H U I S R A E D,
BOOIViVENDITIEN
SCHOONE HOFSTEDE
FAILLITE VAN HOUTTE
HOFSTEDEKEN,
AVIS.
Afin d'aboutir a la distribution
du dernier dividende, les créan- j
ciers de la faillite VAN HOUTTE,
ou verte a Ypres le 13 Juin 1827, S
leurs béritiers ou ayant, droit, sont j
priés de faire connaitre leur adresse
au Syndic de la susditc faillite, M.
Louis Biebuyck, avocat a Ypres, et,
de justificr, le cas éctiéant, de leur
qualité.
VERKOOPING
HERBERGGERiEF
E ROERENDE VOORWERPEN,
te Kaïitvoorde. fo/i de plaetsj.
OP MAENDAG 29 DECEMBER 4879,
ten een ure des namiddags juist, ter
herberg Oud Gemeente-Huis, te
Zantvoorde, op de plaets, bewoond
door Florenünus Tallaireherbergier,
zal er overgegaen worden tot de
openbare verkooping van al lietgene
zich aldaer bevindt en bestaende na-
i mclyk in
Deze verkooping zal geschieden
met gereed geld, onder de voorwaer-
den ten dage der venditie voor le
lezen.
De Deurwaerder BREYNE, t'Yper, is
met deze verkooping belast.
Elk zegge't voorts.
Studie van den
XOTA11 sm VI YfiiSTSi 14
te Staden.
Studiën van de
Notarissen VUYLSTEKE te Staden
en Meester
KAREL DE 8R0UCXERE, te Rousselaere
bepaald respectievelijk op den 15 en
8"lc" December zullen plaatsgrijpen,
te weten
A. Deze te Hoogt)lede', ter hofstede
gebruikt door sieur Coussé, eigendom
Erven wij lent Juffrouw weduwe de
Drouckereop DINSDAG 6 JANUARI
4880, telkens om 9 ure precies 's voor
middags.
B. Deze te STADEN, op den eigendom
van den beer Guslave de Brouckere,
te Rousselaere, gebruikt door Pieter
Hoetop zelve dale 6 JANUARI, juist
om 2 ure 's namiddags.
Studie van
Meester VUYLSTEKE, Notaris
le Staden.
Veiling bij daadlijke uitwinning
Krachtens art. 90
der wet van 15 Oogst 1854.
De notaris VUYLSTEKE verblijvende
te Staden, dnartoe benoemd, op re
kest, door den lieer voorzitter van
den rechtbank van eersten aanleg te
Yper, zal met het houden van ééne
zitting bepaald op DONDERDAG 8
JANUARI 4880 om 4 ure namiddag
ter herberg la Belle vue bewoond
door sieur Ch. Deketelaere te Staden
dorp. openbaarlijk te koop bieden de
volgende onroerende goederen
Gemeente Staden, wijk Stadenreke.
4° EEN HOFSTEDEKEN met 74 aren
20 centiaren land sectie D Nrs 98-99-
100 101-102 en 403.
Gebruikt door Leonard Capelle
Trybou.
2° EEN HUIS met 6 aren 30 centia
ren erf sectie I) N" 404 a en 404 b.
Bewoond door Leonard Koffez.
3" EEK HUiS met 4 aren 70 centia
ren erf sectie E Nrs 4579 en 1580.
Bewoond door Karei Cornaert.
4° EENE tweewoonst met 1 aar 26
centiaren sectie E N" 4582 en 4583.
Bewoond door Cecilia en Rosalia
Ghesldere.
Het kohier van lasten en voorwaar-
i den dezer verkooping is berustende
ten inzage der gegadigden ter studie
I van gezeiden notaris VUYLSTEKE.
MAANDAG 5 JANUARI 1880 om 2
ure namiddag cindelijke toewijzing
van een
zeer wei getimmerd met 2 hectaren
43 aren 10 centiaren onder bebouw
den grond, hofplaats, boomgaard,
tuin, weide en zaailanden daarmede
gaande.
Gestaan en gelegen te Staden bij
het dorp.
Gebruikt door Leonard Wallaert-
Aanval van gebruik met de geld.
telling.
Ingesteld 1,250 frs.
Foies gras (Hummel), Patés de Gi-
bier truffés, Truffes du Périgord,
Têtes de Champignons, Pointes d'As-
perges, Fonds d'Artichauds, Tétes
de veaux en Tortue; Sardines, Tlion
marini, Petits Pois extra fins, Aró-
me des Potages, Tapioca Crécy, Ju
lienne, Printanière, Peries de Nizam,
Marrons de Lucques (véritables),
Fruits glacés de Nice et toutes es-
pèces de Comestibles, marque Phi
lippe et Canaud. Le tout garanti de
première qualité et, a des prix dé-
tiant toute concurrence, pour des
marchandises de mérite égal.
T. LECLERCQ-ROI1DE, Patissier,
Grand4 Place, 35, Ypres.
TE HUREN.
Om aenstonds in bezit te treden,
met circa 80 gemeten Land en Weide,
gelegen in de Moëres, 4000 gemeten,
genaemd St-Josepli, biervorens ge-
bruikt door wylen Cliarlcs Anckierc.
Zich te bevragen op liet kasteel Slc
Flore, by Jules Jassogne.
