WOONHU.
4 WEIDE,
EIGENDOM
ONROERENDE GOEDEREN,
1 EENE BROUWERIJ,
ZAAILAND EN BOSCH,
EENE GOEDE YET WEIDE,
2 EEN WOONHUIS,
3" DE HERBERG DE GELDPOT,
ZAAILAND EN HAAIGRAS,
EIGENDOM,
PNElN SCHOONEN HOYENIEHHOP,
Chronique judiciaire.
Faits divers.
Troubles a Menin.
ÉTAT-CIVIL DE LA VILLE D'VPRES,
Kantoor van den
TE WATOU.
VERKOOPING
le Slavele, Crombeke
Westvleteren en Vlamertinglie.
lÊHsssifievc
DINSDAG 19 AUGUSTI 1879,
om 3 ure juist namiddag, te Stavcle,
ter herberg genaamd St Joins, be
woond door sieur Decorte-Verbouwe,
A. Gemeente Stare te,
Ier plaats.
Herberg en Grossierswinkel.
Niet ingesteld.
dcsM'üilenMën.
ÜEoirtiicrii»f. SSerfferg-,
le Stavele-lToekje,
(volgens do nog uithangende affichen,
koopen 3,4 en 7.)
Gebruikt door jufvrouw Elisa Van
Ugroo en weduwe Sa-ken pró.
In masse ingesteld 9,000 fr.
(op bet affiche koop 5).
Ingesteld 2.000 fr.
daarachter (koop 6).
ingesteld 7000 fr.
Lartcjs de Eversamdreve.
5" 1 hectare 46 aren 34 centiaren
(kooperi 8, 9 en 10 van voormelde
affiche).
Ingesteld 8.000 fr.
BGemeente Cromheke
langs de Doorn- en Ifondstraat.
1 1 loet61 Aren 35 Cent.,
(koopen 11, 12 en 13 van voormelde
affiche.)
Te vergoeden over houlprijs 490fr.
Ingesteld 6,000 fr.
C. Gemeerde Oostv/eteren
Kenen schoonen
Sparre- r»i IPiaiifsoeit-bosdc,
inhoudende 5 hectaren 39 aren 91
centiaren (koop 14 tot en met 22.)
Niet ingesteld.
En 1)Gemeente Vla nier ting he
Kenen schoonen
ootsïnsBBpsa en Weide,
onder grond 96 aren 28 centiaren.
Ingesteld 14,150 fr.
Om alle verdere inlichtingen gelie
ve men zich te begeven hij voor
noemden Notaris CAPELLE, alwaar al
le tijfels, plans, enz., zijn berustende.
STUDIE VAN DEN
NOTARIS ShVSPELAERE,
DEFINÏTIEVE TOEWIJZING
OP WOENSDAG 20 AUGUST! 1879,
om 3 ure namiddag, ter herberg van
I s' Schallier, Kaaiplaatstc Vetirne.van:
1" EE Si WOOK'KU.'S,' met 1 are 60
i centiaren erf, te Veurne Oude Bees-
lemarkt, gebruikt geweest door vrouw
de weduwe Abeele. Seffens hand
slag.
Maar ingesteld 1,700 fr.
2" huis, nevens liet voorgaande,
met a0 centiaren erf, gebruikt dooi
de weduwe Verlinde, tut 23 Anril
1880. 1
cv, Maar ^gesteld 1,100 fr.
3" 32 aren 20 Cent., PEDRüfgras,
te Bulscamp, bij de Valeekestraat, ge
bruikt door Louis Lamote.
Maar ingesteld 925 fr.
4" EEME VETWEIDE, groot 2 hecta
ren 48 aren 49 centiaren, gelegen te
ulpen, bij de kerk, gebruikt dooi'
Joncheere-Florisopne.
Maar ingesteld 13,000 fr.
En 5" Kene partie zaailand,
Wulpen, langs de W ulpenstraat,
groot 2 hectaren 55 aren 77 centia-
j ren, in gébruike van Pieter Desaever.
