HOFSTEDE
HOFSTEDEKE!?,
POPELIEREN BÖÖIEN
ON DEMANDË" pour servir de
ON DEMANDE un jeune homme
Cependant, plus désireux de sauvegarder
le principe de l'inviolabilité du domicile
que de faire valoir les mérites de son oeu
vre, le fondateur s'ost oppose ;i la visite des
classes, en témoignant toutef'ois aux mem
bres de la commission les égards qui
étaient commandés par les convenances.
Ces messieurs sont done partis eomme ils
étaient venus.
Nous engageons tons ceux qui se trou-
vent dans le même cas a s'inspirer dece
précédent.
Les libéraux nous accusent de révolte
eontre les lois. Ils feraient bien de com-
mencer pamous donner eux mêmes l'exem-
jilt* de la soumission aux lois du pays.
Courtier de Bruxelles.)
Par circulaire, en date du 17 octobre, M.
Rolin-Jaequemyns, ministre de l'intérieur,
vient d'aviser les administrations communa-
les qu'elles auront a insérer désormais,dans
les contrats de location de batiments appar-
tenant aux communes, une clause portant
que le locataire ne pourra en aucun cas
attecter tout ou partie desdits locaux a des
tination d'école libre.
be locataire pourra, s'il le iuge utile a ses
intéréts, installer, dans ces batiments ap-
parteriant au public, dn lupanar ou quel-
qu'autre exploitation de la libre jouissance;
quant a les faire servir a procurer la jeu-
nesse le bienfait d'une education intellec-
tuelle, réligieuse et morale, cela lui est
absolument interdit par M. le ministre
Rolin.
Après cela, doutez encore que l'enseigne-
ment soit libre en Belgiqoe!
Après avoir rogné la liberté communale,
l'Etat-Gueux devra diminuer la liberté pro
vinciale, c'est dans le cours forcé des cboses;
aussi nous annonce-t-on un projet de loi qui
soumettra les deputations permanentes au
bon plaisir ministeriel
Nous lisons dans la l'aix:
Prés de 200 militaires sont actuellement
réclamés par le ministère de la guerre pour
tenir lieu des personnes légalement exemp-
tées, tels les instituteurs officiels, mais dans
un an l'armée remplira les vides faits par la
mort, les maladies, les indignités, les con-
damnations dans le contingent de 1879. Cela
se verra en 1880 seulement.
Les cboses iront ainsi d'année en année et
bientöt le contingent sera de 15,000 hommes
et l'armée augmentée de 24,000 hommes.
Inutile de dire que cette augmentation se
chiffrera par millions de francs. Militaris
me et impositions a outrance, voila les con-
séquences matérielies immédiates de la domi
nation libérale.
Chambre des Représentants.
Séance du 41 Novembre 1879.
La Chambre a tenu hier, ii 1 heure, sa
première séance, sous la présidence de M.
lulliot, doyen d'age.
M. De Vigne dépose le rapport de la com
mission de verification sur l'élection de M.
Haltlands, député de Louvain.
6e rapport conclut b la validation de cette
election.
Ces conclusions sont adoptées et M. Hal-
flands est déclaré membre de la Chambre des
représentants.
La séance est levée a 1 heure et. un quart.
Domain, séance publique b 2 heures.
Necrologie
Fête militaire,
donnée par le 4'' Régiment de Lanciers, au
PROFIT DES PAUVRFS ,1e la ville d'Ypres,
le 15 Novembre 1879, a 7 \ji heures du soir,
dans la grande Salle des Halles.
Prix des Places: Premières 2 fr. Secondes
1 Ir.Ouverture des Bureaux a 6 4/2 heures.
Une collecte sera faite pendant la Fête.
Le local sera convenablement chauffé, Entrée
devant la Boueherie.
La Commission organisatrice de cette fête,
n'ayant pu se présenter b domicile pour re-
cueillir des souscriptions, prie toutes les per
sonnes charitables de bien vouloir honorer
cette fête de leur presence, ou, en cas d'em-
pèchèment, d'adresser leur obole b la salie
du rez-de-chaussée de l'Hötel-de-Ville, entrée
du cöté nord, oü une listc de souscription
est déposée, et oü l'on peut égalemerit se pro
curer i'avance des cartes d'entrée Vendredi
14, de 1 b 5 heures, et Samedi 15, de 1 b 4
heures de l'après-midi.
Société de la Concorde.
EINDELIJKEN OVERSLAG
van goede
en
LANDEN,
gelegen te CKO.M13EK.E.
VRIJDAG 14 NOVEMBER 1879,
om 3 ure in den Engel, Pottestraat te
Poperinghe, bewoond door Charles
Pareyn,
beslissend loe te wijzen
1° Eene goede herbouwde Hofste
de te Crombeke langs de kalsijde op
Proven, van II. 5, 05, 35 centiaren;
gebruikt door Bourtj aan 575 fr. tof
1 October 1881
Verdeeld in koopen afzonderlijk in
gesteld, maar hoogst in masse slechts
19,000 franks.
