MEUBELEN,
MEUBELEN,
WOONHUIZEN,
ONROERENDE GOEDEREN,
WMELGERIEF,
VRUCHTEN TE VELDE,
WEI- EN ZAAILANDEN,
VRUCHTEN TE VELDE,
LAMSALM ES IlftPPEPEBSSES,
TE PASSCHENDAELE,
MENAGIE-GOEDEREN,
BEESTIALEiN EN VELDVRUCHTEN,
Le Tribunal de première instance d'Ypres,
siégeant consulairement, a par jugement du
19 courant rendu sur aveu, déclaré la faillite
dc Monsieur EMILE YERGRACHT-GHYSE-
LINCK, négociant en bois, it Ypres.
L'ouverture de la Faillite est fixée provi-
soirement au premier du présent mois.
La déclaration des créances se fera au
greffe du dit tribunal avant le 7 Aoüt pro-
chain.
11 sera procédé, au Palais de Justice, ;i la
cloture du procés-verbal de vérification des
créances le 25 Aoüt 9 heures du matin, et
aux débats sur les contestatons naitre de
cette vérification le 12 Septcmbre la même
heure.
Monsieur le Juge Messiaen est nommé
juge-commissaire et le soussigné curateur.
Ypres, le 20 Juillet 1879.
SI. Coïaea'i, Avl.
STUDIE
van Mtor V Si Y Sj fc» l1 m St E
NOTARIS TE STADEN.
A. VENDITIE
bestaande in:
Tarwe, Rogge, Messellioen en Vlas,
alsook van verschelde koopcn Brand
hout en eenige Menagie Goederen.
OP DONDERDAG 24 JULI 1879,
om 2 uren nanoen op d'hofstcde
gebruikt door Joannes Capelle, bij
't Lindeken te Staden.
53. OPENBARE VERPACHTING
toebehoorende aan de kerkfabriek
van Staden, breedvoerig beschreven
bij uithangende affichen.
DONDERDAG 31 JULI 1879,
om 2 uren namiddag ter herberg
S' Amand, bewoond door A. Vanbier-
vliette Staden, in het dorp.
liet kohier van lasten en voor
waarden dezer verpachting is berus
tende ter studie van voornoemden
Notaris VUYLSTEKE, ter inzage der
gegadigden.
Kantoor van den
mi" C:YD.*KK.TjK. IVOTJLllIS
TE WATOU.
inhoudende 1 hekt. 61 aren 33 cent;
ISosch is» Westvleteren,
inhoudende 5 hekt. 16 aren 80 cent.;
Ks» tSrse
Wooiihiilzcii en dependentiën
grond van gebouwen,
hovenierhof en weide te Vlamertinghe
bij de plaats,
inhoudende 96 aren 23 centiaren.
Gebruikt door verscheidene en af
hangende der erfnis van den heer
Van Egroo-Frutsaert.
MAANDAG k AUGUSTI 1879,
om 2 ure namiddag, te Beveren, bij
het dorp Rousbrugge, ter hofstede
voor dezen gebruikt door de weduwe
Dcmaerel-Behaeghelen nu laatst
door den overleden Henri Dannoot,
Openbare Yerkooping
ï&saSgi esa B4s*«*rna33»am.
II EEST [ALEN
en Vruchten te Velde.
Om alle inlichtingen te bekomen,
gelieve men zich te begeven ten
kantoore van voornoemden Notaris
CAPELLE, alwaar alle tijfels, plans,
enz., berustende zijn.
Ruchtbaarheid.
MAANDAG 28 JULY 1879,
9 uren voormiddag, ten huize be
woond door Hortense Jonckiieere,
buiten dc Ryssclpoort, te Yper,
Yemlitic vu»
AKKER ALL YEM, WAGEN,
enz., enz.
Door 't ambt van den Deurwaerder
CHARLES COSTENQBLE, t'Ypre.
Door verandering van woonst.
YEKDITIE
Bibliographic.
Nominations ecclésiastiques.
Faits divers.