Maar ingesteld 8,000 fr.
WOENSDAG 27 AUGUSTI 1879,
1 om 3 ure juist namiddag, ter herberg
van sieur Declercq, bij de statie te
Veurne,
OPENBARE VERKOOPING
groot volgens tijtel 2 hectaren, *79
aren, 45 centiaren, en bij cadaster
seclie A. nummers 113 en 115, 2 hec
taren, 60 aren. 20 cenliaren, gelegen
te Oudecapelle, in gebruike van sieur
Debruyne-Lecot, mits638 fr. 34 cent.,
'sjaars, met recht tot. 1 October 1881
Deze met lusschenkornst van den
Notaris T A ELfvi A Mte St Laureins.
Studie van df.n
NOTARIS VUYLSTEKE,
te stallen.
Boor verandering van woonst.
OPENBARE VERKOOPING
van een schoon groot
lilcï AAfiKOGRIGE GEBOUWEN,
alsmede
al in West-Roosebeke-dorp
kene enkele Zitting, op 21 AUGUS
TI 1879, om 3 ure 's namiddags, in
te
La Chronique donne les deux incidents sui-
vauts qui ont marqué la première audience que
le tribunal de Bruges a consacrée a l'affaire du
baccarat
Cn des membre.s du Cercle du Kursaal, venait
detre entendu comme témoin.
Yous avez sur vous votre carte de rneinbre
du Cercle? dit le président.
Parfaitement, Monsieur.
Voulez-vous nie la niontrer
Avec plaisir.
Le témoin présente son carton, que les trois
magistrats examinent avec une attention reli-
gieuse. Connne ils allaient le restituer, le procu
reur intervient.
Je demande, dit-il, que cette carte soit
jointe an dossier.
Aiusi sera-t-il fait, acquiesce le président.
Mais, objecte le témoin, c'est ma carte dont
j'ai besoin pour entrer le soir au Cercle.
M. Kirsch vous en donnera, bien sur, un
duplicata sans difficulté.
Aux ordres du tribunal, fait M. Kirsch en
s'inclinant.
Le témoin s'incline a son tour, et va s'asseoir
en murmurant
Eh bien, si après cela, on nous condamne pour
aller au Cercle, ce sera drdle. C'est le tribunal
qui me procure une carte.
Second incidentM. Jean Van Iseghem, bourg-
mestre d'Ostende, interrogé sur son intervention
dans les affaires du Cercle, a dit
J'ai accepté les fonctions de président pour
être sur que le reglement serait bien observé,
surtout en ce qui concerne les f'emmes. - Je suis
connu pour cet article. -
La Chambre vient de perdre un de ses mem
bres. M. Schollaert, député de Louvain.a étó en-
lévé subitement par une attaque d'apoplexie.
1 Les ótudiants dö l'Université de Lióge ne
sontpasmieux que ceux de Gand. Partis a 126
pour aller conquérir des lauriers dans le champ
oü les Papiniens ont fait leurs grands exploits»
67 seulément reviennent vivants. Sur le reste 29
se sontsauvósa toutes jambes, aimantmieux ne
pas se battre que d'etre vaincus; 28ontgagné des
('aiblesses; 2 sont morts glorieusement.
En somme 47 pour, cent se sont montrés inca-
pables.
Ce résultat est le digne pendant de celui qui
a óté obtenu a PUniversité officielle de notre
vilïe.
Liége et Gand, sur lesquelles veille la pater-
nelle sollicitude de l'Etat, ne répondent certai-
nement pas aux prétentions du libéralisme, mais
restent cependant... dignes de leurs antécédents.
Quelle lecon les parents tireront-ilsde la
(Et.udiant catliolique.)
Depuisle UAoüt, un bureau télégraphique
est ouvert a la correspondance privée a Oost-
kerke, a la station du chemin de fer. Le service
de ce bureau sera limitó.
On annonce l'apparition d'un journal heb-
dornadaire, le Bulletin des Ecoles catholiques.
