, a 9 heures du matin, a l efFet de procéder h l'élection de quatre con- seillers provinciaux. Des candidats devront être proposés avant leMercredi 24 du même mois. Dans les cantons d'Ypres et de Bruges la proposition doit être sigriée au moins par 25 électeurs. Dans le canton d'Harlebeke 10 électeurs au moins doivent signer la proposition. En cas de ballottage, le scrutin aura lieu sans convocation nouvelle des électeurs le Lundi 2 Juin prochain, h 9 heures du matin. j ETAT-CIV1L DE LA VILLE D'YPRES, j Etude du Notfiiirc VAiV KE€MB5, a Ypres. I" VENTE PÜBLIQÜE a Watou. Le Notaire VAfJ eecke, de residence a Y'pres, exposcracn venle publique: 1° Une Ferme contenanl 42 Hecta res 80 Arcs 34 Ccntiares, sise et située a Watou, prés du village, oceupée par la veuve Faes et ses enfants, moven- nant 4,405 francs par an et les char ges avec droit de bail jusqu'au lor Octobre 1882. :2° Une Ferme contcnant 40 Hecta res 20 Arcs 30 Centiares sise et située a Watou le long du pavé de Poperin- ghc a Watou occupée par la veuve et les enfants l/lleegere, moyennant 850 fr. par an et les charges avec droit de bail, jusqu'au 4 Octobre 4883. 4 /2 9ain (lc m'se Prix- Séances ÊllSE-A-PRiX Ie LUNDI 5 MAI 1879, a la Tèle de Bronzea Ypres, et 1'ADJüDiCATiOü DEFINITIVE le LUNDI 49 MAI 1879, au Café d'Anvers, a Ypres. 2° VENTE PUBLIQUE d'une belle et bonne Le Notaire vab EECKE, résidant a Ypres, exposcra en vente publique la Ferme appelée het Neerhof sise et si tuée a Reningbelst,prés de l'agglomé- ré de ce viliagc et occupée par la veuve Celoenmoyennant 4,875 fr. par an, avec droit de bail jusqu'au lr Octobre 4883. Cette magnifique propriété d'une contenance totale de 38 Hectares 00 Ares, 30 Centiares d'après cadastre est mise a-piix seulement 474,000 frs, prix des arbresy compris. La vente est tixé au LUNDI 42 MAI 4879, a deux heures de relevéc, a 17/ó'e/ tin Nord, rue de la Station, a Ypres. Pour tons renseignëmeniss'adresscr a l'étude du susdit Notaire. ÉTUDE «8e iT«c Ij A A A «i.ï W iYolaire A COMINES. 4" LUNDI 5 MAI 4879, a 2 heures de relevéc, dans Ia grande Salie (au lcr) du cabaret le Chat, A COMINES. l'cnte (tiibliifiic presque neuf avant garni une Majson de Mail re. 2' JEU Dl 8 MAI 1879, a 5 heures de relevéc, a l'estaminet le Saumon, rue Pom pea Feu, a War s'icq. adjudication D'UNE MAISON, avec son Fonds et terrain a I'usage de boucberie, située rue Courle Fla- mande a Wcrvicq, occupée par Jo seph Kindts jusqu'au 4r Octobre 4879. Studie van den OPENBARE VERKOOP ING van zes perceelen De Notaris Tuylslekc, verblij vende te Staden, in rechte benoemd, zal overeenkomstig de wet van 42 Juni 1846 en ten overstaan van den beer Vrederechter van liet. kanton van llooghlede, openbaarlijk te koop bieden de volgende onroerende goe deren: Gemeente Staden. A. Langs de Ommegangstraat, Koop een lot en met zes; uitmakende eene partij Zaailand groot 67 aren 40 cen tiaren. Nr 4492 der sectie A. EL Langs de Kleine Veldstraat, koop 7. Eene partij Hooiland van 27 aren 80 centiaren sectie A, Nr 4521. Die goederen zijn gebruikt dooi den medeverkooper J. Van Ysackeii, tot 4 October 4879. Deze veiling geschiedt in eene zit ting bepaald op MAANDAG 5 MF11879, om 4 ure's namiddags, ter herberg: Café Beige, bewoond door Felix Wil- laeut, te Staden. ce point d'intefSection da t n I a /'111ft 1111 la liberté et de Taction uvernementale que plusieuvs systèmes se sé- ^0.ent par rapport a la question qui nous occu- Jie'aajourd'hui, il est important de la poser avcc netteté et franchise. - Puis la section centrale sign alait trois systèmes nrincipaux. D'après le premier, l'Etat a le droit et le devoir il'i'iisi'iffner' e' 'a ''berté d'enseignement signifie 'jeii'lèment que Ton peut ériger des établisse ment* libres on concurrence avec ceux du pou- voir Dans ee système, la Constitution impose [■obligation d'un enseignement complet aux frais da trésor public. D'après le second système, V Et cd ne doit, ni ne peut enseigner, et la Constitution n'a établi que la faculté de eréer un enseignement. Un troisième système aftirme que YEtat ne doit pas enseignermais admet, s'il y a utilité, qu'il peut enseigner. Ses partisans, ajoute le rapport, rejettent le principe qui donne a l'Etat la mission spéciale d'enseigner, principe qui est au fond le métne que celui proclamó il y a quarante ans par la Convention nationale de France et d'après lequel 1'enfant appartient plu tót a la république qu'a ses parents; its le rejet tent paree que la liberté d'enseignement, pro- clctmée par la Constitution, au lieu de dominer en Belgique tbute loi sur