BELLE FERME li 'lil 11 VENDITIE 11^ 1 ■lil I Am MAAIGRAS OP STAM, L. SI ROUX et FuT, D'ORNEffiESTS EN PLATRE, P 1 A i\ O S ij li isliE KLEIN HOFSTEDEKEN, TWEE HUIZEN A VENDUE EN LA VILLE D'YPKES. PARAPLUIE S. ajoute notre coirespondant, Je peuple mur- mure. Serions-nous en presence d'un impair •i mettre a l'actif de M. Rolin-Jaequemyns, qui a nommé it ce poste M. Goupy de Beau- volers? Hatez-vous, bons fonctionnaires de la libre Belgique, d'interdire ;i Mesdames vos épou- ses la participation aux oeuvres pies. Recom- mandez-leur une messe matinale et écourtée, si vous ue pouvez les en empêcher compléte- nient. Lit au moins elles courront moins ris que d'etre vues. Enlevez soigneusement les crucilix et les images de la Vierge. Ne laissez pas trainer sur vos tables les livres de prières de vos t'emmès et de vos filles. Car on pour- rait venir etM. Rolin le saurait! Bibliographic. Faits divers. Socicté de la Concorde PROGRAMME du T Concert d'été, qui sera donné Dimanelie, 8 Juin 1879, il 6 heures de relevée, par la musique du 1' Régiment de Ligne, sous la direction de M. Ch. Simar. Osman-Pacha, marche (Stennebrugen). Guillaume Teil, ouverture (Rossini). An dante de la symphonie, en-sol majeur (Havd'n) Polka, pour piston et bugle (Strauss). Jerusalem, fantaisie (air: Derette). La va gue, valse (Metra). E/lBIustratiou ^uropéeiiiie. JLe Msasée du cJesme Age OP DONDERDAG 12 JUNI 1879 (II. Sacramlntdag), ten 1 1/2 ure namiddag, door r. de GrRGöTE, Gretficr te Dixmude, ten ver zoeke van Mevrouw Cassiebs, van: Eiken Boomjes en Plantsoenen Elzen en Populieren, Larijxen, boom- kroonen, S|)aandcrs, snoekbusschen en blokken. 's Morgens Zitting voor de betalin gen bij P. Meersman. Studie van den UsOTTA H5.E.*4 1' II ASTÈHK, TE STA DEN. Openbare Yerkooping EN EElNife TWEEWOONST, TE STADEN. De notaris VUYLSïEKE, te Staden verblijvende, zal, met liet houden van twee zittingen in het openbaar te koop bieden. ÉicMiccidc laden 1" Koop. Een Woonhuis, Stalin gen, Schuur, Ovcnbuur, Hovenierhof, Boomgaard en Weide, rondom in ha gen groot 29 aren 90 centiaren, sectie D, Nrs 100,101,102 en 103. 2e Koop. 44 ai'en 30 centiaren, sectie D, Ns 98 en 99 van 't kadaster. Deze twee koopen ie samen uitma kende een klein Hofstedeken, gebruikt door den eigenaar sieur Leonardus Capelle-Trybou, tot 1 October 1880. 3e Koop. Een Huis en 6 aren 30 centiaren Grond en Hovenierhof, sec tie D, N" 104a en' 104b. In pachte bij Leonard Koffez, tot 1 October 1880, mits 60 fr. 's jaars. wijk 't stampkot. 4° Koop. Een Huis en stalling met 4 aren 70 centiaren Grond en Weide, sectie E, N's 1579 en 1580. 5C Koop. Eene Tweewoonst met 1 are 26 centiaren Erf. Deze twee laatste koopen gebruikt door K. CornaertCecilia en Rosalia G/ieskiere, mits 5 fr. 50, 3 fr. 50 en 3 fr. te maande. Instel: DONDERDAG 12 JUNI j ,S7Q Overstay: 26 In dlhcrberg la Belle Vue bij Ch. Dekctelaere, Statiestraat, te Staden, om 4 ure namiddag. D'ÜRIGUJE PATRIMONIALE Commune de Bixschote. Une Belle et Bonne FERME, d'une contenance de 22 hectares 55 ares 90 centiares, située a Bixschote, ar rondissement d'Ypres, a Test, prés du village. Occupée par le sieur Charles War - lop, Mise-a-Prix settlement a 85,000 fr. L'ADJUDICATION DEFINITIVE, JEUDI 19 JUIN 1879, a 2 heures de relevée a l'estaminet Cour de Sle Barbe, Marché au Bétail, a Ypres. Par Ie Ministère du Notairc VAN- dermeersch, résidant a Ypres et, a rintervention de son collègue Me LEH0N, Notaire a Tournai. Studie van den NOTARIS VALCKE, TE DIXMUDE. Op WOENSDAG, 2 JULI 1879, om 3 ure namiddag, ter herberg de Dank baarheid, op Merckem-dorpplaats. KOOPDAG VAN 40 hektaren allerbeste binnen MERCKEM en WOUMEN. Verdeeld in 73 koopen. PLACE VACANTE. Entrepreneurs de plafonnages, WpécialKés Gros et détail. M. Heeren, Docteur-Oculiste a Courlrai, donnera des consultations a Ypres, Hotel de la Tête dOrrue de Lille, le Samedi de chaque semaine. M. Herren. Doctor en Oogkundige le Kortryk, zal den Zaterdag van iedere wepk kunnen geraadpleegd worden in het Hotel hel Gouden HoofdRysselslraal, te Ypereo. ,lp iu LA VRAIE LUMIÈRE. La