Rassembler les renseignements épars dans les
divers organes de la presse catholique, les clas-
serpar ordre et les compléter, former de la sorte
un répertoire oü viendront s'incrire les comités
nommés, les donations faites, les écoles en voie
de formation, les places a conférer avec les avan-
tages offerts, les adresses d'instituteurs et d'in-
stitutrices qui se mettent a la disposition des co
mités paroissiaux tel sera le premier objetde
ia publication nouvelle.
A ces informations d'un caractère tout prati
que, le Bulletin promet de joindre une partie
théorique, oü seront traitées les questions d'en-
seignement proprement dites éducation, pé
dagogie, méthodologie, hygiene, etc., etc.
Le conseil communal de Lovendeghem a
retranché de son budget pour l'année proehaine
le subside habituel destiné a couvrir les frais de
minerval des enfants pauvres de la commune,
attendu 'qü'a la rentrée des classes, plus aucun
enfant ne se présentera a l'école officielle. Tous
sans exception fréquenteront l'école catholique.
Cueilli dans la Belgique militaire de l'au-
tre semaine
- La garde ci vique est une institution d'un autre
age...
Les distributions de prix, dans les divers
colléges tenus par les RR. PP. Jésuites en France,
ont eu lieu avec une grande solennité. l'resque
partout les musiques militaires sont venues
préter leur concours a ces fêtes de la jeunesse,
et les officiers supérieurs et les magistrats ont
protesté parleur presence contre l'inepte persé-
cution dont les Pères de laConipagnie de Jésus
out a soulïrir en ce moment.
Partout aussi l'annonce de la rentree des clas
ses a été saiuée par de longs et chaleureux ap-
plaudissements.
Nous sommes heureux de pouvoir mention-
ner ces témoignages d'affection donnés a ces
respectables religieux; ils les vengent ample-
ment des odieuses calomnies des Paul Bert et
consorts.
Une bonne a venture. line bonne a ven
ture quis'est passée, il y a queiques jours, dans
une commune des. environs de Lyon.
Un bon radical du lieu peril son porte-morinaie,
qui esttrouvé par le curé de la paroisse.
Le digne pasteur s'empresse de faire aussitót
annoncer sa trouvaille, et grace h son empres-
sement, notre radical, immédiatement prévenu,
se rend au presbytère, oü il est remis en posses
sion de son bien.
II remercie sommairement, et a peine est-il
sorti de la cure qu'il recompte son argent et on
l'entend murmurer: "II y avait quatre francs
dix sous dans mon porte-monnaie... les voila
bien... mais pas un radis de plus... A-t-on jamais
vu... Ah I les curés... Et on vient nous parler de
leur charité.
Le bon apótre, ayant perdu un oeuf, aurait
voulu que, par ce seul motif qu'un curé l'avait
trouvé, il lui fut rendu un bosuf.
Si jamais il est conseiller municipal, il dépose-
ra une motion tendant a supprimer le budget
des cultes et a eulever tout traitement aux des-
servants. (Annates Catholiques de Lyon.)
Moeurs améric.vines. On a exécutó il y
a queiques semaines, a Sacramento (Californie,)
les nommés, Trove, Dye et Anderson.
Un de ces hommes, dit le Droitle nommó
Dye, était un des principaux fonctionnaires du
comité de Sacramento, le conservateur des héri-
tages non réclamés.1 De complicitó avec deux
bandits de profession, il a assassiné un riche pro-
priétaire, M. Tullis, homme agé et sans héritiers
connus. Le mobile unique du crime était de per-
mettre a Dye, agissant en sa qualitó officielle, de
s'emparer des biens de Tullis une fois celui-ci
mort. Dye mit en effet la main sur des sommes
considérables, et il a été établi qu'il avait immé
diatement préparé les voies par de fausses decla
rations et de faux procös-verbaux, pour s'appro-
prier la majeure partie de ces sommes. Le pro
cés dece fonctionnaire peu scrupuleux et de ses
complices avait passionné Sain-Francisco et Sa
cramento. Leur exécution a pris les proportions
d'un événement. Dye a fait des aveux complets;
il a montré line grande faiblesse au moment de
mourir. Quanta Anderson, un bandit endurci qui
avait coutume de dire: Je suis toujours pret a
tuer un homme pour 100 dollars, il est monté
sur l'échafaud sans manifester aucune émotion.