cette matiére, ne serait plus qu'un faible accessoire qu''absorberait bien- tót Paction gouvernementale,. Voici on quels termes la section centrale, au sein de laquelle siégeaient cinq membres du Congrès et qui représentait l'opinion de la Cham- bre de 1835, rejeta ónergiquement le premier système, qui n'est autre quo celui que Toil vent faire prévaloir aujourd'hui Le premier système lui a paru une rémiuis- cence de celui do TEmpire, dans iequel nous avons presque tous étó élevés et qui sup[iose un ord.re de choses inconciliable avcc nos liber ies politiques; cette doctrine implique la creation d'un enseignement. national destiné non-seule- ment a établir une concurrence avec les établis- sements libres, mais a présenter seul les carac- tères de stabilité et d'unitó. La section centrale a pensó que Partiele 17 de la Constitution était inconciliable avec cette doctrineet, en efi'et, eet article commence par établir la liberté illimitée de Tenseignement privé, tandisqu'il restreint Tenseignement donné aux frais de l'Etat dans les limites d'une loi a intervenir. Le gouvernement, dans l'espritde la Constitution, bien loin done d'avoir le soin prin cipal de Vinstruct ion, ne Va que d'une manière exceptionnelle et limitée, et le Congrès a tene ment plus comptó sur la liberté que sur l'Etat pour doener plus d'activité et d'étendue a l'in- struction et aux lumières, qu'il en a coniié le ro le important a eelle-la (laliberté), laissant en suspens Taction de celui-ci (l'Etat) jusqu'a ce qu'uneloil'ait réglée.... Si les institutions libres ne sufflsent pas aux besoins des populations, alors l'Etat est obligé de suppleer au manque d'aetion de la liberté. Le principe de la non-intervention du gouverne ment dans la sphère de Tenseignement n'ótant adrnis que pour laisser une allure plus indépen- dante auxétablissements fondés par la liberté, si la liberté n'en foude pas, si elle fait défaut, il faudra bien admettre que l'Etat puisse et doive combler cette lacune. 11 nous a paru que ce principe était celui qui otfrait Tinterprétation la plus rationnellede Tart. 17 de la Constitution... Le [lassage du rapport de M.Charles de Brouc- kere au Congrès qui est relatif a Tenseignement indique clairement ce sens; voici ses paroles - L'artiele relatif a Tenseignement n'a pour ainsi dire rencontré aucune objection dansles sections; "neseule avait désiré line redaction plus large du second paragraphe, crciignant qu'onne tirdt de la redaction primitive la conséquence obli gee d'un enseignement aux frais de l'Etat. Gela ne veut dire autr/Tcn'ese sinon ([ue cette section craignait qu'ov, ne tirat de la redaction primitive une conséquence qui n'était voluepar pèrsonnc, et pa'i conséquent l'enskignhmknt auxfhais iik i.'Etat n i'.ji'fas, dans i,'intention I'd LEGISLATUUR, UNE OBLIGATION, UNE NÉCESS1- 'rn absolve et perpétuelle; e'estune question d'utilité. «jSrsHKO ►-3 üo ra>r oo J2. >r- S S i C c c_ 10 T- - w w I Sr w w ■e- w 1 jö z ie -j S-2 5 5 S T3 t r P3 ■y re O 31 I CC 'Jt 31 5 I I i I S I N OS ff ff- tO OC ff 'wj KS CC Cj cc e- f® *s Cj jr- Zt O 1 u, 1 I I Mol re rê C 5 2 n ic (X j KI I 3=1 I I l Silo S I I M I s n 5o 5 ff O-J I -vl 07 ci O O I M C» 3! I II I I I 1 I I ft c o ff it O O O O 5 7T I g I I O I O O O M O O O O CC O o ?r 7T 7- OO I <1 I M CO CO ff ff ff to C/J CS! 1 to GO co 7. N I Kt M M I to -O', co GO 05 «ff: O ff C g.c/> I to C*5 1 o 'il - E M i 1 V l I W» W «ff w I I y, C IC ff II I I M 1 Oi "ZZ "X1 O SSg i S: l I I 1 I I o 00 I I I ff co II II I g M O r- F gi 2 1 o I S I r ff ff S X o O o iTv ff O pr ■- TE TT tO M) M M M •O M cr. CX «-"I I I I I s»l 1 I CS 10 I M M ZO C tO I ff w- ff sc H rA i: 'y.- O re^ - tóp. p; J. TT. w rr -V W M - bi W C - 05' ZZ 3 b 5 =- ff ff. O - O ff I ,sS M) CO I I I II I I I M) I CO ff 1 M 1 O- - cd zn ÏC 2 "O CD ff to DO I ff 00 ff ff O ff! I aQ zi to CD r-M: tO co 00 ff. 2 2 -I 'w I I CO ff. C ff N SJ c -3 &E K co 2 - CD 1 du 25 Avril au 2 Mai 1879. NAISSANCÉS Sexe masculin 3. kl. féminin 6. DEC Cs Hooren Joseiihine, 87 ans, sans profession, I veuve de Dtiflou, Joseph, rue de l'Hópital St- j Jean. Vandenberghe Eustache, 75 ans, jour- j nalier. éponx de Vandenbrouck Marie, rue lon gue de Thourout. Gillebert Barbe, 69 ans, sans profession, veuve de Geldof Amand, Grand' Place. Verhaegho Charles, 70 ans, boulanger, éponx de Daheyno Colette, rue longue de Thou rout. Enfants au-dessous de 7 ans. Sexe masculin 1. ld. féminin 2. j de 'A DSciiiiighdtii. TE StaDLN. GELEGEfJ TE STADEü, BIJ 'T DCRP.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1879 | | pagina 3