En 2" Een Paqhtgoedje van 84 aren
30 centiaren en bij kadaster 95 aren
26 centiaren, daartégen aan, gebruikt
door F. Vangraefsc/iepe. aan 155 fr.,
tot, 1 October 1881.
Maai' ingesteld 3,000 fr.
Door den Notaris VAftOECASTEELE,
te Poperinghe.
SCHOON
te verlioojR'si hinnrn jut.
Gemeente Zonuebeke.
Een Hofstedeken gelegen le Zonne-
beke, zuidoost van de Kerk, langs den
steenweg leidende van de Broods
einde naar Becelaere, groot in lande
5 hectaren 57 aren 65 centiaren.
Verdeeld in zeven koopen.
Gebruikt door sieur Louis Vande-
walle, zonder pacht, aan 680 francs
bij de jare, boven de belastingen.
Den instel, met yewin van pre-
miën, ZATERDAG 15 NOVEMBER 1879
om 2 uren namiddag, ter estaininet
GafE de l'U.mü.n, op de Groute Markt,
binnen Ypre, door liet ambt van den
Notaris Vanöermeerscn, te Ypre re-
sideerende.
Ook alle inlichtingen te bekomen
bij den Notoris CAPELLE, te WatOu.
ft t suf
DINGSDAG 18- NOVEMBER 1879,
12 uren :s middags,
VEND! TIE
van 182 koopen
TE DiCKESÜSCH,
aan de noordzijde van den Vyver.
Vergadering in bet Vyverhuis.
Tyd van betaling mits borg te stel
len ter aenveerding van den lieer
Stedelyken Ontvanger in wiens han
den den 10" pennink zal moeten aen-
stonds betacld worden.
Door het ambt van den Notaris
TlFECA 1e Yperen, Elverdinghestrael.
Etudes de
(¥llres LAHiyOY ET (WEURlLLOfil,
Notaires d Comines.
j is il ica Hon «lefin ilive,
JEU Dl 20 NOVEMBRE 1879,
a 3 heures de rclevée. a la Maison
Communale de Comines Bclgique, de:
COMINES, prés de la ferme Schoonvelde,
1" Une petite ferme, avec 69 ares
84 centiares en FondsTerre et
Patu re, section B, nu mé ros 881 a
885,
Portée d fr, 3,200.
2" 62 arcs 70 centiares de terre, a
On annonce de Damas la mort d'Abdel-Kader.
L'ancien érnir d'Algérie s'éteignait de vieillesse
dans cette ville, au moment même ou l'on inau-
gurait a Nantes le monument t'unó'ore de La Mo-
ricióre a qui it remit son épée lorsqu'il renonca
a la lutte contre la France.
C'est uue grande figure qui di^parait, la derniè-
re peut-étre du monde de l'lslam.
Abdel-Kader, troisième tils de Sidiél Hadji-
Maheddin, marabout de la province d'Oran, était
né prés de Mascara en 1807.
Son rule politique et militaire commenca pres-
que au debut de nos guerres d'Afnque. 11 voulait
affranchir son pays aussi bien de la domination
ottomane que de la domination francaise. Dés
1832, il assiégeait Oran.
On connait ses exploits pendant quinze ans sur
cette terre d'Afrique oil il tint tête, avec une in-
domptabie énergie, a Cliauzel, a Bugeaud, a La
Moricière, auquel il ne se rendit qu'aprös avoir
épuisé ses dernières ressources, en 1847. l.a ca
pitulation le laissait libre de se retirer soit a
Alexandi'ie, soit a Saint-Jean d'Acre.
Mais le gouvernement, ne ratiiiant pas ces con
ditions, emprisonna l'émir d'abord au fort Lamai-
gue, puis au chateau de Pau, et enfin au chateau
d'Aniboise, ou il resta détenu jusqu'ati moment
de l'Empire. Napoléon lil lui rendit la liberté
promise par la capitulation, se contentant de la
parole jurée sur le Goran de ne plus porter les
armès contre la France.
Abdel Kader a tenu son garment, et retiré a
Damas, il a toujonrs témoigné une grande sym
pathie a la France, notamment lors des massa
cres de Syrie oil il prit énergiquement la défense
des chrétiens. II recut, a cette occasion, le grand
ccrdon de la Légion d'honneur.
Programme des morceaux qui seront exécutés
le 13 Novembre 1879, a 7 12 heures. par la 11111-
sique du ier régiment de ligne, sous la direc
tion de M. Cii. Simar.
Le carillonneur de Bruges, ouverture (Geisar.)
Picolino, fautaisie, (Guiraud.) Le carillon,
polka. Les huguenots, fantaisie, (arr: Snel.)
Le bean Danube, valse (arr: Ed. Simar.)