Jai l'lionneur d'informer le Pu
blic que je viens de reccvoir un
assortiment complet de Terrines de
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II I I I
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a la grande épouvante (les gens de sa maison,
qui ne savaient comment la faire revenir a elle.
On annonce que M. C„ le magistral surpris
trichant au jeu de baccara, est parti pour Paris.
;i parait que la musique des guides se rend
en Amérique, oü l'appelle un traité qui lui assure
200,000 francs nets, tons frais de route et de sé-
jour payés.
Pe Journal de Gand raconte qu'il y a quel-
ques jours une femme de la commune de N... s'est
rue refuser l'absolution par son curé sous pré-
texte qu'elle vivait avec son mari, instituteur
gueux.
Ce dernier en aurait référé a 1 evêqite de Gand
qui aurait donné tort au curé mais celui ci au
rait persisté dans son refus; bien plus, il s'en
serait expliqué pübliquement, etc., etc.
Nous savons de source certaine que rien de
semblable ne s'est passé dans le Diocèse de Gand
et que, par conséquent, le récit de la feuille
gueuse est do pure invention. (Bien Public.)
ExtRacteur. On lit dans le Courrier clu
Nord:
Quequet a soumis a l'examen de la bociete
d'encouragement potir l'industrie nationale un
procédé pour lextinctïon presque instantanée
des feux de cheminée.
Ce procédé revient a faire brüler environ too
grammes de sulfure de carbone dans l'atre de la
cheminée, en versant préalablement ce sulfure
dans une ou deux assiettes creuses, afln que la
combustion se produise sur une surface relati-
vement étendue.
Les leux de cheminée, si nombreux a Paris, et
souvent si dangereux, étaient ordinairement
éteints par les pompiers a l'aide de soufre qu on
brülait dans l'atre de la cheminée; mais il fallait j
presque toujours monter sur le toit pour boucher
l'orifice du tuyau de cheminée. D autre part, si la
température de l'atre était peu élevée, le soufre
brülait difficilement, il fondait, se transformant
en soufre brun, et sa combinaison avec l'oxygène
se faisait si lentement qu'il restait souvent assez
d'oxygène dans l'air que contenait le tuyau de
fumée pour que la suie continuat de brüler.
M. Quequet a eu l'idée d'employer, pour étein-
dre les feux de cheminée, un corps qui, en bru-
lant, donne comme le soufre de l'acide sulfüréux,
mais dans des conditions bien plus avantageuses
que le soufre en poudre.
En effet, le sulfure de carbone, combinaison
liquide de soufre et de carbone, se vaporise et
s'enflamme trés facilement, brüle trés vite et don
ne, en absorbant l'oxygène de l'air, un gaz com
pose de deux tiers d'acide sulfureux et d'un tiers
d'acide carbonique, impropres également 1 un
et l'autre a la combustion. En en brülant une tres
petite quantité, 100 grammes, on a done imme-
diatement un abondant dégagement de vapeurs
qui em pêche l'ignition de la suie. et cela sans
qu'il soit nécessaire de monter sur le toit est
presque sans frais, car 100 grammes de sulfure
de carbone pur content, dans Paris, hint centi
mes et demi.
Quant au danger qu'il pourrait y avoir k manier
ou a faire manier par les pompiers le suliure de
carbone, il est nul si on prend quelques precau
tions trés simples, ainsi que le font les pompiers
de Paris, lis divisentce liquide par quantites de
100 grammes dans des flacons assez grande poiti
conserven du vide, afin de tenir compte de la
grande expansion du sulfure de carbone, qui bout
a la température de 28°. Ces flacons sont bouchés
légèrement par des bouclions garms de cire
vierge; on les place dans un local ou il nya
jamais de feu et qui soit a l'abri de la chaleur
produite par un foyer voisin.
Quant aux vapeurs qui pourraient, par des
crevasses du tuyau de fumée, se repandre chez
les voisius et y causer soit un préjudice, soit une
incommodité,"il n'y a qu'une réponse a faire:
e'est que ces vapeurs sont les memes que celles
produites par la combustion du soufre précédem-
ment employé et leur efl'et est moins nuisible
que celui de la fumée.
Un dépêche de Philadelphie, qui remplit
une colonne entière du Times, donne des détails
sur la reception triomphale faite dans cette villc
au général Grant a l'occasion de son retour dn
voyage autour du monde, dont lc point de depart
avaitété Philadelphie même, au moisde Mai 187 c
70,000 hommes et 25,000 chevaux ont pris part
a la procession monstre, d'une longueur de prés
de 16 kilometres, qui a accueilli l'ex-président.
Les Capsules de goudron de Guyot sont a ce
point efhcaces dans les cas de rhume, toux, op
pression, bronchite, asthme, que les malades qui
en ont fait usage une première fois s'en tiennent
a cette médication, qui dispense de l'emploi de
toute espèce de tisane, pate ou sirop.
A la dose de deux a trois capsules a chaque
repas, ce traitement revient a quelques centimes
par jour.
II existe de nombreuses imitations de ce pro
duit. M. Gi yot ne voulent pas assumer line res
ponsibility qui ne lui incombe pas, ne garantit la
qualité que des flacons de capsules qui portent
sur l'étiquette sa signature imprimée en trois
couleurs. 19
L'Economie flnancière paraissant le Dimanche
avec 16 pages. Prime gratuite (voir détails aux
annonces) pour 1880, caractère renouvelé, for
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