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VANDERMEERSCH
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RENTENIERSHUIS
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OPENBARE VERKOGPlflG
Un mensonge de plus.
Nos ouvriers en France.
Nouvelles Diverses.
Actes Officiels.
SriSH!
van den Notaris
TE YPER.
INSTEL:
27 WONINGEN
querelles, si raaladroiteinent ressuscitées
par M. Heuse.
Somrae toute, c'est elle-même que La
Lutte devrsi! en vouloir car c'est elle qui
a renseigné inexactement et incomplètement
le député radical de Liège.
La Lutte dit encore que M. Golaert a nié
purement et simplement des faits cités par
M. Heuse. Comment notre consoeur peut-
elleécrire sérieusement cette phrase
Notre honorable ami a répondu, point par
point, non seulement aux faits cités par
M. Heuse, mais h tous ceux que les récla-
mants avaient eux-mêmes articulés.
De bonne foi, consoeur, qu'est-il resté
debout de l'envoi irrégulier des bulletins,
du manquant de bulletins, du bulletin voya-
geur, des déchets, des bulletins tachés, de
l'attribution incorrecte des bulletins partant
des votes isolés, etc.?
Nous vous déüons de nous réfuter sur
tous ces points. Tous les faits articulés ont
été controuvés
Et les 15 faits de fraude Mais ce sont
des hisloires dormir debout, celle p. ex
decetélecteur qui,huit jours après l'élection,
serail sorli de cbez M. le curé de St Pierre,
tenant ses poches remplies d'argent
Certes M. Colaert a accusé de pression et
de corruption les libéraux d'Ypres et ne
vous en déplaise il a cité des faits
N'est-il pas vrai par hasard que, pendant
deux mois.la musique libérale est allée jouer
tous les Dimanches, danstous les quartiersde
la ville, et que les suivants de la musique
donnaient h boire
N'est-il pasvrai que huit jours avant l'élec
tion, des fêtes ont été données h St Pierre,
avec prix et boissons dans les cabarets
Et l'histoire des veilleurs de nuitM. Co
laert n'a pas affirmé dune fagon absolue, que
ceux qui avaient soudoyé ces veilleurs
avaient été cités devant le tribunal ou le con-
seilde prud'hommes. Mais il est certain que
plusieurs n'ont été payés qu'après réclama-
tion. Osez-vous le nier? Nous avons des
preuves.
La Lutte ajoute que M. Iweim d'Eeckhout-
te a accusé MM. Lapiere et Wydooghe d'a- j
voir forcé l'entrée de I hospice du Nazareth en j
se disant munis d'une autorisalion du pro- j
cureur du Roi.
Nous répondons en reproduisant les paro-
les de La Lutte elle-même Or, dit notre j
naïve consoeur, MM. Lapiere et Wydooghe
devant la mauvaise volonté qu'on met-
taita les introduire, quoique le directeur eut i
été prévenu de leur visile, ont simplement
Menacé de faire intervenir le procureur du roi
si on continuait a leur refuser contre tout j
droit, l'accès auprès des vieillards.
All Ah ma mie, vous êtes en aveu
Et qu'allaient faire vos amis au Nazareth,
la vrille des élections De quel droit fai- j
saient-ils usage du nom de M. le Procureur j
du Roi
Tenez, consoeur, nous allons vous donner
ici un petit conseil récemment le Progrès a
annoncé la constitution,parmi ses rédacteurs
d'un bureau de consultations gratuites. Allez
hl'avenirlui demander avis avant d'écrire
ces choses lb. Car... mais, il vous sera peut-
être beaueoup pardonné, parceque vous
avouez votre faute.
Est-ce le dernier mot au sujet de l'in- l
terpellation
Dans son dernier numéro, la Lutte taxe it
deux reprises le Journal d'Ypres de menson
ge.
La première fois, parcequ'è propos du fait
d'Enghien, nous avons dénaturé, falsifié com-
plètement ce quelle a écrit.
Or, nous avons reproduit tout son article
et nous sommes prêts si elle le désire
le reproduire encore, afin que nos lecteurs
puissent dire si, oui ou non, nous avons
menti en disant que la Lutte a, si non justi-
fié, tout au moins excusé l'édilité enghien-
noise.
Nous n'avons pas dit autre chose.