On annonce que la Banque Kuropéenne leve tons
les titres et ouvre aujourd'hui ses guichetsa deux
battants pour payer les dilï'érences resultant de
la liquidation de fin octobre, a la charge de son
ex-président.
Un journal financier annon^ait, hier matin, que
les scellés avaient été mis sur les bureaux de la
Banque Kuropéenne a Bruxelles. Cette nouvelle
est absolument inexacte.
Quant a M. Philippart, on est toujours sans nou-
velles de lui.
Le Soir continue que la Banque européenne a
résolu de payer les dettes de M. Philippart. La
même feuiile croit savoir qu'après le payement
la Banque aura encore un actif permettant large-
rnentde continuer ses operations.
M.u.ADiES cosTAQiRUSBS. L'Art médical
vient de publier un article emprunté b ia Revvx
cChygiène et de police sanitaire et dans lequel il
est démontré que la variolo et d'autres maladies
contagieuses et iiifectieusöfe ont eu fréqnemment
pour causes le commerce intérieur et extérieur
des chiffons, la vente des linges et vêtements
ayant servi a des maiades. Le savant doctetir M.
Gilbert affirme qu'a Marseille 0(1 il y a eu, en
1S74 et 1875, 1,017 cas de variole, les décès par
celte maladie ont été d'autant plus fréquents que
l'arrondissement coraptait un plus grand nombre
de chiffonniers et fripiers C'est ainsi que le 6"
arrondissement, a Marseille, compte le plus
grand nombre de chiffonniers et fripiers (40 sur
117 dans toute la ville); eet arrondissement a eu
un nombre de décès par variole double et même
triple de celui des autres arrondissernentsde
plus, 64 décês (sur 157) ont eu lieu dans des mai-
sons habitées par des chiffonniers et fripiers, ou
dans des maisons situées a droite, a gauche ou
vis-a-vis de celle-la. Dans le 6° arrondissement,
oü se trouve le petit rnarché vulgairement appelé
la Bourse de Saint-Martin, M. Gilbert a trouvé
une maison dont la cave servait d'entrepöt clan-
destin a des chiffons d'uue puantéur extréme
dans cette maison il y eut 6 varioleux, dont 4
moururent.
11 y a la, dit M. Gilbert, une cause évidente de
danger et de propagation de certaines maladies,
particulièrement dans les grandes villes.
Des observations faites sur la variole transmise
par des chiffons dans une fabrique de papiers de
New-York, au commencement do 1875, il résulte
que non-seulement la variole, mais encore la
rougeole et d'autres flèvres éruptives avaient été
transit)ises par des chiffons.
Un décret a decide que "importation en France
des chiffons et drilles de provenance maritime
ne pourra s'effeetuor, jusqu'a nouvel ordre. que
par les ports oü existent des lazarets dans les-
quels les marchandises insalubres pourront être
isolées et désinfectées.
M. Gilbert demande que ce décret soit renf'orcó
par certaines mesures compiémentaires, en par
ticulier par la désignatiou des villes frontières
autorisées a recevoir les chiffons par la voie de
terre: autrement, dit il, les navires fuiront le
port ue Marseille, déharqueroüt les balles de
chiffons a Génes, et les feront rentrer en France
par la voie de terre, afin d'éviter les frais et les
retards de la désinfection. M. Gilbert demande en
outre que les balles de chiffons ne soient pas
dóbarquées a quai et. ne séjournent pas dans les
docks avant d'etre chargées sur mahonnes et
trans port ées la oü, el les sont désinfectées et ven-
tilées.
Chacun sait combien, d'ordinaire, il f'aut em
ployer de tisanes, de pates et de sirops pour gué-
rir un rhuiiie, un catarrhe, line bronchite, Le nou
veau traitement de ces maladies par les capsules
de goudron de Guyot 11e rovieut qu'a dix 011
quinze centimes par jour. Prendre deux ou trois
capsules achaquerepas, ct le plussouventle bien-
étre se fait séutir dés les premières doses.
Pour éviter les nombreuses imitations, exiger
sur l'étiquette ia signature Guyot irnprimée en
trois couleurs.
Dépot dans la plupart des pharmacies. (7)
DEUN IER AVIS.
Les actionnaires de la Baucjue de l'Union en
liquidation sont priés de dêposer avant le 15 No
vembre courant, leurs actions accompagnées des
quittances de versements compiémentaires, rue
du Marais, 57, pour recevoir en espèces et en
titres le reliquat revenant a cliacune do leurs
actions, la liquidation devant ètre cióturóe.
garcon de magasin un jeune homme de 14 a 15
ans,'' intelligent, sacliant écrire et parler le fran
cais et le liamaud. S'adresser par lettreau bureau
du Journal sous les initialen A. B.
intelligent, pour une maison de commerce de
cette ville. Belle ócriture et bonne conduite sont
indispensables. Emoluments proportionnós aux
services qu'il pourra réndre. S'adresser par let-
tre au bureau du Journal sous les initiales B. R.