seconde' livraison de cette importante pu blication viont de paraitre. Ce second numéro est des plus instruetifs. II contient, outre des documents magonniques inédits, des revelations personnelles sur les principaux meneurs du parti libéral, révéla- tions appelées it un certain retentissement. L'au- teur y démontre avec une grande force d'argu- mentation et des preuves matérielies écrasantes, que le libéralisme et la franc-maconnerie ne font qu'un et veulent la même chose: détruire la religion catholique au moyen de l'Etat maitre d'école et óter toute liberté aux catholiques, aux families chrétiennes au moyen des lois et de la politique proprement dite. Yoici le sommaire de ce second numéro L'affiche blanche. Un dialogue La chan son de l'art. 4. Ce que chante l'exposé des mo tifs. Le truc. Questions et réponses. I.'in- stituteur a trois faces. La familie et l'école. Une supposition. Les libéraux et les Francs- macons. Paroles du F.-. Grisar (1845). Paro les du F.'. Boulard (1854). Paroles du Fr. Ver- liaegen. Les journaux et les élus de la Loge (liste des plus curieuses). Les FF.\Ministres et les FF.-, représentants. Comment le Fr. Frère a étó initié, Paroles du Fr. Goblet (1864). Une circulaire. La Franc-maconnerie en- nemie del'Eglise. Un serment. Kous croyons ne pas nous tromper en prédi- santau second numéro de la Vraie Lumière un succes éetatant. 11 sera traduit en flamand. Cette publication qui comptera plusieursnu- méros encore, formera un volume composé en grande partie de documents inédits et de la plus grande importance sur le róle de la Franc-ma connerie dans la question capitale de l'enseigne- ment. Nous ne saurions trop engager le clergé et nos amis du mouvement catholique a répandre dans ie pays les rayons de la Vraie Lumière. llsdis- siperont les ténèbres dans bien des esprits et ouvriront les yeux a bien desaveugles La Vraie Lumière est mise en vente, rue Montagne-aux-Herbes-Potagères, 10, Bruxelles etchez tous les libraires du pays. Prix 15 centimes la livraison. On prépare en ce moment la'Sm" édition de la l'e livraison. On recevait, avant-hier soir, a la station de Land, le télégramme que voici Oublié dans le train delöh. 50 un enfant de sixmois, un parapluie et un paquet d'effets. On crut a une mauvaise plaisanterie. Pourtant le fait était exact. Enfant, paquet et parapluie avaient été recueillis par le chef de station d'A- lost. Au moment oü les combles sont a la mode, eest bien ce qu'on peut appeler le combiede la distraction. - Ezels van Schaerbeek, est une locution res UBbée dans le pays, et voici que des loustics ecet endroit s'efforcent de la justifler: ils vont rir a M. Bergé une statuette représentant la Liberté de l'enseignementCoitfé d'un bon net phrygien sans doute Eugene J 'Kint, 1 ancien chef de bureau, su nt sa peine a la prison cellulaire de Louvain. et homnie, que nous avous vu d'une énergie si lière pendant les dóbats, a snbitement perdu tou te assurance le jour oü le rejet de son pourvoi en cassation dernier espoir lui a été notilié et et qu'il lui a fallu endosser, pour aller a Louvain, la triste livróe des condainnós, et la cagoule en laine que le condamné est tenu de porter sur la figure chaque fois qu'il se trouve on peut se trou- ver en contact avec ses compagnons decapti- vité. Quand on lui a fait subir la toilette, qu'on lui a rasé la barbaet tondu les cheveux, le coup a été dur pour T'Kint, eet homme de toutes les elegan ces, qui poussait le raffinement ace point que, fuyant vers l'Amérique, la police beige lancée a ses trousses, il em porta dans ses bagages, l'habit brodé qu'il revètait pour assister aux fètes de la Cour. Habitué, pendant sa détention aux Petits-Car- mes, a des ménagements particuliers et a une existence relativement somptueuse la Banque avait voté un crédit de 40,000 fr. pour son entre- tien et sa défense il se révolte ii l'idóe de su bir le sort commun des condamnés, réciusion- naiies et, pendant les trois premiers jours, se refusa absolument a prendre aueune espöce de nourriture. Les exhortations de l'aumonier, et