HOFSTEDEN,
HOFSTEDE
lOfiflil
HOFSTEDE
WEI D E
Borsvasa
HOFSTEDE
Correspondance.
Petites Nouvelles.
Openbare verkooping
van ZEVEN
eene
DRIJ PARTIJEN BOSCH,
NIEUWGEBOUWDE HOFSTEDE
TAILL1E- EN PLANTSOENBOSCH
M'PA UL LA UWERS,
GRANDE ET BELLE VENTE
au Chateau d'HolIebeke.
Tandis que la Gazette nettoie ses vénéra-
bles et poussiéreux clichés sur l'arrogance
sacerdotale, d'autres journaux, la Réforme
notamment, manifestent une profonde indi
gnation en signalant cette brutale mainmise
de l'épiscopat sur le parti catholique beige.
Pour un peu, M. Feron décrocherait sa
vieille arquebuse de huguenot, et ferait le
serment de nous affranchir de cette sujétion.
Que nos excellents amis, les radicaux et
les doctrinaires, ne s'alarment point k notre
sujet. Nous n'avons nul besoin de leur inter
vention libératrice. Nous sommes, au con
traire, pour ce qui nous concerne, recon-
naissants k l'Episcopat de la direction qa'il
nous donne. Nous sommes prêts k la suivre,
scrupuleusement. Tous les catholiques y sont
disposés, comme nous. Et sans doute, pas
plus que nous, ils ne s'imaginent avoir
proclaraé la déchéance de leur parti.
Nous jugeons bien superflu de justifier
notre attitude aux yeux de la presse libre-
penseuse. Et nous nous garderions bien
d'insister, si nous ne trouvions, dans ces
méprisantes attaques, une trés bonne occa
sion de remettre en lumière des vérités trop
méconnues.
Nos adversaires, en s'étonnant de notre
docilité, prouvent qu'ils confondent deux
ordres d'idées bien distincts: le domaine des
questions politiques ou économiques propre-
ment dites et le domaine de Taction sociale
chrétienne.
Sur le terrain de la politique pure, les
Évêques est-il besoin de le rappeler
n'ont jamais entendu imposer leur manière
de voir personnelle au parti catholique. De
vives dissidences ont éclaté sur la question
militaire, par exemple, sur la question dou-
anière, sur la quostion coloniale, voire sur la
question scolaire, si étroitement apparentée
cependant k la question religieuse, sans que
l'épiscopat ait cru opportun d'intervenir,
pour dieter k tous les catholiques ene ligne
de conduite uniforme. Sur ces diverses ma-
tières, sur bien d'autres qu'il serail oiseux
d'énumérer ici, nos pasteurs spirituels ont
laissé le champ large ouvert aux controver
ses entre catholiques, et jamais ils n'ont eu
en vue de s'ériger en définiteurs de la vérité
politique.
11 en serait de même, sans doute, de la
question ouvrière, si celle-ci étaitune simple
question politique. Mais, aux yeux de nos
vénérés évêques, le mouvement suscité par
la parole du Souverain-Pontife, est, dans
toute la force du terme, une application des
préceptes de la morale chrétienne. Ceux-lk se
trompent qui croient nécessaire d'aller aux
travailleurs, dans le but de conquérir la po
pularité. Non! e'est la justice et la charité
mêmes, telles qu'elles sont déflnies par la
morale chrétienne, qui nous font un devoir
de travailler k la restauration sociale.
Dés lors, en faisant prévaloir leur auto
rité dans ce domaine, les Évêques ne font
autre chose qu'exercer leur mission. lis
tracent les bornes dans lesquelles doit se
renfermer Tactivité des ames confiées k leur
vigilance. Ils prémunissent les fidèles con-
tre les excommunications laïques et mutu-
elles, dont les hommes sont si facilement
portés k faire abus. lis donnent des conseils
et des ordres pour que, malgré les diver
gences d'opinions, se maintienne la frater-
nelle union du peuple chrétien. lis veillent
it ce que la division n'éclate pas entre frères.
Et lorsque NN. SS. les Évêques annoncent
la création prochaine d'assises diocésaines,
couronnées par une assemblée générale des
délégués de tous les diocèses* ici encore,
ils sont dans leur róle.