S/f[ 3 lustration BSuropéemic.
iLe Mïessée «3S3 «ïcune Age
VRIJDAG 25 JULI 4879.
om 4 ure na middag, te Haringhe en
Proven, langs den keiweg van Watou
naar Proven, nabij den Kleinen
Keirsel,» ter hofstede en landen laatst
gebruikt door den overleden Karei
Derycke.
Vendible van
XUiP - KEER!) - EH AKKERALLAAEI,
Wageiitiarim$p!i.
WOENSDAG 30 JULI 1879,
om 3 uren namiddag, te Stavele, ter
herberg de Geldput,
Licitatie verhooping
TE STAVELE,
in gronde 2 hekt. 61 aren 20 cent.;
'ifoïaïiansS eis HSoncïi.
TE CR0MBEKE,
De Notaris O'HUVETTERE, te Zonne-
beke, zal ten verzoeke van Félix
Demey, landbouwer te Passchcndaele,
op d'hofstcde door hem gebruikt, bij
venditie verkoopen
1° Op MAANDAG 28 JULI 4879,
om 4 ure namiddag,
4 hectare50aren schoon Vlasopstam.
2° Op DONDERDAG 7 AUGUSTI 1879,
om 9 ure 's morgens,
3 hectaren Tarwe,
2 hectaren Rogge,
2 hectaren 30 aren Aardappels,
3 hectaren Haver,
2 hectaren 20 aren Peerdeboonen,
voorts 2 Wagens, 2 Karren, 2 Ploegs,
2 Eegden, Zool, Kegge, 2 Karteelen, 7
Aalkuipen en 3,000 Iloppeperssen,
enz.
N. R. Het Landsalm en de Hoppe-
perssen zullen in den voormiddag ver
kocht worden.
Deze venditiën zullen geschieden
met tijd van betaling voor de koopen
boven de tien francs, mits borg te
stellen ter vergenoeging van genoem
den Notaris B'HUVETTEBE.
I
van
van
van
van
wijk 's Graventafel.
Nous exprimons notre satisfaction au sujet des
tendances paciflques exprimées par le chancelier
dans son discours, tendances qui nous font espé-
rer que los efforts, incessants faits par N. S. P.
le Pape, en vue d'amener la fln du conflit, ne
resteront pas infructueux. Le balancier de la
grande horloge politique penche du cötédroit....
Le centre aura dorenavant la tache de veiller a
ee que personne ne derange le mouvement. La
tache la plus pressée est maintenant la cessation
du kulturkampf el le rétablissement de l'ordre
dans l'Église et dans l'ócole. Falk est parti; les
tristes résultats de son ministère sont encore la.
11 s'agit de les faire disparaïtre et de rendre a
l'Église honnie ses droits et ses libertés, sans
lesquels elle ne saurait remplir sa mission.
Le DEVOIR DES CATHOLIQUES DANS IA QUESTION
des écoi.es Société de Saint-Augustin. De Brou
wer etC°. Bruges, rue d'Ostende. 1879. Prix:
Edition de Luxe 40 centimes. Edition populaire
25 centimes.
La publicité des journaux ne suflltpasquand
il s'agit d'enseignements qu'il faut garaer a por-
tée de la main afin de les méditer a loisir, de s'en
bien pénétrer et d'y conformer sa vie. Chez la
plupart des catholiques, le journal n'estqu'un
passant bien accueilli qui ne séjourne pas. Les
uns se Latent de l'interroger et, leur curiosité sa-
tisfaite, se chargent d'aller porter a d'autres,
avec les nouvelles du jour, l'éternelle et toujours
nouvelle vórité ce sont les pourvoyeurs du col-
portage de la bonne presse; les autres le jettent
aux vieux papiers afln que sa destruction serve
encore la chère cause dont il fut un jour le héros
et le soldat: d'autres gardent la collection, e'est-
a-dire qu'ils empilent chaque numéro entre celui
delaveille et celui dulendemainjusqu'ace que
le trimestre étant róvolu, on fasse du tout un pa-
quet qui va rejoindre les années enterrées dans
la poussière des greniers.