Et, ajoute la pauvre radicale, le Journal a
menti avec un tel aplomb que le Progrès (qui
semble lire le Journal d' Ypres avec plus d'at
tention qu'il ne lit la Lutte), a cru que la Lut
te approuvait l'acte de 1'administration d'En
ghien.
Cette citation est faite textuellement, pa-
renthèse comprise
Le Progrès qui croit les mensonges du
Journal d'Ypres Mais c'est trop fort, con
soeur. Décidément vous déménagezallez
vous faire soigner, et le plus tót possible
encore, si non....
Et tout cela parceque nous avons donné
un bon point au Progrès et la carte grise k
La Lutte. Mais, soeurette, il y a encore la
carte verte. Faudra-t-il vous la réserver
C'est que, voyez-vous, lecteurs, le Progrès
sent l'affreux capital et qu'il est un peu,
comme nous, de la bande de Cartouche et c'e.
Le second mensonge Nous avons ac
cusé des professeurs du Collége de l Union
avoir donné des conférences publiques col-
lectivistes.
Nous allons immédiatement rétablir les
faits.
Est-ce que celui qui dit socialistes ne dit
pas colectivistes Ou bien avons-nous rèvé
Or, voici Nous possédons une carte
rouge disant littéralement
Algemeene socialistische club van
Ieperen en het arrondissement.
Luister lijk Feest, op Zondag 19 Janu
ari 1896, in degrootezaal der Beurs,
(Gartonstraat).
Dit Feest is ingericht ten voordeele
van eene Bibliotheek tot studie der
sociale wetenschappen, met de wel
willende medewerking van Mcj. De-
vers, MM. Bartier, H. Moerman, Tas-
seel, D. Vanderstichelen en eenige
leden der Turnmaatschapoij les
Infatigables.
Voordracht met zichten. - Bal.
Ingangkaart25 centiemen.
Des professeurs Prenons i un professeur,
M. Vanderstichelen. N'est-il pas du Collége
de l'Union
11 est possible que M. Vanderstichelen
n'ait pas donné dans le collectivisme. Mais
nous n'avons pas eu l'occasion de lire dans
ld Lutte le compte rendu de la conférence du
jeune professeur. Toujours est-il que c'est
le club socialiste d'Ypres qui a donné la fête
avec le bienveillant concours, entre autres, de
M. le professeur Vanderstichelen, du Collége
de l'Union. N'esl-ce pas lui qui a fait la con-
féience h moins que ce soit MeUe Devers.
La Lutte sera t elle satisfaite
Et, propos de ce fait et de la question de
la vénté sur la revolution et les hommes de
1830, pourrions nous connaitre l'avis du
Progrès
Que pense-t-il des idéés de M. Jacobs
dont la Lutte a parlé
Que pense t-il de ce que la consoeur a dit
de Rogier, de de Mérode, de de Gerlache
Ou faudra-t-il que nous reproduisions Par
ticle par lequel La Lutte nous a répondu
notre article sur le Patriotisme d Ypres
Un mot, et nous le sigtialerons au Progrès,
puisquil semble que cel ui-ci nous lit avec
plus d'attention qu'il ne lit La Lutte.
Unegageure Nous parions dix numéros
de La Lutte que le conti ére, comme nous,
désapprouve la consoeur.
Mais nous osons exprimer notre manière
de voir, tandisque le Progrès se tait.
Pour être tout-é-fait juste, le Journal doit
déclarer que le silence méme du Progrès
semble être de ceux que l'on appelle dé-
daigneux ou dégouté.
Sommes nous dans le vrai
Allons, confrère, dites done que vous ne
croyez pas, que nous avons menti autant que
la consoeur se plait le dire.
Sous ce litre nous avons parlé dans notre
dernier numéro,de la lettre envoyée la Ga
zette d'Armentières, par un groupe de petits
commergants de cette vilie, et dans laquelle
ceux-ci émettaient l'avis que le gouverne
ment Frangais terait bien d'établir une taxe
sur les ouvriers étrangers, qui travaillent en
France.