Leur but nest point, en eftet, de préparer
ainsi et de surveiller Télaboration d un pro-
gramme politique complet, immuablement
dictéaux catholiques de tout le pays. Ce
qu'ils veulent, e'est imprimer a Taction soci
ale des catholiques beiges une direction
sure, délibérée, conforme aux préceptes de
TEvangile et aux intentions du Souverain
Pontife, féconde pour le salut des ames et
pour la prospérité de la société civile.
La sotte outrecuidance des socialistes,
qui affectent de nous considérer comme les
plagiaires de leurs oeuvres et de leur pro-
pagande, est, par lk même, radicalement
rétutée.
L'initiative de nos Évêques affirme au
contraire el prouve que Taction sociale,
loin d'être une simple question de tactique
politique ou électorale, est un mouvement
chétien, issu de TEvangile même.
Et c'est ce qu'il n'était pas inutile de rap
peler.
M. Criem (vins et spiritueux) nous
envoie la lettre suivante que nous
nous erapressons de publier.
Ypres, le 28 September 1895.
Monsieur TEditeur,
Encore une foisvotre journal a failli
k ses promesses. A différentes reprises vous
avez juré vos grands dieux de ne plus me
citer. Mercredi, k propos d'une nouvelle,
fantais'ste, concernant les candidatures du
Volksbond, vous vous êtes oublié bénévole-
ment. Si vous lenez k recommencer, allez-y
gaiement? Je suis décidé k consacrer une
heure par semaine pour répondre aux deux
numéros du Journal. Nous discuterons le
programme de ce Volksbond, qui vous
préoccupe. Voici la période électorale com-
mencée; cela aura son utilité.
Veuillez insérer la présente dans votre
plus prochain numéro.
Je vous salue
A. Criem.
Allons, nous sommes en récidive.
Pardon, M. Criem, nous ne retombe-
rons plus
Vous n'êtes done pas candidat
Quel dommage
Mais si M. Criem croit quele Volks-
bond, nous préoccupe
La Lutte devient aussi spirituelle que le
Progrès. Méconteute sans doute de la nou
velle que nous avons publiée Mercredi au
sujet descandidaturesdu Vrijzinnige Volks
bond, elle singe notre article en publiant
quatre noms de candidats d'une ligue démo-
cratique qui n'existe pas. Dieu Merci, k Ypres,
il ri'y a aucune désunion dans le parti catho
lique et nous ne sommes pas dans la situation
des libéraux qui se disputeut publiquement
les candidatures.
Mais c'est égal, ces malheureux les
candidats manqués du Vrijzinnigen Volks
bond doivent être flattés de voir que Tan-
nonce seule de leur candidatuie fait pouffer
de rire jusqu'k leur journal la Lutte.
C'était bien la peine de faire tant d'embar-
ras et de menacer les libéraux de présenter
une troisième liste.Le Progrès de mercredi
disait que Taccord était fait entre toutes les
nuances du parti liberal d'Ypres.
Ja orois fichtre bien, un accord comme
celk est facile k faire. Voici la manière
Les socialistes du Volksbond commencent
par prier humblernent les chefs du parti
gueux de leur accorder quatre pauvres pla
ces sur quinze. ün les éconduit d'abord plus
ou moins poliment en disant que dans quatre
ans on verrait. Ils font semblant de se
facher. Alors on leur octroie une caresse des
mieux conditionnées k Tendroit oü le dos
change de nom. Immédiatement ces braves
gar^ons prennent la poudre d'escampette
en se frottant Téchine etle Progrès s'écrie
avec enthousiasme: Taccord est fait!
II est splendide Taccord entendu de cette
manière.
Mais k propos, oü en est la Lutte avec les
hommes si humbles zoo nederig qui
allaient flgurer sur la liste libérale. On dirait
que celk n'a pas pris, n'est-ce pas, brave
consceur.
Kantoor van den
Notaris PAUL LAUWERS,
t'Ypre.
BIJ STERFGEVAL.
7° Ecne
t' Yper,
schoone en goede
en
SINT JAN bu Ypre, LANGEMARCK,
WESTVLETEREN, LOO,
ALVERINGHEM en WULVERINGHEM.
o
Gemeente Sint Jan-bij-Yper,
nabij d'herberg 't Hemelrijk.
1° Eene
groot H.2. 76 02
verpacht tot lsten October 4897, aan
Damiaan Bourdean, eigenaar der
gebouwen, mits 215 fr. 's jaars.