plus encore peut-être les sommations du directeur qui le menaqa de lui faire introduire de force dans l'esto- mac des aliments liquides, le décidèrent enfin a renoncer a sa resolution. Aussi, depuis qu'il a renoncé a se laisser rnourir de fairn, il dévore, et le directeur de la prison cellulaire a été obligé de lui faire distribuer des rations supplémentai- res. Malgré cela il dépérit, et il semble peu proba ble qu'il ait la force de santé nécessaire pour arriver a l'expiration de sa peine. D'une éner gie étonnante tant qu'il a pu lutter et espérer, il est tombé dans un abattement complet depuis qu'il s'est vu irrémissiblement vaincu. C'est probablement a cause de cette situation de défaillance. en même temps physique et mo rale, quo l'admmistration des prisons lui a ac- cordé la faveur de ne pas être astreint a un tra vail manuel. Le travail étant cependant obliga toire dans la maison cellulaire de Louvain, on lui fait copier des dossiers pour le barreau de la villeet des cahiers pour les élèves del'Univer- sité catholique. Je plains sincèremcnt les avocats et les étudiants qui auront a se servir des roles et des cahiers copiés par T'Kint. II avait une éeriture déplorable. (Figaro.) (extra-miiros.) En cas de mauvais temps, ce programme ser- vira pour le concert suivant. ËTAT-C1V1L DE LA VILLE D VPRES, du 30 Mai au G Juin 1819. NAISSANCES Sexe masculin 2. ld. fómininft. MARIAGES Hubert Henri, journalier, et HofAlixe, dentel- liére. Delanghe Hippolyte, teinturier, et Be zitter Marie, dentellière. Beun Theodore, paveur, et Laurie Virginie, dentellière. Vanu- xem Auguste, forgeron, et Verbrugghe Louise, tailleuse. Goflyn Victor, menuisier, et Deslae- ve Marceline, repasseuse. Micluel Alphonse, journalier, et .Malfait 1de, dentellière. DÉCÈS Beun barbe, 59 ans, dentellière, épouse de Craeye Francois, Zaalhof: Everaedt Pélagie, 88 ans, sans profession, veuve de Brault Désiré, rue l'höpital St-Jean. Enf'ants au-dessous de 7 ans. Sexe masculin 0. ld. féminin i. 9e ANN ÉL d'lXISTENCF.. 10.50 fr. franco par an. 2.85 francs franco par trimestre. Sommaire nu N°. 31. Gravures M. Jules Anspach, d'après une Photographie de Ghémar Frères. Le Réveil d'un Bébé rustique, d'après M. Meyer von Bro- men. Une audience chez Agrippa, d'après M. AlmaTadema. L'Hóritière de Duivenvoorde. Le Vainqueur. Texte A nos Lecteurs. Nos Gravures. Ghronique deqa dela. Gonnaissances usuelles de la Semaine. Portrait historique du Cliarla- tanisme. Larmes de Femmes. Eléonore de Rouge-Cloitre. Roman. L'Héritière de Duiven voorde. Hisloire de la Lutte entre les Hamecons et les Cabillauds. Rébus N°. 8. (4.25 frs. franco par an). Sommaire du N"° 9. Gravures: Julien et Julienne. «Julienne pria eet homme de la laisser attendre dans le vestibule. La petite Bouquetière. La Le- con du Grand-Pêro. Les Vaisseaux du Désert. Texte: Julien et Julienne, ou Histoire de deux Orphèlins. La petite Bouquetière. La Lecon du Gr and-Père. Les Vaisseaux du Dé sert. Le Goüter. Entretien d'un Père avec .ses Enfants sur l'Art Épistolaire. Quatre Pen- sées. —.Discours d'un Renardmourantases Fils. on s'aböNne au isuruau du journal. van een WIJK STADENltEKE, Une compagnie de premier onlre d'assuran- ces, incendie et vie, demande un agent expéri- menté, ayant de bonnes relations. S'adresser avec references aux initiales G. L. poste restan te, Anvers, Station. (17,600.) POUR SALONS. ETC. Rue Vieux Marché au Bois, 12 V Pit ES. Te verkrijgen bij MOERMAN, Vader Zoon, KLVERDINGHESTRAAT, N° 50, goede nieuwe PIANOS, te beginnen van 600 tot 1000 fr., ge maakt naar de beste fransche facteurs. Hij neemt ook oude pianos tegen verwisseling over. Al de instrumenten zijn verzekerd voor het termijn van twee jaren. Voulez-vous Hcheier des Farapluies, Otubrelles, Encas élégants, solides el meilleur marché que parloiit ailleurs? Allez au Sl Médmid. face des Halles (ancienne maison Antony) Grand'Place, a Ypres, chez H EMMERY-ÜECOllT, ci-devant coin de la rue au Béurre. I' ïïi B? i Dfe A Ufl m\

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1879 | | pagina 3