La Société de Saint-Augustin a fait oeuvre utile
en rééditant ensemble, malgré leur première
publication, trois appels d'origine et de forme di-
verses, maïs qui tons trois tendent au même but:
la fondation des écoles catholiques. C'est d'abord
la Lettre pastorale collective, dans laquelle NN.
les Kvcques de Belgique tracent aux fldèles les
devoirs qui résultent pour eux de i'abrogation de
la loi de 1842 document fondamental qu'on ne
saurait trop souvent se remettre sous les yeux.
C'est ensuite l'écho fidéle que donnait a la lettre
pastorale, dans les vieux murs de Bonne-Espé-
rance, la voix de M. G. Verspeyen, lors d'une
récente assemblée catholique.
Enfln la brochure se termine par un article du
Bien public 1'examen' de conscience d'un chré-
tien 'généreux qui, son budget refait sous Treil de
Dieu prend dans les sacrifices qu'il s'impose le
droit de dire a ses pairs Agissez demêmeet
l'enfant sera sauvé Nous ne craignons pas de le
dire, quiconque lira et méditera cette excellente
brochure se pénétrera profondément du devoir
qui s'impose a tous les catholiques de contribuer
a TCEuvre des écoles chrétiennes dans toute la
mesure de leurs moyens. Une édition de propa-
gande est sous presse et seramise incessamment
en vente.
Mgr l'Evêque de Bruges a nomnié curé a An-
segliem, M. DeCannière, prévóta Heule (Water
molen.)
Son Insuffisance Roiin vient de se signaler
de nouveau par une anerie des plus colossales.
11a fait publier dans le Moniteur du 13 Juii.let
un tableau résumant les renseignements parve
nus au département de Tintérieur dans les pre
miers jours de juin. A cette époque, dit la
feuillo officielle, ils faisaient présager, dans
leur ensemble, une recolte satisfaisante; mais la
persistance du mauvais temps exercera sans
doute une influence défavorablè sur beaucoup de
produits.
En ce cas, pourquoi ne pas les avoir publiés
au inois de Juin ets'ils ne sont plus exacts pour
quoi les publier aujourd'hui
Dans la séance du 7 Juillet du conseil pro
vincial du Haiuaut la discussion de Tart. 31 du
budget concernant les centimes additlonnels au
principal des contributions directes pour les be-
soins de l'enseignement primaire a donné l'oc-
casion a M. Englebienne, le nouveau conseiller
provincial d'Enghien, de declarer quelle attitu
de la minorité catholique était décidée a tenir en
face de la loi de 1879 sur l'enseignement. Elle
votera les centimes additionnels parce qu'ils
sont obligatoires; mais elle se fera un devoir de
refuser son vote a tout crédit faeultatif sollieité
en faveur de l'enseignement primaire et elle aura
a coeur de combattre la loi de 1879 dans tout ce
qu'elle n'a pas d'obligatoire. L'orateur estime, en
effet, que cette loi n'est pas seulement une loi
de guerre et une loi de malheur,niais qu elle
est anti constitutionnelle sous bien des rapports.
Funkraili.es du prince Louis-Napoleon.
Le Figaro dit a propos de l'ouverture du cer-
cueil et de la constatation d'identité
L'évanouissement du matheureux Uhlmann,
le valet de chambre du prince, est trop justitie
par l'aspect du cadavre, qui est horrible.
II ne fallait rien moins que la volonté de re-
voir les traits du prince, pour le retrouver dans
ee visage tuméflé,' bleui par les seis arsenicaux
qui avaient servi pour Tembaumement.
L'osil droit n'offrait plus qu'une cavité noire
et profonde, et la lèvre supérieure, coupée par
une atroce blessure, donnait a la bouehe un épou-
vantablo rictus, laissant les dents a découvert.
Les moustaches, conservées, permettaient de le
reconnaitre encore. Quant au oorpsqueles opé
rateurs avaient dü ouvrir, la peau qui le recou-
vrait n'offrit plus qu'un hideux róseau de coutu-
res etde cicatrices. Au milieu de la gaze blanche
qui les enveloppait, ces pauvres restes parche-
minés, noircis, faisaient un épouvantable con-
traste.