Nous ajoutions que la commission du tra
vail de la Ghambre des Députés, avait pro
posé une taxe de ce genre. Nous lisons dans
la Patrie sous la rubrique France, ce qui
suit
M. Bertholet, ministre des affaires
étrangères, a été entendu hier après-
midi par la commission du travail a
la Ghambre, au sujet des projels de
taxe sur les ouvriers étrangers. II a
fait observer que l'étatactuel du droit
international empêche la France d'é
tablir, soit une taxe directe sur les
étrangers, soit une taxe indirecte sur
les patrons employant des ouvriers
étrangers, sous peine d'exposer nos
nationaux expatriés a des représail
les.
Par ce qui précède, nous voyons avec
plaisir que le projet de taxe en question, n'a
pas grandes chances de réussite.
La semaine passée, une vente publique
avait lieu. Parmi les curieux se trouvait une
femme de la campagne qui, passant par lè.
s'était arrêtée pendant quelques minutes,
Cette personne avait, dans la poche de sa
robe, un porte-monnaie qui contenait 25 fr.
tousenpièces d'un 1/2 franc. A un certain
moment, voulant payer un petit achat qn'elle
veriait de faire, elle mit la main h sa poche
pour prendre son argent, et quel ne fut pas
son étonnement quand elle s'apergut que son
porte-monnaie avait disparu
Elle s'adressa h ses voisins, pour s'infor
mer s'ils n'avaient rien remarqué,et quelqu'un
lui ditqu'il avait remarqué.qu'une toute jeune
fiile avait ródé coniinuellement autour d'elle,
et qu'h un certain moment, uu 1/2 franc
étant tombé terre, qu'elle l'avait vivement
ramassée et s'etait éclipsé immédiatement.
Ce doit être ma voleuse, dit la femme.
Un de ses voisins prélendit connaitre la fille
et on se rendit chez elle, ou elle jura ses
grands dieux qu'elle ne savait rien de toute
l'affaire. Malgré ses protestations, elle fut
obligée de se rendre au Bureau de Police.
Arrivée lè, elle prétendit avoir besoin d'aller
aux lieux, ce qui ne lui fut accordé que sous
condition de lui faire passer la visite préala-
blement.ce qui fut fait,et on trouva le porte-
monnaie en question entre sa chemise et sa
poitrine. C'est la nommée N.
Présidents Effectifs des conseils
de milice et suppléants des
présidents.
Ypres,
Président effectifM. de Gheus, Léon.
Suppléants du président 1" M. Parret,
Henri. 2« M. deThibaultde Boesingbe, Er-
nest.
Par arrêté royal du 31 Janvier, M. Em.
De Caestecker, médecin vétérinaire ugréé
Ypres, est lommé inspecteur vétérinaire du
gouvernement.
Un arrêté ministériel fixe les résidenceset
les circonscriptions de service des inspec
teurs vétérinaires.
M. De Caestecker, de résidence Ypres, a
dans sa circonscription les arrondissements
administratifs de Furnes Dixmude, Ypres
el Courtrai.
sserlA
Dépöt a Ypres chez Donck frères rue de
1,111e. 45
LE NOUVEAU LONDON
En vente a Ypres chez V® Ommeslagh-Podevyn
a Poperinghe chez Theeten-Lefever. 46
I.
Openbare Ver hooping
van
EN ERVE
XE YPER.
Eenige Koop. Een HUIS met
grond en erve, aan de oostzijde
der Kauwekijnstraat, geteekend
nr 6. Bewoond door de kinders
Kerrinckx, aan 65 frsper trimes
ter, zonder recht van pacht.
Maandag 17 Februari 1896,
om 2 uren n umiddag. ter estami-
net Café de l'Union op de
Groote Markt te Yqer, ingevolge
de voorwaarden berustende ten
kantoore van den notaris VAN
DERMEERSCH te Yper verblij
vende.
4/2 °/o instelpremie te winnen.
il.
van ©en schoon
en eenen grond met
genaamd Patershoveken
De Notaris VANDERMEERSCH
te Yper verblijvende, zat ten
overstaan van de heeren Vrede-
BOITE
lf. 50
Les SEULES quiScORÖT3 ««-'
IRRITAT10NStó^eSV0iS»
et toutes les Maladi c
DBPOT danb
(A base vègétale) fait dispa-
raitre les cheveux gris en
/Wipt peu de jours fortifie la cheve-
j lure, en arrêté la chute. II ne
tache pas la peau.
i ougoufot
En flacons de 1 fr. 50 et 2 fr. 50
Teinture anglai.se spéciale pour barbes fr. le flacon.
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