Le troisième condamné a obtenu un sursis.
La veille de cette double exécution, une scène
plus horrible encore se passait a Bakersfield.
dans le sud de la Californie.
Le28au matin, soixante ou soixante-dix hom
mes cerhaient la prison de Bakersfield, frap-
paient a la porte et sommaient le geölier de leur
ouvrir. Lc geölier ayant refusé d'obtempérer a
cet ordre, la porte est brisée a coups de hache.
Les hommes se précipitent dans la prison, dó-
sarment le geölier, s'emparent des clefs des cel
lules; il lie s'agit pas de délivrer les prisonniers,
mais de procéder a une exécution-sommaire.
Dans une des cellules se trouvent les frères
Yoakum, accuses d'avoir tué deux hommes il y
a plus d'un an. L'un des deux frères avait étéju.
gé et condamné a mort comme coupabled'assassi-
nat; mais la cour suprème, suspendant les effots
de cet arrêt, rendait la semaine dernière une dé-
cision en vertu de laquelle l'afl'aire devait étre
portée devant une autre cour. La population
voulait protester contre cette décision, et elle
avait jugé que le plus simple était de pendre les
deux accusés.
Les lyncheurs ont done pénétró dans les cellu
les oü se trouvaient Thomas et William Yoakum,
et ils les ont exécutés sans autre forme de pro
cés.
On nous écrit de cette ville, 12 Aoüt
Menin est en ce moment le theatre de tristes
et sanglantes scènes. Des disputes entre le peu-
ple et les marchands de ponimes de terre ont
tout 4 coup provoqué hier soir une émeute, qui a
bientöt pris des proportions telles que la gendar
merie et les pompiers ont dü intervenir et ont
mênae été forcés de faire usage de leurs armes.
Dans la bagarre un homme a óté tué. Un autre,
grièvement blessé, a succombé ce matin. On a
trouvé dans les champs le cadavre d'un troisiè
me. Aujourd'hui la situation est plus calme,
mais on ditque l'émeute n'est pas terminée. La
gendarmerie et les pompiers stationnent sur les
lieux. L'émotiou, produite en ville, est très-forte.
du 1 au 8 Aoüt 1879.
NAISSANCES
Sexe masculin 2. ld. fémwin 7.
MARIAGES
Ossieur Gustave, tonnelier, et Derille Celine,
dentellière. Indevuyste Amand, öuvrier, et
Collet Léonie, sails profession. Domicent
Louis, forgeron, et Deckmyu Eveline, 'dentel
lière. Knockaert Alphonse, forgeron, et Lau
rie Silvio, dentellière. Talon Henri, ouvrier,
et Ruffelét Febronie. dentellière. Vissers
Theodore, macon, et Vlaernynck Marie, dentel
lière. Desaegher Isidore, cordonnier, et Par-
nteiitier Julie, dentellière. Yercouter Amand,
garcon imprimeur, et Coffyn Pauline, dentel
lière. Alleman Eugène, ouvrier, et Coffyn Vic-
torine, dentellière. Maertens Charles, peintre,
et Durnez Valerie, dentellière. Dubois Au-
guste, tailleur, et Engels Marie, dentellière
VandeCatsyen Charles, sans profession, et Siroux
Clémence, sans profession.
DECKS.
Lietaert Louis, 69 ans, sans profession, époux
de Pieters Julie, rue de Menin. Cleehéa erek
Clémence;41 ans, religieuse, rue St-.iacques.
Enfants au dessous de 7 ans.
Sexe masculin 0. ld. féminin 2.
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