Ingesteld 6.025 frank.
Gemeenten
Sint Jan Langemarck,
tegen de kalsijde van Langemarck
naar Boesinghe en bij het gehucht
Pilckem.
2° Eene
groot H. 23.38.18,
verpacht tot lslen October 4897, aan
Ch. Hagedooren mits 2212 fr. 's jaars.
Ingesteld 62.600 frank.
Gemeente Westvleteren,
Langst den weg leidende van de
herberg de Coppernolle naar het
gehucht den Eyk.
3" Eene
van II. 16.95.50,
verpacht tot lsteu October 1900, aan
Frederic Fieu, mits 1850 fr. 's jaars.
Ingesteld 51.700 frank.
4° Eene
groot H. 8.08.40
verpacht tot Tte October 1898, aan
FrartQOis en Sophie Huyghe mits
800 fr. 's jaars.
Slechts ingesteld 16.000 frank.
Na bij Crombekedorp en de kal
sijde leidende van Poperinghe naar
Grombeke.
5° Eene
van 44 aren 71 centiaren,
verpacht tot l!,c" October 1899 aan
Frederic Deraevc mits 65 fr. 's jaars.
Ingesteld 1.300 frank.
Tegen het klooster van St-Sixte.
6° Drij perceelen
groot H. 2.44.40
gekadastreerd S. D. n° 107, 688 en
691 in regie.
Afzonderlijk ingesteld 3.900 frank.
Gemeente Loo
Nabij het dorp
van II. 10.24.95.
verpacht tot lslen October 1901, aan
Hendrik Adriaen mitsl040fr. 'sjaais
Ingesteld 25.000 frank.
Gemeenten Alveringhem en Loo,
bij het gehucht Forthem»,
8° Eene
van H. 19.27.60
verpacht tot lslen October 1902 aan
Hendrik Devloo mits 1300 fr.'sjaars.
Ingesteld 36.500 frank.
Gemeente Wulveringhem
Langst de kalsijde van Ypre naar
Venrne en tegen de tramstatie
9" Een
groot II. 8.52.27.
verpacht tot Plen October 1901 aan
Edouard Bossant mits 1000 fr. 's jaars
Ingesteld 25.000 frank.
Toeslag 5 October 1895,
ten één ure, in d'herberg A la
maison des Brasseurs, Statiestraat
t'Ypre.
Met de tusschenkomst van den No
taris DE RO, te Sint-Josse-ten-Noode.
Notaire h Ypres.
Le Mardi 1 Octobre 1895,
et jours suivants,
chaque fois a 1 heure précise
de relevée.
M'PAUL LAUWERS, Notaire
a Ypres, procèdera, au chateau
d'HolIebeke, a la vente publique
des objets suivants
Belle garniture de salon style
Louis XIII
Garniture de salie a manger en
bois de chéne
Garnitures de chambres a cou-
cher en bois palissandre et aca
jou
Armoires sculptées en bois de
chéne vieux;
Bi Hard avec accessoires
Belles literies;
Porcelaines et faiences ancien -
nes et modernes
Gristaux, Gravures modernes
et anciennes
Vaisselle et batterie de cuisine;
(Bordeaux vieux;
VTNQ )Bourg°goe vieux;
Vlli IJ i Vins de Champagne;
(Liqueurs.
La vente se fera au comptant;
10 de frais.
N. B. Les gros Meubles et les
Vins se vendront Ie MERCREDI
2 OCTOBRE
Exposition publique le Lundi
30 Septembre de 2 a 5 heures.
Instuw Medical Wikdelmcx
43
FONDE EN 1860
122, rueGallait, Bruxelles
Consultations les Dimanches, Lundis, Mer-
credis et Jeudis de 11 1/2 h. a 1 heure.
Traitement sans opération sanglante de
Cancers, Tumeurs, Squirrhes, Glandes et Ul
cerations aux seins et a la matrice, Glandes et
Ulcères au cou, Ulcêres aux lèvres et aux
jam bes, £tyn<.s k la face FislulesEemorrhoïdes-
Varices, Caries, Tumeurs au genou et aux
articulations. Maladies de la peau et affertions
chroniques de même nature.
Lo Médecin de l'Institut, Le Directeur del'Institut,
E. WOLFCARIUS, J. WINDELINCX.
g0 J0g0 JT| ^0
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Etude de
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