Mais il était donné a M. Rouher ot aux autres
amis du prince de subir une épreuve plus dou-
loureuse encore. On décida qu'il devait être fait
constatation des blessures. Ce fut une dimi-heure
navrante qui fut employee par les docteurs Lar-
rey et Gorvirart a rechercher sur le corps des
traces de la lutte dans laquelle le prince avait
succombé. Ils ont compté sur le cadavre dix-
huit blessures, y compris celle de l'ceil droit;
toutes sans exception recues de face prouvent
que le prince a tenu tctejusqu'a la dernière se
conde a ses assaillants. Le bras droit seul est
resté intact, comme pour démontrer la vaillance
de l'épée qui l'armait.
La Lumière électrique, revue d'électricité
qui se publiesous la direction de M. le comte du
Moncel, membre de TAcadémie des sciences,
contient dans son dernier numéro une intéres
sante étude sur l'emploi du téléphone en Amé-
rique.
Get instrument que bien des personnes regar-
dent comme un simple jouet impropre aux usages
pratiques s'est propagé aux Etats-Unis d'une
manière vraiment extraordinaire.
On calcule qu'il n'y a pas moins do 26,000 télé-
phones Bell, actuelleraent d'une usage quotidien
aux Etats-Unis. Tous ces instruments sont loués
et exploités d'après le systètne d'échange. Cha
que grande ville a son bureau central d'oü
rayonnent des lignes de téléphones en communi
cation avec les demeures et les bureaux des
abonnés dans n'importe quelle rue ou faubourg.
Lorsqu'on désire converser avec quelqu'un dans
un quartier différent de la ville, on avertit le
bureau central en faisant fonctionner une sonnerie
d'appel et en parlant au moyen du téléphone.
L'employé du bureau établit alors au moyen d'un
commutateur la communication directe avec la
personne dont on veut se faire entendre. Dans la
seule ville de Chisago, il se fait ainsi au bureau
central plus de 8,000 appels par jour.
Au Brésil, des communications télóphoniques
ont été établies récemment entre de grandes
plantations, diverses propriétés privées, et des
administrations gouvernementales. A Rio de
Janeiro, le sénat a été relié a ia chambre des
députés au moyen de téléphones Gower.
Programme des nioreeaux d'harmonie qui seront
exécutés le Jeudi, 24 Juillet, a 8 1/2 heures du
soir, sur la Grand'Place, par la Musique du
corps des Sapeurs Pompiers, sous la direction
de M. Wittebroodt.
Carmen, marehe (Bizet). ITaydóe, ouverture
(Auber). Madame Favart, fantaisie (arr. Witte
broodt). Les cloches de Cornevillo, bouquet
de mélodies, (Planquette). Pizzicato, polka,
(Strauss).
9e AN NÉT d'EXISTENCE.
10.50 fr. franco par an.
2.85 francs franco par trimestre.
Sommaire du N°. 37.
Gravures. Une Rose au Bonnet de Grand'-
Móre, d'après M. Axenfeld. Nouvelles Physio-
nomies bohémiennes, d'après M. W. Bougereau.
La Surprise, d'après M. L. Löffler. L'Héri-
tière de Duivenvoorde. Le Chatiment.
Textf, Nos Gravures. Connaissances
Usuelles de la Semaine. Une Excursion au
Mont Etna. Les Potages. Les Amitiés férni-
nines. Un Prestidigifateur devant des Arabes.
Du Régime diétólique cbez divers Peuples.
Usage multiple du Parapluie. A Table.
L'Héritière (le Duivenvoorde. Episode de la
Lutte entre les Hamecons et les Cabillauds.
(4.25 frs. l'ranco par an).
Sommaire du N° 42.
Gravures: Julien et.Julienne, J'ai dessoup-
§ons, rnais je n'oseparler. Une Chasse au
Sanglier. Giotto. Lecon de Dessin N° 6.
Texte:— Julien et Julienne ou Ilistoire de
deux Orphelins. Histoire naturelle. Le San
glier.—Galerie des Enfants cólèbres. Gioito, le
jeune Patre. La première Dent. La dernière Dent.
Laure et sa Fleuriste. Le Sucre.
ON S'ABQRNE AU BUREAU DU JOURNAL,
til
van